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Dans le train à vapeur

Chapitre 1

Hétéro
Dans le train à vapeur
Nous sommes en 1965, c’est les vacances de pâques, je viens d’avoir dix-huit ans et je me rends de Clermont à Paris en train pour passer une semaine de vacances chez ma grand-mère. La voie n’est électrifiée que de Paris à Vierzon, le reste se fait tracté par une locomotive à vapeur, il parait qu’elle sera complètement électrifiée dans dix ans. Le changement de motrice se fait à Vierzon dans un sens comme dans l’autre. 

Ce jour-là, le train est bondé, je n’ai pas trouvé de place dans le wagon dans lequel je suis monté, et comme je suis timide, je n’ose pas m’imposer. Le début du voyage se fait dans le couloir, adossé à la fenêtre qu’il est déconseillé d’ouvrir avant Vierzon, la motrice crachant de petites particules qui fouettent le visage si d’aventure on passe la tête à l’extérieur. Le chauffage est à fond, comme le soleil tape relativement fort pour la saison, la chaleur devient incommodante. Je commence à trouver le temps long quand une fille d’au moins mon âge commence à se faire remarquer, la porte des toilettes reste fermée depuis un bon bout de temps. Elle frappe dessus en criant.

–Alors, tu n’as pas encore fini ta petite branlette ?

Tout le monde rigole, mais pas elle, elle veut aller aux toilettes. Elle insiste vraiment beaucoup jusqu’à ce que le contrôleur arrive. Il se renseigne sur ce qui se passe et frappe à la porte.

–Il y a quelqu’un ?

Personne ne répond, il sort une clé et ouvre la porte. Il n’y a personne à l’intérieur. La fille se précipite dans les toilettes, elle s’adresse à moi.

–Tu peux surveiller mon sac s’il te plait ?–Bien sûr, ne t’en fait pas.

Je remarque qu’il y a un sac à mes pieds. Je reste à côté.


Le contrôleur nous explique que certains petits malins laissent le système de fermeture en équilibre pour qu’il se verrouille quand ils ferment la porte, la condamnant. Nous lui demandons de baisser le chauffage, mais il nous dit qu’il est bloqué au maximum et il ne peut rien faire.Je suis adossé à la fenêtre quand la fille ressort. Elle vient vers moi. 

–Merci.–Tu sais, je n’ai pas fait grand-chose, juste rester sur place.–Oui, mais quand même. Tu t’appelles comment ?–Jean–Moi, c’est Josette.

Cela créé un lien et nous commençons à discuter de tout et de rien toujours debout dans le couloir. J’apprends qu’elle a dix-neuf ans, un de plus que moi, qu’elle vit dans une petite ville à côté de Clermont, qu’elle est fille unique et qu’elle fait tourner ses parents en bourrique. Ça me fait bien rire. C’est une fille assez extravertie, tout le contraire de moi. Nous sommes collés l’un à l’autre, la chaleur devient insupportable et je vois une perle de sueur couler de ses cheveux sur son cou, mais je ne m’en plains pas. Je suis contre une magnifique fille qui ne fait rien pour empêcher le contact, bien au contraire. Le train arrive en gare de Vierzon. Il doit y rester une demi-heure, le temps de changer de motrice. Beaucoup de personnes descendent, mais il en monte plus, je commence à m’affoler, le voyage va être un vrai calvaire. En fait, tout en changeant de motrice, on ajoute trois wagons au train. Josette me prend par la main.

–Prends mon sac et suis-moi.

Je prends son sac, le mien, et je la suis vers le fond du train. Nous arrivons dans les derniers wagons qui viennent d’être attelés et qui sont encore vides. Tous les compartiments sont ouverts et vides, elle m’entraine au milieu du wagon pour en choisissons un.

–C’est là qu’on est le moins secoué, au milieu du wagon.

Elle ouvre la porte, nous fait entrer et ferme la porte. Elle sort une clé spéciale, verrouille la porte et baisse les rideaux du couloir. Nous sommes complètement isolés du reste du wagon.

–D’où tu sors ça ?–Mon grand-père était contrôleur dans la société, je lui ai piqué une de ses clés. On peut faire ce que l’on veut, personne ne viendra nous emmerder, après Vierzon, il n’y aura plus de contrôle, j’ai vu descendre les contrôleurs. Nous sommes tranquilles jusqu’à Paris.–Pourquoi tu ne l’as pas utilisé tout à l’heure ?–Parce que il y avait trop de monde, quelqu’un aurait trouvé ça anormal et l’aurait déclaré au contrôleur.–Ok, tu es une petite maline toi.–Et oui.

Il fait très chaud dans le compartiment, ici aussi, le chauffage fonctionne toujours à fond. J’essaie de voir si je peux l’arrêter, mais rien à faire, c’est commandé par un panneau central pour tout le wagon, lui aussi doit être bloqué. J’enlève ma veste. Elle enlève une veste en laine blanche, très légère. Je me détends et nous recommençons à discuter. Il y a plusieurs tentatives pour entrer, mais la porte reste fermée, nous pouvons rester seuls dans le compartiment. Je réalise que je ne l’ai même pas vu de plus de trente centimètres depuis le début de notre rencontre. Je peux enfin la détailler.
C’est une très jolie fille, le haut de son corps remplissant dans de très belles proportions son corsage, assez grande, le teint très clair, presque translucide, très beaux yeux verts expressifs, cheveux châtain clair, longs, tombant en cascade jusqu’au milieu de son dos, des hanches bien dessinées, et, pour ce que j’en vois, de belles jambes. Elle est vêtue d’une jupe écossaise plissée arrivant juste au-dessus des genoux, d’un corsage rouge boutonné jusqu’en haut. Elle est assise en face de moi, nous discutons, mais j’ai une drôle d’impression, je trouve qu’elle en fait un peu trop. Elle bouge beaucoup sur sa banquette, et se faisant, me montre très souvent un peu plus que ses genoux. Sa jupe monte souvent jusqu’au niveau de sa culotte blanche. Je ne me plaints pas du spectacle, mais je me demande ou cela va se terminer.
Le train repart, mais à ma grande surprise, nous avons toujours la même motrice, on voit la fumée par la fenêtre. J’entrouvre la fenêtre, et j’ai immédiatement la confirmation de mes soupçons en recevant des escarbilles sur le visage, je la referme prestement.

–Descend le rideau.

Nous quittons l’enceinte de la gare. Je descends le rideau et le verrouille. Nous sommes maintenant complètement isolés du reste du monde dans notre compartiment. Le soleil tape au travers de la fenêtre, augmentant l’impression de chaleur dans le compartiment. Elle déboutonne deux boutons du haut de son corsage et s’aère. Je vois son soutien-gorge apparaître.

–Tu n’as pas chaud toi aussi ?–Oui, un peu, mais je supporte.–Moi, si je m’écoutais, j’enlèverais tout, il fait trop chaud dans ces vieux wagons, le chauffage est coincé au maximum avec le soleil qui plombe sur nous, je ne supporte plus.–Oui, j’ai constaté, mais tu as bien vu qu’il n’y a rien à faire.–Oh, et puis merde, j’ai trop chaud.

Elle déboutonne son corsage et l’enlève, elle se lève, fait glisser la fermeture éclair de sa jupe qui tombe à ses pieds. Elle est là, devant moi, en culotte et soutien-gorge de coton plus ou moins fin. Elle porte des sous-vêtements qui la couvre bien, on ne peut rien distinguer. Je remarque tout de même deux petites proéminence sur les bonnets de son soutien-gorge, et une petite auréole sur sa culotte, juste entre les jambes. Je n’ai pas beaucoup d’expérience, et aucunes avec les femmes, mais je sais que ça veut dire qu’elle est quand même un peu excitée. La chaleur est un bon prétexte. Elle s’assoie les jambes légèrement ouvertes et me regarde droit dans les yeux.

–Qu’est-ce que tu attends pour en faire autant ?–Comment ça ?–Te mettre à l’aise, tu ne crève pas de chaud ?–Oui, mais.

Je suis un peu gêné, me déshabiller comme ça, devant une personne me glace un peu. C’est la première fois qu’une fille me demande de me déshabiller devant elle. Je suis complètement coincé, je n’ose pas. Elle se lève et vient vers moi dans sa tenue légère.

–Lèves toi.

Je lui obéis comme un automate et me lève, c’est vrai que je suis timide, mais de la voir dans cette tenue m’excite, je sens mon sexe gonfler dans mon pantalon. J’ai une folle envie de voir ce qui va se passer. Elle déboutonne ma chemise et me la retire. Je me retrouve torse nu.

–Je continu ?–Si tu veux.

Elle ouvre la boucle de ma ceinture, déboutonne un à un les boutons de ma braguette. Je sens ses doigts frotter au travers du slip contre mon sexe qui gonfle de plus en plus. Elle fait descendre mon pantalon à terre. Elle se redresse. Nous sommes tous les deux à moitié nus, moi en slip pas mal gonflé, et elle en culotte tâchée et soutien-gorge. Nous nous regardons, mes yeux passent de ses cheveux à ses pieds, et en passant, j’ai l’impression que la tâche de sa culotte augmente. Nous sommes tous les deux extrêmement excités. Elle me tourne le dos.

–Rends toi utile, enlève-moi mon soutien-gorge.

Un peu nerveux, je réussi malgré tout à dégrafer son soutien-gorge qu’elle fait passer devant elle pour le laisser tomber à terre. Elle me tourne toujours le dos, je ne peux donc pas voir ses seins, mais rien que de les imaginer, mon slip gonfle encore.

–Il reste encore quelque chose, tu sais ce qu’il te reste à faire je suppose.

Je me penche un peu, pose les mains sur l’élastique de sa culotte, le tire un peu et la fait glisser lentement le long de ses jambes en m’accroupissant. Je découvre deux magnifiques fesses rondes et lisses. Quand la culotte arrive en bas, elle lève un pied, je dégage la culotte, elle lève l’autre pied et sa culotte va rejoindre le reste de ses vêtements. Je me redresse les yeux rivés sur ses fesses.

–Tourne toi.

Je me tourne à regret, mais très vite je sens ses mains sur mon slip, elle glisse ses doigts entre mes hanches et l’élastique, plaque ses mains sur ma peau et les fait descendre vers le bas. Je sens ses doigts glisser sur mes aines, les index vers le haut pour laisser plus d’espace. Mon slip glisse doucement vers le sol. Il se bloque au début, je commence à bander sérieusement, mais elle insiste et il se décoince. Ses mains glissent sur mes hanches et le long de mes jambes me faisant frissonner. Une fois au sol, elle passe un pied après l’autre et le jette sur la banquette. Ma bite s’est maintenant complètement dressée vers le ciel, le gland décalotté.

–Tu peux te retourner.

Je me retourne, elle s’est un peu reculée, je peux la voir dans toute sa beauté. Ses seins sont magnifiques, ronds, bien hauts avec de petits mamelons bien dessinés d’une jeune fille de dix-neuf ans. Son ventre est plat et son pubis recouvert d’un fin duvet châtain clair. Elle est à croquer. Je vois qu’elle me détaille aussi, ses yeux finissent par s’arrêter à hauteur de mon sexe.

–Je vois que je ne te laisse pas indifférent.

Je rougis, cette fille est vraiment beaucoup plus en avance que moi dans ce domaine, elle a un an de plus, mais ce n’est pas ça qui fait la différence. Je pense plutôt que c’est l’éducation très stricte que j’ai reçu. Je me sens un peu, voire beaucoup, con, je ne sais que dire. Elle se rapproche et vient se coller à moi. Un violent frisson me parcoure tout le corps. Je reste les bras ballants, encore une fois, je ne sais que faire. Mon sexe est plaqué contre les poils de son pubis, il est de plus en plus raide. Ses seins fermes s’écrasent sur mon torse, je sens deux petites pointes sur ma poitrine.

–Je ne te fait pas envie.

Je bredouille.

–Oui, bien sûr que tu me fais envie, mais…

Elle me coupe.

–Alors montres le.

Elle me prend la main droite et la pose sur sa fesse gauche et l’autre sur la droite.

–Caresses les.

Je commence à bouger mes mains sur sa peau, elle est très douce et je commence à m’enhardir. C’est la première fois que je caresse les fesses d’une fille. Mes mains montent sur son dos, redescendent sur ses fesses, les caressent, les malaxent doucement. J’essaye d’être le plus aérien possible, elle ne m’a pas demandé un massage.

–Voilà, c’est mieux, c’est même très bien continu.

Mes mains remontent sur les côtés, quand elles arrivent au niveau de sa poitrine, elle s’écarte et me libère le passage. Je les referme sur ses seins. Encore une fois, c’est une première, je n’avais jamais caressé de seins nus. Je suis dans un état indescriptible, au paroxysme de l’excitation. Je suis là, nu dans un compartiment du train qui m’amène à Paris, à caresser le corps d’une sublime fille complètement offerte. Elle prend mes mains, les écarte et va s’allonger sur une banquette les jambes serrées.

–Embrasse-moi sur tout le corps, en commençant par les pieds.

Je m’agenouille à côté d’elle, lui prend un pied et l’embrasse. Je pose mes lèvres sur l’autre et les embrasse alternativement en remontant vers ses chevilles. Une fois les chevilles passées, je remonte le long de ses jambes toujours en les embrassant alternativement. Il n’y a pas un seul grain de sa peau qui échappe à mes lèvres. La montée est lente. Au fur et à mesure que je monte le long de ses jambes, elle les écarte un peu plus en ondulant du bassin. Au bout d’un bon moment, je finis par arriver en haut de ses cuisses. Elles sont maintenant grandes ouvertes. Je vois son sexe rose qui brille. Je ne sais pas comment est fait un sexe de femme, je n’en ai jamais vu de si réels, je vois des plis et des replis et une cavité d’où s’échappe un liquide blanchâtre. J’hésite sur la suite, dois-je le contourner ou l’embrasser aussi ? je passe sur l’aine droite, mais elle n’est pas d’accord.

–Tu n’oublie rien.–Tu veux.. ?–Oui

Je bifurque vers la gauche et finit par poser mes lèvres sur ses lèvres intimes. Je n’ai jamais posé mes lèvres sur un sexe de femme, je suis agréablement surpris par sa douceur et son odeur. Je suis même subjugué par l’odeur qui se dégage de ce sexe, elle m’enivre, me fait l’effet d’un coup de fouet. Mon cerveau disjoncte, je ne me retiens plus, je me déchaîne. Au lieu de continuer ma montée vers le haut de son corps, je plonge ma bouche entre ses lèvres, je les aspire, j’ai envie de boire ce liquide qui coule de ces plis si doux. Je sors ma langue, je lèche, je suce, j’aspire. Je remonte un peu ma tête le haut de ses lèvres et je tombe sur une sorte de petit bouton. Je le mordille, le suce, l’aspire, le titille avec ma langue. Je fais tout ce qui me passe par la tête en surveillant ses réactions pour orienter mon action. Je remarque que son bassin bouge. J’ai envie de me fondre dans ce sexe si appétissant, si chaud, si accueillant, j’ai envie de m’y engouffrer. Elle se laisse faire en ondulant de plus en plus du bassin. Soudain Josette pose ses mains sur ma tête et se raidi, son pubis monte me soulevant en même temps que lui.

–Ho oui, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiii.

Je réalise qu’elle jouit. Je l’ai fait jouir avec ma langue et ma bouche. Intérieurement, j’en retire une certaine fierté. Ses mains se font moins pesante, elles me font remonter, je dois abandonner à regret cette partie de son corps si douce et si chaude et reprendre mon exploration. Ma bouche remonte encore un peu, elle est maintenant sur son pubis au fin duvet. Je la fais tourner pour pouvoir embrasser ses fesses. Elle se prête volontiers à mon jeu. J’embrasse ses fesses, les lèche et glisse ma langue entre elles. Elle donne un coup de rein, je comprends que ça lui plait beaucoup. Je les écarte un peu pour glisser ma langue plus loin. Elle pose ses mains sur ses fesses et les écarte complètement, me montrant la voie à suivre. Il ne me reste plus qu’à aller jusqu’au bout et à passer ma langue sur la rondelle de son anus. Je reste figé.

–Alors, ça vient ?–Tu te rends compte ?–Quoi, c’est ma rondelle qui te rebute ?–ben oui.–Je suis sûre qu’elle est plus propre que mes pieds que tu viens d’embrasser sans te poser de question.

J’hésite encore un peu, mais je me dis que je dois paraître un peu niai, et je plonge ma tête entre ses globes pour poser ma langue sur ce disque plus sombre qui palpite en se détendant et se contractant. Je la lèche, l’embrasse, la titille avec ma langue.

–Voilà, c’est bien.

A ses coups de reins, je vois qu’elle aime beaucoup, mais elle finit par relâcher ses fesses, la porte est fermée et je dois continuer ma remontée. …/…
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