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Dark Temptations

Chapitre 1

Alice et la cave de tous les abus (1/2)

Avec plusieurs hommes
Note d’Alice : Basée sur nos fantasmes (surtout les miens !) et écrite par mon homme, la série "Dark Temptations" regroupe des récits fictionnels courts et rédigés en un ou deux chapitres maximum. Bonne lecture !

Garés depuis quelques minutes devant cette barre d’immeuble, Gaëtan et moi finissions par sortir de la voiture.
En replaçant mon string, puis ma jupe plissée noire, j’observai brièvement ce HLM en piteux état. Une large tour d’une dizaine d’étages probablement construite dans les années soixante-dix et dont la façade n’avait sans doute jamais été entretenue.
Une cité comme on en trouvait dans toutes les villes de taille moyenne... des quartiers à la mauvaise réputation dans lesquels le sentiment d’insécurité était omniprésent. Un frisson parcourut ma colonne vertébrale. Certes il faisait froid et j’étais peu vêtue, mais la température n’en était pas la seule raison.
J’étais excitée par ma folle idée... autant que nerveuse des risques que nous prenions. Mais pas question de faire demi-tour. Quinze jours plus tôt, j’avais révélé à Gaëtan mon "envie" du moment : me faire baiser dans la cave d’une cité.
Mon fantasme ne se limitait pas seulement au lieu. Pour une raison obscure, l’idée d’être le jouet de mecs de banlieue... idéalement d’origine arabe et si possible un peu voyou... m’avait toujours excité.
Le respect ? Il n’y en aurait probablement pas, et je le savais.La brutalité ? C’était une évidence...L’intérêt pour mon plaisir ? Il serait sans doute absent.
Et c’est bien ce que je venais chercher dans ce lieu improbable... des sensations fortes et nouvelles. Je sortais volontairement de ma zone de confort pour jouer avec le feu. Si j’avais raconté ça à mes copines, elles m’auraient toutes prise pour une dingue. Et il me fallait bien l’avouer... je devais l’être un peu pour avoir envie de cela.
— Sans doute un fantasme de femme plutôt favorisée et en mal de sensations fortes... pensai-je intérieurement.
En nous dirigeant vers le hall de l’immeuble dont les vitres étaient brisées, Gaëtan et moi échangions un bref regard. Trois jeunes d’une vingtaine d’années postés à l’entrée, tels des guetteurs, sifflèrent à notre approche. Une antilope dans une cage remplie de lions affamés aurait probablement ressenti la même chose que moi à ce moment précis.
A notre approche, ils me dévisagèrent en touchant ostensiblement leurs sexes à travers leurs joggings. Mes talons claquaient sur le parvis en béton sale et visiblement j’étais à leur goût. Et bizarrement, l’idée me plaisait... beaucoup.
Leurs commentaires inaudibles et problèmes graveleux cessèrent lorsque Adil fit son apparition.

— Salut, ça va ? Mieux vaut qu’on rentre rapidement, Alice va attirer du monde sinon... nous lança-t-il un peu nerveux.
Il est vrai que ma courte jupe, mes talons de 9 centimètres et mon petit chemisier rouge largement décolleté faisaient plutôt tache dans ce décor de fin du monde. A 42 ans et du haut de mes 1.65m pour 61 kilos, j’avais clairement le look d’une "MILF" en chasse au milieu de ces zonards plus habitués aux joggings qu’aux minijupes.
C’était Gaëtan, mon homme, qui avait tout géré, comme j’aimais qu’il le fasse et comme il aimait le faire...
Il avait missionné Adil une semaine plus tôt, ce collègue de boulot habitant la cité depuis sa naissance. Gaëtan et lui étaient devenus potes au fil du temps, et il lui demanda d’organiser cette folle soirée pour réaliser mon dernier fantasme avec quelques-uns de ses amis de confiance.
Invité par Gaëtan au restaurant pour lui faire part de mon envie, Adil avait semblé très mal à l’aise dans un premier temps, pensant même qu’il s’agissait d’une mauvaise blague.
Puis, après lui avoir expliqué que nous pratiquions déjà le libertinage, il s’était décrispé tout en restant très sceptique sur le plaisir que j’y prendrais. Nommé organisateur de cette "tournante consentie", il fit le job à merveille.
Un soir mon mari reçut ce SMS :
[SMS]<OK pour vendredi soir vers 23h. 5 ou 6 potes rebeux seront présents. Rendez-vous devant la porte B. Bonne soirée... et si elle change d’avis préviens-moi !
Ce soir-là, je relus plusieurs fois son SMS sur le portable de mon homme, la tête pleine d’images toutes plus hard les unes que les autres... J’étais surexcitée à l’idée de jouer l’otage abusée par un groupe de petites-frappes.
Dans la foulée, j’avais d’ailleurs sucé à pleine bouche Gaëtan, comme pour le remercier par avance du cadeau qu’il s’apprêtait à m’offrir. J’avais beaucoup de chance qu’il me suive dans tous mes délires...
Entrés depuis quelques instants dans le hall, nous passions devant les ascenseurs dont les portes semblaient avoir été défoncées depuis un bon moment déjà. Arrivés aux portes taguées de l’escalier qui menaient aux caves, Gaëtan sortit de sa poche deux foulards.
— Autant jouer jusqu’au bout... en ayant les yeux bandés et les mains attachés ! Le rôle de la prisonnière impuissante et abusée dans une cave devrait te plaire..., me précisa-t-il avec un sourire en coin.
Il savait que l’idée de m’imaginer agressée par une bande de voyous était l’une des raisons qui m’avait conduite à ce fantasme, mais il ne m’avait pas prévenue. Mon cœur se mit à battre encore plus fort, tandis que cette petite surprise laissa Adil médusé... Sans doute nous prenait-il pour des tarés.
Je me laissai faire sans un mot, sourire aux lèvres, avant de poursuivre vers les caves.
Adil, en tenant ma main, me guida dans les escaliers puis les couloirs des sous-sols. Plus nous nous enfoncions dans ce lieu glauque, plus mon cœur battait vite. Ce labyrinthe mal ventilé semblait immense. Une impression probablement décuplée par le bandeau qui obstruait ma vue, mais je songeais qu’une femme entourée de prédateurs n’aurait aucune chance de s’en échapper.
Au détour d’un couloir, l’odeur de crasse laissa place à celle du shit. Les voix que j’entendis au loin me confirmèrent qu’un groupe de jeunes devait fumer du cannabis tant l’odeur me prit à la gorge. Même si je ne voyais quasiment rien, rapidement je compris que nous nous dirigions vers eux.
— Sa mère... elle est trop bonne la daronne, s’exclama l’un des jeunes à ma vue.
Ses amis confirmèrent que j’étais à leurs goûts dans des termes vulgaires et déplacés. Puis mon 90C occupa une bonne part de leurs échanges... Aucun contact, juste des propos sur mon apparence physique.
Les voix me semblèrent jeunes, et j’en identifiai au moins quatre différentes. Adrénaline et dopamine se mélangeaient dans mon corps. La peur et l’excitation... la première renforçant la seconde.
— Vas-y Adil, fait la rentrer ! On va lui donner ce qu’elle veut la meuf, finit par lancer l’un d’eux.— Miskine ! Tu veux te faire « fonceder » toi !!!? On doit attendre Karim ! lui répondit un autre.
Qui était Karim ? Aucune idée... mais j’en déduisais qu’il devait plus ou moins être le chef de cette petite bande de cassos.
Privée de la vue, et les mains attachées sur le devant, je ne savais même pas à quoi ces gamins pouvaient bien ressembler. Pendant quelques minutes, je restai debout, à les écouter parler de moi et à discuter entre eux comme si je n’étais pas là. Je n’étais même pas sûr que Gaëtan soit encore présent, puisque je ne l’entendais pas. Mais je l’espérais...
— Wesh mon frère, tu vas bien ? lança une voix grave que je n’avais jamais entendue.
Cette voix virile, celle d’un homme plus mâture me sembla aussi plus autoritaire. Une fois de plus, j’étais transparente, pas un mot, pas un geste. Adil répondit chaleureusement à ce mystérieux nouvel arrivant. Je compris qu’il s’agissait de Karim.
— Et toi tu es le keum de la nympho, c’est bien ça. Zarma ! Tu es aussi ouf qu’elle pour accepter de la voir se faire défoncer dans une cave ! Vas-y fais la rentrer... reprit Karim en s’adressant à Gaëtan puis Adil.
Lorsqu’on me guida pour entrer dans la pièce encore plus sombre que le couloir, l’une des mains de Karim se posa avec fermeté sur ma fesse gauche peu vêtue. Il tâtait la marchandise. Un nouveau frisson parcourut tout mon corps...
— Elle a l’air chaude ta nympho, comment elle s’appelle déjà ? lança Karim.
Je n’avais pas prononcé un mot depuis dix minutes et personne ne m’avait parlé. J’étais leur jouet, un morceau de viande plus que baisable, rien de plus... et ça m’excitait toujours autant.
— Vas-y Adil, installe Alice à quatre pattes sur le matelas, demanda le chef.
Guidée avec douceur par les mains, je suivis le mouvement, toujours muette.
Par le dessous du bandeau qui couvrait mes yeux, j’entrevoyais à peine un matelas défoncé et posé à même sol. Il avait l’air sale et en m’installant dessus je découvris qu’il était également humide. Il puait le moisi !
Installé à quatre pattes sur les avant-bras, le cul en l’air, je sentis les mains de Karim remonter ma jupe courte sans la moindre délicatesse... tout en espérant que ma surprise lui plairait.
D’une main, il décala mon string pour découvrir ce qu’il dissimulait à peine...
— Wallah ! Elle est déjà toute mouillée et en plus elle a un truc dans le cul ta chienne ! s’exclama-t-il en découvrant mon plug préféré planté dans mon petit trou.
J’avais pris soin de le placer avant de partir. Non seulement je savais que ce joujou serait source d’excitation pour la petite bande de racailles, mais c’était aussi un moyen de préparer mon anus aux rugueuses visites qui l’attendaient probablement.
Écartant mon string un peu plus encore, Karim joua quelques secondes avec cet intrus qui occupait mon cul, sans pour autant le retirer. Mon cadeau sembla lui plaire.
Puis tout s’accéléra...
Mon string noir se retrouva en une fraction de seconde au niveau de mes genoux, avant que mon sexe vierge de tout contact ne s’élargisse brutalement. Karim venait d’enfoncer sa bite en moi sans aucune autre formalité.
Mon petit cri de surprise déclencha un rire gras de sa part. J’étais pourtant bien mouillée et sa queue était de taille normale, mais son entrée était bestiale.
Ses coups de reins se firent immédiatement puissants et dépourvus de la moindre douceur. Avec ses deux mains fermes, il agrippa mon cul pour l’écarter autant que possible. Il m’ouvrait en deux, sans doute pour mieux voir sa queue s’enfoncer en moi sans retenue.
— Putain, elle est serrée la salope... tu dois bien t’amuser, lança-t-il à l’attention de mon homme.
Je ne savais pas où était Gaëtan, puisqu’il ne lui répondit pas, mais il était toujours présent, et c’était suffisant pour moi.
Baisée comme une moins que rien par un petit chef de bande, je mouillai abondamment... Ses pénétrations profondes et rugueuses firent osciller le plug qui occupait toujours mon petit trou. La sensation était divine...
Cette première intrusion fut de courte durée, deux ou trois minutes maximum. Insuffisante pour me faire jouir, mais suffisante pour m’ouvrir l’appétit.
Karim se vida en moi sans même interrompre ses coups de boutoirs. Seul son râle bruyant m’indiqua qu’il venait d’éjaculer, avant qu’il ne se retire comme il était entré... d’un coup sec.
— Elle est bien chaude... faites-vous plaisir, défoncez-la les gars, c’est ce qu’elle attend. Gaëtan ne bouge pas... Je reviens, je vais te chercher un cadeau pour te remercier... lança-t-il aux quatre jeunes puis à mon homme.
Dans ce lieu dégueulasse, entouré de bourrins sans aucune classe, je commençais à prendre mon pied. En bonne petite chienne offerte dans une cave de HLM, j’allais enchaîner les bites ce soir-là. Et c’est bien ce qui m’excitait !
A peine Karim avait-il quitté la pièce qu’une main ferme me saisit par les cheveux pour me tirer vers le haut. Il faut dire que ma queue-de-cheval leur offrit une prise de premier choix.
Avec difficulté, les mains toujours entravées, je tentai de me redresser. Dans le même temps, une autre main se chargea de tirer sur mon joujou pour l’extraire sans préavis. Je n’eus même pas le temps de relâcher mon sphincter pour en faciliter la sortie, rendant douloureuse cette extraction maladroite.
— Bismillah ! Je vais la ken par derrière mon frère, lança un des jeunes, totalement euphorique.
En guise de préliminaire, je reçus un mollard visqueux entre les fesses.
— Lubrifiant naturel... pensai-je à cet instant.
Son sexe de taille réduite s’enfonça entièrement en moi sans grande résistance. Le plug m’avait bien préparé, mais j’étais presque déçue par la petitesse de son organe.
Généralement je ne prenais aucun plaisir à accueillir de très gros sexes dans mon cul, mais pour le coup, le sien était vraiment petit. Heureusement il me sodomisait comme un bourrin, m’offrant quand même quelques sensations.
Mes gémissements qui avaient fait leur apparition depuis peu étaient déjà interrompus par la queue qui venait d’entrer dans ma bouche. La racaille qui m’avait relevé par les cheveux avait posé sa bite sur mes lèvres, attendant que je les ouvre. Ce que je fis sans attendre.
Son gros gland sans prépuce m’offrit de toutes nouvelles sensations. Cette queue totalement lisse était agréable à sucer... et elle avait en plus l’avantage d’être propre. Je sentis les veines dilatées de son manche à chaque aller-retour. C’était mon premier homme circoncis... et ce fut une belle découverte.
— Elle suce comme ta mère ! balança l’homme qui occupait ma bouche à l’un de ses potes, déclenchant les rires des autres.
La petite bite qui s’activait dans mon cul ne parvint pas non plus à me faire jouir. En se retirant après avoir atteint l’orgasme, ce blaireau me claqua violemment les fesses à plusieurs reprises, heureux de son exploit. Je détestais les claques sur le cul, mais je savais qu’il était probable que j’en reçoive ce soir-là. Elles faisaient partie du folklore...
— Voilà ton cadeau. C’est une amie à moi et tu vas voir elle est douée. Elle te... lança Karim de retour.
J’avais du mal à suivre toute la discussion. Le jeune qui occupait ma bouche venait de m’installer sur lui pour me baiser, tandis qu’un autre lui demandait s’il était d’accord pour qu’il me prenne par le cul en même temps. Mon accord à moi en revanche n’avait aucun intérêt, j’étais leur "chose"... et c’était bien ce que je voulais.
J’en déduis que Karim venait d’offrir l’une de ses ex à mon homme en guise de remerciement... C’était sa "première pute", puisqu’il n’avait jamais pu concevoir l’idée de baiser avec une femme qui n’en aurait pas envie.
De mon côté, j’enchaînais les partenaires à un rythme de plus en plus soutenu... ces gamins ne tenaient plus en place. Le cul et la chatte remplis une première fois, ces deux nouvelles racailles m’offrirent une fantastique double pénétration.
A une seconde d’intervalle, les deux s’enfoncèrent presque simultanément en moi. Mon petit cri étouffé témoigna de la brutalité de leurs intrusions.
— Ta meuf est une vraie chienne, tu sais ! J’ai jamais vu ça..., réagit Karim d’une voix presque admirative.
Cette double pénétration me fit grimper au rideau en peu de temps. La queue de l’inconnu que je venais de sucer était large, du moins son gland l’était. Il frottait avec force sur les parois de mon vagin parfaitement huilé, tandis que la pression exercée par la deuxième queue qui s’activait en profondeur dans mon rectum décuplait mon plaisir.
J’atteignis l’orgasme en quelques secondes, celui-ci m’emportant sans crier gare.
Jambes tremblantes, je sentis tous les muscles de mon corps se raidir. Respiration bloquée quelques secondes, je laissai sortir un puissant cri de plaisir, alors que mes deux brutes poursuivaient leur œuvre, sans relâche.
Mais sur les quatre voix en plus de celle de Karim identifiée au départ, une manquait à l’appel. Toujours prise par le cul et la chatte, mon orgasme redescendit lentement...
— Putain je vais cracher ! informa l’un des participants sur ma gauche.
C’était le quatrième. Les yeux toujours bandés, sans savoir où cet homme se trouvait précisément, je tournai la tête en direction de sa voix. A peine ouvris-je la bouche au contact de son gland, qu’il se lâcha dans un puissant râle de satisfaction. J’avalai à la hâte le jus de cet inconnu qui devait se branler tout seul depuis le début. Une partie finit dans ma bouche, le reste sur mon menton et mes lèvres.
A bout de force, l’un après l’autre, les deux visiteurs qui me prenaient en double éjaculèrent en moi. Mon cul largement ouvert peinait à retenir les deux doses qu’il venait de recevoir à quelques minutes d’intervalles...
Poussée sans management sur le bord du matelas par celui que je chevauchais, je restai quelques instants allongée sur le côté, les cuisses collantes. Leurs rires et leurs bavardages étaient confus pour moi.
Le goût de ce jeune branleur en bouche, je tentais de reprendre mon souffle en profitant de l’instant, sourire aux lèvres.
Je venais de réaliser mon fantasme, et même si je n’avais joui qu’une fois, j’y avais pris beaucoup de plaisir...
Mais ce moment de calme ne fut que de courte durée.
Deux mains se saisirent de mes chevilles avant de m’entraîner sauvagement vers le milieu du matelas.
Allongée sur le dos mes deux jambes furent ouvertes de force et sans la moindre douceur...
Je compris à cet instant que ma tournante était loin d’être terminée... elle ne faisait que commencer.
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