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Dark Temptations

Chapitre 3

Alice se fait contrôler par la Police

Avec plusieurs hommes
Main dans la main, Gaëtan et moi remontions tranquillement les petites rues du vieux Lyon en direction de notre hôtel. Il était presque minuit en cette fin Août, et la température avoisinait encore les 22°C. Nous étions joyeux et détendus par la superbe soirée que nous venions de passer.
— Je suis trop contente d’avoir revu Nico ! Et puis sa femme est super sympa ! indiquai-je à mon homme.
Nous avions profité de notre long week-end en amoureux pour reprendre contact avec un ami perdu de vue dix ans plus tôt, lorsqu’il avait quitté notre région pour s’installer à Vénissieux.
Un bon restaurant et un bar sympa nous avaient permis de faire la connaissance de sa femme et de retrouver notre bon pote d’autre fois. Il n’avait guère changé, quelques rides en plus, mais il était toujours aussi drôle et sympathique.
Sans le moindre embarras, nous avions échangé pendant plusieurs heures comme si cette longue absence n’avait eu aucun effet sur notre amitié passée.
Joyeuse et bien éméchée… je sentais la troisième tournée de bière prise au bar peser de plus en plus fort sur ma vessie. En comptant celles consommées au restaurant, je devais en avoir ingurgité plus d’un litre et demi, en un peu plus de trois heures…
Je n’avais pas l’habitude d’en boire autant, et ma dernière « rousse » à 7° me faisait un peu tourner la tête. Une de plus et j’aurais été malade… à coup sûr.
— Il faut que je trouve un coin pour pisser… je ne tiendrais jamais jusqu’à l’hôtel, m’informa Gaëtan en m’entrainant dans une petite rue transversale et totalement déserte.— Oh moi aussi… je vais me pisser dessus… lui confirmai-je à mon tour en rigolant.
Comme deux ados alcoolisés, nous trouvions un petit coin entre deux poubelles pour soulager notre envie pressante.
— Vas-y la première, je surveille… me proposa Gaëtan.
Remontant ma petite robe d’été multicolore sur mes hanches, je descendis mon string sur mes cuisses sans perdre une seconde...
— Aaaaaah… ça fait trop du bien, lançai-je à mon homme en me libérant de ce poids, accroupie entre ces deux containers.
Le geyser long et bruyant qui s’écoula de mon sexe fit sourire mon homme qui m’observait du coin de l’œil…
— Tu vas inonder la rue mon cœur… se moqua-t-il à la vue de cette flaque de plus en plus grande.
Je finis par me redresser et remonter mon string maladroitement, avant de constater que mes pieds n’avaient pas totalement été épargnés. Mais le bonheur procuré par cette envie urgente me conduisit à ne pas y prêter grande attention.
Gaëtan qui avait déjà ouvert sa braguette pour gagner quelques précieuses secondes, pris ma place dans la foulée.
Sexe à la main, son jet tout aussi interminable que le miens sembla lui procurer une grande satisfaction. Comme un gamin, il jouait… arrosant dans toutes les directions. Comme une gamine je l’observais en riant…
— Bonjour. Police nationale, vos papiers ! exigea une voix peu commode dans notre dos.
Surprise, je me retournai à la hâte avant de découvrir quatre policiers en tenues, positionnés à un mètre de moi. Trois devaient avoir la trentaine, le dernier dix de plus, et ils ne semblaient pas du tout avoir envie de rigoler.
Gaétan remballa son matériel rapidement, avant de me rejoindre. De mon côté, un peu en panique, je cherchais déjà ma carte d’identité dans mon sac à main…
— Mes papiers sont restés à notre hôtel, mais c’est à cinq minutes d’ici si vous voulez, les informa Gaëtan avec assurance et d’une voix calme.
Son petit sourire, amusé par la situation, ne sembla pas plaire au plus âgé qui devait être le chef de ce petit groupe de policiers.
— Ça vous amuse Monsieur ? Vous savez ce que vous risquez tous les deux ? nous interrogea-t-il d’une voix cassante.— On ne faisait rien de mal, on avait juste une envie pressante… tenta de justifier mon homme toujours aussi calme.— Uriner sur la voie publique, c’est 135 euros. Et exhibition sexuelle c’est 1 an de prison et 15 000 euros. Ça vous fait toujours sourire Monsieur ? lui répondis sur un ton cinglant l’officier.
Gaëtan, bien qu’agacé, ne répondit pas. De mon côté je restai également muette… Même si je voyais bien que la situation pouvait rapidement dégénérer, l’alcool aidant, je trouvai celle-ci plutôt drôle.
A vrai dire, jusqu’à sa dernière intervention, je matai discrètement l’homme qui nous sermonnait. Un beau brun baraqué, comme l’était souvent les flics travaillant dans les brigades de nuit. Son polo blanc et son gilet tactique noir dessinaient parfaitement sa musculature… et renforçaient son petit côté "bad cop".
En regardant le tatouage qui occupait tout son bras gauche, sans même m’en rendre compte, je lui souris en mordillant ma lèvre inférieure. De son coté, l’air sérieux, il contrôlait ma pièce d’identité en s’aidant de sa torche.
Lorsqu’il croisa brièvement mon regard, son léger rictus me mis mal à l’aise. Il avait accompagné celui-ci d’un coup d’œil peu discret sur mes seins et sur mes cuisses peu vêtues. Un regard qui ne laissait pas le moindre doute… j’étais à son goût.
Tentant de ne pas aggraver la situation, je pris sur moi pour ne pas laisser transparaitre mon alcoolémie, même si j’avais le plus grand mal à rester immobile. Il faut dire que mes nus-pieds compensés me faisaient déjà souffrir et ne m’aidaient pas à rester stoïque...
— Vous avez consommé de l’alcool ? me demanda son collègue en me dévisageant des pieds à la tête.— Oui un peu, mais on rentre à pied… lui répondis-je en essayant d’arrondir les angles.
Le chef qui en avait après Gaëtan, lui demanda son identité complète, sa date de naissance et son lieu de résidence. Un autre flic, le plus jeune, prenait des notes.
Certes ce que nous avions fait n’était pas très malin, mais ils nous traitaient avec une froideur et une agressivité excessive à mon goût.
— Ils feraient bien de tirer un coup pour se détendre… pensai-je en les regardant à tour de rôle, les yeux brillants.
J’aurais bien proposé à Gaëtan de les inviter à nous raccompagner jusque dans la chambre d’hôtel, mais je n’étais pas sûr que mon homme eût apprécié la plaisanterie.
Le gradé finit par me rendre ma carte d’identité, avant de s’adresser au plus jeune des policiers.
— Tu vas avec monsieur jusqu’au véhicule pour le passer au fichier et tu lui fais un dépistage salivaire. On te rejoint après, on termine le contrôle avec madame, ordonna-t-il.— Écoutez, on s’excuse pour le désagrément mais je… tenta d’objecter Gaëtan.— Monsieur, vous suivez mon collègue. Sinon on va au poste et on verra tout ça après une bonne nuit en cellule de dégrisement, coupa sèchement le chef.
Mon homme s’agaçait de plus en plus de se contrôle absurde et interminable. Police ou pas, il n’aimait pas le ton employé par ce flic et n’avait pas l’habitude qu’on lui manque de respect aussi longtemps.
Moi, j’aimais bien son petit côté « je n’ai pas l’intention de me laisser faire », même s’il lui avait déjà valu quelques problèmes par le passé. Le voir se rebeller m’excitait… autant que ces quatre flics à vrai dire...
— Je suis complètement pétée pour penser ça… songeai-je intérieurement.
Je n’avais pas véritablement de fascination pour l’uniforme, mais quand celui qui le portait était beau-gosse, c’était un plus indéniable.
Gaëtan me jeta un regard rassurant, avant de partir avec le jeune flic en direction de leur véhicule hors de notre vue. Ils etaient probablement garés un peu plus loin.
— Avez-vous consommé de la drogue ou en avez-vous sur vous, Madame ? me demanda le chef.— Euh non pas du tout ! répondis-je a cette question absurde.— On va vérifier, tourner vous, m’ordonna-t-il après avoir jeté un bref regard à ses collègues.
Seule dans une petite ruelle, je compris que ce flic avait l’intention de me fouiller, alors même qu’il n’en avait pas le droit. J’avais beau être un peu bourrée, j’avais l’impression que ce contrôle était en train de déraper…
— Posez les mains, sur le mur et écartez les jambes Madame, m’ordonna-t-il.
Hésitante, je finis par m’exécuter.
— Sauf erreur de ma part, vous n’avez pas le droit… c’est une femme qui doit réaliser la fouille au corps, finis-je par objecter timidement.— On a tous les droits Madame, me répondit-il sur un ton glacial.
Ses mains se posèrent sur mes épaules, avant de descendre dans mon dos puis sur mes côtes. Les bouts de ses doigts effleurèrent un bref instant le bord de mes seins au travers de ma robe. Un contact déplacé… mais pas forcément désagréable.
La fouille se poursuivit jusqu’à ma taille, puis mes hanches. Les mains presque posées sur mes fesses, il me palpa avec insistance alors même que ma tenue ne permettait pas de cacher quoi que ce soit.
Silencieuse, je le laissai "se faire plaisir", considérant qu’il allait vite se rendre compte que je n’avais pas le moindre produit illégal sur moi.
— Gardez les jambes écartées Madame ! me reprit-il lorsque je pensais qu’il avait terminé.
Un genou à terre, son visage à quelques centimètres de mon postérieur, ses deux mains se posèrent sur ma cheville gauche, avant de remonter lentement. Une palpation aux airs de caresses cette fois-ci...
— Je rêve ou il s’amuse là ! Je suis en robe et je n’ai pas de collant… il veut que je cache quoi sur mes jambes ??? pensai-je sans rien dire.
Sa main droite, celle qui se trouvait à l’intérieur de ma jambe était déjà arrivée à mi-cuisse, mais continuait sa progression.
Elle s’arrêta au contact de mon string. Restant immobile un bref instant, il finit par changer de jambe pour reprendre les mêmes gestes sur la seconde.
Arrivé une nouvelle fois au niveau de mon sexe, c’était sa main gauche qui s’immobilisa cette fois-ci. Une main suffisamment enfoncée entre mes cuisses ouvertes, pour que son index soit posé sur mon string, au niveau de mes grandes lèvres et à moins d’un centimètre de mon clitoris.
En temps normal j’aurais violement réagi à cette fouille totalement déplacée. Mais pas ce soir-là… son petit jeu m’excitais clairement.
Avec un léger mouvement de phalange, il caressa l’entrée de mon sexe, sans doute dans l’attente de mes réactions.
Mon cœur s’accéléra brutalement. Sa palpation avait beau être scandaleusement inconvenante, je ne réagis pas… Il n’avait pas le droit de se comporter ainsi, mais une petite voix intérieure me murmura : « laisse-le faire… tu en as très envie ».
Je repensai à Gaëtan parti avec le quatrième policier et avançai légèrement mon bassin vers l’avant, éloignant ainsi mon postérieur de son visage quasi-collé et tentant de me libérer de ce doigt baladeur.
— Ne bougez pas Madame, je termine le contrôle… m’informa-t-il en gardant son doigt en place, mais en augmentant la pression de ce dernier sur ma vulve.
Arrêtant de réfléchir, je reculai mon bassin dans sa direction, me cambrant un peu plus encore que précédemment. J’aimais beaucoup son côté autoritaire et directif…
Alors que son autre main décala mon string sur le côté, son doigt s’enfonça en moi lentement, mais profondément.
— Mais… laissai-je échapper avant de m’interrompre.
Un deuxième doigt le rejoignit, m’offrant de délicieuses sensations. Écartant plus largement mes grandes lèvres, il entama d’exquis massages à l’intérieur de mon vagin les doigts légèrement repliés.
Implicitement, en restant cambrée dans sa direction, je venais de lui donner mon accord. J’aurais pu hurler « au viol », j’aurais pu tenter de me dégager… mais je n’en avais plus la moindre envie. Ce flic avait l’intention d’abuser de moi dans cette petite ruelle… et j’étais d’accord.
— Par sécurité, je crois qu’il faudra qu’on la contrôle chacun notre tour chef… lança son collègue sur un ton amusé.— C’est préférable en effet. Si elle est docile, on devrait pouvoir faire preuve de clémence pour elle et surtout pour son mari… n’est-ce pas Madame ? lui répondit le chef en s’adressant d’avantage à moi qu’à son subalterne.— C’est justement l’une de mes qualités… celle d’être docile… lui répondis-je un peu honteuse.
Sans un mot, il poursuivit ses caresses, augmentant leurs rythmes et leurs profondeurs.
Dès le début, j’avais eu très envie de me faire démonter par ses quatre flics et mon homme dans cette ruelle un peu sombre… Il n’en restait que trois, et j’étais décidée à m’en contenter de bon cœur...
— Et puis ce n’est pas de ma faute… ils sont trois et abusent de leur pouvoir… pensai-je avant de laisser échapper un premier soupire de plaisir.
Ses doigts épais glissaient avec force dans mon vagin. Il me branlait de manière virile… et c’était divin.
— Cambre toi bien… m’ordonna-t-il en commençant à retirer mon string.
Le cul a l’air, je levai une jambe, puis la deuxième, pour me libérer de ce petit bout de tissu humide. Le « ziiiip » de sa braguette m’informa qu’il était sur me point de me pénétrer. En une fraction de seconde, ma jupe remonta sur ma taille, offrant un accès complet à mon intimité.
Son sexe dans sa main gauche, sa main droite appuya sur le creux de mes reins pour m’incliner un peu plus encore. Son gland caressa brièvement ma vulve avant que sa queue ne s’enfonce en moi, d’un unique coup de bassin.
Mon gémissement qui accompagna son entrée, sembla le motiver pour entamer de rapide va-et-vient dans ma chatte déjà toute mouillée.
— Putain, elle est bien chaude… marmonna-t-il à voix basse.
Cette pénétration peu profonde et rapide n’en était pas moins orgasmique. Le lieu, le contexte, et ces policiers immoraux m’excitaient comme une dingue... Le plaisir montait rapidement et je tentais tant bien que mal de contenir mes vocalises, de peur d’attirer l’attention d’éventuels passants.
Apres seulement deux minutes d’allers-retours rapides, il éjacula en moi, dans un silence de cathédrale. Le gland à peine enfoncé de quelques centimètres, je sentis ses pulsations me remplir lentement.
Je n’avais pas joui… mais que c’était bon !
— Allez-y, et rapidement, son mari va finir par se poser des questions et par nous poser des problèmes… indiqua-t-il à ses hommes en se retirant.
Toujours en position, les deux mains sur le mur, jambes écartées et bassin en arrière, j’attendis le suivant.
Ma chatte n’avait pas encore eu le temps de finir de se vider, qu’un deuxième policier glissa déjà en elle. Sa bite, plus longue, s’enfonça presque entièrement et m’offrit encore plus de plaisir que celle de son chef.
Ce nouveau visiteur me baisa avec encore plus de force. Ses cuisses claquaient sur mes fesses, tandis que son gland tapait tout au fond de mon intimité. Une pénétration bestiale et délicieusement intenses.
Jambes tremblantes, j’atteignis l’orgasme en moins d’une minute. La mâchoire serrée, je couinais entre mes dents, laissant échapper de petits cris aigus à peine étouffées. Ne pas faire de bruit n’était pas simple au regard du plaisir qui était le miens.
Avec son pousse, l’intrus qui s’activait toujours dans mon vagin, se mit à caresser mon petit trou frénétiquement.
— Je crois que je vais finir dans son cul… nous informa-t-il le souffle court.
Bite à la main, il posa son gland sur mon anus après y avoir étalé un filet de bave à la hâte. Sans un mot, encore portée par l’orgasme qu’il venait de m’offrir, je le laissai s’inviter dans mon cul.
Ses quelques petits coups de bassin très courts, lui permirent de se frayer un chemin en quelques secondes seulement. Par chance, son sexe n’était pas particulièrement large, rendant cette pénétration légèrement inconfortable, mais indolore.
A peine était-il entré en moi, qu’il s’agrippa à ma taille avec force…
Figé en moi, mon petit trou encore crispé sur le pourtour de son gland me permit de profiter de l’instant dans les moindres détails. Ses gémissements accompagnèrent sa puissante éjaculation tandis que je profitai de chacune de ses saccades.
— Oh la vache… son cul est tellement serré que j’ai tenu moins de deux secondes… lança-t-il à ses collègues en se retirant une fois totalement vidé.
Déjà bien remplie par mes deux précédents visiteurs, le troisième prit place sans rechigner.
En tentant de me sodomiser à son tour, sa queue ripa en direction de ma chatte. Et ses quelques allers-retours furent fantastiques... Ce gland bien large qui surplombait sa bite plutôt étroite était délicieux  Une vraie queue en forme de champignon.
Se rendant compte de son erreur, il retenta sa chance rapidement. J’aurais clairement préféré qu’il continue de s’activer dans mon vagin détrempé… mais il en avait décidé autrement. Même si je redoutai que cette nouvelle intrusion dans mon cul ne me fasse souffrir, je décidai de le laisser faire.
Avec précaution, il se repositionna sur mon petit trou brulant, augmentant progressivement la pression sur celui-ci. D’un unique long mouvement, il finit par s’introduire, comme un bouchon un peu trop large pour le diamètre du goulot d’une bouteille finirait par entrer en force.
Me sentant me raidir à la suite de cette intrusion trop riche en sensations, il s’immobilisa une poignée de secondes. Le temps pour moi de me décontracter un peu, et de laisser la douleur se dissiper. Son gland était vraiment large...
Les longs et lents mouvements de va-et-vient qu’il débuta étaient d’une rare intensité… un plaisir rugueux. Sa fine queue coulissait sans résistance dans mon petit trou, tandis que son gros gland pataugeait allégrement dans les traces de son prédécesseur. J’avais toujours adoré cette sensation et cette idée… celle de voir les hommes se succéder et se mélanger en moi de manière totalement obscène.
Mon rectum s’emblait s’élargir toujours plus à chaque fois qu’il s’enfonçait d’avantage… me conduisant inéluctablement vers un deuxième orgasme bestial. Et puis l’angle de sa pénétration était juste parfait : le bout de sa queue frappait la partie supérieure de mon vagin au travers de la fine paroi qui la séparait de mon cul… Un extraordinaire massage du point G, par le cul, comme je les adorais !
Sa main qu’il glissa sur mon pubis avant de s’arrêter sur mon clitoris pour le caresser du bout des doigts finit de m’achever…
Mon corps traversé par les spasmes se raidit brutalement. Mon vagin pourtant inoccupé se contracta en cadence, avant qu’un long râle de plaisir ne finisse par s’échapper de ma gorge.
— Moins fort Madame… me dit à voix basse l’homme qui m’enculait sans retenu.
Mon occupant finit par jouir à son tour, étouffant ses propres cris dans sa gorge, lèvres serrées. Long et abondant, cette troisième vidange me sembla occuper tout l’espace vide à l’intérieur de mes entrailles.
Comme ses prédécesseurs, il se retira sans attendre, élargissant une dernière fois mon anus au passage de ce gland démesurément charnu.
— Merci madame pour votre coopération… On va en rester là pour ce soir. Bonne soirée à vous, m’informa le plus gradé.
La chatte humide et le cul rempli, je restai en position quelques secondes de plus. Ses trois flics m’avaient fait jouir avec force, et même si j’avais un peu honte de m’être laissée faire… j’avais adoré ce moment...
Alors que je tentais de reprendre mes esprits, j’entendis Gaëtan.
— Alice ? Eh oh ! Mon cœur ? me lança-t-il avec insistance.— Oui, excuse-moi ? lui répondis-je en sortant de mes pensées coquines.— Toi tu avais la tête ailleurs, tu nous écoutais plus ! Je te demandais, est-ce que tu reveux une coupe de champagne ? m’interrogea-t-il le regard amusé.
Tranquillement installé dans notre salon, nous passions la soirée avec Christophe, un pote à Gaëtan, Gendarme et plus particulièrement membre du PSIG de Nancy.
Nous venions de lui raconter notre week-end en amoureux à Lyon et lui avait commencé à nous raconter ses dernières interventions "musclées"… Gaëtan et lui pouvaient discuter pendant des heures de ce sujet. Moi je venais de laisser mon imagination divaguer en les écoutants d’une oreille distraite.
Christophe était beau gosse et son tatouage sur le bras gauche datait de son passage dans l’armée quelques années plus tôt. J’aurais bien proposé à mon homme de l’inviter à rester "dormir" chez nous, mais il n’en était pas question.
Son pote ignorait tout de nos petits jeux libertins, il était marié depuis deux ans à peine et papa d’une petite fille depuis un mois.
— Un jour peut-être… qui sait… pensai-je en lui souriant.
Mais en posant ma main sur la cuisse de mon mari installé à côté de moi, l’envie qui était la mienne à ce moment précis était tout autre. J’étais impatiente que notre invité rentre chez lui, pour que mon homme et moi puissions aller dans notre lit… le plus vite possible...
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