Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 134 J'aime
  • 14 Commentaires

David, jeune homme modèle

Chapitre 18

Procédure de licenciement

SM / Fétichisme
En regagnant son bureau, David éprouva une étrange sensation, source, à la fois, d’euphorie et d’anxiété. Les propos que Marie avait tenus la veille lui revenaient sans cesse en tête. L’une des cheffes de service allait être remplacée par Cassandra. Le jeune homme se demanda comment sa mère, fraîchement promue directrice de Fricounsulting par la force des choses, allait se débrouiller pour se débarrasser de Laure et, ainsi, donner un tremplin à la carrière de sa sœur.  Tout en rêvassant, il alluma son ordinateur et, après avoir ouvert sa session, consulta ses mails. N’y voyant aucune nouveauté, David se replongea dans ses réflexions. Il se passa environ une heure avant qu’il n’en fût tiré par la voix de Nathalie qui venait d’entrer dans le bureau.
— Bonjour David !— Bonjour Nathalie !— Tu m’as l’air un peu dans la lune… Vous avez bien fêté la promotion de ta mère, hier soir ?— Euh… non, pas vraiment. Hier a été une journée un peu étrange, avec les annonces de Valérie et la décision qu’elle a prise. Je dois dire que je n’ai pas encore réalisé le changement de direction. Et toi, tu n’es pas trop déçue de ne pas avoir été choisie ?— Non, pas vraiment. Au fait, je suis bien contente que ce soit ta maman qui ait gagné. Pour le peu que j’ai échangé avec elle, je la trouve sympa et très humaine. Certaines autres cheffes de service auraient déjà profité de cette position pour infliger Dieu seul sait quels sévices à tout le monde. — Tout le monde ? Même les femmes ?!— Oui, tout le monde. Valérie a toujours tenu à montrer que sa position de directrice la plaçait au-dessus de nous, les cheffes de services, qui sommes nous-mêmes au-dessus de nos employés. Il s’agit en quelque sorte d’une domination hiérarchique. Cependant, elle a toujours su être juste, d’où le fait qu’elle n’ait jamais sanctionné une cheffe de service. Au fait, si je suis venue te voir, c’est pour te parler d’autre chose que du concours d’hier.— De quoi est-ce qu’il s’agit ?— J’ai deux nouvelles à t’annoncer. La première est que j’ai reçu des nouvelles de Franck. Il a pu se remettre de son accident et il devrait revenir demain. J’en ai informé ta mère.— Cela signifie que je devrai retourner au services Finances ?— Pas vraiment. J’en viens à la seconde nouvelle : ta mère a prévu un poste spécial pour toi. Elle ne m’en a pas dit plus car elle souhaite t’en parler elle-même. Comme je n’ai pas de tâches à te confier aujourd’hui, je pense que tu peux déjà monter la voir pour qu’elle t’explique ce qu’elle a prévu pour toi. Je voulais aussi te dire un grand merci pour le travail que tu as accompli ici et pour les bons moments que nous avons passés tous les deux.— Merci à toi, Nathalie. Sur ce, je vais aller voir ma mère.  David prit l’ascenseur pour se rendre au dernier étage, où se trouvait désormais le bureau de Marie. Le jeune homme frappa à la porte et la voix de sa mère lui répondit d’entrer.  — Bonjour, mon chéri ! Assieds-toi seulement ! Nathalie t’a expliqué la situation ?— Elle m’a juste dit que Franck devrait revenir demain et que tu avais prévu quelque chose pour moi.— C’est exact. Tu te souviens qu’hier, j’ai exprimé le souhait que nous dirigions cette entreprise en famille ?— Oui.— Eh bien, la première étape de la réalisation de ce projet est le fait qu’à partir de maintenant, tu seras mon co-directeur.— Ton co-directeur ?! Mais ça ne passera jamais auprès autres employés ! Et je ne parle même pas des cheffes de service.
— Ne t’inquiète pas : j’ai trouvé une parade toute simple. Officieusement, tu seras mon co-directeur. Officiellement, tu seras mon assistant de direction. Comme elles te connaîtront sous cette qualification, les cheffes de service penseront que tu es devenu mon employé et soumis personnel. Au moment opportun, je leur ferai connaître la vérité et je pourrai lancer la réforme que j’ai prévue.— Une réforme ?— Je ne peux pas t’en dire plus pour l’instant. J’attends d’avoir des arguments solides pour les utiliser le moment venu.— D’accord. Et, du coup, quelles tâches est-ce que j’aurai à assumer ?— Tu vas en avoir une, maintenant.  Marie se saisit du combiné posé sur son bureau et composa un numéro. Une interlocutrice décrocha après la deuxième sonnerie.
— Mademoiselle Ruffieux ? Pourriez-vous venir dans mon bureau ? J’aimerais m’entretenir de quelque chose avec vous.— Comme vous voudrez, Madame la Directrice.
Le ton sur lequel Laure avait prononcé ces trois derniers mots firent sourire Marie et David. En effet, il était évident que l’avocate n’était pas enchantée du résultat de la veille. L’avocate frappa à la porte et Marie lui répondit d’entrer.
— Asseyez-vous. La raison pour laquelle je vous ai fait venir est que je viens d’avoir accès à votre dossier. Il y est notamment spécifié les méthodes que vous aimez appliquer pour sanctionner vos employés. Après analyse de ces éléments, je dois vous informer que vos méthodes n’ont absolument aucune valeur éducative pour nos collaborateurs. — Mes méthodes n’ont jamais posé de problème, jusqu’ici. Pourquoi le deviendraient-elles, maintenant ?— Madame Wicht était peut-être plus tolérante vis-à-vis de cela mais ce n’est pas mon cas. Ensuite, en consultant les récentes procédures judiciaires, j’ai remarqué que nous avons perdu nos trois derniers procès, ce qui nous a condamnés à verser des sommes astronomiques à nos adversaires et entaché notre réputation. Je n’irai pas par quatre chemins, Mademoiselle Ruffieux : à partir de cet instant, vous êtes démise, avec effet immédiat, de vos fonctions de cheffe du service juridique. Cette décision est irrévocable. David va vous accompagner jusqu’à votre ancien bureau pour la suite de la procédure. J’ajoute également que, lorsque vous aurez quitté ces locaux, il vous sera formellement défendu d’entrer en contact avec quiconque travaille ici. Vous pouvez disposer.
Sous le choc de cette révélation, la bouche de Laure s’ouvrit mais aucun son n’en sortit. Comme Marie le lui avait indiqué, David escorta l’avocate jusqu’à son bureau. Ce qu’ils y trouvèrent en poussant la porte les figea de surprise. Entièrement nus, l’employé du service juridique et Cassandra semblaient les attendre de pied ferme. En voyant le gode-ceinture dont sa sœur s’était équipée, le jeune homme ne devina que trop bien comment allait se dérouler la suite de la procédure. L’effet de surprise passé, Laure finit par sortir de ses gonds.
— Qu’est-ce que c’est que ce cirque ?! Alphonse, rhabillez-vous et retournez travailler ! Tout de suite !— Dois-je vous rappeler que vous venez d’être licenciée, Laure ? Dorénavant, c’est moi qui dirigerai ce service. De ce fait, cet employé sera sous ma seule autorité. — Vous n’êtes qu’une misérable pistonnée, Mademoiselle Clément ! Laissez-moi faire mes cartons et m’en aller de cette entreprise pourrie jusqu’à la moelle !— C’est ce que vous ferez… Après que nous vous ayons tous les trois dit au revoir. Déshabillez-vous.— Si vous croyez que je vais obéir aux ordres d’une misérable pimbêche dans votre genre…— Peut-être préféreriez-vous subir une correction de la part de notre directrice pour insubordination ? J’ai beaucoup de travail qui m’attend alors dépêchez-vous.
Face à cet argument, Laure ne trouva rien à rétorquer et dut s’avouer vaincue. L’avocate se dévêtit intégralement. Cassandra fit signe à David d’en faire de même. Lorsque son ancienne supérieure fut nue, la jeune femme se saisit d’un sac à dos posé à proximité du bureau et le mit sur le dos de Laure.
— Afin que vous compreniez la souffrance que vous avez causée avec vos méthodes moyenâgeuses, vous allez vous-même les expérimenter tout en vous rachetant auprès des trois personnes que vous avez le plus fait souffrir par vos actes et votre comportement. Mettez-vous à quatre pattes !  Laure obtempéra. Le poids du sac lui donna beaucoup de peine pour adopter la posture exigée. La teinte écarlate que prit son visage fit rire Cassandra.
— C’est lourd, n’est-ce pas ? Ne vous inquiétez pas : je ne vais pas vous demander de faire des pompes ou des abdos. Vous allez vous contenter de recevoir. David, donne-lui ta queue à sucer. Alphonse, défonce-lui bien la chatte et le cul !
Les deux hommes se placèrent de part et d’autre de l’avocate, comme le leur avait indiqué la jeune femme. Tandis que son collègue s’évertuait à donner de puissants coups de reins après s’être enfoncé jusqu’à la garde dans l’intimité de Laure, David la laissa faire coulisser ses lèvres le long de sa hampe. De son côté, Cassandra les observa, assise sur le bureau, tout en jouant avec son sextoy.  Pendant plusieurs minutes, Alphonse se démena pour alterner entre le sexe et le petit trou de l’avocate tout en maintenant la force et la vitesse de ses mouvements. David, lui, avait décidé de prendre les choses en main. Tenant à deux mains le crâne de Laure, il allait et venait dans sa bouche, l’étouffant presque avec sa verge. Cassandra finit par les faire échanger leurs places. Tout comme son collègue avant lui, David réalisa de violents va-et-vient dans l’intimité et le fondement de celle qui l’avait fait souffrir à deux reprises. À ce rythme, il ne fallut que quelques minutes aux deux hommes pour se sentir sur le point de jouir. Devinant leur situation, Cassandra intervint à une ultime reprise.
— Couchez-la sur le dos et remplissez-lui bien la bouche !
David et Alphonse obéirent et éjaculèrent à tour de rôle dans la bouche de Laure qui afficha une mine de dégoût après avoir avalé leur semence. Cassandra se leva du bureau et se dirigea vers son ancienne supérieure en la fixant d’un air moqueur.
— Vous en avez déjà assez ? Ce n’est que le début. C’est à moi de m’amuser avec vous, maintenant. Alphonse, amène-moi une chaise.
L’employé obtempéra et déposa la chaise à côté de Cassandra. Celle-ci s’assit et ordonna à Laure de venir s’empaler sur son sexe factice. Rouge de honte, l’avocate obéit et s’assit lentement sur le gode-ceinture de Cassandra. Dès que son engin se fut enfoncé dans son intégralité dans l’intimité de son ancienne supérieure, la jeune femme lui saisit les hanches et la fit aller et venir sur elle dans un mouvement d’ascenseur. Au fil du temps, le rythme et la puissance du mouvement s’intensifièrent et Cassandra ne libéra Laure que lorsqu’elle fut complètement épuisée par son effort.
— Dans ma grande bonté, j’ai déjà fait vos cartons, Laure. Il ne vous reste plus qu’à les rassembler et à quitter ce bureau.
Après s’être rhabillée prestement, l’avocate s’empara de ces cartons et quitta le bureau sans demander son reste. Cassandra alla consulter ses mails. Un sourire ravi s’afficha sur son visage.  — C’est officiel ! Maman vient d’envoyer un mail à tout le monde pour dire que Laure a quitté ses fonctions pour des raisons personnelles et que je la remplace en tant que cheffe du service juridique.— Félicitations !— Merci, David. Maintenant, rhabille-toi et va-t’en. Je dois m’entretenir avec mon employé.
David se revêtit et quitta le bureau en fermant la porte. Alors qu’il allait regagner le dernier étage pour s’enquérir auprès de Marie d’une éventuelle tâche à réaliser, le jeune homme crut entendre un gémissement provenant de la pièce dont il venait de sortir. En collant son oreille contre la porte, il identifia le feulement comme exprimant le plaisir charnel. Dans un élan de curiosité, il entrouvrit la porte. Dans le bureau, Alphonse était désormais occupé à prodiguer un cunnilingus à Cassandra. En souriant, David referma la porte et poursuivit son chemin en se disant que sa sœur n’avait pas perdu de temps pour jouer de son autorité.
Diffuse en direct !
Regarder son live