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David, jeune homme modèle

Chapitre 20

Recrutements

SM / Fétichisme
Environ deux mois après la réforme du système hiérarchique lancée par Marie, les recrutements des nouveaux collaborateurs étaient déjà terminés pour les services ayant pu initier le processus. De leur côté, Marie et David venaient tout juste d’achever le cahier des charges des futurs chefs de service et devaient chacun mener un entretien dans le courant de la journée.  Le hasard du calendrier voulut que ce fût David qui rencontra le premier la candidate qu’il avait retenue pour le poste de cheffe de service de l’Administration. Vers dix heures, un employé frappa à la porte de son bureau.  — Entrez !
La porte s’ouvrit, livrant passage à une femme dans la trentaine. En observant son teint mat et ses longs cheveux couleur charbon, le jeune homme en déduisit qu’elle devait être d’origine maghrébine.  — Merci, Grégory. Tu peux disposer.  L’employé referma la porte. David invita la candidate à prendre place en face de lui.  — Tout d’abord, merci à vous de vous être déplacée jusqu’ici. Vous avez postulé pour le poste de cheffe de service au sein de notre département Administration et votre dossier a attiré notre attention. Cet entretien se déroulera en trois phases : en premier lieu, je vous poserai quelques questions. Ensuite, vous pourrez me poser les vôtres, si vous en avez, et, pour finir, nous ferons des mises en situation. Est-ce que cela vous convient ?— Oui, tout à fait.— Très bien. Dans ce cas, parlez-moi un peu de vous.— Je m’appelle Samira Abdul, j’ai trente-cinq ans. J’ai achevé un master en gestion d’entreprise il y a un peu moins d’une dizaine d’années et j’ai eu l’occasion de diriger différents services dans différentes entreprises. Je précise que les contrats étaient tous de durée déterminée. — Très bien. Comment vous vous définiriez en tant que cheffe ?— Je suis quelqu’un de plutôt calme. J’aime analyser la situation avant de prendre une décision. — D’accord. Avez-vous rencontré des problèmes d’autorité avec les employés placés sous vos ordres ?— Non, aucun. J’aimerais ajouter que je suis une cheffe qui fonctionne à la carotte et au bâton.— Intéressant. Pouvez-vous me dire à quoi correspondaient la carotte et le bâton durant vos précédentes expériences professionnelles ?— Etant donné qu’il y avait un système de bonus que je pouvais décider d’octroyer ou non, la carotte correspondait à un bonus pour un travail bien fait. Le bâton était une mauvaise évaluation de ma part.— Ici aussi, nous utilisons la carotte et le bâton. À la différence près que ces notions sont… plus physiques. Si vous voyez ce que je veux dire…— Je crois comprendre. — Cela vous dérangerait-il ?
— Non, pas du tout. Je suis ouverte à toute pratique professionnelle, même les moins conventionnelles.— Excellent. Dans ce cas, nous allons pouvoir passer aux mises en situation. À moins que vous n’ayez des questions à me poser au sujet du poste.— Aucune question pour l’instant.— Très bien. Première situation : vous êtes cheffe de service et moi votre employé. J’ai complètement bâclé mon travail et vous souhaitez me sanctionner pour cela. Comment vous y prendriez-vous ? Parlez et agissez comme si vous étiez la cheffe de service. J’exécuterai les instructions que vous me donnerez.— Mets-toi à poil.
Impressionné par le ton autoritaire employé par Samira, David s’exécuta. Prenant son rôle à cœur, la candidate poursuivit sur sa lancée.
— À genoux !
Le jeune homme adopta la posture exigée et fut surpris de recevoir une première claque de la part de Samira. L’effet de surprise passé, il encaissa encore quelques gifles, tout aussi puissantes que la première. La candidate se dévêtit à son tour. David fut rapidement séduit par sa poitrine volumineuse et son intimité laissée au naturel. Il n’eut pas le temps de la détailler davantage. Se saisissant à deux mains de son crâne, Samira plaqua son visage contre son sexe, le forçant à lui prodiguer un cunnilingus. Jouant son rôle d’employé servile, il s’appliqua à faire jouer sa langue sur les lèvres intimes de la candidate en prenant soin de titiller son clitoris. Samira finit par jouir abondamment dans sa bouche et David décida d’en finir là avec la première mise en situation.
— Voilà pour la première situation. Seconde situation : vous êtes toujours cheffe de service et moi toujours votre employé. Cette fois, j’ai particulièrement bien fait mon travail et vous souhaitez me récompenser. Comment vous y prendriez-vous ? Comme tout à l’heure, parlez et agissez en cheffe de service.— Tu as accompli un super travail. Je pense que cela mérite une récompense.
Samira s’agenouilla devant David et prit son sexe en bouche. Les lents coulissements de lèvres plongèrent le jeune homme dans un état d’extase. Savourant la sensation procurée par la fellation, il décida de laisser la candidate aller au bout de son œuvre. Après quelques minutes, il sentit qu’il allait jouir. Il en informa Samira qui fit ressortir sa verge de sa bouche et le laissa répandre sa semence sur ses seins.
— Votre sens de la carotte et du bâton est excellent, Mademoiselle Abdul. Je n’ai qu’une chose à dire : bienvenue parmi nous !— Merci, Monsieur Clément.— Nous pouvons nous tutoyer et nous appeler par nos prénoms. Ton bureau se trouve au rez-de-chaussée. Je te laisse le soin d’aller te présenter à Albert qui dirigera le service avec toi. Il a hâte de commencer le recrutement des employés.— Très bien. J’y vais de ce pas. Merci, David.  Samira se rhabilla et quitta le bureau du jeune homme. David eut tout juste le temps de retrouver ses vêtements avant que Marie ne fît irruption dans la pièce.
— Alors, comment ça s’est passé ?— Très bien. Samira a toutes les qualités pour occuper le poste. Je viens de le lui donner et elle est allée faire connaissance avec Albert.— Parfait. Mon rendez-vous va bientôt commencer. J’aimerais que tu y assistes en qualité d’observateur. — Comme tu veux, maman.
Mère et fils s’installèrent dans le bureau de Marie et attendirent l’arrivée du candidat retenu pour l’entretien en lien avec le poste de chef de service des finances. Une employée frappa à la porte du bureau.
— Entrez !  La porte s’ouvrit, livrant passage à un homme d’environ une quarantaine d’années, à la peau sombre qui contrastait particulièrement avec la lumière de son regard. David fut impressionné par la grande taille du candidat. Marie invita ce dernier à prendre place en face d’eux.  — Bonjour, Monsieur Mbono. Tout d’abord, merci à vous de vous être déplacé jusqu’ici. Permettez-moi de vous présenter mon fils et co-directeur, David, qui aura une fonction d’observateur durant notre entretien.— Enchanté.
Le sourire qui accompagnait cette politesse plut à David. Marie poursuivit l’entretien.
— L’entretien se déroulera en trois phases : durant la première phase, je vous poserai quelques questions sur votre parcours et votre personnalité. Dans la deuxième phase, vous pourrez me poser vos questions si vous en avez. Pour finir, nous réaliserons quelques jeux de rôles afin de tester vos idées et compétences pour le poste de chef de service du département Finances. Cela vous convient-il, Monsieur Mbono ?— Oui, tout à fait.— Très bien. Pourriez-vous vous présenter et me décrire votre parcours en quelques mots ?— Je m’appelle Laurent Mbono. J’ai quarante-et-un ans et j’ai travaillé dans la comptabilité de plusieurs grandes entreprises du canton de Fribourg.— Cependant, vous n’avez jamais dirigé de service, à en croire ce que j’ai pu lire sur votre CV.— Mes certificats ne le mentionnent pas, mais j’ai réalisé un remplacement de la cheffe de la comptabilité pendant son congé maternité. — Finalement, vous avez quand même un peu d’expérience dans la conduite d’équipe. Durant ce remplacement que vous avez fait, avez-vous appliqué les idées de la personne que vous remplaciez ou en avez-vous profité pour diriger selon vos idées et convictions ?— Pour être honnête, un peu les deux. Dans les grandes lignes, j’ai adopté le même style que la titulaire mais j’ai également pris l’initiative d’apporter quelques changements utiles pour la bonne marche et l’efficacité du service, notamment en améliorant certains processus.— Très bien. Pouvez-vous me dire en quelques mots comment vous vous voyez en tant que chef ?— Je suis à l’écoute de mes employés. Si l’un d’eux vient vers moi pour me dire qu’il n’a pas les connaissances ou l’expérience nécessaire pour réaliser une tâche dans le délai que je lui ai imparti, je discute avec lui en essayant de trouver une solution. En revanche, si mes employés tentent d’effectuer une tâche qui dépasse leurs compétences et la bâclent complètement, je suis capable de sanctionner ce genre d’écarts très sévèrement.— C’est-à-dire ?— Il m’arrivait de ne confier à un employé ayant mal fait son travail que les tâches les plus désagréables ou peu intéressantes, comme par exemple, le contrôle du papier dans l’imprimante, faire les copies des différents dossiers traités par les collègues.— Je vois. Et vous arrivait-il de récompenser un employé ayant bien fait son travail ?— Oui. Peu avant que je ne termine mon remplacement, les employés que j’avais à gérer ont traité un nombre conséquent de dossiers de manière correcte et en un temps record. J’ai donc décidé de leur offrir à chacun un bon pour aller manger dans le restaurant de leur choix.— Ils en ont eu de la chance, ces employés ! D’après ce que vous m’avez expliqué jusqu’ici, vous êtes plutôt du genre à manier la carotte et le bâton. C’est une qualité essentielle pour travailler ici en tant que chef de service. Cependant, ces notions de carotte et de bâton relèvent ici d’une dimension plus… physique.— Physique ? Vous voulez dire…— C’est bien de cela qu’il s’agit, Monsieur Mbono. Sachant cela, êtes-vous toujours intéressé à collaborer avec nous ?
L’homme sembla réfléchir quelques instants. Après avoir pris une grande inspiration et s’être raclé la gorge, il demanda à Marie s’il pouvait lui poser une question. Celle-ci l’y autorisa.
— Si je comprends bien, j’aurai, en quelque sorte, une relation dominant-dominé avec l’ensemble des employés du service ? Relation dans laquelle je serai le dominant ?— Effectivement, il s’agit d’une relation dominant-dominé entre un chef de service et son employé. Cependant, chaque service est dirigé par un homme et une femme. L’homme pourra disposer comme bon lui semble des employées féminines du service. La femme, elle, pourra en faire de même avec les employés masculins. — Les deux chefs de service sont donc sur un pied d’égalité ?— Exactement. — Très bien, merci. Je n’ai plus de questions.— En revanche, vous n’avez pas encore répondu à la dernière que je vous ai posée : êtes-vous toujours intéressé à collaborer avec nous ?— Oui.— Parfait. Dans ce cas, nous pouvons continuer avec les mises en situation. Première situation : vous êtes chef de service du département Finances et moi, votre employée. Vous constatez que j’ai mal fait mon travail en passant de mauvaises écritures dans la comptabilité d’une entreprise cliente et vous souhaitez me punir. Comment vous y prendriez-vous ? Parlez et agissez comme un chef de service.— D’accord… Madame Clément ! Je viens de consulter le dossier de cette entreprise et j’ai pu remarqué que vous avez systématiquement inversé les comptes touchés au débit et au crédit dans chaque écriture que vous avez passée. Vous nous faites perdre du temps inutilement !— Je suis désolée, Monsieur Mbono. Je vais corriger mes erreurs. Je vous promets qu’elles ne se reproduiront plus.— Oui, vous allez corriger vos erreurs ! Il ne manquerait plus que ça, que ce soit quelqu’un d’autre qui s’en charge ! Mais avant, je vais vous inculquer l’envie de faire votre travail correctement. Déshabillez-vous ! Tout de suite !
Marie s’exécuta et, se prenant dans son rôle, baissa les yeux dans une attitude de soumission.  — À quatre pattes sur le bureau, Madame Clément !
Marie obtempéra. David dut se reculer pour permettre à sa mère d’occuper l’espace indiqué sans être gênée. Laurent Mbono s’approcha de la directrice et lui donna une première claque sur les fesses. La force du coup fit sursauter Marie et surprit David. Le candidat enchaîna avec plusieurs autres coups tout aussi puissants avant de s’arrêter.
— Rien de tel qu’une bonne fessée pour remettre au pas les gourdes dans votre genre, Madame Clément ! Maintenant, retournez au travail et dépêchez-vous de me corriger ces erreurs !— Voilà pour cette première situation. Maintenant, deuxième situation : vous êtes toujours le chef de service et moi, toujours votre employée. Cette fois, j’ai particulièrement bien fait mon travail et vous souhaitez me récompenser. Comment allez-vous vous y prendre. Même principe que tout à l’heure, parlez et agissez comme un chef de service.— Vous vous demandez pourquoi je vous ai fait venir dans mon bureau, Madame Clément ?— Oui, Monsieur.— J’ai constaté avec plaisir que vous avez bouclé les comptes de plusieurs dizaines de dossiers en seulement trois jours. Vous n’avez certainement pas ménagé votre peine. Je pense qu’une telle performance mérite que vous vous accordiez un peu de bon temps.— Que voulez-vous dire ?— Maintenant que je vous vois nue, je ne peux que m’apercevoir que vous disposez d’un fessier magnifique. Il me donne très envie.
Sur ces mots, le candidat baissa son pantalon et son caleçon jusqu’à ses pieds, révélant au regard de Marie une verge de taille et de largeur impressionnantes.
— Merci, Monsieur Mbono, mais je crains fort ne pas pouvoir recevoir un tel morceau en moi.— Ne vous inquiétez pas, Madame Clément. Goûtez-y d’abord avec vos lèvres et tout se passera bien pour la suite. Je peux vous l’assurer.
Marie s’agenouilla devant Laurent et commença à faire coulisser ses lèvres le long de sa hampe tout en lui massant les bourses. Le candidat la laissa faire durant quelques instants puis, après avoir fait sortir sa verge de la bouche de Marie, il demanda à cette dernière de se positionner à quatre pattes sur le sol. Marie obtempéra et Laurent s’enfonça d’une seule poussée dans ses chairs intimes. Les coups de reins se firent rapides et puissants, tant et si bien que le son des bourses du candidat butant contre le fessier de Marie résonnait dans toute la pièce. Au bout de quelques minutes, Laurent se retira et recommença la manœuvre en introduisant, cette fois, sa verge dans le fondement de la directrice. Dès les premiers va-et-vient, Marie gémit de plaisir et encouragea le candidat à continuer. Celui-ci put tenir le rythme pendant quelque temps avant de se retirer et de jouir abondamment sur le postérieur de Marie.  — Voilà qui est fait pour cette seconde mise en situation. Je n’ai qu’une seule chose à vous dire, Monsieur Mbono : soyez le bienvenu parmi nous !— Merci, Madame Clément.— Je propose que nous nous tutoyions, maintenant que vous faites partie de cette entreprise. Appelez-moi Marie.— Très bien, Marie. — Avant que tu ne te rendes à ton bureau qui se trouve à l’étage en-dessous pour rencontrer ta co-cheffe de service et commencer le recrutement des employés, j’aimerais te poser une dernière question. Tu n’es pas obligé d’y répondre si cela te gêne.— Je t’écoute.— Est-ce que tu es marié ?— Non, je suis divorcé depuis deux ans, avec deux fils de dix-huit et vingt ans à ma charge.— Dans ce cas, je me sentirai moins coupable si, à l’avenir, je goûte à nouveau à ce merveilleux outil dont tu disposes entre tes cuisses. — Je suis flatté, Marie.
Laurent se rhabilla et quitta le bureau pour gagner son nouveau poste. En souriant, David taquina sa mère.
— On peut dire que tu ne perds pas de temps, quand il s’agit de draguer.— Entre toi qui es en couple avec Lisa et ta sœur qui couche régulièrement avec Alphonse, il fallait bien que je me trouve un compagnon, moi aussi.
Devant l’air surpris de David, Marie sourit à son tour.
— Tu ne savais pas pour Cassandra ?— Euh… Non. — C’est vrai que, pour ce genre de chose, il est normal qu’une fille se confie plus facilement à sa mère. Sur ce, remettons-nous au travail : il y a beaucoup à faire aujourd’hui.
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