Durant tout le mois de janvier, David prit en main la formation d’une employée aux services personnels. En consultant les calendriers Outlook de l’entreprise, il s’aperçut qu’il y était fait mention de la Journée des Femmes le 8 mars. Ce détail, en apparence anodin, lui donna une idée. En y réfléchissant, le jeune homme se dit qu’il valait mieux avoir terminé les formations avant cette date afin de pouvoir fêter, à la fois, la Journée des Femmes et l’ouverture officielle de son service.Constatant qu’il ne pouvait respecter cette échéance en suivant le programme de formation initial, il envoya un mail à Samira et Cécile en leur demandant si elles étaient d’accord que leurs deux employés, Marc et Nolan, suivissent la formation en même temps, au mois de février. Les deux cheffes de services ne tardèrent pas à approuver la proposition.Au début du troisième mois de l’année, David termina les formations qu’il avait à dispenser. Son idée inspirée par la Journée des Femmes ne l’ayant pas quitté, le jeune homme envoya une invitation Outlook à l’ensemble des cheffes de service et des collaboratrices en leur expliquant qu’il avait prévu quelque chose de spécial à l’occasion du 8 mars, sans leur donner davantage de détails. Il leur indiqua seulement de se présenter à la cave si elles étaient intéressées. Une fois l’information transmise, une pluie de mails inonda la boîte de réception de David. À l’exception de Cassandra et Marie, toutes les femmes avaient accepté son invitation. Le refus de participation de sa mère et de sa sœur le surprit dans un premier temps puis il finit par comprendre les raisons qui les avaient poussées à prendre cette décision. Lisa étant en congé maternité, cela allait le laisser seul face à onze femmes. En faisant ce constat, il se demanda s’il ne s’était pas un peu trop emballé. Il se dit cependant qu’en cas d’échec, il n’allait pas renouveler l’expérience.La Journée des Femmes arriva finalement. Comme il le leur avait indiqué, le jeune homme se rendit dans la cave où il avait formé les employés aux tâches de son service. Ayant pris soin de venir avec un peu d’avance au rendez-vous, David eut le temps de se dévêtir intégralement avant de patienter jusqu’à l’arrivée de ses invitées. Samira et Cécile furent les premières arrivées. En le voyant nu, les deux cheffes de service furent d’abord surprises puis affichèrent un large sourire en essayant de s’imaginer ce qu’il leur proposait. Nathalie et Justine firent ensuite leur apparition, suivies par les collaboratrices des différents services. David lut l’impatience sur tous les visages. — Mesdames, Mesdemoiselles, aujourd’hui est une journée particulière pour vous et pour toutes les femmes de la planète. C’est une journée qui mérite d’être fêtée et plus particulièrement ici. C’est pourquoi j’ai décidé de vous convier dans cette cave pour inaugurer les services personnels dont je serai désormais le chef et pour passer avec vous cette journée si particulière en me mettant pleinement et sans conditions à votre disposition. Les onze femmes applaudirent à l’unisson cette allocution. Nathalie ne put s’empêcher de faire une remarque bien à elle pour amuser la galerie.— En tout cas, tu m’as l’air tout aussi impatient que nous de commencer.Comprenant l’allusion au sexe en érection de David, cheffes de services et collaboratrices rirent de bon cœur. Samira décida de lancer les festivités. — Il va falloir abaisser ton engin parce qu’il ne te servira à rien, ici. La requête, très claire, poussa David à se masturber frénétiquement sous les regards hilares des onze femmes. Plus excité que gêné par la situation, le jeune homme finit par éjaculer sur le sol dans un râle de plaisir. Cécile décida de prendre le relais de Samira. — Maintenant que ta queue est redevenue toute petite, il y a un peu de nettoyage à faire. Il ne faudrait pas que l’une de nous marche là-dedans par inadvertance.David se positionna à quatre pattes et s’appliqua à débarrasser le sol de toute trace de sa semence sous les rires et les railleries de ses invitées. Ce fut au tour de Justine de faire une suggestion.— Le sol est propre mais il faudrait limiter les risques qu’il soit sali à nouveau. Je crois qu’il serait judicieux d’enfermer le petit oiseau pendant quelque temps.— Bonne idée !
— Et si nous faisions un peu travailler nos employées, les filles ?Nathalie, Samira et Cécile approuvèrent l’idée de Justine. S’adressant aux collaboratrices, la DRH leur demanda laquelle d’entre elles voulait avoir l’honneur de mettre le sexe de David en cage. Plusieurs filles levèrent la main. Après une brève concertation avec ses collègues, Justine arrêta son choix. — Allez, Diana, à toi l’honneur. En souriant, l’employée du service Juridique s’empara d’une cage de chasteté et y enferma la verge de David, sous les applaudissements des cheffes de services et de ses collègues. Du regard, Cécile interrogea ses collègues et les collaboratrices. — On entre directement dans le vif du sujet ou on prend notre temps ?— Nous ne sommes pas pressées, Cécile. Pourquoi ne pas profiter de tous les talents de notre soumis. La Journée des Femmes, ce n’est pas tous les jours.— Bien vu, Nathalie. Du coup, on se met à l’aise, nous aussi ?— Bien sûr, Samira. En voyant les onze femmes se déshabiller et exposer à leurs corps à ses yeux ravis, David maudit la cage qui empêchait sa verge de grandir et de leur montrer le désir qu’il éprouvait pour elles. Les collaboratrices lancèrent des regards interrogatifs vers leurs supérieures. — Honneur aux plus jeunes. Allez-y, les filles. Les collaboratrices s’avancèrent vers David et exigèrent qu’il se mît à genoux avant de se placer en cercle autour de lui. Le jeune homme obtempéra et une main entraîna sa tête vers une paire de pieds. Au vu de la réaction de Samira, David comprit que les pieds dont il était en train de lécher les orteils appartenaient à Emilie, l’employée du service Administration. Un coup de pied porté sur sa joue fit changer son visage de direction et de nouveaux pieds se présentèrent à sa langue. Il s’agissait cette fois de ceux de Diana, la collaboratrice du service Juridique. Après quelques instants, le jeune homme reçut un nouveau coup de pied à la joue et se retrouva nez à nez avec les pieds de Victoria, du service Finances. David enchaîna ensuite avec ceux de Marine, du service Informatique, puis ceux de Cindy, du service Ressources humaines pour finir avec ceux d’Irène, du service Marketing. Cette dernière lui fit relever la tête en le tirant par les cheveux avant d’attirer son visage contre son sexe, le forçant à lui prodiguer un cunnilingus. David passa d’un sexe à l’autre pendant plusieurs minutes avant que la voix de Samira ne l’interrompît. — À notre tour de nous amuser, maintenant. Les collaboratrices s’écartèrent de David et les cheffes de services le firent se mettre à quatre pattes. Devant lui, Samira adopta la même posture, collant son postérieur contre son visage. Tandis qu’il s’occupait de faire jouer sa langue sur son petit trou et son intimité, le jeune homme entendit les trois autres cheffes de service sortir des objets d’une armoire. Une douleur vive et soudaine au niveau de son dos lui fit comprendre qu’il s’agissait de cravaches. Il s’appliqua néanmoins à satisfaire Samira du mieux qu’il le pouvait avant que celle-ci ne finit par céder sa place à Cécile.Dès qu’il eut repris ses léchouilles, de nouveaux coups de cravache s’abattirent sur lui. Ce supplice ne s’arrêta que lorsque les quatre cheffes de services eurent profité des qualités de sa langue. David eut ensuite droit à quelques instants de répit pour reprendre son souffle. Samira s’empara d’un bâillon-boule et l’attacha sur le jeune homme. En regardant les employées, la cheffe du service Administration leva une cravache au ciel. — Vous voulez essayer, Mesdemoiselles ? Les collaboratrices exprimèrent leur approbation avec vigueur. Samira tendit la cravache à Emilie en lui parlant à voix suffisamment basse pour que David ne pût l’entendre. Un coup s’abattit violemment sur ses fesses. Il voulut crier mais le bâillon-boule étouffa les sons de sa bouche. Diana fut la deuxième à lui donner son coup. La douleur fut tout aussi vive et le jeune homme espéra en son for intérieur que ses invitées n’allaient pas abuser de l’instrument. Vinrent ensuite successivement Victoria, Cindy, Irène et Marine.— Je vois que ça vous a plu mais il est temps de passer à la partie la plus intéressante. Sur ces mots, Samira s’empara de plusieurs godes-ceintures et en donna un à chaque femme. Lorsqu’elles se furent toutes équipées de leur sextoy, sur injonction de Nathalie, David s’appuya contre un mur en se cambrant le plus possible.Cette fois, ce fut au tour des cheffes de service de jouer les premières. Se plaçant derrière lui, Samira s’enfonça d’une seule poussée en lui et lui donna de puissants coups de reins tout en prenant soin de lui administrer des claques sur les fesses. Dès qu’elle fut épuisée par son effort, elle céda sa place à Cécile qui agit de même. Le bal des cheffes de service se termina par Nathalie et Justine. — À votre tour, les filles. Comme vous avez pu le constater, il aime bien se faire prendre. Alors, allez-y à fond. Victoria fut la première collaboratrice à sodomiser David. Suivant l’exemple de ses supérieures, elle réalisa une série de puissants va-et-vient dans son fondement tout en le fessant aussi fort qu’elle le pouvait. Elle fut imitée par les autres collaboratrices. Lorsque la dernière eut fini de l’enculer, Samira et les autres cheffes de service décidèrent qu’il était temps de s’arrêter là. Justine retira le bâillon-boule à David. — Merci à toi, David, pour cette journée. J’attends la prochaine Journée des Femmes avec impatience.— Ravi d’avoir pu toutes vous satisfaire. Cependant, comme je serai chef de service, il me faudra trouver un volontaire pour cet évènement. Les onze femmes rirent de bon cœur puis, après avoir ôté leurs godes-ceintures et s’être rhabillées, quittèrent la cave, laissant le soin à David de ranger le matériel utilisé. Le jeune homme commença par se libérer de la cage de chasteté.Alors qu’il s’appliquait à remettre un peu d’ordre, quelqu’un frappa à la porte, ce qui le fit sursauter. En se retournant, il constata la présence de Cassandra. Le jeune homme se sentit honteux d’exposer aux yeux de sa sœur son corps nu et rougi par les coups de cravache. — À ce que je vois, elles ont bien profité de toi. J’aurais bien aimé me joindre à vous mais tu te doutes bien des raisons pour lesquelles j’ai dû refuser.— Oui, je m’en doute. J’ai envoyé cette proposition sans réfléchir. — C’était une bonne idée. Maman et moi avons assisté à tes exploits. — Le spectacle vous a plu ?— Oui, beaucoup. Tu dois sûrement être fatigué après une telle séance mais est-ce que tu aurais encore un peu de temps pour fêter la Journée des Femmes avec maman et moi ?
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