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David, jeune homme modèle

Chapitre 30

Journée des Femmes (partie 2)

Inceste
Épuisé par les efforts qu’il venait de fournir pour satisfaire les envies de onze femmes à la fois, David fut tenté de refuser. Cependant, il se dit qu’il aurait été bien mal inspiré de ne pas passer un peu de temps avec deux des femmes les plus importantes de sa vie, surtout en cette journée particulière.
— Je veux bien mais, avec Lisa qui se repose, ce ne sera pas possible que nous allions chez moi.— Ne t’en fais pas : maman souhaite nous amener chez elle. — Dans ce cas, pas de problème.— D’accord. Je lui transmets. Retrouve-nous au parking quand tu auras fini de ranger.
Cassandra s’en alla puis David s’empressa de ranger à leur place les différents instruments qui avaient servi lors de sa séance avec les cheffes de service et les collaboratrices. Lorsqu’il se fut rhabillé, il prit l’ascenseur et descendit jusqu’au parking où il retrouva sa mère et sa sœur. Marie les conduisit jusque chez elle. Là, ils passèrent tous les trois dans la chambre à coucher. Sur injonction de Marie, le jeune homme se déshabilla à nouveau. Les marques de cravache sur son corps firent pâlir les deux femmes.
— Aïe aïe aïe, David ! Elles ne t’ont pas raté ! Tu n’as pas mal ?— Si, ça me lance un petit peu mais c’est supportable.— Allonge-toi. Nous allons te mettre un peu de pommade. Tu te sentiras mieux.
Tandis que Marie et Cassandra allaient chercher la pommade dans la salle de bain, David s’allongea à plat ventre sur le lit. Les deux femmes le rejoignirent peu de temps après. Lorsqu’elles eurent généreusement arrosé ses épaules, son dos et son postérieur de pommade, Marie et Cassandra le massèrent longuement afin de faire pénétrer le remède dans son corps.
— Ça va mieux, mon chéri ?— Oui, beaucoup. Vous avez des doigts magiques, toutes les deux.— Merci, David. Toi aussi, tu as quelque chose de magique, mais ce ne sont pas tes doigts.
Cassandra retourna son frère de façon à ce qu’il fût allongé sur le dos. Les deux femmes se dévêtirent à leur tour. La vue de leurs corps dénudés procura une puissante érection à David. Sa sœur fut la première à en profiter pour lui prodiguer une fellation. Marie s’allongea à ses côtés et releva légèrement son buste en se penchant vers lui. Les seins maternels lui venant en plein visage, le jeune homme en profita pour les téter longuement en prenant bien soin d’en titiller les tétons de la pointe de sa langue.
Au bout de quelques minutes, Marie et Cassandra échangèrent leurs positions. Tout en savourant le lent coulissement des lèvres de sa mère sur sa verge, David prit un malin à plaisir à jouer avec la poitrine de sa sœur en la malaxant et en tétant un sein de temps à autre, jusqu’à ce que Marie décidât d’arrêter les préliminaires.
— Te voilà bien dur, mon chéri. Fais-moi sentir ton magnifique engin au plus profond de moi.
Marie se positionna à quatre pattes. Le jeune homme se plaça derrière elle et fit lentement glisser sa verge dans son fondement. Dès qu’il se fut intégralement enfoncé en elle, elle exprima son plaisir.
— Oh oui, c’est bon ! Baise-moi bien le cul, mon chéri.
Accédant à cette requête, David lui donna de puissants coups de reins. Sur un signe de Marie, Cassandra se positionna sur les genoux, devant elle, et se vit prodiguer un cunnilingus. Les deux femmes finirent par gémir à l’unisson, ce qui excita grandement David. Sachant pertinemment qu’en maintenant le rythme de ses coups de reins, il n’allait pas tarder à jouir, et ne souhaitant pas laisser Cassandra en reste, il se retira du petit trou de Marie et les deux femmes inversèrent leurs rôles. Comme il l’avait fait avec sa mère, le jeune homme s’enfonça lentement dans celui de sa sœur et se mit à la pilonner de toutes ses forces tandis que celle-ci s’évertuait à faire jouer sa langue sur le sexe maternel.
Excité par les feulements des deux femmes et par les nombreux et forts va-et-vient qu’il avait effectués, David sentit qu’il allait jouir. Se retirant du corps de Cassandra, il la fit allonger sur le dos, aux côtés de Marie, et les deux femmes reçurent avec plaisir plusieurs giclées de sperme sur leurs seins. Dès qu’il eut fini de se vider, comme il l’avait fait à plusieurs reprises durant la grossesse de Lisa, il les nettoya toutes les deux en absorbant sa semence.  — Merci, mon chéri, pour ce beau moment. Je suis contente que tu aies accepté de passer du temps avec ta sœur et moi. Je voulais que nous nous amusions une dernière fois, tous les trois, avant que vous ne vous lanciez chacun dans vos vies amoureuses respectives.— Le plaisir est pour moi, maman. Je me devais de fêter la Journée des Femmes avec celles qui comptent le plus pour moi. D’ailleurs…
Bien qu’il sût parfaitement ce qu’il souhaitait, David se sentit soudainement incapable de l’exprimer.
— D’ailleurs ?— Euh… La journée n’est pas encore finie. J’aimerais que nous fassions une dernière chose ensemble.— Bien sûr. Laquelle ? Tu peux tout nous dire, tu sais ?— Je veux que vous me preniez, toutes les deux.— Tu en es sûr, mon chéri ? L’idée est très plaisante mais, comme tu en as déjà bien pris pour ton grade, tout à l’heure, je ne sais pas si tu supporteras de nouvelles vagues.— Ne t’en fais pas, maman. Ça me fait plaisir. — Bon, très bien.
Marie ouvrit un tiroir de sa table de chevet et en sortit un gode-ceinture dont elle s’équipa. David se positionna à quatre pattes et fit signe à Cassandra de se placer en face de lui. Dès que le sexe factice se fut enfoncé dans son fondement, le jeune homme s’appliqua à prodiguer un cunnilingus à sa sœur tout en subissant les coups de reins de sa mère. Entre deux coups de langue, il adressa des encouragements à Marie pour qu’elle continuât de le sodomiser toujours plus fort. Exauçant ce souhait, elle put tenir la cadence durant une dizaine de minutes avant de se retirer, fatiguée de ses efforts.
Retirant son gode-ceinture, Marie le transmit à Cassandra qui s’en équipa à son tour et les deux femmes échangèrent leurs places auprès de David. Les va-et-vient de sa sœur se firent tout aussi rapides et puissants dans son fondement. Le jeune homme tâcha de donner un maximum de plaisir à sa mère en agaçant son clitoris de la pointe de sa langue. Tandis que Cassandra se retirait, exténuée après un bon quart d’heure de chevauchée, Marie jouit dans la bouche de son fils qui avala avec joie la cyprine qui s’écoulait de son intimité.  — Merci à vous deux. Des treize femmes que j’ai eues à satisfaire aujourd’hui, vous avez été de loin les meilleures.— Vilain flatteur !— Je suis sérieux. Je ne dis pas ça seulement parce que vous êtes ma mère et ma sœur.— Dans ce cas, merci du compliment.— C’est normal. Bon, cette fois, je vais vraiment devoir y aller. Il faut que j’achète un petit quelque chose pour Lisa. Demain, j’irai voir la personne à laquelle j’ai pensé pour être co-cheffe de service avec moi. Je te la présenterai, si elle accepte la proposition.— Très bien. Bon retour et à demain.— À demain !
David se rhabilla et, sur le chemin du retour, s’arrêta chez un fleuriste. Il acheta un bouquet de roses dans l’idée de l’offrir à Lisa. Lorsqu’il arriva à son domicile, celle-ci l’accueillit avec un large sourire en voyant le bouquet de fleurs.
— Bonne Journée des Femmes, mon amour !— Merci, mon chéri ! Elles sont magnifiques !
Lisa alla mettre les fleurs dans un vase. De son côté, David alla prendre une douche puis alla se coucher, épuisé par ses péripéties de la journée.
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