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David, jeune homme modèle

Chapitre 36

Révélations

Inceste
Cassandra s’approcha de lui en lui souriant. David ne sut que penser de l’attitude de sa sœur. Il se dit juste que son arrivée impromptue l’avait empêché de faire ce qu’il avait prévu. Il tâcha pourtant de masquer sa frustration du mieux qu’il le pouvait.
— Je peux faire quelque chose pour toi ?— Bien sûr. Prends-moi.— Quoi ?! Ici ? Maintenant ? Tu es folle ? J’ai déjà failli perdre Lisa une fois. Je ne veux pas à nouveau courir ce risque. Et si quelqu’un nous surprenait ?— En ce qui concerne Lisa, même si elle apprenait qu’on a baisé au travail, la belle affaire ! Elle nous a déjà vus en action avec maman et ça n’a pas eu l’air de la déranger. Bien au contraire, elle nous a donné sa bénédiction. Pour répondre à ta dernière question…
Cassandra se dirigea vers la porte et la ferma.  — Comme ça, il n’y a aucun risque.— Et Alphonse ? Tu en fais quoi ? J’avais l’impression que vous vous aimiez vraiment quand on était dans la cave.— Oui, je l’aime, mais il a un gros défaut : il ne pense qu’à son plaisir. Il ne se soucie pas de savoir si j’en prends ou non... contrairement à toi.— Et tu ne peux pas faire ça avec ton employé ?— Il ne me pardonnerait certainement pas une telle tromperie. D’autant plus que rien ne justifie que je récompense mon collaborateur de quelque manière que ce soit. L’autre avantage que tu as est que tu es un amant insoupçonnable.— De toute façon, j’imagine que, même si je te le demandais, tu ne partirais pas sans avoir eu ce que tu veux.— Tu vois ? Tu me connais mieux que personne.
Tandis que sa sœur s’empressait de se débarrasser de ses vêtements, David prit un peu plus de temps pour le faire, toujours empreint de la crainte que quelqu’un les surprît. Lorsqu’il fut nu à son tour, la vue du corps de Cassandra ne mit pas longtemps à lui procurer une puissante érection. La jeune femme prit sa verge en bouche et fit coulisser ses lèvres sur toute sa longueur à un rythme que son frère affectionnait.  Son appréhension le quittant peu à peu, David se laissa aller à cette caresse buccale aussi agréable qu’inattendue. Au bout de quelques minutes, il décida qu’il était temps de rendre la pareille à sa sœur. Faisant sortir son sexe de sa bouche, il l’aida à se relever et la fit assoir sur son bureau. Ecartant légèrement ses cuisses, il fit jouer sa langue sur son intimité, lui arrachant des gémissements de plaisir. Lorsqu’il estima que le cunnilingus avait assez duré, il fit allonger Cassandra sur le dos et lui releva les jambes aussi haut que possible avant de la pénétrer. Ses va-et-vient se firent d’abord doux et lents puis leur vitesse et leur force s’intensifièrent. Cassandra émit plusieurs longs feulements d’extase avant que David ne se retirât de son intimité pour réserver le même sort à son petit trou. Sous les encouragements de sa sœur, le jeune homme put garder un rythme soutenu dans ses mouvements de bassin pendant quelque temps avant de sentir la jouissance le gagner. Après s’être retiré une nouvelle fois, il éjacula sur les seins de Cassandra. Frère et sœur se sourirent amoureusement.  Alors qu’il allait s’occuper de nettoyer la poitrine de la jeune femme, David vit la poignée de la porte s’abaisser.
— Tu avais pourtant fermé la porte…— J’ai oublié de tourner le verrou. Désolée.
— Eh bah bravo !
La porte s’entrouvrit. David et Cassandra restèrent figés d’effroi lorsqu’ils constatèrent que la nouvelle venue était Katja. Ils ne pouvaient ni se cacher ni nier ce qu’ils venaient de faire tous les deux. Lorsqu’elle les vit, la cheffe de service demeura un instant surprise puis retrouva son calme.
— S’il vous plaît, Katja ! Ne dites rien de ce que vous avez vu.— Détendez-vous, Mademoiselle Clément. Je ne compte pas gâcher tous les efforts que j’ai fournis jusqu’ici pour entretenir de meilleurs rapports avec votre mère. De plus, même si je voulais me servir de ce que je viens de voir pour une éventuelle vengeance, comme vous semblez le penser, cela n’aurait aucun effet.— Comment ça, Madame Karlova ?— Réfléchissez un peu, Monsieur Clément. Que je sache, aucune cheffe de service n’a émis la moindre inquiétude quant à une éventuelle scène familiale au sein de ces locaux lorsque votre sœur a été engagée. Il en est allé de même lorsque votre mère nous a rejoints. — Si j’ai bonne mémoire, le jour où ma mère vous a licenciée, elles ont pourtant été sincèrement choquées lorsqu’elles ont appris ce que vous m’avez fait faire avec ma sœur, à mon insu.— Elles ont plus été impressionnées par la forme que par le fond. En effet, si vous aviez été informé dès le début qu’il s’agissait de votre sœur, j’aurais pu vous donner mes instructions de la même manière. — Vous êtes en train de dire que ça n’aurait dérangé personne de me voir soumis à ma sœur ou à ma mère et que ce qui a causé cette indignation est le simple fait que vous m’ayez fait porter un foulard ?— Exactement. Elles n’ont simplement pas apprécié le fait que vous ne sachiez pas ce qui vous arrivait.— Je ne m’attendais pas à cette explication… Au fait, pourquoi avoir choisi Cassandra le jour où nous avons fêté le doublement de nos salaires ? Vous auriez pu choisir une autre cheffe de service ou même Valérie.— Laure m’a raconté la façon dont vous avez plaidé la cause de votre sœur pour qu’elle soit engagée. Vous ne vous êtes pas contenté de parler. Vous avez aussi subi les fantaisies de Laure sans broncher, ce qui indique qu’un lien particulièrement fort vous unit à Cassandra. J’ai donc décidé de mettre ce lien à l’épreuve en vous faisant vivre cette expérience. Si vous saviez dès le début que votre sœur allait être la seconde femme qui allait vous dominer ce jour-là, votre morale vous aurait certainement incité à refuser. Au vu de ce que je vois, je constate que ma manœuvre n’a fait que renforcer davantage vos liens.— Je comprends mieux la façon de penser qui a été la vôtre ce jour-là. Cependant, il vaut mieux que personne ne sache ce qu’il s’est passé entre ma sœur et moi dans ce bureau. Je ne veux pas mettre en péril ma relation avec Lisa.— Ne vous inquiétez pas pour cela. Si vous y tenez, je garderai le secret. Toutefois, même si cela venait à se savoir, je pense que Lisa ne vous en voudra jamais de la tromper.— Comment ça ? J’ai failli la perdre quand j’ai eu mon aventure avec Estelle !— Lorsque votre mère m’a envoyée lui parler, je lui ai expliqué quel genre d’homme vous êtes.— C’est-à-dire ? — Je vous ai beaucoup observé, Monsieur Clément, entre le jour de votre entretien d’embauche et celui de mon renvoi. Je me suis également renseignée auprès des autres cheffes de service concernant la période durant laquelle j’étais absente. Vous avez vécu bon nombre d’expériences, de toutes sortes, avec bien des femmes de cette entreprise. À chaque fois, tant dans la soumission que dans les rapports plus…classiques, vous avez dépassé leurs attentes, notamment durant votre propre gang bang que vous avez organisé durant la Journée des Femmes. J’ai aussi appris vos péripéties avec Nathalie et Justine. Cela m’a fait parvenir à la conclusion que vous n’êtes ni un soumis ni un dominant, à proprement parler. Vous avez juste un amour inconditionnel de la Femme. Vous êtes, de ce fait, incapable de refuser à une femme de la satisfaire, quel que soit le désir qu’elle éprouve envers vous. Vous êtes, pour moi, un jeune homme modèle. J’ai donc signifié à Lisa que, bien que votre amour pour elle soit sincère, elle allait devoir se résoudre à accepter de vous partager, notamment avec Estelle.— Lisa s’est réellement faite à cette idée ? J’ai de la peine à le croire.— Ça n’a pas été évident au début mais elle a fini par comprendre.— C’est grâce à ces explications que vous l’avez faite revenir ? Je ne m’y attendais pas du tout mais, merci Katja.— Je ne l’ai pas fait que pour vous. C’est aussi grâce à ça que je ne suis plus la soumise de votre mère, contrairement à Laure.— Vous ne souhaitez pas la libérer ?— Non, qu’elle se débrouille toute seule. Je me suis libérée en accomplissant la mission qui m’a été confiée. À elle de saisir l’occasion si elle se présente. Pour en revenir à vous deux, je suis une fervente défenseuse de ce genre de relation. Je ne comprends pas cette morale qui consiste à condamner le sexe en famille. En effet, chacun de vous est celui qui connaît l’autre le mieux puisque vous avez grandi ensemble. La famille est un refuge. Dans votre cas, Mademoiselle Clément, vous êtes venue voir votre frère parce que votre petit ami n’a pas été à la hauteur de vos attentes dans la cave.— Comment avez-vous pu deviner cela ? Vous nous espionnez depuis combien de temps ?— Allons, Mademoiselle Clément. J’y étais, moi aussi, dans cette cave, et j’ai pu observer le couple que vous formez avec Alphonse. Vos sentiments l’un pour l’autre sont sincères, émotionnellement parlant. En revanche, d’un point de vue physique, j’ai bien remarqué que votre copain ne cherchait que son propre plaisir. Raison pour laquelle vous vous êtes réfugiée auprès de votre frère pour trouver ce que vous cherchez. Je pense que, l’un comme l’autre, vous avez besoin d’un jardin secret. Si vous le souhaitez, je peux vous fournir un lieu où vous pourrez vous abandonner l’un à l’autre sans crainte.— Et quel est ce lieu, Madame Karlova ?— J’ai une cave, chez moi, que j’aménage actuellement en chambre d’hôte. En dehors de ces murs, il y a un autre projet que je poursuis depuis plusieurs années : faire changer les mentalités par rapport aux relations intra-familiales. En effet, je souhaite aider des familles à s’affranchir de la morale pour pouvoir permettre à leurs membres de profiter pleinement les uns des autres. Si vous acceptez mon offre, vous pourriez être les premiers frère et sœur que j’aurai aidés.— Si nous acceptons votre proposition, tout le monde prendra connaissance de notre relation puisque nous allons certainement devoir témoigner ou faire je ne sais quoi pour faire de la publicité à votre projet.— Vous avez bien deviné, Monsieur Clément. Tout du moins en ce qui concerne le témoignage. Votre partage serait bénéfique à mon projet mais je m’assurerai que vos noms restent purement confidentiels.
David et Cassandra échangèrent des regards dubitatifs. Ils venaient d’en apprendre beaucoup de la part de Katja, tant sur eux-mêmes que sur leur collègue. Au vu des faits qui s’étaient déroulés, ils ne pouvaient pas exclure la possibilité que la cheffe de service des Finances cherchât un quelconque moyen de se venger, quand bien même elle leur avait signifié le contraire. Et si elle souhaitait réellement prendre un nouveau départ ?
— Dans ce cas, nous acceptons votre proposition avec plaisir, Katja.— Parfait. Vous ne le regretterez pas, Mademoiselle Clément. Venons-en maintenant au véritable objet de ma visite. Ne croyez pas que je sois venue ici dans le seul but de vous prendre la main dans le sac. Je suis venue vous voir pour vous parler d’une idée qui m’a traversé l’esprit lorsque nous nous trouvions dans la cave. Je souhaite réaliser un album photos avec l’ensemble des membres du personnel, chefs de services comme collaborateurs. Nous pourrions utiliser ces photos pour les envoyer à nos clients pour les remercier de la confiance qu’ils nous témoignent. — C’est une idée plutôt intéressante, Madame Karlova, mais je crains que cela ne se retourne contre nous et nous créé une mauvaise image. De plus, même si nous réalisions votre projet, il faudrait le retour d’Estelle et celui de Lisa, si ma mère veut bien la réintégrer en la mettant cheffe des services personnels à mes côtés et à ceux d’Estelle.— Cela ne presse pas. Je comptais simplement vous parler de cette idée avant d’en informer votre mère.— Pour ma part, je serais partante pour faire l’expérience. À voir ce que notre mère décidera.— Merci pour votre soutien, Mademoiselle Clément.  Katja regarda sa montre. Les aiguilles indiquaient quinze heures. La cheffe de service adressa un grand sourire à David et Cassandra.
— Alors ? Prêts à découvrir votre jardin secret ?
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