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David, jeune homme modèle

Chapitre 9

Double salaire, double charge

SM / Fétichisme
Durant la fermeture annuelle de Fricounsulting à l’occasion des fêtes de Noël et du Nouvel-An, David et Lisa avaient profité de leurs vacances pour se voir le plus souvent possible. En plus de leurs relations intimes, les deux jeunes gens avaient également voyagé ensemble dans plusieurs villes de suisse romande avant de passer les fêtes avec leurs familles respectives. Il fut donc clair pour eux qu’ils étaient désormais devenus un couple. Cependant, d’un commun accord, tous deux avaient préféré ne pas parler de leur relation à leur entourage, jugeant qu’il était encore trop tôt.  En ce début janvier, un vent glacial soufflait sur la ville et la neige s’était invitée dans le bulletin météorologique de Fribourg. Marchant d’un pas pressé, son parapluie à la main, David entra dans les locaux de l’entreprise. Il secoua son parapluie sur le tapis puis prit l’ascenseur pour gagner son bureau. Une fois installé, le jeune homme alluma son ordinateur et ouvrit sa session. Ne voyant aucun dossier sur son bureau, il consulta ses mails, à la recherche d’éventuelles instructions de Katja. Sa boîte de réception n’ayant pas bougé depuis sa dernière consultation, David prit le parti de descendre à la cafeteria afin de prendre un café à emporter dans son bureau.  Il reprit l’ascenseur pour descendre les étages jusqu’au rez-de-chaussée et se dirigea vers la machine à café. Il sélectionna un macchiato puis introduisit la monnaie pour le prix demandé. Dès que sa boisson fut prête, il la prit avec lui et remonta dans son bureau afin de la savourer tranquillement en attendant l’arrivée de sa cheffe qui allait certainement lui communiquer des directives concernant l’un ou l’autre des dossiers à traiter.
À nouveau assis à son bureau, il vérifia à nouveau sa boîte mail par précaution. Toujours rien de nouveau. David put donc se permettre de boire tranquillement son café en attendant des nouvelles. Aux alentours des huit heures, Lisa entra à son tour dans le bureau.
— Salut David !— Salut Lisa ! — Il y a beaucoup à faire pour cette reprise ?— Non, rien pour l’instant. En tout cas pour moi. Je ne sais pas si, toi, tu as reçu des instructions de Madame Karlova.— Attends… Je vais regarder.
Lisa se connecta à sa session et ouvrit sa boîte mail.  — Rien pour moi non plus. — Dans ce cas, je crois qu’il n’y a plus qu’à attendre. Madame Karlova viendra certainement nous apporter de quoi faire.  En attendant d’avoir du travail, Lisa et David échangèrent sur les fêtes qu’ils avaient passées, chacun racontant ce qu’il avait fait en famille. Vers huit heures trente, ils entendirent des bruits de pas à proximité de leur bureau et en déduisirent que Katja venait d’arriver.  — À la réflexion, je me demande s’il ne vaudrait pas mieux aller de nous-mêmes vers Madame Karlova pour lui demander si on peut faire quelque chose.— Je ne pense pas qu’elle aime être dérangée pour ce genre de chose. La connaissant, elle viendra certainement ici avec des dossiers ou elle nous enverra des instructions par mail.— D’accord. Je te fais confiance puisque tu as plus d’expérience.
Quelques minutes plus tard, comme David l’avait pressenti, Katja frappa à la porte de leur bureau et entra dans la pièce.  — Bonjour Mademoiselle Barbieri, bonjour Monsieur Clément ! — Bonjour Madame Karlova ! — Vous avez passé de bonnes vacances ?— Oui, très bien, et vous ?— Très bien aussi, merci.  Katja déposa des dossiers sur le bureau de Lisa et lui expliqua en quelques mots ce qu’elle devait y faire. Après s’être assurée que la jeune femme eût bien compris les instructions, elle s’avança vers David.
— Pourriez-vous venir avec moi dans mon bureau, Monsieur Clément ? J’aimerais m’entretenir avec vous.— Oui, bien sûr, Madame Karlova.
Il suivit sa supérieure jusque dans son bureau. Après avoir fermé la porte, Katja l’invita à s’assoir et prit place en face de lui.
— Je tenais juste à vous féliciter pour votre performance lors du jeu de Noël. Comme vous êtes parti assez tôt de la soirée, je n’ai pas eu l’occasion de le faire. Grâce à vous, je connaîtrai mon meilleur mois de janvier depuis des années. — Ravi de vous avoir satisfait, Madame Karlova. — Vous avez aussi joué pour vous-même, Monsieur Clément. Votre salaire de base a également été doublé pour le mois de janvier. D’ailleurs, je vous propose de fêter cela comme il se doit, même si, dans l’idée, c’est plutôt le doublement de mon salaire que je compte célébrer. — Tout est bon à fêter, Madame Karlova.— Voilà une attitude qui me plaît, Monsieur Clément. Déshabillez-vous.  David n’eut d’autre choix que d’obtempérer. Lorsqu’il fut intégralement nu, Katja sortit un foulard de son sac et le tendit au jeune homme.
— J’aimerais que vous mettiez ce foulard sur vos yeux. Ne l’enlevez que lorsque je vous y autoriserai. Est-ce bien clair, Monsieur Clément ?— Oui, Madame Karlova.
Il passa le foulard sur ses yeux et l’attacha à sa tête au moyen d’un double nœud. Katja lui ordonna de se mettre à quatre pattes. Aveuglé par le foulard, David entendit sa supérieure ouvrir la porte du bureau et il crut entendre des bruits de pas venant dans sa direction.  — Tâchez de rester discrète jusqu’au dernier moment.
Cette phrase de Katja acheva de convaincre David de sa première impression. La « fête » organisée par sa supérieure n’allait pas réunir uniquement deux participants. Le jeune homme entendit des pantalons être déboutonnées, des braguettes descendues et des vêtements jetés au sol. En tendant l’oreille à ces bruits, il devina la présence de deux femmes, dont l’une était Katja. Il entendit cette dernière ouvrir un tiroir et en sortir un objet avant de le refermer. Les deux femmes s’approchèrent de lui et il sentit un doigt badigeonner sa rondelle de salive. Ce prélude ne lui fit comprendre que trop bien ce qui allait lui arriver. Le son de sangles qu’on attachait parvint à ses oreilles. Un doigt s’enfonça légèrement dans son fondement avant de le recouvrir à nouveau de salive.  Soudain, David ressentit une vive douleur au niveau de ses fesses. Il comprit dès lors que l’une des deux femmes était en train de le sodomiser au moyen d’un gode-ceinture. Le jeune homme serra les dents afin de mieux supporter la souffrance. Il n’eut cependant que peu de temps pour se concentrer sur son mal. Deux mains s’emparèrent de sa tête et plaquèrent son visage contre un sexe. David s’appliqua à faire jouer sa langue sur les lèvres intimes de la femme en lui titillant le clitoris. Au bout de quelques instants, il entendit un gémissement devant lui, signe que son cunnilingus était apprécié. Ce feulement, le jeune homme le connaissait très bien puisqu’il lui rappelait son entretien d’embauche, quelques mois auparavant. Il en déduisit que c’était le sexe de Katja qu’il était en train de lécher, ce qui signifiait que son postérieur était, à ce moment, malmené par la femme inconnue.  Perturbé par le foulard qui lui bandait les yeux, il essaya de deviner l’identité de la femme mystère. Il pensa d’abord aux autres cheffes de service mais il abandonna cette idée. En effet, quel aurait été l’intérêt pour elles de fêter la victoire de Katja ? Il pensa ensuite à Valérie. Peut-être Katja souhaitait-elle gagner des points auprès d’elle en l’invitant à s’amuser avec elle dans son bureau ? Non, si tel était le cas, sa supérieure ne se serait jamais permise d’utiliser l’impératif pour s’adresser à elle. Fort de ces constats, il parvint à la conclusion que la femme qui était en train de le sodomiser était Lisa. Cependant, il se demanda pour quelle raison Katja avait souhaité qu’il mît un foulard sur ses yeux. Il finit par se dire que c’était sans doute un élément au service de l’excitation et du plaisir de sa cheffe.  Les coups de reins de l’inconnue se firent plus rapides et plus puissants dans sa rondelle, ce qui rendait la douleur d’autant plus difficile à supporter. Se disant que tout avait une fin, il redoubla d’efforts dans le cunnilingus qu’il prodiguait à Katja. Celle-ci finit par inonder sa bouche de cyprine après quelques minutes de léchouilles. Cette jouissance fut synonyme de répit durant un court instant. Derrière lui, il devina que la mystérieuse invitée se débarrassait du gode-ceinture pour le laisser à Katja qui était en train de s’en équiper à son tour.  Dès la première poussée, la cheffe de service ne le ménagea pas et réalisa d’entrée de jeu une série de va-et-vient avec une force et une vitesse qui surprirent David. Une main se saisit de son crâne et le poussa doucement vers l’avant. À nouveau, il fut amené à faire jouer sa langue sur le calice de l’inconnue. Pensant à Lisa, David s’appliqua à la lécher comme il l’avait fait lors de leur première fois. Ses habiles coups de langue portèrent leurs fruits après quelque temps. La respiration de la femme mystère s’accéléra et un flot de cyprine s’écoula dans sa bouche.  Tandis que Katja le pilonnait toujours au même rythme, David eut droit à un peu de repos de la part de l’inconnue, le temps qu’il avalât son jus d’amour. Le jeune homme sentit quelque chose s’appuyer contre son visage. En sortant sa langue de sa bouche, il comprit que la mystérieuse invitée souhaitait qu’il lui léchât le postérieur. Prenant appui sur ses fesses, David s’appliqua à mettre la même ardeur dans ses léchouilles que précédemment. À nouveau, le jeune homme entendit la respiration de la femme mystère s’accélérer avant de devoir absorber sa cyprine pour la seconde fois.  Épuisée par sa chevauchée, Katja finit par se retirer de son fondement et ôter le gode-ceinture en le lâchant au sol.  — Il a supporté nos assauts avec courage, sans crier, et il a mis du cœur à nous faire jouir. De ce fait, il mérite de fêter lui aussi le doublement de son salaire avec une bonne giclée. À vous l’honneur.
Sur injonction de Katja, David s’allongea sur le dos. Le jeune homme sentit une main s’emparer de sa verge et la loger entre deux seins. La femme mystère fit coulisser ses globes le long de sa hampe. Tout en se laissant aller à cette agréable caresse, il eut une révélation : la poitrine qui enserrait sa verge était bien trop développée pour appartenir à Lisa. Il réalisa à ce moment qu’il n’avait plus aucune « suspecte » en vue. Il se résolut à se laisser aller et à découvrir de quoi il retournait lorsqu’il allait à nouveau voir la lumière du jour. Les mouvements de l’inconnue s’accélérèrent et David finit par répandre sa semence sur sa poitrine dans un râle de plaisir. Quelques instants lui furent accordés pour qu’il reprît son souffle.

— Vous pouvez retirer le foulard, Monsieur Clément.
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