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David, jeune homme modèle

Chapitre 27

Services personnels : formation

SM / Fétichisme
Au lendemain de sa séance imprévue avec Estelle, David retrouva son bureau. Il ne fut cette fois pas surpris de trouver Marie déjà installée devant son poste, ayant constaté que sa mère avait pris l’habitude de se présenter plus tôt au travail. Dès qu’elle le vit entrer, elle se leva de sa chaise et lui fit signe de la suivre. Le jeune homme obtempéra et Marie le guida jusqu’à la cave où il avait installé la caméra et les différents articles achetés la veille.
— Déshabille-toi et attends. Tu vas bientôt avoir ta première disciple.  Sans répondre, David se dévêtit et patienta tandis que Marie retournait à son bureau. Après quelques minutes d’attente, la porte de la cave s’ouvrit, livrant passage à Victoria, l’employée du service Finances. La jeune femme le regarda d’un air anxieux, presque apeuré. Comme elle était déjà nue, David ne put s’empêcher de la détailler. De taille moyenne, elle était de corpulence fine. De ce fait, sa poitrine n’était pas très développée mais le jeune homme lui trouva du charme avec sa longue chevelure châtain tombant en cascade derrière ses épaules et ses fesses rebondies. Ces caractéristiques physiques lui firent penser à Lisa. Son sexe prit rapidement de l’ampleur, ce qui n’était pas fait pour rassurer Victoria.
— Je ne me sens pas rassurée… Cette caméra… Les images ne seront pas diffusées sur je ne sais quel site, n’est-ce pas ?— Ne t’inquiète pas, Victoria. Cette caméra a pour but de nous protéger, pas de nous épier. Tout se passera bien, je te le promets. — D’accord.
La jeune femme prit une grande inspiration puis le silence s’installa. David voulut faire la conversation avec elle pour continuer à la rassurer mais il renonça à cette idée, se disant que, n’étant pas lui-même entièrement confiant sur la façon dont allaient se dérouler les choses, il n’allait pas pouvoir se montrer suffisamment convaincant pour atteindre ce but. Durant toute l’heure qui suivit, le calme se fit de plus en plus plat. Seules leurs respirations se faisaient entendre dans la cave.  Le bruit de la porte qui s’ouvrait les fit sursauter tous les deux. Laurent se présenta à eux, lui aussi entièrement nu. David ne sut si le sourire affiché par le chef de service était fait pour les mettre en confiance ou, au contraire, pour accroître leur sentiment d’appréhension. Au crédit de la seconde hypothèse, la taille impressionnante de la verge inquiéta le jeune homme qui se demanda s’il allait pouvoir encaisser un tel calibre si, d’aventure, Laurent souhaitait le sodomiser.
— Quand j’ai su que c’était ma collaboratrice qui allait être formée la première dans la voie de la soumission, je me suis dit qu’il fallait que je sois le premier à tester ce nouveau service que notre directrice souhaite créer.
L’homme fixa longuement les deux jeunes gens. Lorsqu’il sentit son regard sur lui, David se rendit compte qu’il bandait, lui aussi. Le large sourire que cet état de fait suscita chez le chef de service le mit mal à l’aise.
— Cela ne se fait pas de bander, pour un soumis. Remarque : je ne t’en veux pas. Quand on a une telle beauté à ses côtés, impossible de ne pas s’endurcir, à moins d’être impuissant. Cependant, dans la situation qui nous occupe, nous ne pouvons être deux à bander. Victoria, suce-le jusqu’à ce qu’il se vide.
Victoria n’eut d’autre choix que d’obtempérer. David savoura le coulissement des lèvres de la jeune femme sur sa verge. D’abord lent, le rythme s’accéléra peu à peu. Au bout d’une dizaine de minutes, David sentit qu’il allait jouir. Il voulut se retirer de la bouche de Victoria mais, comme s’il avait lu dans ses pensées, Laurent l’en dissuada fermement.
— Jouis dans sa bouche. Et toi, Victoria, avale bien le tout, comme tu l’as toujours fait avec moi.  David finit par répandre sa semence dans la gorge de la jeune femme qui s’évertua à la déglutir comme elle le pouvait. Sans faire de commentaire, Laurent s’approcha de l’armoire dans laquelle étaient entreposées les cages de chasteté. Le chef de service s’empara de l’une d’elles et s’en servit pour emprisonner la verge du jeune homme.
— Simple mesure de précaution. Je te la retirerai quand j’en aurai fini avec vous deux. Maintenant, à genoux ! Tous les deux.
À la grande surprise de celui-ci, Laurent présenta sa verge aux lèvres de David. Le jeune homme fit de son mieux pour ne pas décevoir le chef de service, quand bien même il ne lui était jamais venu à l’idée d’entretenir une quelconque relation intime avec un homme. Laurent se retira pour se faire prodiguer une fellation par Victoria.  — Ne reste pas planté là. Lèche-la ! Elle t’a fait jouir, tout à l’heure. Elle mérite que tu lui rendes la pareille.
David plaça sa tête entre les cuisses de la jeune femme et fit jouer sa langue sur son intimité en prenant soin d’agacer son clitoris autant que possible. Quelques minutes suffirent à Victoria pour jouir à son tour et donner son jus à boire à David. Satisfait de ce spectacle, Laurent aida son employée à se relever puis la fit s’appuyer contre un mur avant de la pilonner de toutes ses forces. Appréciant, sans doute par habitude, cette brutalité, Victoria ne mit pas longtemps à atteindre l’orgasme pour la seconde fois. Son chef de service maintint la cadence de ses coups de reins pendant quelques instants avant de se retirer et d’éjaculer sur son postérieur.  — Qu’est-ce que tu attends ? Elle ne va pas se nettoyer toute seule.  Dégoûté en son for intérieur, David s’appliqua à débarrasser la jeune femme de toute trace de sperme. Il entendit Laurent se diriger une nouvelle fois vers les armoires. Quelque chose fendit les airs et s’abattit sur son dos. David grimaça de douleur et comprit que Laurent venait de lui donner un coup de cravache.
— Dépêche-toi un petit peu ! Je laisse toujours les choses comme je les ai trouvées. La prochaine personne pourrait arriver n’importe quand. Fais donc en sorte que cette soumise soit propre à temps.  Le jeune homme s’empressa d’accélérer et de surmonter son dégoût pour avaler dans sa totalité la semence déposée par Laurent. Après une inspection du fessier de sa collaboratrice, le chef de service adressa un sourire aux deux jeunes gens et libéra David de sa cage de chasteté.  — Je me suis bien amusé grâce à vous deux. Bon courage pour la suite de ta formation, Victoria. Quant à toi, David, je dirai à ta mère que je suis plus que favorable à la création de ce nouveau service.
Après avoir rangé la cage et la cravache là où il les avait pris, Laurent sortit de la cave. De son côté, David se demanda avec inquiétude ce qu’il allait encore devoir affronter durant les douze prochains mois.
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