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David, jeune homme modèle

Chapitre 32

Imprévus

SM / Fétichisme
La nuit fut plutôt agitée pour David qui ne parvenait pas à chasser de son esprit le moment où il avait joui dans l’intimité d’Estelle. Lisa s’en était inquiétée mais le jeune homme l’avait rassurée comme il le pouvait en prétextant avoir fait un cauchemar. Un cauchemar ? C’était ce que sa vie allait peut-être devenir si le manque de jugement dont il avait fait preuve venait à porter à conséquence.
Épuisé par le manque de sommeil, à la fois lié à son état psychique et aux sollicitations de ses enfants, David prit son petit-déjeuner en se servant une grande tasse de café noir, afin de se donner un peu d’énergie. Avant de partir travailler, il échangea un baiser avec Lisa en guise d’au revoir en lui disant qu’il l’aimait.
Lorsqu’il eut gagné son bureau, le jeune homme ouvrit le logiciel de vidéosurveillance sur son ordinateur et attendit tranquillement d’y voir l’arrivée de l’employé de permanence dans la cave. Ce dernier y entra quelques minutes plus tard, entièrement nu, et s’agenouilla au sol en attendant d’avoir quelqu’un à satisfaire. David en profita pour se replonger dans ses pensées. En se rappelant le rapport qu’il avait entretenu avec sa co-cheffe de service, il se maudit de ne pas s’être retiré d’elle avant d’éjaculer. Quelqu’un frappa à la porte de son bureau. En sursautant, il se tourna vers son visiteur.
— Bonjour Axel ! Qu’est-ce que je peux faire pour toi ?— Bonjour David. Ta mère m’a demandé de venir te chercher. Elle veut te voir dans son bureau. Elle a dit que c’était urgent.— Très bien. J’y vais tout de suite. Merci, Axel.
David quitta son bureau et prit les escaliers pour se rendre à celui de Marie. Il signala sa présence en frappant à la porte puis pénétra dans la pièce. Après avoir refermé derrière lui, le jeune homme fut frappé de stupeur. Sa mère était assise à son bureau, Laurent à ses côtés. Cassandra se tenait debout, dans un coin. Assises en face de Marie et Laurent, deux femmes qu’il connaissait bien étaient également présentes.  — Maintenant que nous sommes tous réunis, j’aimerais que vous m’expliquiez les raisons qui vous ont poussées à revenir en ces lieux. Commençons par vous, Laure.— Depuis mon renvoi, je n’ai pas réussi à trouver de nouvel emploi, malgré tous mes efforts. On m’a reproché tout et n’importe quoi pour ne pas m’engager. J’ai postulé dans des études d’avocats, dans des tribunaux… Rien n’y a fait. Cette entreprise est mon dernier espoir de ne pas finir à l’aide sociale. J’ai bien conscience que je ne reprendrai jamais le poste que j’occupais auparavant. Je suis prête à accepter n’importe quelle affectation. De la conciergerie au secrétariat, je ferai ce que vous voudrez, Madame la Directrice.— Très bien. Je prends note de vos déclarations, Mademoiselle Ruffieux. Et vous, Katja ?— Je sais pertinemment que vous ne me pardonnerez jamais ce que j’ai fait faire à vos enfants. Bien que cela ne suffise pas, je vous adresse mes plus plates excuses pour cela et la façon dont j’ai jugé votre projet de réforme. C’est vous qui aviez raison, Madame la Directrice. Tout comme Laure, je suis prête à accepter n’importe quelle fonction que vous consentirez à me confier.— Je constate que vous êtes capable de repentir, Madame Karlova. En effet, ce que vous avez fait à mes enfants est impardonnable. Cependant, au vu des motivations que vous avez exprimées, je consens à vous redonner une chance au sein de cette entreprise, à quelques conditions…— Lesquelles ? Quelles qu’elles soient, nous les acceptons.— Très bien. Voici les modalités de votre engagement : vous serez toutes les deux mes secrétaires de direction. Je consens à vous verser les salaires que vous touchiez en tant que cheffes de service. Cependant, vous serez également mes soumises personnelles, ainsi que celles de mon compagnon, ici présent. Cette relation maîtres et soumises s’appliquera tant ici qu’en dehors. Acceptez-vous ces conditions ?— Oui, Madame la Directrice.— Oui, Maîtresse.— Parfait. Pour me prouver votre bonne foi, je vais vous demander de vous mettre à l’entière disposition de mes enfants pour la journée. Si le retour qu’ils me feront se révèle positif, les modalités que nous avons convenues s’appliqueront. — Bien, Maîtresse.
Cassandra et David sortirent du bureau de leur mère en compagnie de Laure et Katja. Ils descendirent tous les quatre jusqu’au bureau du jeune homme. En voyant les images tournées par la caméra, Cassandra eut une lueur malicieuse dans les yeux.

— Laure, viens avec moi. Nous allons faire un petit tour à la cave.— Oui, Maîtresse.
Les deux femmes quittèrent la pièce, laissant David et Katja seuls. Le jeune homme invita son ancienne cheffe de service à s’assoir à ses côtés. À travers l’écran de l’ordinateur, ils assistèrent à l’arrivée de Cassandra et Laure dans la cave.
— Beaucoup de choses ont changé depuis votre départ, Madame Karlova. Non seulement, les services sont dirigés conjointement par un homme et une femme mais, en plus, un nouveau service a été créé. Il s’agit des services personnels, que je dirige en collaboration avec une jeune femme brillante que vous ne verrez pas aujourd’hui. Le but de ce service est de garantir en tout temps la possibilité pour les différents chefs de service de décompresser en s’amusant un peu avec l’employé ou la collaboratrice de permanence. Peut-être y auriez-vous eu droit si vous n’aviez pas jugé le projet de ma mère aussi négativement. Passons. Je peux voir les images pour des raisons de sécurité. En effet, je me dois d’intervenir si les choses vont trop loin. Et si nous observions comment s’en sort votre amie dans cette cave ?— Avec plaisir, Maître.— Maître ? En souvenir du bon vieux temps, je préfère que vous m’appeliez Monsieur Clément. De mon côté, je vous appellerai Madame Karlova.— Comme vous voudrez, Monsieur Clément.
David et Katja portèrent leur attention sur les images de la cave. Désormais entièrement nue, Laure était positionnée à quatre pattes et tentait tant bien que mal de prodiguer une fellation à l’employé de permanence tout en subissant les coups de reins de Cassandra qui la sodomisait au gode-ceinture. Le jeune homme sentit son sexe se durcir à la vue de ce spectacle.
— Plutôt excitant, tout ça, n’est-ce pas, Madame Karlova ?— Oui, Monsieur Clément.— Dans ce cas, ne vous gênez pas. Déshabillez-vous.— Oui, Monsieur Clément.
Le jeune homme regarda son ancienne cheffe de service se débarrasser de ses vêtements. L’empressement avec lequel elle avait exécuté l’ordre qu’il lui avait donné l’amusa. Il se dit que ça lui faisait beaucoup de bien de dominer celle qui l’avait tant tourmenté lors de ses débuts chez Fricounsulting. David se déshabilla à son tour, exposant, avec une fierté non dissimulée, sa verge en complète aux yeux de Katja.
— Sucez-moi, Madame Karlova.— Oui, Monsieur Clément.
Katja s’empressa de prendre le sexe du jeune homme en bouche et d’y faire coulisser ses lèvres au rythme souhaité. David la laissa faire pendant quelques minutes avant de la repousser. La faisant s’assoir sur son bureau, il la fixa longuement, son regard s’attardant sur sa poitrine généreuse.
— Je vais vous faire une confidence, Madame Karlova : vos seins m’ont toujours beaucoup excité et je ne vous raconte pas les nombreuses fois où je me suis imaginé jouer avec. Ce n’était que des fantasmes jusqu’ici. Aujourd’hui, c’est devenu la réalité.
David se saisit des seins de son ancienne cheffe de service et les malaxa longuement en les secouant de temps en temps. Le jeune homme s’amusa ensuite à les téter alternativement avant de s’en détourner.  — Allongez-vous.
Katja obtempéra et David la pénétra d’une violente poussée. Le jeune homme réalisa des va-et-vient dont la vitesse et la force firent gémir son ancienne cheffe de service. Après quelques minutes, il se retira de ses chairs intimes pour passer à son petit trou. Lorsqu’il s’y fut complètement enfoncé, David effectua à nouveau des mouvements de bassin en adoptant les mêmes rythme et puissance. Il pilonna ainsi Katja pendant quelque temps avant de sentir la jouissance le gagner.
— Avec le froid qu’il fait dehors, une boisson chaude est la bienvenue. Qu’en dites-vous, Madame Karlova ?— Oui, vous avez raison, Monsieur Clément.
David ordonna à son ancienne cheffe de service de s’agenouiller à ses pieds en gardant la bouche ouverte. Dès que Katja eut pris la posture exigée, le jeune homme se caressa durant quelques secondes avant de se vider intégralement entre ses lèvres. Katja avala sa semence sans broncher.
Reprenant place derrière son écran, il invita son ancienne cheffe à s’assoir à ses côtés. Dans la cave, l’employé de permanence baisait Laure, qui s’occupait de prodiguer un cunnilingus à Cassandra. David lut de la jalousie dans les yeux de Katja face à la scène dont ils étaient spectateurs.
— Je vais vous faire une autre confidence, Madame Karlova : en ce qui me concerne, le coup que vous m’avez fait en faisant participer ma sœur le jour où nous avons fêté notre victoire au jeu de Noël est pardonné.— Vraiment, Monsieur Clément ?— Oui. Grâce à vous, Cassandra et moi sommes devenus très proches. Nous l’étions déjà auparavant mais cet incident a resserré nos liens. Peut-être que vous aviez raison, ce jour-là. Par contre, je ne suis pas sûr que ma mère puisse le voir de la même manière un jour.— Merci, Monsieur Clément.— J’ai une dernière chose à vous demander pour aujourd’hui, Madame Karlova : je souhaite que vous descendiez à la cave et que vous vous joigniez à ma sœur pour dominer Laure.— Comme vous voudrez, Monsieur Clément.
Katja sortit du bureau. Sur les images, David la vit entrer dans la cave quelques instants plus tard. Le jeune homme observa un bref échange entre elle et Cassandra. L’employé de permanence s’attelait désormais à sodomiser Laure. Les deux femmes s’emparèrent de cravaches dans une armoire et frappèrent, à tour de rôle, le dos, les bras et les épaules de Laure. Excité par la situation, l’employé finit par éjaculer abondamment sur le postérieur de l’ancienne cheffe du service Juridique.
Le reste de la journée se déroula sans encombre. Avec l’aide de l’employé de permanence, Cassandra et Katja inventèrent de nouvelles façons de faire subir leurs envies à Laure. Vers seize heures, l’heure du bilan fut venue et David regagna le bureau de Marie pour lui faire part de ses impressions.  — Alors ? Comment se sont comportées mes soumises ?— Pour ma part, j’ai trouvé que Laure a très bien joué son rôle. Laurent et toi avez de la chance de l’avoir comme esclave.— Très bien. Merci Cassandra. Et toi, David ? Comment as-tu trouvé Katja ?— Elle s’est montrée très coopérative. Elle ne vous décevra pas.— Parfait. Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter la bienvenue, Mesdames, à la fois en tant que secrétaires de direction et en tant que soumises. Vous recevrez vos contrats sous peu.— Merci, Madame la Directrice.
Une fois la réunion terminée, David regagna son bureau pour récupérer ses affaires et quitter les locaux de l’entreprise. Il fut surpris d’y trouver Estelle.
— Estelle ?! Qu’est-ce que tu fais ici ? Tu ne devais pas être au sexshop ?— Ça fait un moment que je te cherche. On est vraiment dans de beaux draps.— Comment ça ?— Je ne me sentais pas très bien, ce matin. Je me suis demandé si ça n’avait pas un lien avec ce qu’il s’est passé entre nous, hier. Je suis donc allée faire un test de grossesse. Il est positif. Je suis enceinte.
Le visage de David se liquéfia. Sa pire crainte était devenue réalité. Pris de panique, il se demanda comment il allait pouvoir gérer cette situation. Il se résolut à jouer la seule carte qu’il avait à sa disposition.
— Tu as déjà décidé de ce que tu veux faire ? Tu souhaites le garder ?— Oui, je vais le garder. Je ne veux pas faire payer un innocent pour une bêtise que nous avons commise tous les deux.— Je comprends. Dans ce cas, il va falloir que je trouve une solution pour gérer au mieux cette situation.— Tu n’es pas seul, David, et il n’y a pas trente-six solutions possibles. Il faut que tu dises la vérité à ta copine, même si ce sera difficile et dangereux pour votre relation. — Je ne veux pas la perdre, Estelle.— Je sais, mais tu n’as pas le choix. Peut-être qu’elle comprendra.— J’espère.
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