Les deux jeunes femmes avancent de concert, tout en devisant gaiement. Elles sont certainement heureuses de se retrouver, rient à gorge déployée, s’arrêtent régulièrement pour faire des selfies, avec des sourires, des effets de bouches, des mouvements de leurs longues chevelures.Elles ont manifestement l’âge d’avoir leur baccalauréat, peut être débutantes en études supérieures ou bien dans le monde du travail, qui sait ? En tout cas, elles sont habillées comme des filles de leur âge, et prennent manifestement soin de leur personne. La première porte un pantalon noir moulant, troué au niveau des genoux, des bottines lacées avec un léger talon de quelques centimètres , un tee-shirt rose foncé par dessus lequel elle a enfilé un petit perfecto cintré couleur crème. Son amie a mis un pantalon taille haute, très large en bas, des baskets très tendance à semelle compensée, un chemisier blanc et un long manteau en laine. Il serait possible de s’attarder sur tous les détails de leurs tenues respectives pendant de longues minutes, il est clair que chaque accessoire a soigneusement été choisi en connaissance de cause, ce sont juste des jeunes filles entre dix-huit et vingt ans qui adorent le shopping, les fringues, les chaussures, et qui aiment le faire savoir. Rien d ‘extraordinaire au bout du compte…C ‘est ce que se disent machinalement les personnes qui les croisent, consciemment ou inconsciemment.Un observateur un peu plus averti remarquerait des petits détails, un trait de masculinité sur leur délicat visage, un éclat de voix un tout petit peu trop grave ou à contrario un peu trop haut perché par moment, un geste d’une féminité à la fois théâtrale et un peu trop calculée, et surtout, un buste plat marqué par l’absence de poitrine … L’observateur un peu plus averti se dirait « mais ce ne sont pas des filles !!! Ce sont deux superbes travestis, transgenres, transsexuelles, comment savoir ?? ». En fait, il s ‘agit juste de deux jeunes garçons androgynes, extrêmement efféminés, poussés par une même passion pour tout ce qui touche à la Femme, et bien conscients qu’ils ne sont pas comme tout le monde. David et Fréderic se sont ignorés pendant quatre mois suite à un grave conflit, et à l’issue d’une discussion téléphonique salvatrice, ils sont de nouveau les meilleurs amis du monde, et le bonheur qu’ils ont de se retrouver est palpable. — On se pose en terrasse ma chérie ?— Arrêeeeeeete, c’est pas parce qu’on a forcit le trait au niveau habillement qu’il faut qu’on se parle comme si on était des filles.— Chuuuut, tu adores ça …. Davina. Tu as vu comme tes cheveux ont poussé, tu es superbe Ma Belle. Allez viens on s ‘assoit.
David sourit et minaude en se passant la main dans les cheveux, réajuste ses superbes lunettes de soleil tellement girly, les deux amis se posent côte à côté et continuent leur discussion. Arrive la serveuse, une petite blonde gouailleuse toute contente de retrouver deux anciens habitués. — Qu’est ce que je vous sers les filles ?— Attend Chérie, on n’est pas encore passées sur la table d’opération. On y réfléchit hein Davina ?— T’es chiante Fred’, pas question qu’on me coupe ma petite nouille !! On peut avoir deux grands verres de Chablis s’il te plait ?— Ça marche les princesses, répond tout sourire leur serveuse.— Regarde ces photos, on est troooop belles !! Tu as une belle bouche à tailler des pipes ma Fred’ !!— Lol, t es trop folle toi !! Vas y Davina, poste sur notre story avec un #les2biatches.
Fréderic sort un paquet de cigarettes de son grand sac à main, les deux amis fument tout en poursuivant leur discussion, souvent sur le ton de la plaisanterie, ponctué par de grands éclats de rire qui leur font chaud au cœur, parfois en abordant des préoccupations plus sérieuses.Que vont ils devenir ? Aucun n’a d’appétences pour de longues études, et ils se rendent bien compte qu’ils sont « perfusés » financièrement par leurs familles respectives.David vit avec sa mère et son beau père, Fréderic vit avec son père qui est sur le point de lui présenter sa nouvelle amie.Les deux compères ont réussit sans trop de soucis à convaincre leurs parents qu’ils voulaient intégrer la même école privée de coiffure, une filière plus en adéquation avec leur choix de vie complétement assumé plutôt que l’armée, la police, le btp .. Leurs parents sont de toute façon bien conscients du côté « hors norme « de leurs enfants et sont dans une bienveillante acceptation, aidés par une relation suivie avec une psychologue. — Il faut que je te fasse une confidence Davina …— Oui ma Fred’ chérie.. C’est bon de te retrouver tu sais.— Pendant ces mois où l’on ne sait pas parlé, je me suis posé plein de question sur ma personnalité, ma féminité naturelle, mon absence totale de virilité.. j’ai découvert les vidéos de sissy training, sissy hypno, plein de vidéos géniales pour s’entrainer à devenir une bonne fille obéissante et soumise, et j’ai trouvé ça génial, ça m’a fait fantasmer.— Hummmm, t es une chipie toi !! Une petite cochonne qui s’ignore ! Sérieux, tu connaissais pas les sissy training, sissy academy, sissy school !! Moi aussi j’aurais des confidences à te faire, mais plus tard.— On bouge Davina ? Tu veux passer chez moi, ca fait des mois que tu n’es pas venue, je vais te montrer ma chambre et toutes mes fringues. Il n’y a que de l’unisexe et des fringues de filles !!
Ils arrivent à la maison de Fréderic, tout content de faire visiter son immense chambre avec sa salle de bain privative. Nul ne pourrait imaginer qu’il s’agit d’une chambre de garçon, l’endroit respire la féminité au propre comme au figuré, sans parler de la salle de bain, avec toutes ses cosmétiques, parfums, ustensiles de maquillages soigneusement alignés sur le plan de travail du lavabo. David ne peut s’empêcher d’observer, de commenter, et surtout de faire savoir que son univers est similaire à celui de Fréderic ! Quand son regard capte un accessoire encore typiquement féminin : — Hey Fred’, tu as un lisseur à cheveux !— Ba oui ma belle, tu sais bien que j’adore parfois avoir les cheveux bien raides.— Tu te souviens quand on jouait à la coiffeuse ?
Un silence s’instaure soudainement, Frédérique baisse le regard, ses longs cils relevés d’un peu de mascara semblent papillonner.Davina va chercher une brosse ronde dans la salle de bain et rompt le silence de sa voix tout douce. — Allez, c’est moi la coiffeuse, qu’est ce que je vous fait aujourd’hui Madame ?— Hoooo Davina, suis pas dans le move là !!! Davina a installé Frédérique sur sa chaise de bureau, se met derrière elle et commence à rassembler l’opulente chevelure de son amie comme si elle voulait les attacher. Elle les tire un peu en arrière, lui provoquant un petit cri. — Mais tu m’as fait mal !— Ho pardon ma Frederika chérie, je suis désolée. Je vais te coiffer doucement pour me faire pardonner. Tes cheveux sont presque aussi longs que les miens, on est trop belles toutes les deux !
Les mouvements de brosses effectués par Davina sont à la fois précis et emprunts de sensualité, elle sent que Frédérique est loin d’y être insensible.. — Alors ça te plait ma petite chérie ?— Humm, Davina, c ‘est trop bon, j’adore ça tu sais.— Miroir, Miroir, dis moi qui est la plus obéissante des sissy, dit Davina d’une voix toute basse. Tout en tirant en arrière la chevelure de son amie, cette fois volontairement plus fort, provoquant à nouveau un cri aigu.— Aie mais ça fait deux fois !!— Chuuuuuut ! Miroir, miroir…— Bon ça va, c ‘est bon, c ‘est moi.— C’est moi quoi ?
Frédérique pousse un petit soupir, se tortille sur sa chaise et dit en mettant en avant sa bouche ourlée : — C’est moi la Sissy la plus obéissante.— Hummm c’est bien Sissy Frederika, vous avez droit à une petite récompense. En maintenant les cheveux de Frédérique comme si elle voulait les attacher, Davina a dégagé le cou gracile de son amie et en profite pour se rapprocher et l’embrasser tout doucement. Ces quelques bisous doux et sensuels font chavirer Frédérique qui donne sa bouche à sa partenaire. Telles deux jeunes filles amoureuses, elles se font face, se câlinent, soupirent, s’embrassent à nouveau. Davina mène la danse, prend la main de Frédérique et l’emmène vers le grand lit. Rapidement, leurs affaires jonchent le sol, elles éclatent de rire en constatant qu’elles ont choisit de porter une petite culotte identique en dentelle, de couleur crème. Elles s’embrassent à nouveau, se pelotent doucement, des lèvres embrassent des tétons, des doigts frôlent des petits sexes érigés par une excitation qui monte de plus en plus. — Viens me lécher mon petit trou Frederika, j’en meure d ‘envie.. S’il te plait..
Davina s est mise à quatre pattes sur le lit, tourne son visage vers Frédérique en la regardant d’un air à la fois lubrique, ingénu, son amie ne va pas résister.Sa langue se fait hésitante, se pose sur le sillon fessier, une première fois, suivie de petits baisers qui se rapprochent de leur cible … Enfin Fred’ titille l’anus de Davina, enfonce une langue incroyablement experte, tout en la masturbant doucement. Davina gémit, couine comme une fille, finit par déverser sa jouissance.Elle prend la main de Frédérique pour y étaler son sperme. — Lèche tes doigts Sissy Frederika.
Ça se voit que Fred’ est en train de perdre pied, tout en prenant un plaisir qu’elle n’imaginait pas jusqu’à maintenant.Elles sont maintenant lovées l’une contre l’autre, se câlinent encore, se sourient, se font des petits baisers sur les lèvres. — Tu te rappelles que je voulais te faire une confidence ma Fred’ ?— Oui ma chérie.— C’est un peu délicat à révéler …— Vas y Davina, tu peux me faire confiance, vois comme nous nous sommes retrouvées ma Belle …
Davina pousse un soupir, soudainement ses yeux s’embuent, elle commence à expliquer que son beau père est devenu entreprenant.. Très très entreprenant … — Qu’est ce que tu veux dire par là ma puce ?— Fred’, t es conne ou quoi ? Depuis un mois, je le suce plusieurs fois par semaine !! C ‘est son arrangement pour que je reste à la maison avec tout le train de vie que tu connais. C’est ça ou devenir caissière en supermarché et vivre en foyer, voire tapiner, tu imagines ?? — Hoooo mon dieu !!— Ça va aller, Frederika, d’ailleurs, je voulais te demander un petit service …
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