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Davina & Frédérique

Chapitre 2

Ca se précise pour Frédérique ...

Travesti / Trans
Davina pousse un soupir, soudainement, ses yeux s’embuent, elle commence à expliquer que son beau-père est devenu entreprenant... Très très entreprenant...
— Qu’est-ce que tu veux dire par là ma puce ?— Fred’, t’es conne ou quoi ? Depuis un mois, je le suce plusieurs fois par semaine !!
C’est son arrangement pour que je reste à la maison avec tout le train de vie que tu connais.C’est ça ou devenir caissière en supermarché et vivre en foyer, voire tapiner, tu imagines ??
— Hoooo mon Dieu !!— Ça va aller, Frederika, d’ailleurs, je voulais te demander un petit service...— Tout ce que tu voudras ma belle, mais on verra ça plus tard, mon père ne va pas tarder à arriver.
Les deux garçons tellement androgynes s’activent soudainement, qui ouvre une fenêtre pour aérer, qui refait le lit, en quelques minutes, la grande chambre de Frédérique est rangée et ressemble à un univers de jeune fille sage.
— Viens Davina, on va se doucher.
Fred’ entraîne son amie en la prenant par la main vers sa salle de bain digne d’une starlette de télé-réalité. Elle prend une pince, rassemble la longue chevelure de Davina en un élégant chignon pour éviter les projections d’eau et fait de même pour elle. Les rires fusent sous la douche, les mains empreintes de gel moussant s’attardent sur leur corps respectif, l’atmosphère s’érotise à nouveau...Davina coupe l’eau, les deux amies se lancent des regards à la fois langoureux et complices, leurs bouches se cherchent, s’entrouvrent, leurs langues se mélangent en une savante chorégraphie...
Davina prend dans sa main si féminine le petit sexe de Fred’, durci par l’excitation du moment, et elle le branle doucement. Puis elle prend également son sexe, elle tient maintenant les deux pénis auxquels elle procure de délicieux va-et-vient.Frédérique pousse de petits gémissements.
— Putain c’est trop bon, tu me laisses essayer ?
— Bien sûr, ma choute, je suis à toi...
Les rôles s’inversent, au début hésitante, Fred’ prend de l’assurance... Et aussi beaucoup de plaisir !!
— Tu apprends vite ma Fred’, ta destinée de Sissy me semble toute tracée !
Frédérique regarde son amie, une fraction de seconde, interloquée, comme si une ligne symbolique infranchissable avait été dépassée. Mais l’excitation est trop forte, elle est terrassée par un orgasme d’une rare intensité, rapidement suivie par Davina.
Elles se font à nouveau de délicieux petits bisous sur les coins des lèvres, accompagnés de regards amourachés...
— Allez on se rince, là, mon père va arriver !!— Bah t’oublies rien ma puce ?
Frédérique ne comprend pas, lève un sourcil soigneusement épilé, interrogateur...
— Je ne vais pas rester le clito poisseux avec mon jus et ta mouille de fille, chérie, il faut que tu me fasses une petite toilette.
Fréd’ soupire, prend un gant de toilette, aussitôt stoppée dans son élan par Davina.
— Mais t’es blonde ou quoi ?? Avec ta bouche et ta langue, et je veux que mon clito soit rutilant !!— Haaa non là c‘est bon, je ne joue plus, ça va trop loin !!— OK OK, comme tu veux... Je pensais juste t’aider comme ça, après tout c’est toi qui m’as raconté que tu passais des heures à regarder ces vidéos de Sissy traîning... Bon, je vois bien, t’es un peu coincée, c’est pas bien grave ma belle, on va s’en remettre...
Et Davina, très grande dame, sort de la douche italienne pour s’enrouler dans une grande serviette de bain.
— Attends Davina, sérieux, tu es vraiment fâchée ?— Pas du tout, oublions ce malheureux incident, et passons à autre chose. De toute façon, comme tu le dis si bien, ton papa adoré ne va pas tarder.— Pardonne-moi ma chérie, je suis désolée de t’avoir contrariée.
Frédérique retire la serviette portée par son amie, s’agenouille et attrape délicatement le sexe de Davina, le met dans sa bouche, l’aspire avec de petits bruits de succion, passe sa langue autour du gland, le lèche avec dévotion.Davina a retiré la pince qui maintenait les cheveux de Fred’ attachés, ils tombent en dessous de ses épaules, elle les reprend dans sa main, tire sa tête en arrière.Frédérique ne peut qu’accompagner le mouvement en regardant sa partenaire d’un œil interrogateur.Elle lui tapote la joue d’une façon condescendante en lui parlant doucement.
— C’est parfait ma Princesse, tu t’y prends très bien. Tu vois, c’était pas la peine de faire des petits caprices... Allez, on peut s’habiller maintenant.
Fred’ ne sait pas si elle doit être reconnaissante ou énervée, elle se dit que l’heure tourne et que l’on verra plus tard.En quelques coups experts de brosse, elle s’est recoiffée, elle attache ses cheveux en une longue queue-de-cheval qui part du haut de sa tête, et se rhabille en quelques minutes.
— Je reste à la maison ce soir, je me mets en mode détente.
Elle enfile une petite culotte de fille en coton, un short en jean moulant qui lui fait de superbes fesses et passe négligemment un maillot d’une célèbre équipe de footballeurs, sans oublier quelques effluves d’un parfum capiteux et féminin.Davina ne peut s’empêcher de la reluquer :
— Même quand tu habilles avec trois fois rien, tu fais trop fille, c’est impressionnant !!
Elle remet ses vêtements, se recoiffe également, choisit de laisser ses cheveux détachés, ils tombent en cascade largement en dessous de ses épaules.Et elle se remaquille légèrement, juste un peu de eye lyner et de mascara.
— Juste on time ma Fred’ Chérie !! En tout cas, j’ai adoré nos petits jeux entre filles, c’était trop bon.
Frédérique se colle contre Davina, lui fait un câlin, « oui, j’avoue c’était divin, tu es une redoutable initiatrice !! »
— FREEEEDDDDD !— On descend Papou !!
Telles deux adolescentes, elles prennent l’escalier en se chamaillant gentiment.
— Bonsoir Papou.
Frédérique saute au cou de son père.Davina lève les yeux au ciel en se disant en aparté « bonsoir Papou, non, mais je rêve, quelle gourdasse !! t’as quel âge, putain ?? »
— Papou, tu te rappelles de Davin... de David ? Tu as dû le voir à plusieurs reprises par le passé.
Le père de Fred’ s’appelle Bernard, c’est un cadre supérieur d’une petite cinquantaine d’années, qui présente bien comme on dit. Dans son entreprise, c’est un tueur, mais dans la vie privée, c’est la crème des hommes.Pauvre Bernard... Il a en face de lui deux jeunes folles plus féminines l’une que l’autre, et l’une d’entre elles est son fils.Mais il fait avec, essaye d’accompagner, de dialoguer, d’être dans l’empathie...Et puis Bernard est avec une nouvelle compagne, qu’il va devoir bientôt présenter à Fréderic.
— Ha heu oui bien sûr, bafouille-t-il en rougissant, ça va David ? Dis donc tu as changé... Heu enfin, c’est pas ce que je veux dire, enfin bon, tu m’as compris quoi !!— Ne vous inquiétez pas Bernard !
Davina s’est approchée pour lui faire la bise, ça se voit que Bernard est quelque peu dépassé par les événements.Davina laisse doucement sa bouche se poser sur la joue de Bernard et effleure sûrement involontairement la commissure de ses lèvres...
— Ho mon Dieu, je vous prie de m’excuser, je suis vraiment sûrolée !!
Plus rouge et plus confus que Bernard, ça ne doit pas vraiment exister, il bredouille un « mais non ce n’est pas grave, enfin si, mais non ce n’est pas ce que je veux dire... »Il bat en retraite vers la cuisine, prend une bière dans l’immense frigo américain, il a manifestement besoin de se rafraichir et de se remettre de ses émotions !Fred’ va taquiner gentiment son père.
— Et nous on sent le gaz, Papou ??
Bernard a envie de disparaître sous terre, il est manifestement troublé par ces deux très belles jeunes femmes qui sont en fait des garçons.
« On ne prend pas de bières si ça ne vous dérange pas, Bernard, vous ça vous va bien, vous êtes un mâle alpha, mais pour nous, ça risquerait de faire vulgaire « lui dit Davina en lui lançant une œillade canaille.Puis en minaudant comme elle sait si bien faire :« Vous n’auriez pas du vin blanc sec au frais par hasard ? »Le père de Frédérique n’est pas mécontent de cette petite diversion, et tout en se demandant ce qu’est un mâle alpha, prépare un plateau avec une bouteille de vin blanc bien frais, deux verres à dégustation et quelques olives déposées dans un bol.
— Installez-vous sur la terrasse et pas d’excès hein !! — Hoooo Papou, t’es trop mignon !! — Merci Bernard, c’est adorable.
Davina a bien calculé son ‘c’est adorable’ plutôt qu’un ‘vous êtes adorable’ qui aurait sûrement suscité des questions tant du côté du Papa que de Frédérique.Elle se félicite intérieurement d’un « t’es trop forte ma fille » et savoure le moment présent :Elle s’est réconciliée avec sa meilleure amie, a eu ensuite deux délicieux orgasmes, elle a joué subtilement et d’une façon jubilatoire au chat et à la souris avec son père, et la journée n’est pas terminée.
— A la nôtre ma chérie, lui dit Fred’, tout en allumant une nouvelle cigarette, et en soufflant la fumée avec élégance.
La main de Davina s’attarde sur les longues jambes fuselées de sa partenaire, tout en jetant un œil vers l’intérieur de la maison pour s’assurer que personne ne les observe.
— Écoute Frederika, le service que je voulais te demander n’est pas forcément... hummm... évident à écouter, et surtout à accepter...— Mais non ma belle, je te fais confiance, et puis tu ne vas pas me demander d’aller faire la pute sur un chantier non ?
Cette remarque décalée les fait toutes les deux éclater de rire. Davina boit une gorgée de vin, allume elle aussi une cigarette, prend une grande inspiration... Et se lance.
— Tout à l’heure, je t’ai dit que je faisais des fellations à mon beau-père deux fois par semaine, parfois plus... Régulièrement, je craque, je n’en peux plus, j’ai besoin d’aide.
A nouveau, les jolis yeux en amande de Davina s’embuent, ce qui rend Fred’ pleine de compassion.
— Il y a des solutions, je ne sais pas, parles-en à ta mère, refuse-toi à ton beau-père, il ne va pas te mettre à la rue pour refus de gâterie !!— Fred’, ma choute, ma mère ne pense qu’à son boulot, elle est toujours partie en déplacement à droite à gauche, et je pense qu’elle ne voudrait pas voir ce qui se passe sous ses yeux : son fils, qui est plus transgenre que garçon, qui taille des pipes à son ami, tu imagines ??
Non, la solution c’est que je lui présente quelqu’un qui lui donne envie de se détourner de moi, au moins de temps en temps.
Un silence s’instaure.Frédérique finit son verre de vin, et tourne lentement la tête vers Davina.
— Je ne suis pas sûre de comprendre...— Au contraire, tu comprends très vite, Fred’, tu es une bonne fifille !! Je déconne, laisse-moi t’expliquer et après tu me dis, OK ?— Ne me dis pas que je vais...— Chuuuuut mon amour... Ressers-moi, mon verre est vide.— Hey, tu pourrais être polie non ??— Ressers-moi, mon verre est vide.—.....— Arrête de faire ta mijaurée, je sais très bien que ça te fait mouiller ta petite culotte d’obéir !— Maiiiiiis non, lui dit Fred ‘, tout sourire, en remplissant le verre de son amie.
Davina effectue un grand mouvement avec ses cheveux pour les faire passer d’un côté de son épaule.
— Dis donc, ton père, il nous mate ou quoi ?— Arrête, t’es folle !!— Bon, écoute-moi bien, Fred’, qu’est-ce que tu dirais d’expérimenter pour de bon tout ce que tu vois dans tes vidéos de sissy traîning ? Mais quelque chose de très soft, tu pourrais effectuer une sorte d’apprentissage avec mon beau-père, Jean Luc, ça te mettrait en confiance et je suis sûre que tu adorerais être avec un généreux sugar Daddy... Et moi, ça permettrait de me reposer un peu, mais tout en étant à tes côtés, je te rassure... Et si je vois que Tonton Jean Luc est un peu trop entreprenant avec ma petite Frederika, et que ça va trop vite pour elle, je serai là pour freiner ses ardeurs.—........— Je ne sais pas si tu imagines la chance que tu as Fred’ ??— Tu ne crois pas que tu exagères en disant ça ? Je vois bien que tu essayes de prendre l’ascendant sur moi, et m’emmener je ne sais où, je ne suis pas aveugle !— J’avoue, j’aime bien te bousculer un peu ma chérie, je trouve ça trop adorable quand tu es tout obéissante. Mais jamais je ne te ferai du mal ou te mettrais en danger. Et quand je parle de chance, je suis sérieuse, tu vas pouvoir t’habiller en femme bien plus que d’habitude, exacerber ta féminité envers un bel homme qui te respectera et t’emmènera dans un voyage initiatique. Et c’est toi qui choisis d’arrêter ou de continuer. Je peux te dire que mon apprentissage, je ne l’ai pas fait dans ces conditions privilégiées !!
Davina a l’intuition que son amie n’est pas insensible à ses propos... Elle sait très bien être persuasive, voire manipulatrice, et se dit qu’elle en a assez dit pour ce soir.
— Je te laisse réfléchir ma puce, ce n’est pas à la minute... Et puis tu auras peut-être des questions à me poser sur comment ça peut se passer, tout ça...— Tu vas vite en besogne Davina, mais OK, je vais réfléchir... En tout cas, tu es redoutablement convaincante !!
Davina est maintenant sur le départ, elle salue Bernard en n’oubliant pas de le remercier pour le vin blanc et se fait raccompagner par Fred’.Elles se font un dernier bisou sur les lèvres avant de se séparer et Davina monte dans sa petite citadine.
— Je t’appelle ma chérie, bisous, lui lance Davina de sa voix un peu trop aiguë.
C’est parti pour un petit trajet d’une vingtaine de minutes, Davina a connecté son smartphone au Bluetooth de sa voiture et appelle sa mère.
— Salut Maman, c’est moi, comment ça se passe ?—.........— Tu rentres bientôt de ton déplacement ? Dans deux jours ?—.........— OK, c’est parfait ! J’espère que ça se passe pour toi. Oui, je prends soin de Jean Luc, ne t’inquiète pas, je lui fais des bonnes salades, c’est bon pour sa ligne !! Et puis tu sais que dès que je prends 100 grammes, c’est la cellule de crise !!—.........— OK, bisous Maman, à dans deux jours !
Davina raccroche en soupirant.Elle est presque arrivée à bon port, elle se gare, et se contemple dans le rétroviseur.
— je suis quand même bien foutue, se dit-elle.
Elle ébouriffe sa tignasse pour se faire un savant décoiffé et sort sa trousse à maquillage de son sac à main.En moins de deux minutes, ses lèvres charnues sont habillées d’un superbe rouge carmin et ses yeux sont devenus charbonneux à grand renfort d’ombre à paupières.Elle remplace les clous dorés qu’elle porte aux oreilles par d’immenses anneaux créoles.Elle peut aller retrouver son beau-père.Ce dernier pianote sur son laptop, assis sur son canapé, il lève machinalement les yeux en entendant Davina rentrer dans la maison.On a l’impression que Jean Luc s’arrête de respirer. Ou qu’il va faire une crise cardiaque.Il est littéralement tétanisé par l’outrageuse féminité qui se dégage de son beau-fils, et il lui faut quelques secondes pour se reprendre.
— Comment tu es trop belle Davina, je crois que je ne t’ai jamais vue comme ça !— Je me suis faite belle pour moi... Et pour toi mon chéri.— Pfuuuu si ta mère t’entendait, elle t’arracherait les yeux !
Davina s’assoit sur le canapé, croise lentement ses jambes, et regarde son beau-père d’un air carnassier, en contemplant la protubérance de son pantalon.
— Dis donc, je te fais de l’effet gros cochon. Je veux bien m’occuper de toi, mais je voudrais bien une petite coupe de champagne auparavant. Et puis je vais te raconter ma journée !
Jean Luc se lève avec prestance de son canapé, se dirige vers la cuisine et revient rapidement avec deux coupes et une bouteille de champagne.Il pousse un grand soupir tout en officiant avec assurance.
— J’en peux plus Davina, tu me fais trop bander, c’est pas possible.
Entre temps, Davina s’est déchaussée, et un délicat pied gainé de nylon s’approche de l’entrejambe de Jean Luc.
— Si tu m’écoutes, je serai très très gentille avec toi mon petit chéri.
Se faisant, son pied exerce une pression sur le sexe en érection de Jean Luc qui manque de défaillir.Davina trempe ses lèvres dans sa coupe, apprécie le champagne.Elle savoure le moment présent, elle se sent bien. Elle porte à ses lèvres une nouvelle cigarette que son beau-père s’empresse galamment de lui allumer.
— J’ai des très bonnes nouvelles, Jean Luc. Je pense que Fred’ va se laisser convaincre, tu vas avoir une petite sissy obéissante à initier.
D’un seul coup, Davina transforme son regard plein d’assurance en quelque chose s’apparentant à une biche effarouchée :
— Mais il ne faudra pas la bousculer hein, enfin pas trop, c’est une débutante. Mais à haut potentiel !
C’en est trop pour Jean Luc qui ouvre sa braguette, un sexe turgescent, suintant de présperme, jaillit telle une barre de chair.
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