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Davina & Frédérique

Chapitre 4

La sissification de Frédérique

Travesti / Trans
Davina est en route pour retrouver Frédérique. Toujours très caméléon, elle a aujourd’hui endossé un look mi-pouffiasse – mi-pute de cité, de temps en temps elle aime bien s’encanailler ainsi.Ses longs cheveux sont coiffés d’une casquette de base-ball, ses yeux en amande sont cachés par une paire de ray ban. Par dessus un petit haut sexy à bretelles en dentelle, elle a enfilé un coûteux bombers vintage américain.Elle porte un pantacourt qui laisse parfois voir le haut de son string, elle est chaussée de magnifiques sandales à talons compensés de 8 centimètres.
Comme Fred’, elle a un entraînement conséquent sur la marche à hauts talons. Tout en conduisant, elle repense avec nostalgie à l’époque où, adolescentes d’une quinzaine d’années, elles passaient des heures dans l’immense dressing de la maman de Davina, à essayer toutes sortes de chaussures plus féminines les unes que les autres, à déambuler avec des déhanchés d’apprentis mannequins.La mère de Davina est une fashion victime assumée, et elle a bien transmis à son fils David ce trait de caractère, cette passion.
Machinalement, Davina se regarde dans le rétroviseur de sa petite voiture de ville.
— Putain, y a pas à dire, je suis sacrément bonne, une vraie bombasse. Je me kiffe trop !
Puis quelques minutes plus tard...
— J’ai une envie de baiser aujourd’hui, je sais pas ce que j’ai... Bon, on va voir ce que je peux faire avec ma petite Fred’, elle est douée la sissy, sous ses faux airs de sainte-nitouche.
Davina s’est garée et se rend d’une démarche à la fois assurée et féminine vers la maison de Frédérique.Elle contemple ses ongles soigneusement manucurés avant d’appuyer sur la sonnerie de la porte d’entrée.
— Je crois qu’on a sonné là, tu vas peut-être bouger ton cul de pétasse non ?— Heuu pardon maîtresse Reyane, désolée... Je suis un peu...— Mais t’es rien du tout Chérie, tu es en train de découvrir que tu es une bonne salope destinée à servir les êtres supérieurs comme ta maîtresse, on va pas en faire des caisses. Allez file ouvrir !!
Penaude, Frédérique se rend vers l’entrée et accueille son amie avec un air de chien battu.
— Wesh meuf !

Davina se met dans son rôle de bitch de banlieue, avant de réaliser dans la seconde que la situation est inhabituelle.Elle dispose d’un solide sens pratique, couplé à une intuition souvent sans faille, pour le coup tous ses capteurs sont en alerte.
— Ma puce, qu’est-ce qui t’arrive ?— Rien, Davina... Je ne t’embrasse pas, j’ai eu un petit souci (*). Viens je vais te présenter à la nouvelle amie de mon père.

(*) Le petit souci évoqué par Frédérique est évidemment lié au fait qu’elle a léché les orteils tout transpirants de sa belle-mère dans le chapitre précédent.
Davina suit Frédérique, ôte casquette et lunettes de soleil, secoue sa luxuriante crinière, et se dirige vers la belle-mère de Frédérique, pour la saluer poliment.Reyane ne répond pas à son bonjour, la toise de haut en bas, d’un regard méprisant.
— Ça y est, la deuxième lopette est arrivée. Il n’y en a pas une pour rattraper l’autre ! C’est quoi votre programme de la journée, les filles, allez faire l’abattage sur un chantier et vous faire enculer à la chaîne ?
Reyane sourit d’une façon sarcastique, son sourire tient plus du rictus, d’ailleurs.Frédérique voudrait disparaître, se cacher, quant à Davina, elle ne va pas se laisser démonter :
— Deux lopettes ? Tu vois deux lopettes ici Fred’ ?? Chère Madame, moi je vois deux splendides travestis, dont la remarquable beauté rend jalouses la plupart des femmes bios que nous croisons. Et face à nous, nous avons une espèce de mégère grimaçante, bientôt ménopausée, qui voudrait nous apprendre la vie, non mais je rêve !!
Ça se voit que Reyane va exploser, elle n’a pas l’habitude d’être contredite, et d’une façon aussi humiliante. Menaçante, elle s’approche de Davina, prête à lui sauter à la gorge.Cette dernière lève ses bras en avant, dans une attitude défensive.
— Mais arreteeeeeeeez !! commence à pleurnicher Frédérique, en mode folle perdue !
Davina entame d’ultimes négociations :
— Tu vas faire quoi là ? Tu veux me casser la gueule ?? Vas-y fais-toi plaisir, je suis une jeune fille de bonne famille moi, je ne sais pas me battre et ça m’intéresse pas, je ne sors pas du caniveau comme toi !
Et Davina tend soudainement un doigt menaçant :
— Mais je te préviens, j’ai un bon petit réseau, prêt à se mobiliser dans la minute avec juste un SMS. Si tu lèves le moindre petit doigt sur moi, tu vas prendre cher ma belle, et au centuple.
L’atmosphère ne saurait être plus étouffante, un lourd silence succède aux propos de Davina, et c’est au tour de Reyane de répondre, elle choisit de battre en retraite.
— OK. Je me suis trompée sur ton compte, j’ai été aveuglée par l’autre geignarde de Fred, j’ai cru que tu étais son clone. Tu es tout le contraire d’une soumise. Hummmm... Je m’excuse.
Celle qui aurait pu devenir son ennemie jurée se fend d’un grand sourire chaleureux :
— Excuses acceptées ma chérie, tout le monde peut se tromper !! Hein Fred ! Va donc nous chercher du vin blanc de ton Papou adoré, toute cette discussion m’a donné soif et je voudrais trinquer avec ma nouvelle amie. Et ramène tes cigarettes.
Une nouvelle fois, Frédérique obéit aux commandements de Davina, pas de « s’il te plaît », pas de «tu voudrais bien », pas de « je vais t’aider ».Juste un ordre sans appel, prononcé par son amie d’enfance, et le constat récurent que cela lui plaît, bien au-delà de ce qu’elle aurait pu imaginer.Telle une employée de maison servile et zélée, Fred’ a dressé sur un plateau une bouteille de vin blanc sec bien fraiche et deux verres à vin, elle y ajoute les cigarettes réclamées, un briquet, un cendrier.Davina et Reyane, assises sur l’immense canapé du salon, contemplent l’arrivée de leur dorénavant victime favorite, et c’est Davina qui prend la parole :
— Tu as vu comme elle est bien élevée notre Fred’, elle n’a ramené que deux verres, un pour toi, un pour moi. N’importe quelle débutante aurait ramené trois verres. La pauvre chérie mérite quand même une récompense, elle a été presque exemplaire, elle peut trinquer avec nous, tu es d’accord Reyane ?— Bien sûr Davina, il faut savoir récompenser le petit personnel ! Qu’est-ce que tu en dis, Fred ?— Heuuu, je vous remercie Maîtresse Reyane.— Maîtresse Reyane !!!! Waouh, mais tu m’as jamais appelée Maîtresse Davina, ma Belle !! Tu essaieras à l’occasion, je me demande quel effet ça fait !! Si ça se trouve, ça va m’exciter !
L’ambiance se détend enfin, un éclat de rire général parcourt nos trois protagonistes, le cours normal des choses est enfin en train de reprendre.Frédérique commence à se décontracter, elle savoure son verre de vin tout en fumant son éternelle cigarette.Ça discute à bâtons rompus, ça papote entre filles comme si de rien n’était, on commence à parler fringues et coiffure. Reyane s’adresse à Davina :
— Tu crois pas que ça irait super bien à Fred’ de blondir un peu ?? Commencer par un petit balayage par exemple ?— Ha ouiiii, carrément !! C’est trop drôle, je me suis déjà fait la réflexion !— Moi je me trouve très bien comme ça, et je n’ai pas envie d’abimer mes cheveux, même avec des colorations végétales, répond Fred’ en passant ses doigts dans sa magnifique chevelure, d’un geste à la fois féminin et précieux.
Davina se tourne vers Frédérique avec un regard plein d’empathie et de sincérité :
— Pas de soucis, ma puce, on discute, et puis toi aussi tu me donnes plein de conseils Beauté, et je les suis régulièrement d’ailleurs. Ceci dit, je dis ça, je dis rien, tu serais encore plus bandante en blonde.
Fred s’imagine soudainement en bimbo blondasse, vulgaire à souhait, elle sent à la fois le rouge aux joues lui monter et son bas-ventre qui s’échauffe.Reyane acquiesce en s’esclaffant, négligemment sa main frôle la cuisse de Davina.
— Tu as vu comme elle rougit la petite Sissy, c’est trop chou. Ça en est presque excitant d’ailleurs ! Au fait, il rentre à quelle heure Papou chéri, ma puce ?
Machinalement, Fred’ consulte son portable et voit que son père lui a envoyé un SMS.
— Il dit de ne pas nous attendre, qu’il en a encore pour deux bonnes heures, et ça c’était il y a cinq minutes.— Approche-toi ma choute, lui ordonne Reyane, et docilement Frédérique s’exécute.
Reyane passe son index sur les lèvres de Fred’ et met un tout petit peu de pression pour lui faire ouvrir la bouche.
— Si j’ai bien compris, on a deux heures devant nous, c’est ça bien ça Sissy ?— Heuu oui maîtresse Reyane, mais...— Chuuuut, tais-toi petite pétasse. J’ai la chatte en feu depuis tout à l’heure.
Davina se colle contre Reyane, tout en ondulant d’une façon très féline.
— Je crois que ça nous ferait du bien à toutes les deux si Frederika nous faisait une bonne petite toilette intime, tu ne crois pas ma chérie ?
Fred’ ne sait plus où elle habite, complètement interloquée, elle voit Davina et Reyane s’embrasser avec passion.
— Déshabille-nous Sissy, on a le feu au cul, là !!— Hummmm, allez Fred’, dépêche, tu as envie de nous torturer ou quoi ?
Les deux pestes éclatent de rire, ravies de ce bon mot.
— Hoooo ta peau est trop douce, Reyane, susurre Davina en lui caressant ses longues jambes.
Fred’ a œuvré pour aider ses deux maîtresses à se dénuder, tous ses sens sont en éveil, et en bonne apprentie soumise, elle attend un commandement pour agir. Elle est dorénavant le seul membre de ce trio atypique à être encore habillé.Les doigts de Davina s’attardent sur l’opulente poitrine de Reyane, elle la pelote sensuellement, pince très légèrement ses tétons, juste ce qu’il faut pour lui arracher un gémissement de plaisir.
— J’adore tes seins, chérie...— C’est vrai ? Tu devrais te faire poser des implants mammaires, tu ferais une magnifique Maîtresse Davina !— Hummm, arrête, tu m’excites ma belle... Regarde, mon clito est tout dur, tu me fais couler...
Reyane se tourne vers Frédérique, le regard dur :
— Alors, tu fais quoi, espèce d’empotée, tu ne vois pas que mon amie a besoin de ta bouche !
Frédérique a la présence d’esprit de se dire que si elle était intervenue d’elle-même pour soulager Davina, elle aurait été tancée, voire punie, elle était de toute façon condamnée à être réprimandée.Il n’y a pas que les deux dominas qui sont excitées, Fred’ a aussi très envie d’être de la partie, et c’est avec délectation qu’elle prend en bouche le pénis de Davina, qu’elle l’aspire délicatement, le pompe avec amour, tout en regardant son amie dans les yeux. Elle change de rythme, accélère puis ralentit, lèche les couilles de Davina, qui miaule, qui couine...
— Putain, c’est trop bon ce que tu me fais ma chérie, j’adoooore, hummmm... Arrête, tu vas me faire exploser, occupe-toi un peu de ton autre Maîtresse, elle coule au moins autant que moi.
Davina embrasse à nouveau Reyane, les deux amazones se mordillent les lèvres, elles soupirent, elles gémissent.Fred’ passe avec aisance de la fellation au cunnilingus, sa bouche broute sensuellement l’abricot odorant de Reyane (qui ne s’est toujours pas douchée après sa séance de jogging !), notre sissy est aux anges.Pendant ce temps, Davina se branle distraitement, tout en observant la scène avec un plaisir pervers, et tout en étant également perdue dans ses pensées...
« il va falloir que je la surveille, la vieille pute, je veux bien partager mon jouet, mais pas trop. Et si elle prend trop de place, je vais l’écarter vite fait en montant une petite embrouille dont j’ai le secret... Genre qui ferait que Bernard foutrait dehors manu militari sa garce de compagne... Hummm c’est bon ça, ça me fait encore plus bander d’être aussi salope ! »
Davina attrape son Smartphone et commence à filmer Fred’, tout en se masturbant de plus en plus vite.
— Approche-toi petite cochonne, tu vas te prendre un bon jet de foutre sur ta petite gueule de fille à Papa.
Frédérique a compris, se reconnaît dans ces vidéos de sissy traîning qu’elle affectionne tant, elle ouvre sa bouche, tire la langue, se retrouve inondée de sperme, sur son visage, dans ses cheveux, elle en avale une partie tandis que Davina est terrassée par un puissant orgasme.
Ça cogite à nouveau dans la tête de Davina, pendant que Fred’ a repris son cunnilingus.Dépêche-toi de finir ta vieille catin de belle-doche ma chérie, j’ai envie d’être seule avec toi, qu’on se fasse des petits câlins, qu’on se retrouve entre nous...
Frédérique varie le tempo, provoque de doux ralentissements, joue avec sa langue, ses lèvres, ose s’aventurer au niveau de l’anus de Reyane, d’ailleurs celle-ci approuve bruyamment en poussant des petits feulements rauques...Elle écarte les grandes lèvres du sexe de sa Maîtresse, décalotte doucement son clitoris, y dépose quelques baisers, s’enhardit en mordillant tout doucement sa vulve...Toutes ces actions savamment orchestrées finissent par déclencher une onde de plaisir intense, qui monte qui monte... Et qui finit par prodiguer à Reyane une immense jouissance, qui en rendrait presque jalouse Davina !
Reyane s’étire tel un félin, et s’adresse à sa sissy, en la regardant dans les yeux, presque amoureusement.
— Putain, c’était trop bon ma petite chérie, tu t’y prends bien mieux que ton père, tu sais y faire ma belle. Et tu sais pourquoi tu t’y prends tellement bien ?—...— Parce que tu adores servir Maîtresse Reyane, tu es tellement faite pour ça que tu veux être parfaite. Par contre, il ne faut surtout pas me décevoir ma petite sissy, on est bien d’accord ?— Bien sûr Maîtresse, oui Maîtresse Reyane.
Frédérique répond servilement à sa belle-mère, sous le regard courroucé de Davina qui prend sur elle pour ne pas exploser. Elle est en train de se faire damer le pion par sa pseudo nouvelle amie !Et Reyane finit de marquer son territoire, elle sort vainqueur de ce combat tacite dont l’enjeu est de prendre l’ascendant sur Frédérique.
— Viens avec moi chérie, je veux que tu viennes me laver et me faire un brushing, tu veux être coiffeuse non ? Et on a encore un peu de temps avant l’arrivée de ton père.
Dépitée, Davina rassemble ses vêtements, et se dirige vers la chambre de Fred’ pour aller se doucher. Elle se dit que cette manche lui a échappé, mais ce n’est que partie remise, Davina compte bien utiliser toute son influence, tout son sens de la manipulation pour remettre son amie dans « le droit chemin ».Fred’ doit être aux ordres de Davina, fin de l’histoire !!
Pour l’instant, Frédérique suit docilement sa belle-mère vers l’immense suite parentale, la soumise attend les ordres de sa Maîtresse tout en portant ses vêtements.Fred’ a intégré les codes implicites d’une relation dominé-dominant en un laps de temps très court, elle est la première à s’en étonner.De son côté, Reyane aime bien alterner dureté et douceur, humiliation et empathie, elle a détecté une candidate idéale en la personne de son beau-fils. Enfin de sa belle fille !Elle sent bien que ces changements radicaux de comportements sont déstabilisants pour la pauvre Frédérique qui ne sait jamais sur quel pied danser.
— Déshabille-toi ma puce, et viens me laver, j’ai envie de sentir tes mains sur moi.
Avec célérité, Fred se dévêt et rejoint sa maîtresse dans la cabine de douche digne d’une revue de décoration et commence à s’occuper de Reyane.On sent dans la façon dont elle s’applique que tout cela va très au-delà d’un simple jeu érotique.Le petit sexe de Fred’ a de nouveau bien durci.Reyane le prend dans sa main, fait quelques va-et-vient, s’arrête, assène quelques petites claques sur le postérieur de sa sissy, lui pince les seins sans ménagement...Tout cela est évidemment délicieux pour Frédérique, et si frustrant, elle a tellement envie de jouir à nouveau...
— Viens me laver les cheveux ma belle, je vais voir si tu es une bonne apprentie coiffeuse. Il est mignon ton petit clito, mais ce n’est pas avec ça que tu vas donner du plaisir à une femme. Il faut que tu apprennes à jouir avec ta chatte anale, avec la queue d’un vrai mâle ou le gode d’une maîtresse. Ton clito serait bien mieux encagé d’ailleurs...
Frédérique s’applique, shampouine les cheveux de Reyane, lui masse délicieusement le cuir chevelu pendant quelques minutes, effectue le rinçage, coupe l’eau, va chercher serviette et peignoir pour s’occuper de sa Maîtresse...Tout en étant perturbée par ses précédents propos, chatte anale, clito encagé... Vers quel univers se dirige-t-elle ? Et si elle en parlait à sa psy ?Elle a hâte de retrouver Davina, en même temps elle redoute sa réaction... Mais après tout, quand on est soumise, on obéit sans se poser de questions !
Rapidement, Frédérique s’empare d’une bombe de mousse coiffante, d’une brosse ronde, d’un séchoir à cheveux, de quelques pinces, et commence à œuvrer. Une vraie future coiffeuse, qui attrape une par une de longues mèches, tire avec la brosse, applique le séchoir quelques secondes sans jamais aller jusqu’à une surchauffe qui serait préjudiciable pour les cheveux de sa Maîtresse...En une vingtaine de minutes, Reyane se retrouve avec un superbe brushing digne d’un vrai salon de coiffure.Reyane pourrait encore harceler Fred’, mais elle en a assez et choisit de la congédier en la félicitant chaleureusement. Prudemment, Frédérique murmure un « Merci Maîtresse » avant de s’éclipser en ramassant rapidement ses affaires.Elle traverse la maison, monte l’escalier, se dirige vers son immense chambre, son univers, son havre de paix. Elle a envie de se poser après toutes ces émotions tout en redoutant les foudres de Davina. Comment va-t-elle réagir ?
Davina est allongée, encore nue, sur le lit de Fred’, elle semble captivée par une vidéo qu’elle regarde sur son téléphone. Elle ne calcule absolument pas son amie d’ailleurs.Fred’ murmure un petit « Davina ? » à peine audible et son amie daigne quitter des yeux son smartphone pour la regarder, en mode « tiens, t’es là toi ? ».Fred’ se sent pathétique, elle ne sait pas trop comment réagir, et c’est évidemment Davina qui va prendre les choses en main.Elle a un point commun avec Reyane, elle aime bien bousculer son amie en alternant sans prévenir des moments de domination et de tendresse.Mais elle n’est pas si garce que ça, du moins pas en permanence !
— Allez viens ma puce, fais pas ta timide.
Ces douces paroles sont comme du miel pour Fred’, elle fond littéralement et tombe dans les bras de Davina.Nos deux jeunes travestis s’étreignent longuement, se câlinent langoureusement.Davina lui susurre d’une voix rauque « tu n’as pas pris beaucoup de plaisir dans toute cette histoire, laisse-toi faire mon amour ».Frédérique soupire de contentement, ferme les yeux, se laisse aller, tandis que sa partenaire entreprend de la sucer à son tour.
— Hummmm c’est bon...
Et Davina a du savoir-faire, elle est rompue à l’exercice, elle a des heures de vol comme on dit... Et surtout elle adore ça.Mais avec son amie, c’est différent, ce n’est pas comme si elle suçait la queue d’un vrai mâle en lui faisant une gorge profonde dont elle a le secret, elle se retrouve plus dans une joute amoureuse entre filles où complicité et douceur sont les maîtres mots.Davina lèche les petites couilles de Fred’, descend plus bas, se rapproche de l’anus de son amie, écarte ses fesses.De doux baisers sont déposés sur le futur puits d’amour de Frédérique, cette dernière gémit, n’en peut plus.
— Qu’est-ce que tu me fais, Davina ? supplie la jeune sissy...

Davina ne s’arrête pas pour autant, commence à exercer une subtile pression avec son index sur le petit trou de Fred’, insiste un peu plus...
— Ho la la, qu’est-ce que tu es serrée, mon beau-père va adorer ça !— Arrête Davina, c’est trop bon !!
Davina a repris sa fellation, tout en continuant à titiller l’anus de son amie, bien évidemment, ces délicieuses caresses vont porter rapidement leurs fruits et Frédérique part dans un long orgasme, elle crie, elle hurle, elle gémit, tout cela n’est que trop délicieux !Davina n’a pas perdu une goutte de la précieuse liqueur de sa partenaire, elle rejoint Fred’ pour l’embrasser fougueusement et surtout lui faire avaler un mélange conséquent de sperme et de salive.
— Avale bien tout ma belle, il faut que tu t’habitues à boire du sperme, les mâles dominants adorent ça !
Frédérique s’exécute tout en se demandant jusqu’où vont aller ces jeux à la fois si pervers et tellement excitants.Elle ne va pas tarder à en avoir un aperçu :
— Ma mère est en déplacement toute la semaine prochaine, on va planifier une soirée avec mon beau-père OK ? Je suis sûre que Jean Luc va t’adorer, et tu vas voir il est très galant, très prévenant... On se fera un aprèm de filles juste avant, shopping, coiffure, esthéticienne, la totale, ça nous fera du bien !!
A cette idée, Frédérique répond par un grand sourire qui illumine son délicat visage, c’est tout juste si elle n’a pas oublié la suite du programme !Davina lui répond par un distrait petit baiser sur la bouche, tout en pensant en son for intérieur :« C’en est presque trop facile, comment je peux faire ce que je veux de toi, ça me dépasse, je me demande si tu es une vraie cruche ou la dernière des salopes soumises... Ou sûrement un peu des deux... »
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