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Le deal

Chapitre 1

Trash
Cette histoire est connue. En fait je l’ai déjà lue dans une bande dessinée. Je vous livre ici une version qui, je l’espère, vous comblera.
Agathe terminait la chambre à coucher. Simplement vêtue d’un déshabillé noir en satin, dernier reliquat des fastes de sa vie passée, elle rangeait le petit appartement avant sa toilette matinale. Elle regrettait sa femme de ménage qui travaillait pour elle il n’y avait pas 2 ans. Mais le revers financier de son mari les avait contraints à vendre la somptueuse maison dans les Yvelines pour un appartement trois pièces à Cergy. L’avantage c’est que le ménage était rapide : 3 pièces !Depuis un mois, elle songeait à chercher du travail pour pallier le manque d’argent endémique qui frappait son couple. Son mari Marc s’y refusait, prétextant une nouvelle affaire qui devrait le relancer dans le business. Mais Agathe n’avait plus beaucoup d’espoir et ne croyait plus à une providentielle affaire.La sonnerie de la porte d’entrée retentit soudain. La femme n’avait que son déshabillé sur elle. Elle le réajusta, noua la fine ceinture et ouvrit la porte. C’était Jean-Bernard, un ancien partenaire de son mari, un homme assez petit, brun les cheveux frisés.— Bonjour Agathe. Tu me reconnais ? — Oui, oui répondit Agathe derrière sa porte entrouverte. Bien sûr qu’elle reconnaissait l’homme debout sur son palier dans son sublime costume Roberto Cavalli gris anthracite. Bien sûr qu’elle se souvenait de cette fameuse fête il y a cinq ans, à l’époque fastueuse où elle aimait parader dans de superbes robes les soirées mondaines. Agathe n’était pas une femme magnifique juste une femme mince qu’un maquillage travaillé, une coiffure élégante et des vêtements classes magnifiaient. Et Jean-Bernard était attiré par sa forte poitrine et ses yeux rieurs. Le partenaire de son mari l’avait dragué toute la soirée. Au début de la fête, Agathe avait aimé être courtisé mais l’acharnement de l’homme l’avait irrité et elle finit par l’éconduire vertement.— Je suis venu vous voir pour prendre de vos nouvelles, déclara l’homme.— Marc n’est pas là…— Je suis venu également pour pouvoir vous aider, ajouta Jean-Bernard en entrant par l’entrebâillement de la porte.— Mais… commença la femme surprise par son audace.— Je suis navré de votre situation aujourd’hui, continuait-il en avança dans le couloir exiguë qui donnait sur la petite cuisine. Tu m’offres un verre pour que je t’explique l’objet de ma venue.Agathe ferma la porte, réajusta son déshabillé déjà ajusté et précéda l’homme dans la salle à manger desservie également par le couloir. Le verre à la main, Jean-Bernard fixa Agathe qui s’installait dans le fauteuil face à lui. — Voilà, je sais que vous êtes au plus mal en ce moment. — Oui, ça se voit, acquiesça la femme qui serrait ses jambes dénudées.— Ma proposition est simple, peut-être brutale, mais simple.Un silence s’installa. L’homme en costume gris prit une gorgée pour aménager une attente chez la femme.— J’ai sur moi, une enveloppe pleine de billets, murmura-t-il en la montrant. Tu me montres ta belle poitrine et je te donne 1000€ tout de suite. De quoi finir le mois tranquillement.— Mais tu es fou ? lança Agathe offusquée de la proposition.— Oui. Oui. Tu le sais bien que je suis fou de ta poitrine.Il y a cinq ans, sous l’effet de l’alcool, il lui avait avoué son obsession : les deux globes mammaires qui galbaient la poitrine de ce petit bout de femme. Deux boules bien rondes surmontées de boutons durs qui tiraient le tissu de la robe.Jean-Bernard contemplait l’émoi d’Agathe. Il savait le conflit intérieur qui se jouait en elle. Le regard dans le vide, la femme respirait par la bouche et ses mains, par réflexe, fermaient son déshabillé. Afin d’apporter des arguments à son indécente proposition, l’homme au costume posa son verre et sortit une liasse de billet de 50 €.— Il y a là 1000€. Je ne te force à rien. Juste tu me montres ta poitrine pendant quelques minutes et tu empoches cette somme.Agathe fixa l’argent déposé sur la petite table de salon. Elle regardait alternativement l’homme qui lui souriait et la fenêtre où l’on apercevait les nombreuses tours grises et sales du quartier.
— Tu ne me fais rien.— Rien que tu ne décides Agathe.— J’ai ta parole.— Oui Agathe.Les pans en satin noir s’écartèrent doucement. La peau blanche du cou et de la poitrine apparurent puis les deux magnifiques seins. Deux boules blanches percées d’un bouton noir. Non pas deux obus mais des globes ronds et tendus que la gravité n’entame pas. — Merveilleux, s’exclama Jean Bernard confortablement assis dans le canapé.Agathe tenait les pans du déshabillé de peur que le tissu léger glisse et dévoile toute sa nudité. Elle baissait les yeux. Une sourde honte montait en elle. Un sentiment diffus et profond semblait vouloir faire jour. Une sensation malsaine en son ventre, en sa poitrine et en sa gorge.Jean Bernard se délectait du spectacle. Il déclara que les seins étaient merveilleux et qu’il avait attendu longtemps pour les contempler. Agathe n’osait regarder que sa honte. Un temps certain passait et elle rabattit le satin noir pour masquer sa poitrine.— Ah ! C’était court Agathe ! Mais c’était un spectacle tout à fait enthousiasmant. Et pour te le prouver je te propose autre chose.— Ah non, s’écria la femme.— Attends d’écouter la proposition avant de te prononcer.— …— Si tu m’offres la possibilité de caresser ta poitrine et juste ta poitrine je te le promets, j’ajoute au mille euros ici deux autres. — …— C’est-à-dire que tu aurais trois mille euros en tout.Jean Bernard porta son verre à la bouche et laissa le liquide couler au fond de la gorge. Le whisky chauffait son corps et son excitation augmentait autant que l’affolement d’Agathe. Il voyait sur le joli visage de la femme tout le dilemme qui luttait en elle. Après un long moment où le silence retenait son souffle, la femme vêtue de satin noir se leva et vint s’asseoir face à l’homme sur la petite table. Elle offrit avec une certaine résolution sa poitrine.— Merci, dit Jean Bernard en déposant une nouvelle liasse sur la table.Il admira encore les deux globes glandulaires et ses mains commencèrent leur découverte. Il effleurait du creux de la paume les tétons érigés. Aussi élégant que des danseurs de tango, ses doigts parcouraient la piste mammaire avec douceur en dessinant de sensuelles arabesques à l’efficacité prodigieuse. La tension du corps d’Agathe trahissait l’excitation qui montait en elle. Jean Bernard la caressait avec talent et la transportait dans un émoi qu’elle refoulait tant qu’elle pouvait.Il malaxa, tritura, pinça un peu, joua avec la lourdeur des seins, l’élasticité des deux globes, la douceur de la peau. Agathe avait toujours été fière de sa poitrine et malgré elle, elle s’enorgueillit de leur attrait sur cet homme. Elle remarqua la bosse dans le pantalon et recula aussitôt.— C’est bon Jean Bernard. Ça suffit.— Ben attends c’est un peu court là quand même ! Viens ici, ordonna-t-il sèchement.Surprise par le ton qui résonna dans la pièce, Agathe obtempéra. Elle s’avança à nouveau et soumit son buste dénudé à la voracité des mains épaisses. Les myrtilles mûrirent entre les doigts experts. Puis une bouche se pencha. Agathe se raidit mais ne s’éloigna pas. Les lèvres chaudes baisèrent consciencieusement toute la surface de son sein gauche. Le déshabillé de satin noir s’était complètement ouvert. Le ventre blanc était nu ainsi que la toison brune. Le resserrement dans le fond de sa gorge devenait insoutenable. Agathe sentait les larmes monter. Puis ce fut la langue humide qui lécha minutieusement le globe droit. Elle s’activa surtout sur le téton dur comme un petit caillou. Une goutte coula peureusement sur la joue de la femme qui demeurait debout devant l’homme assis. Une fine larme. Un soupçon de honte et de colère mêlés.— Je te remercie, déclara Jean Bernard en laissant enfin la poitrine.— Tu n’avais pas le droit, murmura Agathe en refermant en tout hâte son déshabillé.— Pour trois mille euros je pouvais tout de même les goûter ! Tu ne crois pas ?La femme avait reculé. Elle ne répondit rien. Juste elle rangea la grosse liasse de billets dans un tiroir d’un meuble. Elle avait honte, mais en même temps cet argent lui permettrait à elle et à son mari de survivre quelques mois. Elle prit une grande inspiration, se retourna vers l’homme assis sur le fauteuil et arbora un sourire de défi.— Bon ! Tu peux rentrer chez toi.— Je finis mon verre et je te fais une troisième proposition, lança-t-il joyeux en buvant.Agathe resta interdite. Non. Non pas ça ! Elle se refusait intérieurement. Elle ne savait qui combattait en elle, sa raison, sa cupidité, son désir… Elle prit appui sur le meuble et attendit que Jean Bernard finisse son verre qu’il dégustait à petites gorgées.— Je te propose une fellation !— Alors ça, jamais de la vie mon vieux, cria Agathe— Une fellation mais tu n’es pas obligé d’avaler, indiqua l’homme confortablement installé dans le fauteuil en face de sa conquête.— Tu rêves. Allez, vas-y. Rentres chez toi !— Pour dix mille euros ma petite Agathe, lâcha-t-il avec malice.— Quoi !?En guise de réponse, Jean Bernard déposa tous les billets sur la table. Un gros paquet d’argent. Des billets de cent et de cinquante euros. Un petit monticule. Agathe écarquilla les yeux. Ce n’était plus quelques mois de répit mais presque une année.L’homme en costume se délectait de son effet. La pauvre ne pouvait pas vraiment refuser. Une telle somme dans sa situation ! Avant même qu’elle ne bouge ou ne réponde, Jean Bernard se redressa et invita la femme à s’asseoir dans le fauteuil. Comme elle ne se défendait pas, il s’installa debout devant son visage et dégrafa son pantalon qui tomba à ses pieds. Évidemment sa verge était déjà gonflée et elle pointa vers Agathe qui était installée sur le bord du fauteuil. Elle leva les yeux vers le sourire dominateur de Jean Bernard qui attendait patiemment son dû. Les doigts saisirent la base de la tige et les lèvres se posèrent sur la peau. La main commença à masturber doucement. Mais Agathe n’engageait pas sa bouche.— Dix mille euros ma chère, encouragea l’homme debout.Les lèvres s’appuyèrent sur le gland et s’écartèrent finalement pour pénétrer le pénis dans la bouche. Une lente succion commença. Méticuleuse, de l’extrémité à la base. Un long mouvement de va et vient de la tête où Jean Bernard voyait disparaître sa virilité dans la gorge de son challenge. Car, pour lui, il s’agissait-là d’une simple petite revanche. Depuis cinq il ruminait d’avoir été éconduit. — Accélère ! commanda-t-il en prenant la tête de la suceuse entre ses mains pour mener le rythme.Agathe se plaignit mais se soumit au rythme. Elle se dit que plus vite il jouirait plus vite elle en serait débarrassée. Alors une de ses mains caressa les bourses. De l’autre elle accompagnait la fellation d’une vigoureuse masturbation. Ses lèvres se resserraient quand elles passaient à la base du gland. Elle avait remarqué que Marc, son mari, décollait plus rapidement ainsi. Et l’effet fut identique avec Jean Bernard. Il se tendit d‘un coup. Agathe sentit la verge se durcir et grossir dans sa bouche. Puis un long jet éclaboussa la paroi interne de sa joue. Un liquide épais et goûteux coulait au fond de sa gorge. Elle cracha le sexe et le sperme. Jean Bernard jouissait encore. Il prit son sexe et le serra fort. Un autre jet éjacula sur le cou d’Agathe qui recula. — Putain reste là, grogna l’homme en tirant Agathe par les cheveux et réintroduire sa verge dans sa bouche.Il baisa sa bouche comme un vagin à grand coup de reins. Elle cria mais aucun son ne sortait de sa bouche remplie. Elle subit ce traitement quelques minutes encore avant que Jean Bernard, repu, recule et s’affaisse dans le fauteuil en face d’Agathe.— Salaud !lança-t-elle en nettoyant le sperme qui coulait sur le bord de sa bouche et sur sa poitrine.— Attends ! Pour 10 000 euros il fallait bien que tu finisses correctement. Non ?— Mmm. N’insista pas la femme qui renouait son déshabillé.Jean Bernard se resservit un verre de whisky et réajusta son pantalon. Il défiait du regard la femme assise en face de lui. Elle soutint un peu le regard et alla chercher un sac pour l’emplir des billets qui jonchaient la table basse. Elle se rassurait du traitement qu’elle venait de subir au regard de la somme qu’elle rangeait.— Et si je te baisai !Agathe avait le dos tourné, penchée sur la table. Elle redressa la tête. Ne dit rien.— Oui, si on allait dans ta chambre. Que nous passions sous tes draps. Que nos corps nus se caressent. Que tu m’offres ton sexe. Que je te baise.Agathe ne s’était pas retournée. La boule revenait dans sa gorge. Une sensation étouffante et oppressante. Muette, elle attendait.— Tes dix mille empochés plus dix mille autres ! Qu’en dis-tu ? Vingt mille euros !Les tempes de la femme battirent à plein. La boule éclata dans sa gorge. Un sanglot l’a pris. Des larmes coulèrent. Son ventre se serra. Deux mille euros, ça fait mal. Elle se leva lentement et ouvrit le sac de billets qu’elle venait de fermer. Puis, altière, le plus dignement qu’elle le pouvait, elle se dirigea vers sa chambre sans se donner la peine de regarder l’homme qui fourrait les liasses de billets dans le sac.Quand Jean Bernard parvint au seuil de la chambre, il découvrit Agathe de dos. Debout, le déshabillé de satin à ses pieds, nue, elle était offerte. Elle passa sous la couette. Il se déshabilla rapidement et rejoint son obligée. Il commença à la caresser.Elle se laissait faire en regardant les parcours de mes mains sur son corps. Son cou gracile, ses frêles épaules, puis ses seins. Agathe respirait plus fortement. Elle lui caressa le torse.Puis la main de Jean Bernard émigra à la découverte du sexe. Il approchait par le ventre et parvint à la naissance de son pubis fourni. Il s’amusa un peu autour de la vulve sans la toucher. Agathe écarta doucement les jambes. Sa corolle s’ouvrait doucement et une liqueur coulait. La main emprisonna sa vulve et la pressa par vagues successives.— Oh… gémit-elle— Oui, c’est bien
Agathe avait honte. Elle trompait son mari. Elle couchait avec un homme qu’elle n’aimait pas. Elle baisait pour de l’argent. Elle était une pute. Et le pire n’était pas vraiment là : elle y trouvait un certain plaisir.L’index erra un peu dans la toison et longea ensuite les lèvres parfaitement humides avant de chercher le petit bouton. Il le trouva et dès qu’il roula un peu dessus, les gémissements d’Agathe s’intensifièrent. Elle était prête pour un orgasme. Il s’engouffra au fond du lit. Quand la bouche vint se poser sur la vulve, elle cria. Et sa langue roula sur le clitoris sans trop le presser. Son sexe dégoulinait. Il avançait deux doigts dans sa fente et, rapidement, ils s’enfoncèrent au fond. La langue continuait son office et il entendait de plus en plus fort les plaintes et les gémissements d’Agathe qui lui plaquait la tête contre son sexe.Un long grondement monta et elle éclata en hurlant. Ses cuisses l’emprisonnèrent et ses mains le tapaient frénétiquement pendant qu’elle se cambrait toujours en s’égosillant. Pendant au moins une minute, elle brailla ainsi. Il put enfin se libérer de l’étau des cuisses d’Agathe dont l’orgasme le réjouissait. Ensuite, les grosses mains de Jean Bernard recouvrirent les fesses de la femme encore étourdie. Agathe avait jouit. Elle pleurait de joie et de honte.— Maintenant, tu vas t’occuper de moi. D’abord, tu me caresses.Ses mains le découvrirent d’abord avec maladresses puis s’engaillardirent rapidement. Elle prit son sexe à pleine main.— Ne vas pas si vite. Avance lentement. Fais monter le désir.Elle soupesa le membre et le serra enfin avant de commencer un lent mouvement vertical.— Très bien ! L’encouragea l’homme. Me voilà prêt.Il se souleva et se posta au-dessus. Agathe écarta ses jambes et accueillit le corps tendu. Il l’a pénétra d’un coup sec. La femme sursauta. L’homme commença à coulisser en elle avec vigueur. Des coups brutaux, puissants. Toujours plus fort, toujours plus vite, Jean Bernard allait et venait en elle. Agathe accusait les percussions avec abnégation. Cela dura de longues minutes.Jean Bernard, l’a pris en cuillère ensuite, lui soulevant bien la jambe gauche. Puis, à quatre pattes sur le lit défait, la femme récolta la puissance animale de son amant. La bite raide comme du marbre, l’homme se cramponnait aux petites hanches de sa victime pour mieux la posséder.Quand, enfin, d’un coup, il stoppa. Pantelante et surprise, Agathe se tourna vers lui.— Qu’est-ce qu’il y a ? demanda-t-elle.— Ne t’inquiète tes vingt mille euros sont pour toi.Trop contente que le traitement s’arrête ainsi, Agathe qui attendait à quatre pattes, les fesses tournées vers l’homme qui se dirigeait vers son costume. Délicatement il sortit une enveloppe de sa veste et se posta devant la femme nue, assise sur le lit.— Trente mille de plus !— …— Trente plus vingt ça fait cinquante mille. Cinquante mille euros. C’est pas mal non ? Agathe prit peur. Cette somme n’était plus une garantie de vivre quelques mois tranquille, c’était la possibilité à son mari de débuter une nouvelle affaire. Avec autant d’argent, Marc pourrait ramener le couple à flot.Jean Bernard lança l’enveloppe entre les cuisses écartées de la femme. Il la fixa avec intensité. Longtemps. Pas un mot ne sortait de sa bouche. Son phallus toujours au garde à vous, pointant vers celle qui demeurait dans l’expectative. Oui. Évidemment. Cinquante mille euros ! Pour tout recommencer. Agathe songeait à tous les possibles. Mais au fond de son esprit, au creux de sa gorge, une sourde méfiance gonflait. Que me voulait-il ? Impassible, debout, avec sa redoutable érection, Jean Bernard goûtait le moment. Et sa joie atteint son paroxysme lorsque sur le visage d’Agathe il vit qu’elle avait saisit. Tout passa dans un silence de plomb : la moue de sa bouche cria non, ses yeux implorèrent, ses mains se crispèrent, les tétons se rétractèrent. Jean Bernard jouissait de son effet.Après un très long moment en suspend, Agathe, résignée, se posta à nouveau à quatre pattes. Une frayeur absolue tenaillait son ventre. La tête tournée au maximum pour regarder son tortionnaire, elle redoutait à présent ce à quoi elle s’était soumis.— Détends-toi, murmura l’homme en approchant des fesses offertes. Je vais le faire doucement. C’est ta première fois ?— Mmm, acquiesça-t-elle.— Ne bouge pas. Reste le plus détendu possible.Il introduisit un doigt. Son index poussa et pénétra dans l’œillet fermé. — Aïe ! Il tourna un peu son index à l’intérieur, fit quelques mouvements de va et vient et se retira.— Laisse-toi faire.— Ça fait mal !Il recommença l’opération avec son majeur, puis avec son pouce. Il pencha sa bouche et lécha les sphincters, bava abondamment sur l’orifice. Redressé, placé juste au niveau des fesses tendues en arrière, Jean Bernard prit sa verge et posa son gland sur le petit anneau un peu détendu.La respiration d’Agathe s’accéléra. Ses mains se crispèrent sur les draps. — Attends ! attends ! Je ne suis pas prête, cria-t-elle soudain.C’est à ce moment là, qu’il poussa sur les sphincters. Son gland écarta difficilement l’anneau et, d’un seul coup, il s’engouffra. Agathe hurlait mais l’homme continuait son avancé en maintenant les hanches de la femme qui tentait de se soustraire. N’ayant cure des plaintes, il agrippait les petites fesses avec ses mains et pénétra encore. Les larmes coulaient sur les joues de la femme à moitié affalée sur le lit, les fesses en l’air, l’anus rempli, une douleur indescriptible et un honte qui lui souillait le ventre. La honte d’être une pute. L’avilissement d’accepter ce qu’elle n’accepte pas. Le déshonneur.Jean Bernard commença un va et vient lent mais puissant dans le fondement qui s’écartait encore. — Aïe, ouille… arrête Jean… je n’en peux plus !— Pour 50 000 € tu ne vas pas te plaindre. En tout cas, ton joli petit cul n’est plus vierge. Tu vas pouvoir l’offrir à Marc !— Salop. Aïe…Et Jean Bernard accéléra. Bourrant sa putain richement payée, il claquait ses cuisses sur les fesses et sa queue dans le fond du ventre. Bestiale, il s’activait de plus en plus fort. Agathe hurlait, les larmes se mêlant à la bave qui coulait. Et soudain, elle sentit au fond de son ventre des jets puissants tapisser l’intérieur de son cul. Quelle sensation. Elle en eut honte. Une sensation de plénitude qu’elle ne connaissait pas. Plus ample qu’un orgasme. Malgré la douleur cuisante de son anus, elle était comblée.Jean Bernard s’habilla rapidement laissant la femme sanglotant en travers du lit.— Merci Agathe. Quel après-midi ! — Salop !— Non ne dit pas ça. Tu diras bonjour à Marc ce soir de ma part.— Dégage salopard !— Au fait… Tu savais que j’étais toujours dans les affaires.Agathe se tourna vers lui, les yeux baignés de larmes.— J’ai monté une boîte de surveillance et nous avons à notre disposition des mini caméras, comme des espions.En disant cela, il sortit de sa poche un minuscule engin.— J’ai tout filmé Agathe. Tout.Elle demeurait inerte, les yeux écarquillés.— Je vais rentrer chez moi pour en faire un joli film. Agathe tressauta et vomit sur le lit.— Oh ! Agathe… ça manque de classe. Tu diras bien le bonjour à Marc… Tu n’oublieras pas. Ajouta-t-il en sortant.
Le soir venu Marc rentra tout joyeux. Agathe l’attendait dans le salon et composa la femme ravie du retour de son mari. — Coucou chérie. Jean Bernard est passé ?— Quoi ? dit sa femme en se levant avec difficulté – elle avait mal ! -— Il ne t’a pas rapporté cinquante mille euros ? C’est le premier acompte pour la boîte que je monte avec lui. C’est une super opportunité. Dans le milieu de la surveillance.— Euh… si
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