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Le dealer

Chapitre 1

Gay
L’histoire que je vais vous raconter se passe dans le 93 alors que je cherchais à rencontrer un beau black avec qui j’avais pas mal chatté. Bien que j’aime le délire lascar j’ai jamais été très fan à l’idée de traîner dans un cité HLM pour trouver un gars. Mais après quelques allers-retours je me retrouvé enfin sur le seuil de la porte de mon rencard. Il ouvrit rapidement et me gratifia d’un large sourire. Il était très beau: 1m90, sèchement musclé, bouc, crâne rasé et portait en tout et pour tout un caleçon moulant qui laissait peu de place à l’imagination...Mais je ne m’attendais pas à trouver dans son salon c’était non seulement un table couverte de cannabis mais surtout un mec qui regardait un porno gay à la télé comme si de rien était. Je me sentis soudain mal à l’aise. Je m’imaginais déjà le traquenard. Pourtant le beau rebeu qui était assis sur le canapé me sourit et me sera la main. Il était assez trapu, cheveux très courts et sourcils tailladés au rasoir. J’étais dans un repère de dealer, tout naturellement...Malgré tout je me rendit compte que je me sentais étrangement à l’aise. J’étais déjà en train d’enlever mon caleçon pendant que mon rencard s’allongeait sur le canapé lit où était son pote. Pas pudiques les deux! L’autre ne se retournait pas et se contentait de fumer devant son porno hardcore sans broncher...Je commençais par rouler des pelles passionnément à mon beau black. Il était terriblement sexy et nos deux langues se mêlaient alors que frottais mon entre-jambe contre le sien. Je ne pouvais plus attendre. Je glissais ma main dans son caleçon et en sortis une des plus grosses queues que j’ai pu voir dans ma vie! Elle mesurait presque 25 cm, luisante, légèrement poilu, le gland rose qui me faisait déjà de l’oeil alors que je me jetais dessus. Je l’avalais littéralement puis je descendais pour lui gober les boules. Elles étaient énormes et imberbes, un vrai régal. Il se mit à me sucer lui aussi frénétiquement alors que nous entamions un 69. Je commençais peu à peu à réaliser qu’il y avait quand même un beau lascar en blouson de cuir à moins de 10 cm de moi... Je me commençais fébrilement à lui caresser le dos. Il m’arrêta net en me disant qu’il ne voulait pas ça... J’étais légèrement interloqué sachant que deux gars se suçait voracement dans son dos alors qu’il regardait un porno gay. Mon rencart avec un filet de bave encore relié à ma queue lui dit de nous rejoindre pour s’amuser.Il était étrangement gêné, mais je lui dit qu’on pourrait s’éclater à 3. Je glissait alors ma main lentement sur sa taille puis à l’intérieur de sa cuisse "Je peux te sucer si tu veux". Je sentis directement une grosse bosse se former. Il enleva brusquement sa veste en cuir et son t-shirt puis déboutonna son jean. Il avait un torse très musclé et poilu avec juste un peu de ventre. Avec mon plan on lui enlevait rapidement son caleçon et on se jetais sur sa queue sans détour. Elle mesurait facilement dans les 20 cm, circoncise et à présent super dure!Mon rencard me demanda soudain si j’avais envie de le prendre. Ni une ni deux je me retrouvais en train de doigter son trou rempli de lubrifiant. Je le pris alors comme une bête, il serrait les dents alors que son pote rebeu lui enfonça sa bite de force dans la bouche. Il me criait "Vas y fait crier mon pote comme une chienne il kiffe se faire péter le boule! Hein!?" alors qu’il poussait encore plus sur sa tête!Cette vision m’excita tellement que j’eus à peine le temps de me retirer pour larguer plusieurs giclées de sperme bien chaud sur le dos ébène de mon plan. Au même moment le rebeu m’appela pour qu’on le finisse à deux: en quelques coups de langues il catapulta son jus de mâle sur nos visages et sur ma langue. Je m’avançais vers lui pour lui rouler une pelle bien juteuse. Il avala le sperme que je lui avait introduit dans la bouche avec un large sourire. A peine le temps de se rendre compte que mon beau pote renoi s’était relevé et nous gicler sur la face sans sommation. Le pièce était brûlante et chargée d’odeur de transpi, de foutre et de beuh. Nous nous affaissions dans le canapé, enlacé, nos corps ruisselant de sperme et de sueur en avalant au passage quelques bouffées de joint avant de nous endormir les uns sur les autres....
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