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De là, la débauche commence

Chapitre 1

Je déchire ma copine au macdo

Hétéro
Nous voilà prêts à dévorer nos bigmacs, attablés tous ensemble. La discussion, bien qu’animée, m’ennuie à mourir. Geoffrey ne voulant pas comprendre Camille sur l’heure et demi qu’elle a passé à se préparer. Le regard dans le vide, j’écoute cette conversation, dans ce brouhaha qui règne ici à treize heures. Brittany, ma belle blonde écervelée, me fait du pied sous la table. Ma coquine tente un rapprochement que je feins de ne pas comprendre en préférant observer mes deux amis de toujours.

— Je te dis que cette coiffure me prend déjà une demi heure ! S’énerve Camille.— Moi, mes cheveux je les coiffes en quinze minutes montre en main, provoque-t-il, en serrant les poings.— Un quart d’heure pour ça ? On dirait que tu viens de te lever, critique-t-elle, en se passant la main dans les cheveux.— Critique pas ma coupe, je fais exprès. En plus je dois les passer au démêlant car ils bouclent trop, déclare-t-il vainement.
Avec Geoffrey, on a fait les quatre cent coups ensemble. Il nous est même arrivé de ramener et de baiser la même meuf . Quant à ma douce voisine, assise à l’opposé de moi, qui a tenté, à travers les jeux de remplacer ma mère partie trop tôt, ses petites moues sur son visage en colère, me provoquent à chaque fois des frissons dans le ventre.
— Bouclettes, ça te va bien comme surnom dis donc… Pouffe-t-elle, en me souriant, cherchant mon approbation.
Le temps d’un instant, je suis ailleurs. Plongé dans ses yeux je ne peux répondre…

— T’es pas cool, gromelle-t-il, en fronçant les sourcils.— Bouclettes, Bouclettes, Bouclettes ! Rit-elle, à en pleurer.— Voilà, et ton maquillage de quarante-cinq minutes vient de couler plein pot. Tu ne ressembles vraiment plus à rien.— Pas possible, c’est Waterproof ! Le nargue-t-elle.

J’aime la voir rire, mais mon regard s’attarde un peu trop sur elle, car je sens une forte pression sur mon pied. Je regarde ma gourmande avec sévérité pour lui suggérer de se calmer. Son pied vient se briser contre mon tibia, signifiant son mécontentement. Puis cette affamée s’active à manger, en me faisant un clin d’œil, montrant la porte des toilettes. Je la toise en mangeant mon sandwich avec lenteur, la douleur étant encore présente et ma rancœur tenace...

— Putain, tu as raison j’en ai partout. Constate-t-elle, en se regardant dans son portable.
— Ha ! Je te l’avais dit ! Clame-t-il victorieusement. — Ho ! Le vieux couple, il va se calmer ? Tranché-je, voulant apaiser le repas.
Leur querelle incessante reprend de plus belle… Camille plus radieuse que jamais s’insurge, me faisant apercevoir encore une autre de ses émotions. Brittany me supplie du regard, essuyant de sa langue les restes de sauce avec envie, de ce repas si vite avalé. Bien décidé à lui fournir le dessert à cette petite gourmande, j’enfourne le tiers restant dans ma bouche et la presse aux toilettes, devant l’air médusé de certains qui ont suivi la scène. Une étrange sensation me parcourt, comme si quelqu’un nous suivait.

Cette oppression est vite remplacée par l’excitation que me procure mon impatiente vorace. Elle ne laisse même pas le temps à la porte de se refermer, jetant son dévolu sur ma braguette. Je la pousse dans les chiottes et referme la porte derrière moi, tout en la plaquant contre la paroie. Je l’entraîne à genoux sur le sol, elle a tout de suite compris et déboutonne mon pantalon qui tombe par terre, ouvrant grand la bouche pour m’accueillir. Je lui enfourne ma verge violemment dans la bouche, maintenant sa tête fermement entre mes mains. N’ayant rentré qu’à moitié mon imposant membre, je force sur mon bassin,poussant pour en rentrer encore davantage.
— C’est ça que tu attendais depuis tout à l’heure ? chuchoté-je, en lui pinçant le nez.
Après une dizaine de secondes de ce traitement vigoureux, je ressors mon gourdin, tapotant sa joue pour lui permettre de reprendre son souffle. Elle remonte son menton et tire la langue, en me regardant comme une salope le ferait, prête à tout pour essayer à nouveau de rentrer entièrement mon énorme bâton de chair au trois quart mouillé. Elle y met tout son talent, mais ne réussissant pas à aller plus loin, cette petite chienne me lappe les bourses et fait remonter sa langue le long de ma hampe.
— Tends moi ton cul, je vais bien t’enculer, murmuré-je à son oreille, en l’aidant à se relever.— Vas-y sans ménagement je veux ton foutre au plus vite dans ma gorge  ! 
A ces mots elle se cambre au-dessus des chiottes, posant ses mains sur la lunette. Je prend sa chatte dégoulinante entre mes doigts, remontant pour lubrifier son petit trou. J’approche mon sexe tendu contre son anneau, appliquant de légères pressions ponctuelles, elle en gémit de plaisir. Elle se cambre davantage en ouvrant ses fesses avec ses mains, m’offrant sa rondelle sur un plateau.
Les pulsions de mon cœur s’accélèrent et je ne vois plus que ma bite s’enfouir dans cette cavité si étroite, déformant son arrière train. Je ne reprends mon souffle qu’arrivé tout au fond et commence un vigoureux traitement, la martelant de mon énorme engin, prenant appui sur ses épaules pour plus d’intensité. Je l’entend légèrement couiner, le son à moitié étouffé sortant des cabinets, elle retient les cris de son orgasme.
— Achève ton travail maintenant. Dis-je d’un ton tout bas, en lui présentant mon phallus à portée de bouche.— Avec plaisir, lance-t-elle, du même ton, avant de se ruer sur mon sexe.
Elle me titille le gland de sa langue, en la faisant rouler sur la collerette et de sa main elle me branle prestement, n’attendant plus que je jouisse. Son autre main viennent me malaxer doucement les sacs et son regard m’implore de lui donner sa crème dessert. Mes premiers spasmes la surprennent et la maculent de blanc. Le reste dégouline sur sa langue. Elle se délecte, me pressant, pour en extirper tout ce bon jus. Puis elle ramasse ce qu’elle peut sur son visage, aidée de mon chibre encore dur et le nettoie pour ne pas gâcher une seule goutte de ce nectar. Nous nous hâtons de rejoindre les autres, elle semble comblée par ce traitement que je lui ai infligé. Arrivés à table, je constate que seul Geoffrey est attablé. On s’installe à côté de lui, succédé de peu par Camille déconnectée, paraissant coupée d’elle-même...
— Ça va Camille ? Questionné-je inquiet.— Désolé Camille pour tout à l’heure, je rigolais… n’en fait pas tout une histoire ! s’excuse Geoffrey, un peu sèchement à mon goût.— Non ça va, baragouine-t-elle entre deux bouchées de sandwich tiède. — Madame ne supporte pas les critiques ? Taquine maladroitement Brittany.— Toi, la pétasse la ferme ! Postillonne Camille, en la fusillant du regard.

Elle se lève et part vexée, laissant Brittany maculée de mac fish. Je la regarde fuir ce lieu au plus vite, et m’attriste pour elle… Je me tourne vers Geoffrey, plié de rire sur la banquette, puis aperçois le visage crépis de poissons de Brittany, entièrement dépitée.

A suivre...
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