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De là, la débauche commence

Chapitre 2

Un mal pour du bien

Trash
Après ce repas très mouvementé, nous décidons d’aller au bar ambiance. J’envoie un message à Camille, lui suggérant de venir nous rejoindre au bar. Nous enquillons les pintes, bavardant de tout et de rien. Un petit bout de restes oublié, coincé dans sa chevelure tombe dans le verre de Brittany. Impossible pour nous de retenir ce fou rire qui nous prend. Mon impulsive copine se vexe et commence à nous crier dessus…
— Merci pour ta sollicitude, vous n’êtes que deux gamins ! S’énerve-t-elle, en me balançant la fin de son verre à la figure.
Cette action stoppe net notre émoi et jette un grand froid à la conversation. Elle me regarde avec mépris, quand soudain une voix nous interpelle. La table d’à côté, ayant suivi la conversation, se joint à nous et détend l’atmosphère.
— Salut ma belle, t’énerve pas comme ça… je m’appelle Corentin et je te trouve craquante en toute circonstances.— Merci, c’est gentil.— Doucement Corentin, elle est maquée. Pouffe Kevin, en me tapant sur l’épaule.— Ça, c’est mon petit Kev, intervient Roxane, la copine de Kevin.
Camille arrive tout sourire et apprêtée au même moment. Elle se fait une place exiguë entre Roxane et Geoffrey passant devant ce dernier en frottant légèrement sa croupe à son torse.
— Salut, désolée pour tout à l’heure, je suis un peu mal luné… — Pas grave, mais évite de me postillonner au visage ! Enfin, ça a eut le mérite de faire rigoler les garçons, tempère Brittany, en reposant son verre.— Et ça a permis de nous rencontrer, intervient Corentin, en appelant le serveur.— Je ne t’en veux plus Geoffrey, je n’ai pas été trop ridicule tout à l’heure ? feint Camille, en roulant des yeux dans ma direction, guettant ma réaction.— Non non ! Assure Geoffrey, en lui prenant sa main, qui se crispe à son contact.— Et toi que t’est-il arrivé, tu es tout trempé ? Me questionne-t-elle, essayant timidement de reprendre sa main.— Une chope de bière en plein visage. C’est le prix à payer pour avoir rigolé … résultat je pue le houblon. — Mon pauvre, elle ne t’a pas loupé, rigole-t-elle.
Reprenant confiance, elle tente une caresse de son autre main sur cette pince la tenant fermement. Puis, la guidant sous la table, elle me provoque du regard.
— Je vais me passer un coup d’eau aux toilettes, je reviens ! Abrégé-je, en quittant la table précipitamment.

Sortant enfin plus ou moins propre, j’aperçois Camille pressée dans les toilettes pour femmes par un homme. Le regard suppliant qu’elle me lance me glace le sang. Énervé comme jamais, je lui emboîte le pas et découvre Kevin de la table d’à côté se pavanant devant elle.
— … Alors, tu me suis jusqu’aux chiottes. On fait ça vite fait, ma copine m’attend à table ! Proclame Kevin, avant de se retourner pour voir qui est entré.
Je me fige, ma gorge se noue. Je regarde Camille, choquée par ces propos si vulgaires, sondant son visage pour voir si elle a besoin d’aide.
— Tu tombes bien, elle a l’air gourmande cette salope. Tu viens m’aider à la baiser ? Suggère-t-il, en sortant sa bite.— Range moi ça, je n’en veux pas de ta petite bite ! Je suis venu pour avertir Quentin que sa copine fait de la merde et avec Corentin en plus, s’insurge-t-elle.— Ce clin d’œil que tu m’as fait à table m’a excité. Maintenant assume et pompe moi ! Crache Kevin, en se branlant sur sa jupe.— Arrête tout de suite, ordonné-je, en le poussant contre le mur. — Laisse-moi passer, elle s’en va… crie Kevin, tentant de bourrer le passage.
Je continue de le bloquer dans le coin, les bras contre les angles du mur en le dévisageant.
— Revient ma beauté que je te prenne ! Lâche-t-il, dans un dernier espoir.— J’aurais jamais dû venir, sanglote-t-elle, avant de partir.— On va voir ce qu’en pense ta copine de tout ça ! Menacé-je, en lâchant mon étreinte.— Tu vas quand même pas faire ça ?— Bien sûr que si ! Cerifié-je, en croisant les bras.
Il se calme peu à peu, je l’agrippe par le col et le jette à l’extérieur des toilettes, passant la porte battante avec perte et fracas. Je le suis dans la salle, ma main le poussant régulièrement ses omoplates, pour le faire accélérer. Je scrute ces lieux cherchant des visages connus. Là, en plein milieu de la piste, je distingue ma copine en plein zouk avec Corentin. Il lui bouffe le cou en lui pelotant les fesses, risquant un baiser enflammé à la vue de tous.
— Maintenant mon petit Kev... tu vas aller poser gentiment ton cul à table sans rien dire, que je revienne. J’en ai pas pour longtemps avec ma grognasse. Chuchoté-je à son oreille.
Je m’approche de la piste de danse les poings serrés. Enivrés par leurs frottements, ils ne remarquent même pas mon approche.
— Tu peux m’expliquer ce que tu es en train de faire ? Questionné-je, en lui tapant sur l’épaule.— Ho ! Quentin tu es là… s’étonne-t-elle, en se retournant.— Oui, et j’en ai assez vu ! Déclaré-je calmement.— T’enflamme pas mon pote. Je ne suis pas jaloux !— Ne parle pas toi, écoutez moi plutôt tous les deux, ordonné-je, d’un ton sec. Je te laisse cette petite pute t’inquiète ! Pas plus tard que ce soir je lui ai ruiné le cul dans les toilettes d’un fast-food. J’espère pour toi qu’elle ne t’a pas embrassé, car j’ai jouis dans sa bouche pour le dessert.
Et là... Je jubile. Le dégoût que je lis sur son visage ne peut tromper personne autour. Il s’en va loin la tête rasant le sol.
— Je t’en prie, pardonne-moi. Je suis perdue sans toi. — Tchao ! L’apostrophé-je d’un ton sec, avant de la laisser rongée par la tristesse.
De retour vers mes amis, je constate que la veste de Camille n’est plus là. Un rapide coup d’œil sur Kevin en sueur la tête entre ses mains.
— Elle est partie ? Questionné-je Geoffrey en m’asseyant.— Oui, elle a pris son manteau en coup de vent sans rien dire, dit-il d’un air dubitatif. — Que s’est il passé là bas ? Demande Roxane ennuyée, Kev est tout bizarre depuis qu’il est revenu. — Il a voulu baiser Camille très maladroitement dans les toilettes. Heureusement que je suis intervenu.— Ce n’est pas la première fois que tu me trompes je parie ? S’enquérit-t-elle. Et en plus tu t’y prends comme un manche à ce qu’il paraît...— Tu n’as jamais été cocu. Je ne sais pas ce qui m’a pris. J’étais trop bourré, je regrette.
Profitant de leur dispute, j’informe Camille par message de la situation, histoire de la rassurer. Elle répond aussi sec, me disant merci qu’elle va dormir… Geoffrey me fait lever la tête brusquement, en me donnant un coup dans les côtes.
— Je disais Quentin, tu veux aider ton pote à punir Kev ? Répète Roxane, en s’emportant un peu.— Mais avec plaisir, comment ? Approuvé-je, en tendant l’oreille.— Tu abuses gros… tu n’as rien écouté ! M’enguirlande Geoffrey. Suis nous je t’explique.
Après un bref trajet en voiture, nous arrivons dans la petite chambre du couple. Roxane s’installe en plein milieu du lit, remontant sa robe pour nous dévoiler son string blanc transparent. Elle glisse ses mains jusqu’à son décolleté, pour en laisser s’échapper ses magnifiques seins. Kevin voyant ce spectacle trépigne et d’un claquement de doigts, il s’arrête net, bouillonnant de l’intérieur, les poings serrés.
— Ne fait pas ça s’il-te-plaît, Supplie-t-il, en se rapprochant d’elle.— Tu vas où comme ça mon petit Kev ? Assis toi là et ne bouge pas sinon on t’attache, dicté-je, pointant la chaise du doigt.— Regarde bien comme on va la démonter ta femme. Et qu’on n’entende pas la moindre plainte de ta part ! Ajoute Geoffrey, le sourire aux lèvres.— Baisez moi par tous les trous et ne vous retenez surtout pas. Je vais enfin me faire baiser par de vrais hommes ! Kevin, regarde et apprend petite bite ! Crache-t-elle à Kev qui sanglote.
Nous approchons nos deux sexes tendus près de sa bouche, qu’elle accueille de ses doigts. Elle alterne des coups de langue, habilement placés sur nos membres imposants. Puis commence une lente succion de mon chibre, redirigeant tout le sang de mon corps dans mon énorme gourdin. En même temps, de ses mains elle branle Geoffrey, impatiente de le goûter. Pour ne pas faire de jaloux, elle inverse son travail, en m’astiquant avec passion.
Voulant regoûter à cette bouche si accueillante, je libère mon gourdin veiné de son massage. Je me rapproche de sa joue, en oscilant mon sexe pincé à la base, pour lui tapoter le visage. J’applique une pression sur sa commissure et force sur sa bouche pour qu’elle puisse nous accueillir tous les deux. Kevin lui, a détourné les yeux et des larmes coulent sur ses joues, qu’il essuie régulièrement de ses pouces en tremblotant.
— Tends-moi ton cul, que je te le fasse rougir ! Kevin, regarde moi donner du plaisir à ta femme et prends des notes ! Ordonne Geoffrey, en empoignant Roxane, la plaçant en levrette.— Mmm, j’aime ta brutalité ! Kev est trop mou pour m’en donner, s’essouffle-t-elle, entre deux gorges profondes.— Avec nous tu es entre de bonnes mains ! Aboit-il, en lui assénant une violente fessée.— Enfin... encore ! Faites-moi mal ! Souffle-t-elle, entre ses dents serrées.
Une fois les fesses bien marquées, il retire son string gaugé de cyprine, en lui caressant sa peau meurtrie et improvise un fouet avec. Il le fait glisser sur son entrejambe et frappe deux bon coups sur sa fente gorgée. Un spasme la foudroie, lui faisant engloutir mon bâton de chair au plus profond. Je l’étouffe avec pour en affirmer sa farouche dévotion, aider de la pression de mes paumes sur sa nuque. Geoffrey ne cesse de cravacher ses flans avec sa culotte en l’insultant.
— Les gars, doucement quand même ! Suggère Kevin, avec une petite bosse dans son pantalon.— On t’a dit quoi à toi ? Dit Geoffrey, en empoignant la mâchoire de Kevin.— Bourre lui mon string dans sa bouche, qu’il ferme sa gueule ! Propose Roxane, arrêtant brutalement sa succion à regret. — Tu as entendu la dame ? Ouvre grand ! Avertis-je, récupérant ma ceinture en enlevant mon pantalon. — Et interdiction de recracher ! Impose Geoffrey, en bourrant le string.— Allonge toi Quentin, j’en peux plus, je veux vous sentir tous les deux en moi !— Kevin, mate moi rentrer dans son petit cul presque vierge ! Me vanté-je, en ajustant ma matraque.
Kevin nous fixe de ses pupilles dilatées, quand elle s’assoie difficilement sur moi, cambrant l’échine au maximum. Son petit anneau n’a pas l’habitude d’un sexe aussi volumineux. Geoffrey rapproche la chaise de bureau, menant Kevin au plus près. Il maintient sa tête, l’obligeant à regarder l’orifice de sa copine se déformer sous mes coups de bassin puissant. Il rougit et se met à haleter, le regard suppliant, plein d’envie. Geoffrey approche son sexe du nez de Kevin et lui balance :
— Tu as vu ma grosse queue ? Je vais déchirer ta femme avec, tellement que tu nageras toute ta vie dans ses trous. Maintenant si tu veux l’autorisation de te branler, mets-toi à poil et suce ma queue que je sois bien dur pour la prendre en double ! Exige-t-il, en retirant la culotte de sa bouche.— Suce le Kev, rend le bien dur s’il-te-plait ! Supplie-t-elle, entre mes assauts.
Kevin se lève et fait tomber ses vêtements une main sur son membre en érection. Il se rassoit, le gland dépassant à peine et ouvre timidement la bouche.
— Tu vas te dépêcher petite princesse ? J’ai pas toute la journée ! S’énerve Geoffrey, en enfournant son sexe impatient.— C’est qu’il fait les choses bien en plus ! proclamé-je, en le voyant s’appliquer à sa besogne.— Oui va-y, continue… c’est bien comme ça, aspire bien ma petite pétasse ! Crache Geoffrey en enfournant ce qu’il peut de son chibre massif.
Il s’arrête brusquement, jugeant son sexe assez dur et biffle le pauvre Kevin. Roxane me change de trou et écarte sa petite chatte sur mon phallus dressé, en gémissant de plaisir. Pendant que je lui mordille ses auréoles dressées fièrement, ce grand gaillard s’installe derrière Roxane. Je ressens sa verge contre son antre dilaté par mon traitement, essayant de rentrer.
D’un coup rageur, il s’enfile de tout son long, refermant son vagin étroit sur moi. Je lui administre quelques coups de bassin, lui arrachant quelques cris supplémentaires. Mes mouvements l’entraînent et je sens enfin son sexe s’agiter à travers la fine paroie qui nous sépare.
— Allez-y plus fort ! je vais enfin pouvoir jouir correctement après toutes ces années ! Crie-t-elle, en s’agrippant à la tête de lit pour une meilleure prise.— T’aime ça, ma petite chienne ! Dis-je, en pelotant vigoureusement ses tétons.— Tiens prends ça salope ! Jure Geoffrey, lui administrant des fessés sur sa peau meurtrie, entre chaque coups de reins.
Il copie enfin mon rythme stimulant, ce qui la fait convulser frénétiquement à chacunes de nos poussées. Prise en étaux entre nos corps musclés, elle jouit, poussant des hurlements de plaisir.
— Maintenant couvrez moi de sperme ! Je veux être toute collante, aguiche-t-elle, en sortant sa langue.
Nous sortons hâtivement et posons Roxane par terre, à un mètre de Kevin. Il se languit de sa copine inaccessible, en se masturbant et tente de nous interpeller.
— Et moi, je peux venir ? Questionne Kevin, en se rapprochant.— Tu peux prendre ma place si tu veux, mais moi je jouis dans ton cul avant en échange, ça te vas ? Rigole Geoffrey, en passant la main dans les cheveux auburn de Roxane. — Euh… hésite Kevin, en se figeant.— Lubrifiée comme elle est, elle va rentrer toute seule dans ton petit cul ! L’encouragé-je, en bourrant mon chibre souillé jusqu’à la glotte de notre gourmande.
Je jouis bien au fond de sa gorge et de puissants jets viennent s’écraser, coulant le long de sa trachée. Poussé par mon râle de plaisir, Kevin s’approche doucement de Roxane, prêt à répandre sa semence.
— Tu vas où comme ça ? Les mains sur le lit, tu jouiras sur Roxane après ! Commande-t-il, en le poussant contre le sommier.
Il s’exécute, exposant ses fesses toutes blanches à notre vue. Geoffrey s’approche de lui, faisant coulisser son puissant engin contre son anus et crache dessus pour le lubrifier.
— Tu as toujours envie de te faire enculer pour pouvoir inonder ta copine ? se renseigne Geoffrey, en se présentant debout derrière lui.— Oui, mais va-y doucement s’il-te-plaît, Supplie-t-il, en serrant les dents.
Il pousse son gland dans le petit orifice vierge de Kevin, qui pousse des cris mêlant bienfait et douleur. En admirant ce spectacle mon gourdin regonfle dans la bouche de Roxane, toujours en train de me nettoyer. Geoffrey finit par arriver au bout, dépucelant intégralement Kevin avec sa trompe démesurée. Roxane glisse sa main sur son triangle, pressant son bourgeon en me pompant avidement.
Geoffrey, rageur dans ce petit arrière train, n’en peut plus et le bourrine en le martelant de coups de pine. Dans un dernier élan, il chope le bassin de Kevin, pour cracher son foutre bien au fond, en grognant puissamment. Kevin n’ayant pas pût se retenir, macule la couette de semence visqueuse. Roxane se doigte avec passion en me léchant les couilles, ses yeux me mendiant une seconde salve.
— Oui va-y, défonce moi bien la raie, j’adore ça ! S’emporte Kevin, en se branlant avec célérité.
Je sors mon sexe tendu en lui tirant les cheveux en arrière et lui envoie mon nectar en plein visage, qu’elle accueille en ouvrant grand la bouche. Elle jouit une seconde fois au contact de mon sperme sur sa peau, sa main plantée dans son antre avide.
— Alors comme ça ma bite est tellement bonne, que tu n’as pas pu te retenir mon petit Kevin ? — Merci c’était terriblement bon, proclame Roxane, en s’écroulant en diagonale sur le lit.— Rechargez les batteries, demain on se lève tôt pour notre rando aquatique, dis-je, en m’habillant — Pas de problème, articule tant bien que mal Roxane, à moitié en train de dormir.
Nous laissons Kevin tentant de s’asseoir doucement sur le coin du lit, le rectum en choux fleur et Roxane comblée qui ronfle déjà.
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