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La débauche de la France

Chapitre 1

Divers
Je m’appelle France et je suis une femme mariée et heureuse de l’être, j’ai trente ans et je mesure un mètre soixante-douze, mes longs cheveux bruns cascadent sur mes épaules, ma ferme poitrine nécessite des soutiens-gorges B du cent et même des bonnets D du fait de mon récent accouchement, je suis fine, j’ai un beau petit cul avenant, et on remarque tout de suite mes origines vietnamiennes.
Ce n’est qu’au lycée que je rencontrai mon futur mari, ce fut le coup de foudre réciproque. C’était un mauvais garçon qui avait bien tourné, je croyais que j’y étais pour quelque chose. Inutile de dire qu’assez rapidement, je lui offris mon pucelage, j’appréciais de faire l’amour régulièrement avec lui.
Environ deux ans plus tard, nous nous sommes mariés et nous eûmes rapidement notre premier enfant, ce qui nous précipita brutalement dans le monde des adultes.Nous nous sommes installés dans un appartement à loyers modérés dans le plus mauvais quartier de notre ville. Mon époux trouva un emploi dans une maison de courtage, son salaire était des plus modestes alors que je dénichais un travail professionnel bien mieux rémunéré.
Mon voisinage est des plus agréables. L’appartement dans lequel nous vivons est un bâtiment qui attire les couches populaires, dont certaines assez indésirables, mais le loyer est bas et nous disposons de deux chambres et d’un grand séjour. Dans quelques années, lorsque nous aurons économisé suffisamment d’argent, nous achèterons une maison.
Deux mois plus tôt, mon mari a programmé des vacances sportives de quatre jours avec ses copains, ce qui m’incitait à prendre quelques jours de congé et que je confie mes enfants à la garde de ma mère le temps que je voulais rester seule.
Un mois environ avant ce voyage, un couple de nouveaux locataires s’installa dans l’appartement contigu au nôtre. Il s’agissait de deux Martiniquais, deux colosses noirs d’environ vingt-cinq ans, apparemment ils dépendaient de la base aérienne proche. Mon mari et moi étions là lors de leur emménagement, mon époux offrit de leur donner un coup de main. Ils se présentèrent, ils se nommaient Laurent et Norbert.
Pendant les semaines qui suivirent, mon mari se mit à les haïr, il prétendait qu’ils étaient totalement immatures et totalement infréquentables. Je n’ai jamais été très ouverte, aussi n’allais-je pas plus loin que les échanges normaux entre voisins.
Souvent, j’étais chahutée par une bande de jeunes du quartier.J’avais pris l’habitude de baisser la tête et de ne pas faire attention aux insultes qui fusaient à chaque fois que je passais et entrais dans mon immeuble.
Un jour, alors que j’étais prise à partie par la bande de cinq jeunes d’environ dix-huit ans, Laurent apparaît et les fait dégager. Nous faisons plus ample connaissance et parlons longuement. Je tombais vite sous le charme de ce garçon noir et musclé, mais celui-ci ne me fait aucune avance. Un autre jour, alors que je me plaignais d’être toujours la cible des jeunes, Laurent me parlait des us et coutumes de la vie en cité, comment je devrais faire pour ne plus être harcelée. Il m’expliquait également qu’il pouvait m’aider, mais que ça risque d’être compliqué pour moi vu que j’étais marié.
Enfin arriva le jour du départ de l’amour de ma vie. Je le conduis à l’aéroport puis j’emmenais mes deux fils chez ma mère. Après avoir passé une bonne partie de l’après-midi avec ma mère et mes enfants.
En arrivant, j’étais une nouvelle fois importunée par les jeunes. C’est à ce moment que Laurent et Norbert remarquèrent mon embarras, ils offrirent de m’aider. A partir de ce jour, je ne serais plus embêtée dans la cité. Je devenais la protégée des grands frères. Mais la tranquillité avait un prix, en échange de quelques bières et d’un bon repas. Comme je n’avais pas le choix, bien que je sache que mon mari n’approuverait pas mon initiative, j’acceptais leur offre. Je me rendais au marché du coin et j’achetais quelques bières et une pizza. De c’est chez eux que nous fêtâmes cela en soupant.
Ils m’offrirent une bière que je refusais, je n’en avais bu qu’une auparavant et je m’étais retrouvée tout de suite éméchée. Une fois la pizza engloutie, ils insistèrent pour que je boive une bière, me disant que cela ne se faisait pas de refuser de boire un verre à des amis. Au bout d’une trentaine de minutes, de guerre lasse, j’acceptais pour qu’ils arrêtent de me harceler pour que je boive avec eux.
Et bien sûr, à peine avais-je bu la moitié de ma canette que je me sentais légèrement grise, je m’excusais pour me rendre aux toilettes.Lorsque j’en revins, Laurent se roulait une cigarette, il me demanda s’il pouvait fumer. Sentant que je devais leur être reconnaissante de leur intervention et sous un état alcoolique euphorisant, je l’y autorisais, lui demandant de n’en fumer qu’une. Il me remercia vivement et sourit à Norbert comme si je venais de leur ouvrir une voie à explorer.
Lorsque je bus une seconde bière, j’étais confuse, je me rendis subitement compte qu’ils fumaient de la marijuana. Je leur demandais de cesser immédiatement, ils se contentèrent d’en rire et me dirent qu’ils avaient quasiment terminé leur joint.
Norbert s’approcha de moi et s’assit à mon côté et m’avisa que c’était la fumée de la marijuana qui me troublait l’esprit, il insista pour que j’essaie, que cela m’emporterait vers des paradis que je ne soupçonnais même pas. Je n’avais jamais vu de joint ni de drogue de quelque sorte, j’étais tentée d’essayer pour voir.
Ce fut tout d’abord un véritable désastre. Je m’étouffais avec la fumée et toussais comme une malade. Ils me convainquirent de recommencer, me disant que cette fois, Norbert me soufflerait la fumée dans la bouche. Lorsqu’il s’exécuta, je sentis ses lèvres frôler les miennes, je m’affolais alors, comprenant que cette situation pouvait déraper à tout instant. Alors que j’allais leur dire de me quitter, une lourde masse de béton s’abattit sur moi, me paralysant momentanément l’esprit.
Laurent s’assit tout contre moi à ma gauche et me demanda si tout allait bien. Je ne pouvais répondre, je n’arrivais plus à contrôler mon esprit ! Ils restèrent assis, tournés vers l’écran TV en me disant que je resterais avec eux tant que je ne me sentirais pas mieux, puis je pourrais rentrer chez moi. Comme ils naviguaient sur les différents canaux, ils tombèrent sur une chaîne pour adultes. Norbert me dit alors qu’ils avaient installé un décodeur pirate pour disposer de toutes les chaînes gratuitement.
Je ne parvenais pas à croire ce que je voyais, pas plus que le fait que ce film porno se déroule sur l’écran. Je n’avais jamais vu de film porno, mais j’avais déjà entendu mon mari et ses amis en parler de temps à autre. Sur l’écran, un noir se faisait sucer par une Asiatique.
Un bref instant de lucidité envahit mon esprit, je me rappelais alors que j’étais une femme mariée et heureuse en ménage, que j’étais dans l’appartement des deux Martiniquais noirs que mon époux détestait, qu’on buvait de la bière alors qu’ils fumaient de l’herbe, et surtout que je regardais un film porno en compagnie de deux célibataires !
J’étais si confuse que je ne trouvais pas le ressort de partir. Brusquement, Norbert posa son bras sur mon épaule et me demanda si tout allait bien. Je restais assise, les bras le long du corps, espérant vaguement que le nuage qui obscurcissait mon esprit se dissolve. Mon cœur dérapa lorsque Norbert entreprenait de me caresser les contours d’un de mes seins au travers de mon tee-shirt.
Lorsqu’il dénicha mon mamelon et commença à le manipuler lascivement, je poussais un soupir de contentement en lui demandant de continuer. Il me répondit en posant ma main sur son entrecuisse. Laurent empoigna alors mon autre main et en fit de même, et commença à caresser la face interne de mes cuisses au travers de mon jean, bientôt il palpait mon minou au travers de l’épais tissu.
J’étais sur un nuage, incapable de leur opposer la moindre résistance, ma seule pensée était d’espérer qu’ils soient plus entreprenant.Ils sortirent tous deux leurs grosses bites de leurs pantalons ! La bite de Norbert faisait bien au moins vingt-cinq centimètres et celle de Laurent une trentaine. Je ne pensais pas que des bites puissent être aussi longues et grosses, cela me semblait des armes redoutables.
Ils voulaient que je les branle, je laissais mes mains inertes sur leurs grosses queues, ils improvisèrent alors emprisonnant mes mains dans les leurs pour guider mes gestes.
Norbert avait remonté mon tee-shirt au-dessus de mes seins et titillait un des mamelons tandis qu’il suçait l’autre. Laurent avait glissé sa main dans mon jean et titillait mon clitoris. Je ne pouvais m’empêcher de soupirer en gémissant :
— Oh ! Oui ! Mon Dieu ?
Norbert s’était levé et attirait mon visage sur sa bite en me prévenant qu’il n’allait pas tarder à jouir. Une rafale de jets de sperme s’écrasa sur mon visage et mes seins. J’ouvrais ma bouche en grand pour sentir ce sperme chaud s’écraser sur ma langue.
Une fois que Norbert eut traité mon visage comme une cible pour ses jets de foutre, à son tour Laurent cracha sa semence sur ma langue, sur mon visage et mes seins en grommelant :
— Prends ça bonne salope !
Puis ils se rhabillèrent et me ramenèrent à l’entrée de mon appartement sans dire un mot, me laissant là frustrée. J’étais  couverte de leur foutre sans en avoir eu au fond de mon minou .
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