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Débauche au village

Chapitre unique

Orgie / Partouze
Depuis peu, ma colocataire et moi sommes installées dans une maisonnette de ce petit village du Cotentin. Notre aspect physique ne nous a pas permis la discrétion lors de notre installation. Mon amie est brune aux traits à peine dessinés. Femme enfant, ses fesses et ses seins sont arrondis et de dimension modeste. Son look androgyne conviendrait à un garçon pré pubère. Par contre, ses yeux d’un bleu profond rappellent sa féminité, sous une courte frange noir de geais. Quant à moi, mes hanches larges et ma généreuse poitrine viennent s’embellir d’une opulente chevelure d’un blond couleur de blés murs. Mes grands yeux noisette ne laissent pas indifférents. Notre arrivée s’est passée sans aucune difficulté, même si la cohabitation de ces deux femmes encore jeunes n’est pas sans intriguer les habitants. La saison de la chasse vient de commencer. Le maire, soucieux du lien social dans sa commune, nous invite à participer à l’ouverture. Devant notre peu d’empressement, il finit par transiger et nous convie exclusivement au banquet qui suivra. Le jour venu, nous nous parons de nos plus beaux atours et nous rendons à l’auberge forestière ou doit se dérouler la fête.
Nous constatons, dès notre arrivée, qu’il y a beaucoup de bruit dans la salle. Les voix se mêlent et s’entrechoquent au point qu’elles sont pour tous inaudibles. Le maire vient à notre rencontre pour nous accueillir. « Votre succès en ce lieu est total ! Je n’ai jamais vu mes administrés aussi excités... Êtes vous sûres de vouloir être exhibées en public et prendre le risque de leur servir de vide couilles ? » Nous restons dubitatives, incapables de choisir. Nos quelques premières connaissances du village nous saluent ou nous sourient. L’ambiance est électrique mais cordiale. L’apéritif dure plus d’une heure et les esprits s’échauffent. Lorsque le repas commence une majorité d’hommes semble à demi ivres et hors de contrôle. Tout au long du repas il se livrent à mille plaisanteries grivoises et nous sommes l’objet de nombreuses provocations indécentes. Nous savons maintenant que nous allons « passer à la casserole » sans ménagement si nous restons. Nous avons, nous aussi beaucoup bu et l’excitation nous a gagné. Après le trou normand, l’atmosphère se dégrade encore et un petit groupe d’hommes bien imbibés nous abreuve de quolibets : « à poil » crie l’un, « montre ton cul » hurle l’autre, « sur la table » dit un troisième. Lorsque, sans conviction, nous essayons de nous éclipser, plusieurs d’entre eux se montrent insistants et nous faisons contre mauvaise fortune bon cœur.
Nous sommes alors décollées de nos sièges par des bras puissants et posées debout sur les tables. Les autres femmes présentes essaient de se faire oublier. Elles desservent et disparaissent rapidement. Le maire, soucieux de sa réélection, et donc de ne froisser personne, quitte discrètement les lieux accompagné du curé . Ceci libère les mauvaises pensées des participants. De nombreuses mains commencent à s’immiscer sous nos vêtements. Lorsqu’elles rejoignent nos fesses un sentiment trouble fait de crainte et de plaisir nous submerge. Nos culottes sont prestement arrachées. Les mains excitées progressent sur nos peaux. Nos vêtements sont peu à peu ôtés et nos corps de plus en plus indécents. Chaque lambeau de tissu soustrait est salué par une clameur. Il ne leur faut que quelques minutes pour nous dénuder. Ils nous ont laissé nos chaussures et nous font tourner sur les tables en une danse obscène. Pour nous l’émotion est à son comble entre la honte et l’excitation. Nos sexes humides et nos corps à demi prostrés trahissent nos émois. Ils nous font chuter sur les tables. Une fois allongées nous sommes livrées à leurs paumes qui s’emparent de chaque cm² de notre peau. Nos fesses et nos seins sont pétris, nos cuisses écartelées, nos sexes et nos culs envahis de leurs doigts. Terriblement excitées, et en même temps craintives, nous nous retrouvons à la merci de cette horde hystérique. Commence alors un outrage qui va durer de longues heures.
Nous sommes tout d’abord installées au bout des tables pour que les phallus des chasseurs puissent se succéder dans nos vagins. Puis ils nous mettent à genoux au sol pour envahir nos bouches ; à quatre pattes pour déflorer nos culs. Toujours plus excités, ils envahissent les trois à la fois, tandis que certains se branlent au dessus de nous et éjaculent sur nos corps offerts. Aucun de nos partenaires ne s’est déshabillé. Ils sortent furtivement leurs organes en tant que de besoin. Nous sommes rapidement couvertes de foutre. Nos visages, nos dos et nos ventres sont les réceptacles de ces amas de semence devenue inutile. Nos cheveux et nos pubis sont englués. Et pourtant notre émotion est à son comble. Nous nous contorsionnons pour mieux offrir nos orifices. Nos cris trahissent plus la volupté que la peur; même si celle ci n’est jamais totalement absente. Heureusement, les convives les moins alcoolisés freinent les ardeurs de leurs congénères border line.
Passé un premier moment de panique, je dois avouer que j’ai senti de nombreuses fois monter le plaisir. J’ai aussi entendu mon amie exprimer bruyamment ses orgasmes. J’ai signalé à mes amants ma jouissance par mille vocalises. Ce comportement nous a valu des attentions dont nous nous serions bien passées. Nos partenaires n’ont cessé d’être de plus en plus grossiers dans leur manière de nous parler. Des insultes fusent sans arrêt de leurs voix égrillardes dont les plus douces seraient « salope » ou « pute ».
Lorsque les hommes, ivres d’alcool et de sexe, quittent l’auberge, quelques femmes viennent nous aider à retrouver figure humaine. Nous rentrons chez nous, nues sous des couvertures, étonnamment apaisées. Mais le pire nous attend encore. Dés le lendemain, les langues ont été bon train et, tandis qu’une majorité de femmes et d’hommes nous regarde de travers, les autres se comportent grossièrement ou nous insultent. « Tu veux encore que je te fasse jouir, cochonne ? Viens tâter ma bite, putain. T’es encore en manque, gros cul ? J’te ramone quand tu veux, sale gouine. » L’ambiance à l’épicerie est telle que le maire et le curé nous exfiltrent et nous raccompagnent à notre domicile. Nous devrions sans doute vivre ailleurs que dans le village ou nous n’apparaissons plus que pour nous enfermer chez nous.
Si aucune de nous deux ne souhaite connaître à nouveau un tel traitement, ce contact charnel avec un groupe d’hommes nous manque. Rien ne saurait remplacer ces insultants et obscènes assauts. Après mure réflexion, nous nous décidons de faire un tri parmi nos tourmenteurs et de convier les plus « convenables » à quelques parties fines à notre domicile. C’est ainsi que nous avons pu, tous les vendredis en soirée, permettre à nos corps d’exulter. C’est aussi ainsi que nous avons constitué ce groupe d’amants qui a su nous protéger contre les femmes jalouses et leurs grossiers maris. Mais quel pied, chaque semaine d’attendre ainsi, dans des tenues indécentes, nos amis ! Quel plaisir de leur offrir nos orifices ! Quelle joie de jouir alors qu’ils nous prennent à plusieurs et font exulter nos corps et nos sens ! Le curé, le maire, le boucher, le notaire et bien d’autres sont de la partie. Pour leur plaire nous ne portons plus rien sous nos robes dans leurs lieux d’exercice. Il glissent leurs mains sous le tissu à chaque rencontre ou nous ordonnent de nous trousser. Nos seins sont souvent dressés et nos entrejambes fréquemment humides. Nos culs sont couramment ouverts et prêts pour la caresse. A notre arrivée, le curé nous enferme à la sacristie, le notaire dans son bureau, le boucher dans son laboratoire, le boulanger dans son pétrin. Et les scènes se répètent : nos culs sont défoncés, nos vulves et nos bouches envahies de sexes.
Au printemps et en été, ils nous donnent rendez-vous en pleine nature et nous culbutent dans les fourrés et les taillis. Nous y trouvons le plaisir d’être en permanence aux aguets de l’arrivée de quelque promeneur indésirable. Notre plaisir en est précipité et plus violent. En hiver, nous fréquentons les arrières boutiques bien chauffées, toujours prêtes à nous dénuder. Pendant la chasse, nous savourons un repos bien mérité, sauf le vendredi au crépuscule... Et pour la première fois de nos vies, nous atteignons chaque semaine le plaisir suprême non sans nous y préparer chaque jour par notre nudité à peine couverte. Ainsi, nous sommes en permanence gagnées par l’émotion que nous procure cette éternelle exhibition où nos seins et nos culs sont libérés de toute entrave. Nous ne supportons plus pantalons et bustiers ajustés, culottes et soutiens gorges. L’idéal devient la robe trapèze portée sur nos corps nus qui procure la sensation d’être toutes entières exhibées. C’est parfois le cas lorsque nos amants, fiers de leur conquêtes montrent aux yeux de tous le détail de nos anatomies, vibrantes et ondulantes, le cul ou la vulve habités de leurs mains qui nous animent comme des marionnettes.
Nous sommes à chaque instant, depuis le premier outrage collectif, habitées d’émotion et les sens en éveil. Le moindre effleurement nous met en transe. Nos corps ne sont plus que des outils destinés au plaisir charnel et en permanence au bord de l’orgasme. Tout le jour nous sommes ainsi électrisées et le soir, épuisées, nous nous endormons d’un sommeil lourd peuplé de fantasmes érotiques. Merci encore à tout le village pour cet éprouvant mais bien utile repas de chasse ! Villageois, abandonnez vos fusils et nous serons vos gibiers dénudés dont la traque durera à longueur d’année. Parfois vous poursuivrez, peau mate sous sa noire crinière, un gibier androgyne aux fesses de garçonnet et au torse sans relief. Tantôt vous convoiterez les somptueux seins blancs et le large derrière de la blonde pouliche aux reliefs opulents. Quel excitant programme !
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