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Débauchée

Chapitre 1

Hétéro
Je ne vais pas vous raconter d’histoires mais une histoire qui n’est que pure fiction, le produit intégral de mes fantasmes. Mais il est des moments dans la vie où la réalité rejoint la fiction. C’est le cas ici et si j’ai exacerbé certaines scènes à l’extrême, je les aies malgré tout vécues en parties. Ce qui est totalement vrai en revanche, c’est que je suis une véritable obsédée sexuelle sous des dehors pudiques et puritains. Mais combien sommes nous qui osons avouer l’être à quelques degrés que ce soit ? A ce titre, je ressemble à la majorité des femmes. Si nos organes sont internes, nos pensées lubriques sont tout autant secrètes. J’oserai presque affirmer que beaucoup de nos fantasmes sont bien plus inavouables que ceux des messieurs.

    Je m’appelle Yvonne, j’ai 41 ans, brune aux yeux verts, bien foutue comme on dit, nantie d’un beau cul et d’une poitrine arrogante, mes 60 kgs mesurent 1m72, bref, tous ces attributs attirent irrémédiablement le regard lubrique des mâles. Pourtant, je ne me suis jamais mariée. Il y a une raison simple à mon célibat volontaire : je ne me lasse pas de me faire sauter. Non seulement il me faut de la bite, mais j’ai aussi besoin de me sentir pleine de sperme en quasi permanence.     Un seul homme n’aurait donc pas suffit à mon appétit ou alors il aurait été le dernier des cocus. J’ai bien pensé convoler à une époque, afin d’avoir une vie sociale totalement établie ; de nos jours, il facile de tromper son mari, même très souvent, sans qu’il ne s’aperçoive jamais de rien. Le travail et la pilule sont les deux principaux outils qui permettent à une femme de s’adonner aux plaisirs du sexe avec qui elle veut quand elle veut. J’y ai renoncé, car j’ai aussi une intimité très particulière que je n’aurai pas pu entretenir dans une vie commune.     J’aime, en effet, laisser ma matrice macérer dans le jus de couilles, le garder dans le ventre, le sentir imbiber mon protège-slip ou ma serviette hygiénique, articles dont je me garnis selon la quantité de semence que j’ai reçue, pour éviter la fameuse « tache au cul » et afin d’empêcher les odeurs de transpirer. Je fais pipi doucement pour éviter que trop de sauce s’échappe dans la cuvette et ne m’essuie jamais la chatte après la miction.     L’odeur de l’urine a aussi chez moi un fort effet aphrodisiaque, surtout quand elle se mêle aux autres senteurs corporelles. Très clitoridienne également, j’attend avec impatience de rentrer chez moi pour me masturber dans un stupre qui n’a d’égal que la jouissance qu’il me procure. Je ne me douche jamais le soir, et je conserve ma garniture pour dormir. Chaque matin, avant de faire mes besoins, je me branle sur la cuvette des WC, excitée par les fortes effluves qui remontent jusqu’à mes narines dans cet espace confiné et le puissant goût amer que mes doigts amènent à ma bouche.    Le week-end, il n’est pas rare que je flemmarde ainsi toute la matinée, la couche de la veille entre mes cuisses.     J’avale aussi, bien évidemment, goulûment même, mais seulement quand mes deux trous ont été comblés. Je suis donc une véritable salope au sens propre, si je puis dire, du terme.    Qui peux imaginer que mademoiselle la greffière en chef du grand tribunal de B. est une baiseuse de première, qui se fait tirer par le premier venu à l’appel de son bas-ventre dans les lieux les plus insolites ou les plus sordides ? Que cette belle femme cultivée, toujours élégamment vêtue, presque altière, est en fait une obsédée sexuelle ? Que son entre-jambes trempe en quasi permanence soit d’envie, soit de la liqueur issue de sa mouille abondante et du ou des spermes dont elle s’est faite remplir, que son anus aussi en suinte très souvent ? Personne de son entourage, pas plus de sa famille que de son environnement professionnel ou de ses amis. Et si deux fois par semaine je me fais mettre au palais, c’est dans les toilettes par les deux employés arabes de la société de nettoyage affectés à mon étage. L’un fait le guet pendant que l’autre se vide en moi et inversement. Le premier me prend toujours par derrière pour que çà coule moins au moment du déculage. Dès que le second a déchargé au fond de mon vagin, je me garnis d’une grande culotte au fond tapissé d’une serviette pour aller retrouver ma place de chef de service exempt de toute critique.     Il n’y a vraiment qu’au plus fort de mes règles que je m’abstiens de toute activité sexuelle. Trois à quatre jours de jeûne permettent à mes orifices très sollicités de se reposer.     J’ai conscience de vivre dangereusement, mais j’essaie de « trier » au mieux les mâles rencontrés. Je ne peux de toute façon pas jouir sans sentir gicler en moi. Pire, nul besoin de me pilonner pour m’amener à l’orgasme, il suffit de me planter bien à fond et d’envoyer la purée.     Je me fais suivre régulièrement par mon médecin, qui n’ignore rien de mes pratiques et qui me baise à chaque visite sur la table d’examen. Je dois lui raconter à chaque fois mes aventures, selon son humeur, venir vide ou pleine, du jour ou de la veille. Agé de la cinquantaine, d’origine libanaise, c’est un pervers qui a la particularité d’avoir une éjaculation abondante, épaisse et odorante. Doté d’un dard au gland démesuré par rapport à la tige beaucoup plus longue que la moyenne, il me procure des orgasmes inouïs, quand vissé au fond de mon vagin ou de mon rectum, il décharge à flots. Très imaginatif, il a recours à mille astuces préliminaires pour nous exciter au point de non retour, celui où on se laisse même aller à des pratiques inavouables. Il n’est pas rare que pour pouvoir enfin obtenir le produit de ses couilles, je doive pisser et chier devant lui dans des positions toutes aussi humiliantes qu’incongrues.     Comme beaucoup de femmes, je suis sujette à constipation passagère. Mais au lieu de subir désagréablement mes ballonnements, j’ai appris avec lui le plaisir d’ être débouchée par une sodomie profonde et vigoureuse. Une fois mes boyaux dilatés et tapissés de sperme, je peux m’exonérer du fameux étron qui m’encombrait. Si c’est mon docteur qui bénéficie le plus souvent de cette faveur, je ne me sens aucunement gênée de me laisser aller après un enculage, persuadée que je suis que celui qui passe par le conduit culier sait pertinemment à quoi il s’expose. Celles qui se préparent à cet acte soit disant contre-nature en s’administrant un lavement préalable ne doivent pas avoir l’air plus malignes quand, assises sur la cuvette des chiottes, à force de pets gras et sonores, elles relâchent le contenu de leurs intestins en une cascade tonitruante et guère limpide. Mais c’est tellement plus jouissif de s’abandonner ! Il suffit de prévenir le partenaire par un « arrêtes, arrêtes, tu vas me faire chier ! » pour savoir si la menace l’indispose. Je me suis rendue compte qu’au contraire, cela excitait beaucoup des adeptes du trou du cul.     Avec mon toubib, c’est trois heures de débauche ininterrompue après sa dernière consultation et je sors toujours de son cabinet dans un état second. La belle est devenue la bête.    Il est rare que je me fasse tirer par des blancs. Je ne me fais saillir quasiment que par des arabes. D’une part parce que c’est la race la moins vectrice de MST mais aussi parce que je me sens avilie et humiliée au dernier point de leur servir de vide-couilles dans des lieux sordides. Me faire prendre dans les chiottes nauséabondes d’un bar fréquentés par des maghrébins, leur servir de pute gratuite dans une chambre d’hôtel borgne ou encore être baisée à la chaîne dans un foyer Sonacotra me procure un tel dégoût de moi-même que paradoxalement il m’en est source de la plus extrême excitation. Quand mes pas me mènent vers un de ces endroits, je sens ma vulve gonfler et mon conduit vaginal se liquéfier littéralement. Bien sûr, la plupart de mes amants d’un moments me connaissent et sont des habitués, mais j’aime aussi traîner dans des quartiers inconnus à la rencontre de l’inconnu. Je n’ai jamais été agressée mais toujours été graissée.     Les mots orduriers contribuent aussi à m’avilir comme j’aime l’être. M’entendre être traitée de salope, de cochonne, de putain, de chienne ou être limée sous des « prends çà dans ton cul de putasse », « je vais t’engrosser comme une truie », « tu vas prendre ma purée dans ton trou à merde » aident à me mettre dans une démence sexuelle qui me fait perdre toute notion de la réalité. Je ne suis plus une femme mais une animale en rut.     Lors de mes périodes fécondes, je deviens intenable. Il ne m’est pas difficile de détecter mon ovulation. Non seulement, j’ai bien plus envie que les autres jours, mais je mouille davantage et mon sexe exhale une odeur de marée bien particulière. Quand je rentre chez moi bien remplie, je pue à vomir, mais me masturbe comme une damnée jusqu’à une explosion que je qualifierai d’atomique dans ces instants là.     Quand j’ai mes chaleurs, j’ai le feu au cul, un besoin irrépressible d’être inondée plusieurs fois par jour. Le gardien de l’immeuble résidentiel où j’habite, un tunisien de la trentaine, est le premier de la journée à m’honorer de sa semence. Au moment de partir pour le bureau, dans un coin du parking souterrain ou même dans le local à poubelles, penchée en avant, je remonte ma jupe, écarte une jambière de mon slip, déjà nappé d’une serviette, pour lui permettre de me pénétrer aisément. Généralement, il éjacule aussitôt, le coït ne dure jamais plus de trois minutes. Il s’est vidé, je suis pleine, j’ai eu mon premier orgasme qui va en appeler d’autres. Peut-être les hommes de ménage au palais dans la matinée ou encore un ou deux clients du kebab où je vais régulièrement déjeuner. Puis à partir de 17 heures, je me ferai passer dessus à la chaîne au foyer habituel. Pendant ces quatre ou cinq jours où mon ventre est tenaillé par mes ovaires, il m’est arrivée d’y prendre les mâles jusqu’à onze fois de suite.     Je copule toujours hors de chez moi où je n’ai jamais reçu aucun homme. Personne ne sait où j’habite ni où je travaille, mis à part mon gardien d’immeuble et les employés de la société de nettoyage mais ils sont toujours restés d’une discrétion exemplaire.     Vais-je encore continuer longtemps cette vie de débauche dans laquelle je me complais ? Au moins tant que mes organes le réclameront. Le sexe a ses raisons que la raison ignore. Il suffit un jour de se désinhiber, un jour où peut être on a un peu bu, et on franchit plus aisément qu’on ne le croit le pas qui mène à la réalisation de nos fantasmes. On se souvient de ce jour là comme de celui de son dépucelage. Il suffit d’y passer. La plupart des femmes se servent des vices de leur mari ou amant pour justifier leur conduite à elles-mêmes en se convaincant qu’elles se livrent à certains actes par amour. Quelques unes s’assument cependant.     Si certaines d’entre vous hésitent encore, qu’elles m’écrivent, çà se discute..
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