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Débordée pour un casque

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
    Nous sommes en 2022, un peu à l’écart d’une petite bourgade de Charente. 
    Arnaud, Rodolphe, Honoré et Clément s’entraînent au BMX. Ils ont tous 18/19 ans. L’un deux, Clément, caresse même l’espoir de se qualifier pour les Jeux Olympiques de Paris en 2024. 
    Rodolphe vient de se blesser légèrement à un bras, la session est intense il est vrai.

    C’est alors qu’apparaît, adorable, silencieuse, comme semblant s’excuser, madame Badin, 28 ans, venue là en vacances avec son époux et ses trois fils de respectivement huit, quatre ans et six mois. L’aîné souhaiterait s’essayer à vitesse réduite à ce sport, dispose des protections pour les articulations mais pas d’un casque, oublié à leur domicile. Elle leur en avait parlé la veille, Honoré avait dit "pas de problème, m’dame, j’ai un un frère de son âge, vous pouvez venir demain vers les quinze heures". Elle est disposée, sous le cagnard, elle si gentille, à leur laisser boucler leur séance impressionnante, mais ils se précipitent vite pour la rejoindre sur la lice.

-" Bonjour, m’dame, comment va ?".-" Très bien, les garçons, votre région est vraiment pleine de richesses, tant architecturales que gastronomiques".-" V’nez dans l’cabanon, m’dame, z’allez prendre une une insolation, et y’a l’casque d’dans".

    Deux minutes plus tard, dans le cabanon, à l’abri de ce soleil brûlant, sur un banc ils offrent à madame Badin un verre d’eau fraîche. Les cinq discutent aimablement pendant un bon quart d’heure. Problème : ils triquent comme des ânes, faut bien bien dire les choses.Car madame Badin, 28 ans, mariée, deux enfants, eh bien, elle est belle comme le jour. Et sa tenue canicule-compatible ne fait qu’aggraver son cas. Brune, cheveux si longs qu’ils lui enveloppent le bassin, et des seins rebondis, superbes. Ils ont dix ans de moins qu’elle, elle est mariée, mais Arnaud et Clément de chaque côté d’elle lui posent la main sur le genou. Puis, voyant qu’elle ne se rebiffe pas, les lui caressent. Pendant, oui, c’est la vérité, une bonne dizaine de minutes tout en discutant. Alors c’est l’escalade, imprévisible.  
    Terrible. 

    Ils la font se lever, la plaquent contre un des murs, puis l’embrassent successivement de façon appuyée. Au premier baiser, elle gémit, doigts crispés sur la nuque du premier audacieux. Montée de lait qu’elle tente de réprimer. Ils iront plus tard jusqu’à mâchouiller ses seins quand ils s’en apercevront. 
Au second baiser, l’insolent qui a pris le relais lâche devant la Dame un charmant "elle est hyper-bonne, les gars", demande à deux de ses compères qu’ils ramènent quatre bottes de paille de protection disséminées sur le parcours. Ils les déstructurent pour former une litière de fortune. Ils encerclent madame Badin, la fixent, la font s’allonger sur cette paille si rêche mais où pourtant elle jouira comme une bourrique, elle si convenable si gentille si fidèle à son époux jusque-là.
Ils lui prennent ses interminables cheveux bruns, les enroulent autour de sa bague de mariage pendant que le plus baraqué des quatre la sodomise d’autorité alors qu’elle a, Ô surprise, un des autres jeunes dans sa bouche. Le lait coule maintenant, discrètement mais nettement (elle allaite son cadet de six mois). Ils s’en gaveront comme des morts de soif (il fait 35 degrés dehors). Douloureux au bout d’un moment. Alors ils passeront à autre chose.Ils éjaculeront dans ses oreilles après s’être branlés dans sa magnifique chevelure. Histoire de faire un joli tableau. La transgression est extrême, mais sans préméditation ni violence. Les quatre lascars avaient bien repéré la jolie touriste déjà une semaine avant mais, au vu de ses enfants et époux, chacun avait laisser tomber toute idée de la draguer. 

    Seulement voilà : la belle plante de 28 printemps a maintenant à se farcir quatre sportifs musclés de 18 ans et surtout dorénavant sur-motivés par sa gentillesse, son corps finement ciselé et ses "oui" chuchotés mais sans équivoque. Alors ? Alors deux heures très très physiques, des orgasmes dans les deux camps, une madame Badin à la partition discrète (elle joue d’ailleurs du piano) mais à intervalle régulier de nature à les exciter encore davantage. Ils lui diront, chose incroyable, toujours "m’dame" pendant ces cent vingt minutes. Histoire de suggérer encore mieux la transgression que constituait l’exercice. Et d’accentuer l’intensité sexuelle de minute en minute. 

    Hum... elle avait bien susurré tout en bégayant sur la première syllabe un faiblard "bande de fieffés coquins" juste avant de se faire allonger sur la paille, pile après la séquence des baisers longs et appuyés plaquée contre un mur, mais c’était avant de se faire palper de toutes parts encore tout habillée. Les quatre colosses l’avaient ensuite sacrément déchirée, le mot n’est pas trop fort.35 degrés dehors, un peu moins dans le cabanon grâce à l’eau fraîche et à l’ombre, mais facilement 4 de plus dans les organismes. Le casque tant convoité, ils le lui placeront constamment sur son champ de vision pendant qu’ils la pénétreront vigoureusement plusieurs fois.Jambes relevées mains agrippées aux dorsaux de ses partenaires inattendus du jour, madame Badin est pourtant encore classe. Même à la renverse. Oui, encore classe. C’est dire. Ils lui demanderont lors d’un des rares répits de soigner la blessure de Rodolphe, ce qu’elle fera avec sa gentillesse coutumière sans un mot (le larynx trop plein de sperme il est vrai). Puis lors d’un autre ils lui intimeront, toujours en lui disant "m’dame" (jamais ils ne la tutoieront, même dans les moments les plus physiques) d’appeler son époux en mode haut-parleur, histoire de rigoler, puis, voyant qu’elle le faisait sans moufter (ce qu’ils subodoraient), qui plus est de longues minutes (ça, c’était au-delà de leurs espérances), histoire de pouvoir bander à nouveau après une heure et demie de folie pour lui en remettre une dernière couche bien salée. Faut pas gâcher, quoi. Un final de feu sur une touriste adorable aux seins lactés. Hum...

     

    Des litres de foutre dans tous les trous, de la paille jusqu’au fond de la glotte, une langue endolorie et une impossibilité de s’asseoir pendant deux jours, c’est cher payé le casque.
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