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Débordements !

Chapitre unique

SM / Fétichisme
— Débordement: sortie d’un cours d’eau de son lit. "Synonyme" : débauche. "Manœuvre de débordement" : franchir la défense adverse en la contournant. Tout un programme.— Roger ! Salut c’est Bernard.— Je t’appelle, car je cherche des chambres pour mes sinistrés du camping. Les tentes et les bungalows baignent dans l’eau.— Vous n’avez rien ? Même pas une goutte ? — Alors tu peux me prendre au moins un couple.— Tes travaux ? Il te reste bien une chambre ?— Un couple. Ils sont motorisés. — Merci. Je te les envoie.

Petite route goudronnée qui se termine par au moins un kilomètre de route de terre. La pancarte "Route privée" répétée plusieurs fois n’incite pas à continuer. Mais la maison apparaît soudain, dans une clairière de la forêt. La maison, mais la piscine aussi, piscine manifestement récente, car encore entourée de terre qui attend d’être ensemencée.
La femme a bien la cinquantaine, mais porte "beau". Si elle est affable en nous recevant, l’homme l’est moins. Il est petit, rugueux, habillé négligé avec une chemisette ouverte sur un torse velu qui souligne un ventre bien arrondi. Le short est de ces vieux shorts que plus personne ne porte.
Elle nous accueille avec chaleur, présente son mari, précise qu’ils sont en travaux : piscine de moins d’un mois, deux chambres, futures chambres d’hôtes en cours de finition, ce qui explique que la chambre disponible, si elle est habitable est une troisième encore dans son jus...
Pourtant la soirée se passe bien. L’homme se déride. Il s’est changé, paraît moins frustre, quoiqu’encore bourru.Nous racontons le déluge, la montée des eaux, notre chance d’avoir laissé la voiture dans une zone non inondée. Notre bungalow n’est pas totalement submergé. En principe, l’eau affleure le sol...
— Le camping du levant ? Ah je n’avais pas compris que c’était celui-ci.
La question et la réponse sont suivies par quelques secondes de silence. Le couple comprend que nous sommes naturistes, car ce camping est réservé aux gens comme nous qui profitons de nos vacances pour vivre en liberté sans que le moindre tissu. Mais cette découverte ne change pas l’accueil. Au contraire, l’homme, Roger, semble soudain plus affable. Encore un qui pense que naturisme signifie liberté sexuelle, et que cela fornique dans tous les coins. Non ! Non ! J’ai envie de protester et nous défendre, mais à quoi bon !
Non, le naturisme n’est pas synonyme de liberté sexuelle, au contraire. De voir des corps nus toute la journée peut "couper" la libido. Mais cela ne veut pas dire que nous sommes "coincés" sur le sujet. Je veux dire libido. Nous, notre libido est depuis un an, une libido de libertins. Nous avons découvert cette pratique lors d’une soirée très chaude où des amis nous avaient invités sans nous prévenir. Dans un premier temps, nous avons fait l’amour avec le spectacle très excitant de ces couples qui en ville sont soudés, mais qui pendant cette nuit se sont séparés pour ne se reformer qu’au petit matin. C’est un monde un peu comme celui du naturisme. Personne ne vous juge, personne ne vous contraint.
Et, nous n’avons fait que répondre à une main tendue, dans le sens littéral du terme. Il est manifeste que d’avoir fait l’amour n’avait pas suffi à éteindre un feu de braises, ranimé à chaque fois que nous franchissions le seuil d’une pièce, découvrant des scènes d’une diversité et d’une intensité surprenantes. Heureusement, nous n’avons pas été changés en statues de sel alors que nous regardions ce "Sodome et Gomorrhe" miniature.
Cette main, en réalité ces deux mains tendues, l’une de la femme vers Marc et celle de l’homme vers moi n’ont été refusées que l’espace d’un instant. L’instant d’un regard échangé, d’un sourire partagé, d’un baiser que Marc a déposé sur mes lèvres suivi par un :
— On pourrait essayer. Mais c’est toi qui décides.""
J’ai décidé. Je n’ai jamais regretté et Marc non plus. Notre amour, encore récent, nous vivions ensemble depuis cinq ans, s’est renforcé. Certains pourraient croire que de "baiser" avec d’autres diminue l’envie de son partenaire de tous les jours. C’est faux. Au contraire, on a envie de lui montrer combien on l’aime, combien il vous donne du plaisir et que s’il vous entend crier une jouissance avec un autre, c’est grâce à lui, à la liberté que vous vous accordez l’un l’autre.
Nous utilisons leur salle de bain. Je me dis que je pourrais les informer que nous avons terminé. Ils sont dans la cuisine en train de ranger, ayant refusé notre aide par un :
— Après la nuit que vous avez passée, vous devez être fatigués...

Je vais ouvrir la porte, mais réalise que je suis en nuisette, nuisette d’une transparence qui frôle l’indécence. Je vais juste passer la tête par la porte entrouverte.
— Dis donc, ils t’ont tapé dans l’œil, pour une fois tu as été presque aimable !— Et toi ? Tu ne crois pas que je n’ai pas remarqué que tu t’es changée pour le dîner.— Je suis bien élevée, moi.

L’échange est sans agressivité, plutôt sur le ton de la plaisanterie.
— Mais oui, suis-je bête, bien élevée au point de ne pas mettre de culotte ni de soutif.— Moi ? Ah mais oui, c’est vrai, j’avais oublié. Il fait si chaud.— Tu n’as pas l’intention de chercher à séduire Marc ?— Et toi ?— Tu connais nos accords. Tant que notre projet n’est pas terminé, pas question de faire de vagues. On pourrait nous retirer notre permis de construire. Pour eux ce serait une façon de protester.— Mais on est chez nous. La forêt tout autour nous appartient. Le chemin est privé. Alors ?— Tous les culs bénis et les autres... Après il suffira de rester discret. Tu sais bien que c’est un monde qui a l’habitude de la confidentialité. Si tu veux après leur départ on pourra aller à "Cottabert" pour lâcher la pression.— Bon d’accord. Passe-moi les assiettes.

Les assiettes passent de main en main. Étrange échange verbal dont je ne comprends qu’une partie, celle où ma foi nos hôtes ne sont peut-être pas si "coincés".Armelle se penche. On voit nettement qu’elle ne porte pas de culotte. Il faut que je demande si Marc l’avait remarqué. Moi j’avais vu qu’elle ne portait pas de soutif bien que sa poitrine semblât étrangement "rigide".L’homme baisse son short. Ses fesses velues me confirment que la toison que l’on voit dépasser de sa chemisette n’est que la partie apparente de l’iceberg.
— Roger, pas maintenant. Attends qu’on aille dans la chambre.— Tu sais bien qu’entre les deux chambres, on entend tout. Moi je veux bien. On pourrait montrer à ces petits jeunes que tu n’es pas insensible à mon charme.— Je ne savais que ton gros machin s’appelait "charme".— Coquine.— Cochon.— Je préfère "ours" si tu veux bien.

La suite est celle d’un couple qui se donne du plaisir. Je ne vois que les fesses de l’ours. Des fesses que les mains d’Armelle caressent alors qu’elle lui fait une fellation.Des fesses qui bougent alors qu’il la possède, levrette contre le plan de travail.Des fesses qui tressaillent alors qu’il jouit.
Je me sauve discrètement.Je raconte ce que j’ai vu et entendu à Marc.
— Alors comme ça la cloison est fine ?— Oui. C’est ce qu’il a dit.— Oui, mais nous on ne le sait pas.— Et alors.— Je ne sais pas toi, mais moi j’ai besoin de relâcher toute cette tension...— Et ?— Attendons qu’ils arrivent.— Et ?— On pourrait leur montrer que, nous les naturistes, on ne fait pas que vivre nus......— Pervers.— Ne fais pas ta mijaurée. Montrons à l’Ours que la valeur n’attend pas le nombre des années.—----------------------------------------------------— Si vous voulez, vous pouvez profiter de la piscine. L’eau est chaude avec cette canicule. Heureusement, les grosses chaleurs sont passées.

C’est Armelle qui me le propose. Nous sommes seules. Nos maris sont allés en ville pour donner un coup de main et réduire les dégâts causés par l’inondation.
— Ce serait avec plaisir, mais je... Vous comprenez, je n’ai pris que l’indispensable et...— Le maillot de bain ne fait pas partie des indispensables, surtout dans ce camping. (Elle sourit)— C’est vrai. J’en ai un, en cas que... Mais...— Je peux vous en prêter un. Ou bien... Personnellement, cela ne me dérange pas, vous pouvez faire comme au camping.— Cela me gêne un peu. A moins que vous aussi vous... Entre femmes... Votre mari n’en saura rien. J’ai bien compris que le nudisme n’est pas sa tasse de thé.— Oh ce n’est pas le nudisme qui le dérange, c’est un complexe.— Un complexe ?— Oui, en confidence... Vous garderez ce secret n’est-ce pas ? C’est typiquement masculin.— Ah, son sexe. Il le juge trop petit.
(Elle rit). Non, l’inverse.
— Ah !— Vous êtes charmante. Vous l’avez bien vu hier soir.— Moi, mais... Non. Jamais.— Allons ! Allons ! Reconnaissez-le. Je n’en suis pas fâchée, rassurez-vous. D’ailleurs moi aussi j’ai bien apprécié vos vocalises. Je n’avais que le son, pas l’image...— Vous saviez que je regardais ?— Disons que j’ai deviné, une ombre, cela pouvait être vous ou votre mari. —(Je souris). C’était moi et pour ne pas vous mentir, votre mari me cachait le principal.

Nous rions.
— Installez-vous. Je vous rejoins dans un moment. Encore deux trois bricoles...— Nous sommes bien d’accord. Pas de textile pour vous non plus.— Promis.

En réalité, elle est absente un long moment. Je nage et m’installe sur le transat. C’est fou, quand on pense qu’il n’a pas plu ici alors que plus bas l’orage avait été d’une telle puissance. Une ombre. C’est elle. Elle porte un plateau avec des rafraîchissements.
— C’est un peu tôt pour l’apéritif.

Elle nous sert. Elle porte une robe toute simple.
— Vous m’avez promis. Sinon, moi je me rhabille.— Voilà, voilà. Vous les nudistes avez des principes d’un autre âge. En quoi cela vous gêne si je reste comme ça ?— La parole donnée c’est tout. Vous aussi avez des complexes comme votre mari ?— Vous êtes une vraie chipie, voilà. (Elle rit. Moi aussi. Elle fait sauter sa robe.)— Voilà, vous êtes contente ?

Je ne réponds pas. Quel âge a-t-elle ? La cinquantaine bien tassée ? En tout cas, ce n’est pas le corps d’une femme qui s’est laissée vivre, laissant l’âge faire son œuvre. La découvrir dans cette maison, loin de tout, pouvait faire penser à ...
— Penser à quoi ? Cesse de la regarder ainsi, bouche bée. Elle est bronzée uniformément ! Et alors ? Sa poitrine a le maintien de celle d’une ado avec un bonnet C ! Elle s’est fait refaire ou agrandir les seins ! Et alors ? Ses aréoles sont grandes ! Ses tétons sont...""— Je vous choque ?— Pardon.— Vous ne dites rien et je vois bien que mes piercings vous tirent les yeux.— Non, non, excusez-moi, c’est juste que...— Que vous me pensiez trop vieille pour ça ?— Non, non, je vous assure.— Ce n’est pas parce que Roger n’aime pas se montrer que nous vivons reclus. Regardez autour de vous. Toute cette nature pour nous. Pas de regard plus ou moins malveillant...— Ce n’est pas ce que ...— Chut. Pour tout vous dire, nous vivons la plupart du temps nus et depuis que la piscine est installée, c’est encore plus évident.— Je comprends. C’est juste que...— Méfiez-vous cela pique.— Pique ? Mais quoi ?

Je bouge, cherche sur mon corps un insecte, araignée ou abeille ou pire.Elle éclate de rire.
— Je parle de mes piercings. Rassurez-vous, ils font toujours beaucoup d’effet la première fois. Non, ne dites rien, je sais les questions que vous vous posez. Ils sont le résultat d’une négociation avec Roger. Je voulais me faire refaire la poitrine. Elle était petite et en plus tombante. Il ne voulait pas. Mais lui voulait que je porte des piercings. Il trouvait cela excitant. Alors on a transigé. Nouvelle poitrine contre piercing. — Oh et cela ne vous gêne pas ?— Qu’en pensez-vous ? Vous êtes une femme, d’après vous quel effet cela fait d’avoir les tétons toujours tendus ?— Oh, je ne voulais pas être indiscrète. — Comme tout le monde. Donnez-moi votre main.

Machinalement, je lui tends. Elle se penche vers moi qui suis restée assise sur le transat. Elle guide ma main sur sa poitrine.Quelques secondes où elle la maintient et puis elle la lâche. Doucement, j’en découvre la rondeur, la fermeté. J’hésite à toucher le mamelon. Je croise son regard. Ses yeux pétillent. Elle sourit. La pointe rose de sa langue humecte ses lèvres. Je ne touche pas directement le téton et la tige de métal qui le traverse, mais avec ma paume, j’en effleure la pointe. Marc me caresse souvent ainsi. Surtout au début. Il sait reconnaître à la façon dont mes tétons sont tendus et le gonflement de mes seins, l’état de mon envie. Dans nos soirées coquines, il sait presque avant moi quel homme va me plaire.Elle frémit. Elle ferme les yeux. Alors j’ose envelopper le téton. Le métal est chaud, les deux petites boules qui en ferment les extrémités sont douces.Mais elle reprend ma main. A nouveau, elle me regarde.
— Il ne s’est pas contenté de ces deux piercings. Il a voulu un autre là.

Le "là" est plus bas, bien plus bas. Elle guide ma main entre ses cuisses. Elle la libère.
— Vers mon petit bouton. Sur le capuchon. Vous le sentez ?

Elle me parle au creux de l’oreille. Sa voix est douce, sensuelle et puis un ""ouiiiiiii c’est ça"", confirme que j’ai trouvé. Mon doigt est de douceur, mais manifestement rien que de frôler l’objet déclenche une réaction qui me paraît surprenante.
— C’est très sensible. Terriblement sensible...

Elle tourne son visage vers moi.Alors c’est comme une évidence. Nos lèvres se découvrent. Nos langues parlent le même langage. Le baiser est torride.Alors elle me pousse pour que je me rallonge sans jamais quitter mes lèvres. Une fois allongée, elle me libère, mais c’est pour venir me chevaucher. Ce n’est pas mon premier 69 avec une femme. Les maris aiment bien voir leurs épouses faire connaissance avant qu’ils viennent chercher leur part.
Pas de mari, juste nous deux, au bord de la piscine, dans une clairière avec les arbres tout autour qui bruissent du vent.Juste deux femmes qui goûtent à leur intimité. Dès que je caresse son piercing, je déclenche comme une onde qui se propage dans tout son corps avec un grondement que ma vulve ressent.De longues minutes, nous nous donnons du plaisir. Je n’ai pas de piercing, mais Armelle sait le remplacer.De trop courtes minutes et la jouissance suit le plaisir. Je coule alors que de mon côté je recueille la liqueur... Mon Dieu je n’ai même pas pensé à... Quelle conne je fais... Je n’aurais pas dû...
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Ils sont libertins. J’avoue que nous aussi. Nous échangeons des secrets que je n’ai jamais révélés à personne. Elle aussi s’est laissée emportée par l’envie. Mais, eux comme nous, faisons régulièrement des tests et nous sommes tous clean. Ouf.
— Oui nous allons à Cottabert. C’est une petite ville à 10 kilomètres d’ici avec un club très discret.— Nous ne sommes encore jamais allés dans un club. Nous ce sont plutôt des soirées privées.— L’avantage de Cottabert et de son club ce n’est pas que la discrétion, c’est aussi autre chose.— Ah bon et c’est quoi ?— Tu veux jouer un peu avec moi ?— Jouer ?— Oui, un jeu... Un peu particulier, mais si excitant.— Ciel !— Alors c’est d’accord ?— Je dois faire quoi ?— Rien, ou si peu, c’est justement une des particularités de ce jeu. Toi tu ne fais rien, moi je fais tout.— Je suis impatiente.— Ne bouge pas, je reviens dans deux minutes.

Elle revient. Un sac à la main. Elle en extrait un masque, plutôt un bandeau.
— Lève-toi. Je vais te mettre ce bandeau. Tu as déjà essayé ?— Jamais.— Alors tu vas voir...

Je me lève. Elle tourne autour de moi pour me mettre le morceau de tissu, l’ajuster.
— Tu vas voir comme les sensations peuvent changer. Maintenant je vais te faire déplacer. D’accord ?— Oui.

Elle me fait faire quelques pas qui nous rapprochent de la maison, de l’auvent.
— Ne sois pas surprise. Laisse-toi faire, tu ne crains rien.

Elle prend ma main, la tend vers le ciel, entraînant mon bras. Elle la guide plus précisément. Elle la fait passer dans une sorte d’anneau de corde.
— Voilà referme ta main sur la corde. Bien. Maintenant, desserre ta main et tire-la vers le bas.

Je m’exécute. Ma main est libérée alors qu’avant je sentais une pression sur le poignet.
— Parfait. Maintenant remonte le bras. Oui, un peu plus à gauche. Tu trouves l’anneau ? Passe ta main et referme... Très bien, tu as compris. Maintenant, je vais faire pareil pour ton autre main. Tu as saisi le principe. Tes deux mains seront attachées. Attachées, mais tu es libre de te détacher toute seule. Tu vois le principe ? — Oui, mais cela sert à quoi ?— Tu n’es pas une petite idée ?— On dirait du SM.— Cela te fait peur ?— Je ne vois pas l’intérêt.— Justement, je te propose que nous jouions sur cette idée. Tu veux bien ?— D’accord.— A partir de maintenant, tu n’as plus le droit de parler. Sauf si tu veux arrêter. Tu dois au moins connaître cette règle immuable de ce jeu.— Oui.

La claque me surprend. Elle n’est pas forte, mais la surprise a fait le reste.
— Pas parler... Ne bouge pas, je vais te mettre des pinces à téton. Tu connais ? Bouge la tête pour répondre... Tu en as déjà porté ?... Maintenant une chaîne autour du cou... Une chaîne avec une laisse, symbole de ta soumission... Cela te va très bien. On fera des photos après pour que tu gardes un souvenir... Tu n’as rien contre ? Tu ne veux pas ? Dommage. Maintenant, ouvre la bouche... Bien, suce-le. Tu sais ce que c’est ?... Ah et tu le portes comment ? Chez toi ? Dehors ? Pendant tes soirées ?

A chaque question, je bouge la tête. Oui ou non suivant. Les poids des pinces à téton tirent sur ma poitrine. La chaîne aussi pèse lourd. Le plug est entré.Elle me caresse. Elle m’embrasse. Je cherche ses lèvres. Mon corps recherche ses mains, sa bouche.J’ai envie de me détacher et de fondre sur elle pour que nous jouissions ensemble.Mais elle arrête. Je suis super excitée. Elle a raison, bien entendu je l’avais lu aussi, le fait de ne rien voir sublime chaque chose. Ma position aussi. Je suis à sa merci. Prisonnière. Mais une prisonnière qui ne l’est en réalité que mentalement, curieuse de découvrir...
— Suce... C’est un gode vibrant. Je vais te le mettre. Tu vas voir il est spécial...

Je suce. Je retiens mon souffle alors qu’elle le glisse en moi. Je sens le plug bouger. Elle le fixe en passant une ceinture autour de mes reins. Ce n’est pas qu’un gode, je sens aussi une pression sur mon petit bouton.Ahhhhhhhhh. Je n’ai pu retenir ce cri de surprise alors qu’elle vient de le mettre en marche. C’est une onde qui se répond dans mon corps. J’ai même l’impression que le plug vibre aussi.
— Je vais te fouetter chaque fois que tu parles. A toi de voir.

Mais c’est une suite sans fin, un cercle vicieux où chaque coup de fouet, chaque changement dans les vibrations déclenchent des cris que je ne peux retenir. Heureusement, le fouet n’est pas de ceux des punitions d’antan, de ceux qui marquent les reins, arrachent la peau comme les trucages du cinéma le font voir. Pas de longues lanières. Pas de cuir, du moins, je crois. Mais assez efficace tout de même pour surprendre et deviner que ma peau doit rosir aux endroits où il est au contact. Mes fesses, mes reins, mes cuisses, mais aussi, bien plus faible, sur mes seins, mon ventre.Je me tortille sous les coups. Les vibrations sont de plus en plus fortes. Je jouis. Je sens que je coule. Je crie d’arrêter les vibrations. Je vais mourir si cela continue. Seuls les coups me font oublier cette jouissance qui ne cesse plus...
Enfin cela cesse.Quelques secondes et elle me retire le bandeau. La lumière est vive. Elle me sourit.
— Tu as aimé ? (Je n’ose répondre de la voix, je hoche la tête.) Tu vois je t’avais dit. En plus tu es manifestement une Soumise qui s’ignore. Mais je n’en ai pas fini avec toi.

Elle baisse les yeux. Je suis son regard. Elle porte une excroissance qui jaillit de son intimité, excroissance noire, qu’une ceinture maintient.Elle défait le gode vibrant.Elle me pénètre d’une longue poussée. Le sexe est long et gros, mais je suis si mouillée que c’est un jeu pour elle.Elle me possède. Nos regards ne se quittent que l’instant où nos lèvres se rejoignent.C’est bon. Je suis à sa merci. Jamais je n’ai eu tant de plaisir avec un gode.Jamais mon petit trou où le gode a remplacé le plug ne s’est senti si bien rempli.Et ses mains sur mes hanches.Et ses mains sur mes épaules.Et cette longue tige qui... s
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Ils sont revenus sales, fourbus, mais avec de bonnes nouvelles. Les dégâts sont limités, peu de Mobil-Homes ont bougé et encore seulement de quelques mètres. Le soleil a déjà fait sa part de travail. Marc est revenu avec toutes nos affaires. L’eau n’est pas entrée à ce niveau...Je lui ai raconté, en gros, évitant la partie SM, de ce que nous les femmes avons fait. Il ne me gronde pas alors qu’en principe aucun de nous ne doit avoir ce genre de relation sans que l’autre n’en soit prévenu.
— Cas de force majeure." Il dit tout en me questionnant sur ma partenaire et ce qu’elle m’a dit de son couple.

Le dîner a été bien arrosé. On a célébré la bonne nouvelle. Lorsque Roger a dit :
— Mais vous pouvez rester autant que vous voulez." J’ai bien vu à son regard et son sourire qu’Armelle avait aussi parlé à son mari.
Il fait doux. Il ne reste que la lumière du salon, lumière diffuse, et nous voyons les étoiles s’illuminer une à une. Quand je dis une à une, il faut traduire million par million. Il y a longtemps que je n’avais retrouvé un tel ciel nocturne, la Voie lactée...Et puis...
— Sais-tu Marc, alors que nous travaillions pour dégager ce camping de sa gangue de boue, que nos épouses se sont bien amusées ?— Oui, je sais, avec Cloé on se dit tout.— Ah vous aussi. C’est bien. C’est indispensable pour qu’un couple perdure.— Je suis d’accord avec toi. Liberté, sincérité...— Je ne sais pas pour toi, mais je suis un peu jaloux. Je trouve que cela mérite une punition.— Une punition ?— Oui, je vais te montrer. Armelle vient.

Son épouse se lève de son fauteuil et s’approche de son mari. Il lui prend la main, la forçant à s’allonger sur lui. Spontanément, elle se place dans une position qui offre sa croupe aux mains de Roger.Il repousse la jupe. Il lève la main, il l’abaisse. Le coup résonne dans la nuit. La claque n’est pas feinte, elle est bien réelle. Mais elle n’est pas seule, d’autres suivent.Entre chaque coup, il lui parle :
— Est-ce que c’était bien ? — Oui, très bon. (La claque ponctue la réponse)— Vous vous êtes gouinées ?— Oui. (Même musique).

Question après question, chacune plus indiscrète que la précédente est le prétexte de tout dévoiler de nos jeux. Je n’avais pas tout dit à Marc, en particulier lorsque j’ai été une Soumise.
— Tu ne punis pas ton épouse ?— C’est-à-dire que je n’ai jamais...

Pourtant je sens une sorte de reproche lorsqu’il me regarde.
— Si tu veux, je peux m’en occuper. Pendant ce temps, Armelle se fera un plaisir de s’occuper de toi. Échange de bons procédés.— Pourquoi pas !

C’est sa vengeance. Je ne lui ai pas tout dit. J’avais un peu honte de m’être laissée emporter dans ce délire et l’avouer sans l’ambiance du moment aurait paru bien déplacé alors que sur le moment c’était naturel.
C’est comme un échange. La ligne de démarcation est la table sur laquelle reposent nos digestifs et liqueurs. Si Armelle me sourit en me croisant, je me sens moins assurée.Me voici devant Roger. Il me regarde, goguenard.
— Alors ma poulette, il paraît que tu as bien aimé avec Armelle.

Évidemment, je ne réponds pas.
— Si tu commençais par m’enlever tout cela.

Le "tout cela" est ce que je porte, c’est évident. Je tourne la tête vers Marc pour avoir son soutien, mais je vois que déjà Armelle est nue et entreprend de défaire le zip du short.Je ne peux me défiler. Pourtant je n’ai pas particulièrement envie de me faire fesser par cet homme. Un beau mec, à la rigueur, bien musclé...Il tire sur ma main. Bientôt me voici sur ses genoux. Il s’est arrangé pour que je puisse voir de l’autre côté de la table, qui assez haute, laisse voir sous le tablier.Elle suce. Il me punit. Ses coups sont bien moins forts que ceux pour son épouse. Je proteste pour le principe.
— Cloé t’a dit qu’elles ont échangé nos tests ?— Non. C’est vraie Chérie ?— Oui.— Armelle ?— Oui, mon amour.— Allonge-toi sur la table.

Elle se lève, repousse rapidement ce qui pouvait encombrer et s’allonge.
— Baise-la.

Marc ne se fait pas prier. Il se lève à son tour et trouve le chemin entre les cuisses ouvertes et après un dernier regard vers nous...Je ne vois plus que ses jambes et celles d’Armelle qui pendent.
— A nous.

Il m’aide à me relever. En réalité c’est pour me faire agenouiller devant lui. Il n’attend pas que je m’attaque à son zip, il repousse son short et comme il ne porte rien dessous, son sexe apparaît. Il est au regard de l’homme, homme qui vient dans la foulée de faire sauter son tee-shirt. Torse poilu comme devait l’être celui de nos ancêtres qui peuplaient ce continent dans des temps immémoriaux. Fourrure pour garder au chaud pendant les hivers terribles. Pourtant la fourrure est maîtrisée vers le sexe et les bourses. Homme des cavernes, ours mal léché, mais amateur de femmes qui sait offrir sa virilité à nos regards.C’est gros, travaillé par des veines saillantes, le gland caché par une peau qui semble rugueuse. Les bourses forment un sac qui pend, nettement détaché du reste...
— Qu’est-ce que tu attends, suce-moi. Ton mari te regarde. Ne le déçois pas. Ne me déçois pas.

C’est comme une gifle. Il me prend pour qui ? Pour une allumeuse ? Il va voir.Il voit, mais très vite j’ai mal aux lèvres. Pourtant il se déploie dès que je le suce et le lèche.Il bande. Il est vraiment gros. Gros, mais pas très long, bien loin de ces sexes qui font le jour et la nuit sur la toile.
— Viens.

J’obéis. Je me lève. Lui aussi. Il s’approche de sa femme. Elle le voit arriver. Elle ouvre la bouche. Il avance son bâton. Bientôt les lèvres se referment sur la pointe.
— Mets-toi derrière moi. (Je me plaque contre son dos. Ma peau découvre la réalité de son duvet. Mes tétons apprécient la tiédeur.) Mets une de tes mains sous mes bourses. De l’autre, branle-moi.

Position inattendue. Son corps me cache son sexe et le visage d’Armelle. Mais je suis sous le regard de mon mari qui lui baise l’épouse.Sensation étrange. Je caresse les bourses. La peau en est douce, les deux boules bien distinctes dans leur protection commune.Sensation perverse. Je sens par ma main qui le branle que le bâton avance et recule dans la gorge d’Armelle.Je suis collée à lui. Mes seins et mon ventre bougent comme lui. Il baise sa femme. Les deux hommes se font face. Un corps les relie. Une vulve et une gorge les accueillent.Je vois bien que Marc a son plaisir qui monte. Je le connais mon homme, surtout depuis que nous "échangeons", où j’ai la possibilité de mieux le voir que dans l’intimité de notre chambre. C’est l’avantage de ces échanges. Apprendre par d’autres ce qui apporte du plaisir à son partenaire, découvrir des pratiques ou des façons qui lui plaisent...
Roger doit le voir aussi, car lui aussi accélère.C’est comme une confrontation. Un deal muet. Les deux hommes n’ont pas besoin de se parler. Ils savent ce qu’ils veulent. Ce qu’ils veulent c’est jouir en même temps, inonder la vulve, remplir la gorge...
Harmonie ! Oui, malgré la scène scabreuse, nous sommes en harmonie. Harmonie des corps ! Harmonie des esprits ! Les regards échangés sont d’une intensité rare. Lorsque je croise celui de mon mari, j’y découvre le plaisir, le bonheur. Je ne vois pas celui de Roger, mais son corps me parle. Oui... Sauf Armelle... Elle, ce ne sont pas nos yeux qu’elle voit, mais le mandrin gluant de son mari, les bourses de son mari qui opacifie son horizon...
Oh, ce râle lorsqu’il balance son sperme dans la vulve !Ah, ces secousses qui ébranlent le corps de Roger !
Étrangement, Armelle ne bouge pas. Son visage est "ravagé’. J’en connais la réalité, ayant déjà eu l’occasion d’être à sa place. Cette position est à double détente. D’abord le côté "psychologique" qui donne à l’homme une impression de domination. Ensuite "technique", le mandrin s’alignant plus facilement avec la gorge. La salive a inondé son visage. Le sperme de son mari a "débordé", submergeant le barrage de ses lèvres.
Roger se tourne vers moi. Il me parle à l’oreille.
— Ce matin, dans vos baisers, il manquait un ingrédient. Embrasse-la.

La voix est suave, sensuelle, provocatrice, mais la main sur mon épaule montre qu’il n’acceptera pas un refus.Je regarde Marc. S’il s’est retiré de la femme, il reste sans bouger. Je réalise qu’il attend, que d’une certaine façon, lui aussi considère que notre hôte est à la manœuvre. La main se fait pressante. Je regarde vers quoi, vers qui, il veut que je me dirige. Le regard d’Armelle est malicieux, le sourire baveux, mais pervers. Elle doit bien connaître son mari et doit savoir ses envies, ses plaisirs.
Sous la pression, je me baisse, je m’agenouille. Je pose mes lèvres sur celles de la femme. C’est gras, humide, baveux. Le goût est celui du foutre. Plus d’une fois, j’ai goûté à la semence de Marc, même une fois comme maintenant dans un baiser avec celle qui venait de le pomper. Mais jamais ainsi, le sperme d’un autre.
Elle m’attire à elle. La position est inconfortable, baiser inversé, mais sa langue trouve la mienne. Dans un baiser pervers, elle me fait partager ce que son mari a libéré dans sa gorge accueillante. Reconnaître que c’est excitant ? Non, pas vraiment. Je me sens vicieuse et perverse comme jamais même si ce n’est pas moi qui ai voulu cela.
— C’est bien. Maintenant tu vas goûter à celui de ton mari. Qu’est-ce que tu en penses, Marc ?— Pourquoi pas !

Le coquin. Il laisse faire. Il est vrai que c’est la première fois que nous tombons sur un couple échangiste avec un homme aussi directif et vicieux. Roger me fait relever et me pousse pour m’allonger sur Armelle dans un 69 particulier. Je suis plus grande qu’elle et sa fente m’est accessible alors que je suis encore les pieds sur le sol.Sa fente suinte. J’y découvre la liqueur de mon mari. Je la goûte. Je la déguste. Je compare.Je suis la pire des salopes.La pire des salopes qui excite mon mari. A moins que ce soit une nouvelle envie d’Armelle. Il bande...Mais derrière moi, une main puissante me plaque. La bouche d’Armelle me gouine. Je sens la pression du sexe. J’imagine l’espace d’un instant la langue efficace de la femme, lécher son mari pour le rendre plus humide.
La pression est plus forte. Mes hanches sont agrippées par deux mains impatientes.Il entre. Il est entré. Ce monstre de la préhistoire est entré dans mon vagin. Il glisse doucement, repousse les chairs, fait son chemin, me remplit comme jamais aucun sexe d’homme ne l’a fait.
— La vache que c’est bon. Elle est étroite comme une pucelle. Marc, ton épouse est une perle. Si tu veux reprendre Armelle, ne te gêne pas. Elle a toujours envie.

Deux sexes qui possèdent. J’en vois passer un qui envahit la vulve de ma complice. L’autre me baise avec douceur. Je dois lui reconnaître cette délicatesse. Il sait que son engin est différent des autres. En tout cas de ceux que j’ai rencontrés lors de nos soirées...
Le sexe de mon mari est bien dur, bien tendu. Je l’ai sous les yeux. Je le vois entrer et sortir, avancer et reculer, se faisant voir humide des envies de sa maîtresse et de ce qu’il a libéré en elle quelques minutes avant.
Le sexe de mon mari me semble soudain plus impatient.Je ne vois rien. Mon horizon est un bâton de chair et la délicatesse des petites lèvres de la femme. Armelle est comme moi, aveuglée par le monstre de son mari.Je ne vois rien, mais je sais que nos hommes qui se font face retrouvent cette complicité masculine, en particulier lorsqu’ils baisent la femme de l’autre.Le sexe de mon mari est plus rapide.Ma vulve est pleine, puis libérée, puis reprise au même rythme. Qu’ils en soient conscients ou pas, ils se synchronisent.C’est de plus en plus rapide et puissant. Je gronde. Je sens qu’Armelle aussi.
— J’ai envie de son petit trou. Tu crois que je peux ?

C’est dingue, il parle comme si je ne pouvais pas lui répondre. Non, il s’adresse à Marc. Toujours cette idée que la femme appartient à l’homme. Pourtant c’est un couple échangiste. A moins que pendant leurs virées, ce soit lui qui décide pour Madame et qu’elle ne soit pas libre de ses choix ?
— Si tu as envie, toi aussi tu peux.

Je n’ai pas entendu la réponse de Marc, mais il a dû faire un "Oui" de la tête. Le coquin, cela doit l’amuser. Il sait combien je suis libre de choisir qui et comment. Je devine un sourire moqueur.Mais déjà, le monstre se frotte à mon œillet. Les mains qui me tenaient aux hanches se déplacent pour ouvrir ma raie. Il doit vouloir regarder son œuvre. Je respire calmement. Je fais ce qu’il faut pour que la barrière puisse céder.
Elle cède. Il est entré. Je n’ai pas mal, mais la pression me paraît énorme.Et puis, je vois Marc faire de même. Son sexe plie un peu et puis entre.Deux sexes qui possèdent. Cette fois-ci, Roger reste silencieux. Mais c’est moi qui ne peux me retenir. Chacun de ses mouvements apprivoise mon "cul". Oui je dis "cul", car cela ne sert à rien de se cacher derrière des mots : petit trou, porte de derrière... Il m’encule et Marc fait la même chose avec son épouse.
Ils nous enculent. Mes cris sont atténués par la fente d’Armelle, mais ils ne peuvent pas être confondus avec des cris de douleur. Je sens ce monstre en moi. Je sens chacun de mes muscles l’étreindre avec envie. Il me remplit le cul. Il déclenche du plaisir. Je mouille du cul.
Je suis une traînée qui prend du plaisir alors qu’un homme l’enfile avec un monstre si... Si bon.Je suis une femelle qui hurle son bonheur.Je suis une chienne qu’on encule sans retenue. Je suis une salope qui regarde le mandrin de son mari enculer une femme.Je suis... Je suis...Mais je ne suis pas seule. J’entends les gémissements d’Armelle que mon mari laboure. J’entends les souffles des hommes qui se font du bien. Deux mâles que leur nature emporte, conquérants, envahisseurs...
Il m’inonde. Où peut bien aller se loger tout ce que ses bourses me délivrent ?Je n’ai jamais été seule. Nous sommes quatre que mère nature comble et chérit. Un jardin d’Éden du sexe...
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Une bonne douche pour "nettoyer" ce que l’amour a laissé sur nos corps. Presque à regret. Contrairement à beaucoup de femmes, j’aime garder sur moi et en moi, mes jouissances et surtout celles de mon mari, de mes amants lorsqu’ils sont autorisés à jouir sur moi et mieux encore, en moi. Roger m’avait gâtée et pendant un long moment j’ai senti son sperme suinter de mon anus et couler le long de mes cuisses.
Quelle vicieuse cette femme ! Si jeune et déjà dépravée. !Je le revendique et n’autorise personne à me juger. Sauf Marc bien entendu, mon tendre et cher mari, amant généreux, partageur, prêt à tout pour mon bonheur et mon plaisir.Un bon bain. Que c’est bon, sous les étoiles, dans une eau que le soleil d’été a chauffée.Il est quelle heure ? Quelle importance. Nous sommes quatre amis qui jouent, bavardent, chahutent dans la piscine.Armelle et moi bavardons, tranquillement assises sur la margelle, les jambes dans l’eau. Nous avions déjà sympathisé ce matin, en paroles et en actes, sautant les étapes dans une joyeuse sexualité. Les agapes de cette soirée, parfaite prolongation à quatre de ce que nous avions commencé à deux, nous ont encore plus rapprochées.
Confidences si intimes que nous les chuchotons pendant que nos époux font preuve de leurs qualités aquatiques.Le bonheur. Et puis Marc jaillit comme un diable devant nous. Il a pied et son visage se retrouve près de nos intimités. Un regard, une lueur coquine et le voilà qui nous entreprend de ses caresses. Bonnes filles, nous ouvrons nos cuisses pour lui faciliter l’accès. Il n’a qu’une bouche, mais pendant qu’il lutine l’une, ses mains se chargent de l’autre. C’est bon, délicat, naturel, spontané. Ce petit jeu attire l’attention de l’autre époux. Roger qui s’approche. Lui aussi a pied. Sa toison est collée contre son corps, mais cela ne fait qu’appuyer sa virilité. Il s’approche. Un instant, je pense qu’il va se joindre à mon mari, mais non. Il se colle tout contre lui et en se penchant lui parle à l’oreille. Mais aussi, tout en lui parlant, il est manifeste qu’il se frotte contre son dos, contre ses fesses, et il ne faut pas être devin pour imaginer que c’est son sexe qu’il lui fait sentir.
— J’ai envie de toi. Tu sens comme tu m’excites ?

Il chuchote, mais pas assez doucement pour que nous ne l’entendions pas. D’ailleurs, le regard qu’il me jette en est la preuve. Son sourire est de connivence. Il fait de moi sa complice. D’ailleurs d’une certaine façon, ce sont mes confidences à Armelle qui permettent cette liberté entre les hommes. Lorsqu’elle était arrivée avec le gode ceinture, que je la questionnais si c’était pour son usage et qu’elle m’avait répondu :
— Non, c’est pour Roger.— Pour Roger ? Avais-je dit, surprise de cette réponse.— Oui, mon ours de mari sait se faire nounours dans certaines circonstances.— Tu veux dire que tu le...— Moi et d’autres. Il préfère de loin avec un homme, plutôt qu’avec ce truc artificiel. Mais il sait aussi donner et ne pas que recevoir.— Tu veux dire actif et passif ?— Voilà. Et ton mari ?

Alors face à cette confidence si personnelle, je m’étais sentie en confiance. J’avais donc avoué le nouveau penchant de Marc. Penchant découvert la fois où un mari voulait bien céder son épouse, mais pas seulement pour un échange, pour un peu plus, pour le plaisir pervers de posséder celui qui baisait sa tendre femme. Marc avait été surpris, mais sur le moment ne voulant pas paraître peu au fait de ces jeux, avait fait comme si c’était naturel pour lui. Et ma foi il avait bien apprécié. Apprécié au point de recommencer. Recommencer parfois en actif, parfois en passif...Et de fil en aiguille mes confidences avaient fait que Roger se sentait en territoire conquis.L’invitation était claire. Roger ne s’embarrassait pas de grandes phrases. Mais c’est l’Ours qui l’invitait maintenant.Comment refuser ?
— Mesdames, vous voulez bien me céder votre partenaire ?

Comment refuser ?Alors Roger se saisit de la main de Marc. Ils sortent de l’eau. Les marches montrent un curieux spectacle. Mon mari, sexe en érection entraîné par un homme, Roger, dont le sexe est lui-même bien en forme.
Étrange couple. Pourtant Roger l’entraîne. Il l’amène vers le siège à balancelle. Sur ses indications, Marc monte à genoux, le torse vers le dossier.Armelle et moi nous nous levons pour les suivre.Il ne fait pas très clair et pourtant la situation est troublante. Marc est dans une position terrible, terrible de perversité, entraîné par celui qui a clairement annoncé qu’il avait envie de lui. Et envie de lui n’avait qu’une signification, qu’un dénouement.
Il n’est pas rassuré, je le vois bien. Il se retourne et constate que Roger est en train d’étaler généreusement du lubrifiant sur son sexe. L’engin brille. Les éclats en amplifient encore la taille. Marc doit s’inquiéter. Bien sûr, il a vu cet engin me prendre par-devant et par-derrière. Mais mon petit trou a largement plus de "vécu" que le sien.
— Putain tu as un cul magnifique.

Roger caresse les fesses de mon mari. Il est doux, les mouvements délicats. Il passe aussi par-devant et branle un peu le sexe qui ne faiblit pas. Inquiet, mais aussi peut-être envieux...Roger se baisse. Pendant qu’il se glisse entre les fesses et explore de la bouche l’œillet de Marc, il continue de le branler.Marc se décontracte. Il adore qu’on lui fasse une feuille de rose et à l’instant, ce sont les feuilles de tout un rosier qui l’excitent.Mais Roger se relève. Nouvelles caresses des fesses, des reins, des hanches.
— Belle femelle. Il dit manifestement pour lui-même.

Il reprend le lubrifiant. Maintenant, il le fait couler dans la raie et ses doigts le dirigent et l’étalent. Un doigt. Deux doigts.Un soupir. Deux soupirs.
— Rassure-toi, je serai délicat. Je sais que mon engin peut faire peur, mais il est plus doux qu’on ne pense. Demande à ta femme...

Bien sûr, il ne me demande pas. Mais lorsqu’il croise mon regard, je sens le questionnement, et mon sourire associé à un battement des paupières doit le rassurer.Une main sur les reins, l’autre qui guide son mandrin. Roger se place. La main sur les reins, largement étalée est comme une prise de pouvoir...Un passant serait étonné du spectacle que nous donnons. Marc bien sûr, femelle en attente du mâle. Roger qui par cette main marque son territoire et sans même avoir poussé plus en avant son dard, est sans conteste le maître du jeu. Et nous ! Moi surtout, épouse libertine qui regarde. Qui regarde, curieuse et presque impatiente de ce qui va se passer. Pourtant ce n’est pas la première fois que je vois mon mari ainsi. Oui, mais pas à ce point. Mari dont les fesses bien que bronzées se détachent sur le tissu sombre de la balancelle, dans cette position, sans pudeur, offrant son intimité aux yeux de tous.
Il ne pousse pas. Non, c’est nettement la main sur les reins qui imprime le mouvement. La balancelle vient vers lui. Oh, pas des mètres. Même pas un mètre. Même pas des centimètres. Non, quelques millimètres suffisent.
Les fesses reculent. L’anus va au-devant de ce champignon si impressionnant qui pourtant se déforme sous la pression. Roger insiste. Son dard est tout contre. La main qui le maintenait le libère, mais la pression le maintient horizontal.
La claque surprend tout le monde. Il n’a pas retenu son coup. La fesse doit rougir sous le coup, mais je ne le vois pas.
— Voilà, dit Roger.

En effet, le gland est entré. L’anus, le muscle récalcitrant a été pris par surprise et son relâchement a laissé la place à l’enculeur.Je ne peux me retenir de me pencher. Le sphincter s’est ressaisi, mais c’est trop tard. Il n’étrangle que le sillon entre gland et hampe.La suite est évidente. Déconcertante de facilité. Il a rendu les armes. Le lubrifiant le séduit. Il lui fait de l’œil. Il lui sourit et voit passer devant lui un tronc bien huileux.Torse poilu sur dos imberbe. La nature qui reprend ses droits.Les deux mains sont maintenant sur les hanches. Elles rythment le mouvement de balancier. Il est délicat et "rode" le chemin. Marc ne cesse de soupirer. C’est fou comme les hommes sont "parlants" lorsqu’ils se font enculer.
Il soupire. Il tourne son visage vers nous. Je vois ce qu’il ressent. Ce pincement de nez, cette ride au coin des lèvres, le front plissé.Roger accélère. Il accélère, mais aussi amplifie le balancement. Par moments, son dard revoit le jour, juste le temps de laisser l’œillet bâiller dans une posture infamante. Mais il ne reste pas seul longtemps.
— Coucou ! fait le gland. Salut mec, dit la hampe. Et nous, et nous, disent les bourses que la nature n’a pas prévu pour ce chemin...""
Marc a oublié les soupirs. Ce sont des "Ah", des "Oh", et toute une panoplie de petits mots, de respirations qui le rapprochent de nous les femmes.Et puis Roger nous fait signe de venir s’asseoir de part et d’autre de son amant. Armelle comprend tout de suite ce qu’il attend de nous. C’est elle qui imprime le balancement. C’est elle, et moi qui me suis associée pour ce mouvement si particulier. Ce sont nous les femmes qui rythmons la possession. Bientôt emportée par l’excitation, les fesses de Marc claquent sur le ventre de son enculeur.Bonnes filles, nous caressons qui les hanches, qui les fesses, qui le ventre, qui le sexe toujours aussi dur. Marc ne peut nier que cela lui plaît.Il jouit avant Roger. Son foutre éclabousse le tissu et nos mains.Roger annonce la couleur. Les "Je viens, je viens" sonnent comme une délivrance.
Femmes décidément affreusement perverses et vicieuses. L’une va nettoyer le mandrin de Roger alors que l’autre lèche à la fontaine du cul...
Tout le monde est repu. On va aller se coucher pour un repos bien mérité.Mais :— Vous devriez rester quelques jours. Avec Armelle, nous avons créé dans la praire et la forêt tout autour un circuit SM. Une sorte de chemin de croix. (Il rit). Croix de Saint-André bien sûr. Vous me semblez d’excellents candidats pour le tester. Ce serait une belle initiation... Sans aucun doute, vous avez de belles dispositions...
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