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Début mitigé

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Hôtel Mercure Bordeaux 8 août 1997
Nous avons longtemps cherché cette petite boîte raffinée selon les guides spécialisés. Nous avons réussi à la retrouver vers minuit dans une toute petite rue des vieux quartiers.
Nous restons au bar, il y a beaucoup d’hommes seuls. Ils viennent chacun leur tour chercher Anne pour l’emmener sur la piste de danse, un peu décalée, devant le bar. Un grand jeune homme rieur la sollicite le plus souvent.Un autre à côté de moi au bar, brun, plutôt râblé avec de très beaux yeux sombres semble comme aimanté par elle, il la dévore des yeux, hypnotisé. Un autre, bien plus jeune, semble très attiré par elle, il l’emmène plusieurs fois dans cette pièce un peu à l’écart, je ne vois pas ce qu’ils font. Je n’aime pas beaucoup cette situation. Cet homme est grand, plutôt beau garçon il est très insistant, très "accrocheur", sûr de lui, et je ne crois pas qu’il ait plus de vingt-cinq ans.Nous décidons de rentrer à l’hôtel. Je propose à Anne de choisir parmi tous les hommes qui l’ont sollicitée, et de convaincre celui que nous allons ramener dans notre hôtel. Le grand beau jeune homme à ma faveur, Anne aurait plus craqué pour le ténébreux ! Je privilégiais l’époque plutôt l’âge et la motivation de nos éventuels partenaires. Le brun paraissait timide, plus âgé que l’autre, j’ai aussi pris sa réserve pour un manque de motivation !Anne retrouve son beau cavalier, et à une de ses propositions elle le teste. Nous sommes dans un hôtel d’une grande chaîne au Parc des Expositions, comment fait-on pour s’y rendre ? C’est compliqué dit-il. Il propose de nous précéder en voiture pour nous indiquer la route. Le trajet dure assez longtemps, la boîte se trouvait au centre de Bordeaux, à l’opposé de l’hôtel.
Nous sommes un peu confus nous ne pensions pas que c’était aussi loin ! Mais nous lui proposons de venir boire un verre dans notre chambre. Nous entrons tous les trois dans le lobby, il est tard, je demande les clés au concierge. Nous sommes un peu gênés, j’imagine que tous ces gens me regardent et devinent notre situation « regardez ce couple de plus de la cinquantaine ils emmènent ce jeune pour se "le taper" dans leur chambre.
Ma petite femme, je te raconte mon souvenir tel que je l’ai vécu ce soir-là. La seule image, disons le petit film parce que ça bouge un peu, la seule image qui me reste de cette nuit où la partie cul, a été plutôt restreinte : c’est moi assis sur l’angle du lit. Toi debout sur le matelas, presque au ras du sol.
Nous te déshabillons à deux. Il t’enlève ton chemisier blanc à pois noirs, puis ton soutien-gorge. Il t’embrasse et je te vois lui caresser l’entrejambe, pour évaluer tes talents de persuasion. Je dégrafe ta jupe noire et la descends, tu es en train d’ouvrir sa braguette sans lui lâcher la langue, le maintenant par la nuque de la main droite, ta main gauche extrait le sexe du garçon, bandé comme un arc, je le vois à quelques centimètres de moi, une perle de sécrétion, goutte un peu au bout de son gland en forme de flèche. La tige est longue et belle, surmontant de belles bourses qui paraissent bien pleines (ça doit faire deux ou trois heures qu’il ne pense "qu’à te baiser").Il a passé la soirée dans la boîte pour trouver quelqu’un et "tirer son coup". Maintenant il tient tes fesses dans les mains en les écartant, Toi, nue, avec seulement ton porte-jarretelles et tes bas fumés, les genoux un peu pliés, les jambes écartées. Tu passes une jambe sous son bras droit et appuies ton pied sur un petit meuble, le long du mur. Tu l’embrasses. J’écarte alors de mes pouces, tes fesses, par l’arrière, pour que je puisse bien le voir prendre possession de ta vulve.Bien voir aussi son avancée le long de tes grandes lèvres, l’écartement des petites lèvres quand le bout du gland les sollicitera. J’ai le nez juste à la bonne hauteur pour voir les détails les plus infimes de ton sexe, et de la future intromission ! Je mesure l’intensité de ses envies impérieuses à la crispation de ses doigts sur tes fesses, et à l’humidité du bout de son gland.Je l’aperçois, entre la fourche de tes cuisses, il est debout les yeux hors de la tête, frottant le bout de son sexe sur ton clitoris et ta toison en forme de cœur. Je vois bien, à quelques centimètres le bourrelet des lèvres de ta chatte, s’écarter quand le gland vient les entrouvrir ! Je vois ses couilles qui ballottent quand il avance puis recule, Il a une longue et très belle queue. Je la vois te pénétrer et t’enfiler comme une splendide perle.Il te maintient par les fesses et se sert de toi comme une poupée gonflable, tu n’es que ça ! Il donne de grands coups de bassin qui te font monter et descendre sur sa "bite" en rebondissant en cadence grâce à l’élasticité du matelas. Je vois les ondulations que font tes fesses à chaque coup de bite. Tu es là comme une boule sur un bilboquet que la tige ne quitterait jamais, on ne sait pas si la boule mène le jeu ou, la verge qui profite des soubresauts si élastiques.On dirait une petite fille jouant sautillant sur un matelas tout en coulissant le long d’une cheville plantée entre ses jambes, les testicules du mâle tapant contre l’intérieur de ses cuisses. Entendre le bruit mouillé des deux sexes se frappant, se pénétrant, s’étreignant, a pour moi une résonance double, toujours entre jalousie et excitation !
J’espérais que tu profiteras tout de même de cette situation, que tu auras le temps d’arriver au sommet de ton voyage. J’imaginais que tu allais pouvoir jouir de ce beau mec planté en toi et je voyais déjà ta vulve, pleine de spasmes quand il jaillira en toi comme un geyser !Mais le pauvre, au bout de quelques minutes d’allées et venues, te serre très fort aux hanches et se vide au fond de toi en ahanant ! Mauvais "trip", cela ressemblait plus à une saillie d’âne, avec le sexe qui ressort en débandant de la femelle, libérant au passage des flots de sperme blanc, qu’à une belle aventure érotique.
Il t’a baisée debout. C’est surréaliste, il t’a fait ressembler à un sex-toy très sophistiqué pour homme, une poupée gonflable, dont il userait à loisir, puis il passerait l’objet aux suivants. IL n’en a rien à foutre, il veut foutre c’est tout ! Il ne se rend pas compte qu’il a eu dans ses bras, autour et au bout de sa queue, la plus merveilleuse petite femelle qu’on puisse avoir.Qu’il aurait pu avoir cent fois plus de satisfactions, s’il s’était mieux intéressé à toutes tes possibilités. Quoi ! Tu ne serais qu’un exutoire ? Tu ne servirais qu’à soulager une armée de types frustrés, qui viendraient se vider les couilles en toi, à tour de rôle ! Cela aussi pourrait éventuellement s’envisager, mais en le préparant en le calculant, en retirant tous les bénéfices… De sensations réciproques.Peut-être est-il venu pour se satisfaire en égoïste comme avec une fille que l’on paye ! Une jouissance supplémentaire : elle est gratuite, tout ouverte, son mari est là ! Quel pied, se taper une femme devant son cocu de mari ! On n’a pas besoin de fioritures, on peut laisser libre court à ses pulsions primaires ! Quel idiot : le prototype même du mâle borné ! Erreur de casting.
Nous reconnaissons tous les deux que ce jeune type avait une démarche trop "professionnelle", trop mécanique, égoïste, peu investi, peu… pénétré par son personnage ! Tu as fait tout ce que tu pouvais, et malgré ce coït qui aurait pu rester d’une platitude absolue, tu as réussi à me fabriquer cette image unique, extraordinaire, d’une boule sautillant sur la tige d’un bilboquet. Elle me restera longtemps en tête et… Ailleurs ! Le lendemain tu m’avoues avoir flashé, plutôt sur le beau ténébreux, mais peut-être ai-je eu une rechute de jalousie, j’ai manqué de discernement, je ne t’ai pas aidée pour conclure notre rencontre avec celui-ci. Je suis certain encore aujourd’hui que ce fut une erreur majeure, et que, lui et nous, aurions pu avoir une nuit exceptionnelle ! Dans cette expérience, le chemin valait mieux que la destination.
Les expériences ont toutes quelque chose de positif et amènent à progresser dans nos recherches pour le plaisir, celle-ci en fait partie aussi.
Pardon, mon amour. Je t’aime ! Anne je t’aime ! Quand tu me suis, même au bout de l’enfer. Rose
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