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Le debut de ma soumission

Chapitre 1

Travesti / Trans
Je vais vous raconter une histoire qui m’est réellement arrivé alors que j’avais vingt ans.
Nous avions pour habitude d’aller chez mon oncles et ma tante un dimanche sur deux avec mes parents. J’aimais y aller pour jouer à des jeux de société avec mon cousin du même âge. Mais il y avait également une autre raison, bien moins avouable d’y aller. Ma tante était âgée d’une quarantaine d’années et était une femme très attirante (et encore aujourd’hui). Elle porte régulièrement des jupes avec des collants ou des bas (J’ai même aperçu un porte-jarretelles une fois). Les collants, bas et tout ce qui est en nylon ont toujours été pour moi une source de fantasmes et d’excitations. À chaque fois que je la voyais vêtue ainsi, je sentais comme une boule de chaleur dans le bas du ventre et dans ma poitrine.
C’est donc discrètement que j’allais dans la salle de bain afin de me faire plaisir dans l’un de ses sous-vêtements que je trouvais dans le bac à linge. Tantôt des collants, tantôt des bas. Même des strings.
Ce jour-là, alors que je me faisais un plaisir solitaire, je fus surpris par mon cousin. Ni une, ni deux, je jetai le collant dans le bac à linge et remontai mon pantalon. Je restai figé et je vis mon cousin avec un petit sourire et repartir. Il connaissait mon penchant pour la lingerie. Nous avions déjà discuté de sexe ensemble et nous avions partagé nos plus grands fantasmes. Je savais qu’il était bisexuel et je pensais connaître tout de lui sur ce sujet.
J’allai le voir dans sa chambre pour lui demander de ne rien dire à nos parents. Il était assis sur sa chaise de bureau et j’eus à peine le temps d’ouvrir la bouche qu’il me montra une vidéo sur son téléphone. Mon visage se ferma et il me dit :
— Tu vas faire ce que je te dis ou je montre ça à tout le monde ! Me dit-il d’un ton sec.
Naïvement, je pensai qu’il allait me demander de faire ses devoirs ou je ne savais trop quoi.
— Que veux-tu que je fasse ? Lui demandai-je. — Déshabille-toi !
J’étais sans voix.
— Tu as bien compris. — Non, je ne peux pas faire ça. — Maman. — Ok, répondis-je instinctivement pour qu’il se taise.

Je m’exécutai sans dire un mot. J’enlevai mon t-shirt puis mon pantalon et je me retrouvai en boxer devant lui.
— J’ai dit, tout !
Je baissai mon boxer et je me retrouvai entièrement nu devant mon cousin, debout, au milieu de sa chambre.
Il se leva, tourna autour de moi comme s’il inspectait une marchandise. Puis il sortit de la chambre. Sur le coup, je pensai pouvoir me rhabiller. Mais il revint trente secondes plus tard en me jetant des vêtements au visage. J’étais stupéfait. Il venait de me lancer des bas, des collants et des strings de ma tante.
— Enfile un string et une paire de bas. Et dépêche-toi ! Me dit-il.
À ce moment-là, tout se bouscula dans ma tête. Entre la peur de me faire surprendre, le chantage de mon cousin et l’excitation de devoir porter l’objet de mes fantasmes.
Je fis ce qu’il m’avait ordonné. Je commençai à avoir une érection.
— Je vois que tu apprécies ! Dit-il avec un grand sourire.
J’étais honteux et quelque chose se brisa en moi.
— Mets-toi à genoux !
Une fois en position, il se mit assis et me donna l’ordre qui allait faire de moi sa soumise.
— Suce !
Sans réfléchir, je m’exécutai. Je défis son bouton et je baissai son pantalon et son boxer en même temps. Je me retrouvai ainsi pour la première en face à face avec le sexe d’un homme. C’est comme ça que je pris son sexe dans une main, j’approchai mon visage. Devant mon hésitation, il me dit :
— Vas-y, fait lui un bisou et lèche la.
Je pris mon courage à deux mains et je posai mes lèvres sur son sexe. Une décharge d’adrénaline me parcourut le corps. J’aimais ça.
Je recommençai puis je me me mis à lécher son sexe de la base vers le gland. Je bandais fort. Mon sexe, dressé dans le string, tirait sur la ficelle que je sentais dans ma raie. J’étais excité comme les femmes que je regardais sur les sites érotiques. J’ai fait des va-et-vient sur son sexe, des succions comme j’avais pu le voir sur le net. J’étais excité.
— Hum…. Tu suces bien salope !
Je continuai ainsi pendant une dizaine de minutes.
Puis il me poussa, m’aida à me mettre debout. Il passa derrière moi, me fit ouvrir la bouche et y mit un string et un collant en guise de bâillon. Il attrapa mes mains et les lia dans mon dos avec un collant. Il m’emmena vers le lit et me poussa.
Je me retrouvai à plat ventre, les fesses au bord du lit.
Je sentis ses mains qui me caressaient les fesses. Il décala la ficelle du string et c’est à ce moment-là que je sentis quelque chose forcer le passage de mon anus. Sorti de je ne sais où, un gode !
Je ressentis une douleur, comme si quelque chose se déchirait en moi. Aucun son ne put sortir de ma bouche à cause du bâillon improvisé. Sans nul doute que s’il n’avait pas été là, quelques cris auraient été entendus.
Au bout de quelques minutes la douleur disparut. Il dût le voir à ma tête. Car c’est à ce moment-là qu’il décida de se retirer.
Il enchaina en frottant son sexe sur mes fesses puis se rapprocha de mon trou dilaté et me pénétra sans ménagement. Ce fut ma première sodomie. Il entama un va-et-vient régulier et à chaque coup de butoir, je sentais ses testicules taper contre mon scrotum. À ce moment-là, toutes douleurs avaient disparu et laissèrent place au plaisir. Je lâchais, autant que possible, des râles de plaisir. Il se retira, m’aida à me relever. Il me fit faire un demi-tour et me poussa sur le lit (de nouveau). Il releva mes jambes, colla mes genoux à ma poitrine et recommença ses assauts en moi. Nous nous regardâmes dans les yeux pendant qu’il faisait de moi sa chienne.
Pendant près de cinq minutes, il me pilonna ainsi.
Lorsqu’il décida de se retirer, je crus qu’il avait fini. Je me trompai.
Il me releva, me retira le bâillon et me fit mettre à genoux. Il commença à se masturber directement devant mon visage et exigea de moi que je le suce à nouveau.
En quelques secondes, un flot de sperme s’abattit sur mon visage et dans ma bouche.
Instinctivement, j’avalai ce qui avait atterri dans ma bouche.
— Bien, bonne salope !
Il me délia les mains et me dit sur un ton autoritaire :
— Maintenant, branle-toi ! Et préviens-moi quand tu vas jouir.
Ça ne me prit qu’une ou deux minutes
— Ça vient ! Lui dis-je.
Il se plaça devant moi pour récupérer ma semence dans sa main. Une fois fait, il me regarda droit dans les yeux et dit :
— Tu es ma soumise maintenant. Tu feras tout ce que je te dis de faire.
Ce que j’acceptai d’un hochement de tête.
Ni une, ni deux, il étala mon sperme sur mon visage.
— Tu es une bonne chienne. Maintenant, lorsque nous serons seuls, tu t’adresseras à moi en disant, Maître ! — Oui Maître, répondis-je.— Maintenant, essuie-toi le visage et rhabille-toi. Tu gardes le string et les bas sur toi. Je veux te revoir dans deux semaines. Tu porteras cette même lingerie en preuve de ta soumission !
La journée toucha à sa fin et ce fut le moment de rentrer. Je repartis humilié mais satisfait de ma nouvelle condition de chienne soumise.
J’étais même pressé d’être de retour deux semaines plus tard.
À suivre...
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