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Le début de la suite, la relation de tous les défis...

Chapitre 1

Hétéro
Histoire parmi d’autres qui seront de catégories différentes...
Tous les récits que je vais vous conter sont d’une vérité aussi pure qu’authentique. Mais bien entendu, les noms ou éléments pouvant mener aux personnes seront modifiés.Pour commencer, je vais vous raconter l’histoire qui m’a permis de sauter le cap, à savoir narrer ces histoires, des plus torrides et érotiques qu’il m’ait été donné de vivre...Tout d’abord, laissez-moi me présenter : je suis Milo, grand brun de 1m83, un corps entre normal et sportif (même si actuellement, avec ce changement de ville et de vie, le sport a été mis de côté ; mais je ne me laisse pas aller pour autant), une pilosité bien entretenue, qui fut mon complexe par le passé mais aujourd’hui une force assumée. Mes yeux sont d’un mélange vert et marron, et mon style vestimentaire, bien que pouvant varier en fonction des jours, reste bien habillé.Cette histoire donc, commence par un dimanche de septembre. Je viens de m’installer dans mon appartement que j’ai difficilement réussi à obtenir... et oui un appartement sur Paris, je ne vous apprends rien.J’ai déjà pris mes repères, et j’observe très rapidement la gent féminine, beaucoup plus accessible que dans le Sud. Mais pour l’instant, ma timidité m’empêche d’aborder, et les seuls amis que je me suis faits sur Paris sont en couple, donc limités sur les sorties.Je prends la décision de me réinscrire sur les sites de rencontre*. J’en choisis trois et commence à remplir mon profil.
Des jours passèrent sans avoir de discussions prolifiques. Je vois de temps en temps Julie, une femme aux formes généreuses et avec un charisme qui fait son effet. Je l’ai rencontrée, et c’est la seule d’ailleurs, sur un site libertin*. Le seul problème, c’est qu’elle habite loin, donc peu d’occasions de se voir.
Jusqu’à ce fameux soir où je décide de voir ce que l’application me veut. Encore un fake qui vient me parler dans un français approximatif ? Ou bien une frustrée sans conversation qui me répondrait uniquement par des réponses fermées ?Non, c’est une femme, la vingtaine, cheveux longs châtains, des yeux bleu gris, un sourire candide qui me fait dire « Moi qui cherchais une soumise* à éduquer. Elle serait parfaite avec son visage d’ange...».Mais je ne suis pas sur ce site-là pour ça, forcément du sexe. Je cherche avant tout des partenaires de sortie.
Ce qui m’a plu, c’est aussi une phrase d’accroche qu’elle a jointe à ses photos, avec une dose d’humour comme j’aime. Nous échangeons pendant deux jours, puis à ma grande surprise, au lieu que ce soit moi qui propose un rendez-vous, c’est elle qui le propose.Nous nous rencontrons donc un soir, après nos emplois respectifs. Je marche le long de la rue pour la rejoindre dans un bar, je l’imagine comme sur les photos, mais avec l’appréhension qu’elle ne soit pas exactement la même...Je m’approche du point de rendez-vous, puis je la vois. Elle est grande avec ses talons épais, on sent un fort caractère moins candide que sur les photos. Me serais-je trompé ?Nous nous installons dans ce bar et commençons à discuter et développer ce que nous avions déjà entamé. Au fil de la discussion, je sens qu’elle ne cherche pas de sex-friend, plan cul ni autre relation éphémère. Ça tombe bien, moi non plus, ma priorité est de trouver une compagnie féminine, une partenaire de sortie... une présence féminine qui manque. Même si au fond, j’aimerais bien trouver une complicité à ce niveau-là...
Elle reste malgré tout timide et parle très peu, son côté ingénu revient. Je sens dans son regard une pointe d’intérêt, cette curiosité qui ne se définit pas, qui va au-delà de la simple personne. Nos échanges restent simples, le feeling passe, c’est le plus important. Puis, comme à mon habitude, je commence à piquer verbalement pour découvrir son ouverture d’esprit (en général, quand je dévoile mon vécu et mon expérience*, elles fuient toutes car cela dépasse leurs compétences). Là, elle reste à l’écoute, me questionne, et dans ses yeux, je sens une lueur de curiosité qui croît de plus en plus jusqu’à, j’en suis sûr, une certaine excitation...
Dans son passé, elle a connu certains hommes. Je sens déjà que sexuellement, elle ne doit peut-être pas être tant comblée que ça, ni avoir connu d’expériences où son plaisir a été mis en avant.La soirée passe à une telle vitesse qu’il est déjà l’heure de rentrer. Je la raccompagne à sa voiture, et nous nous faisons la bise respectueusement. Mais je sens dans ce geste que nous n’en resterons pas là...Les jours passent, nos discussions par message sont très courtes, nous prévoyons déjà notre prochain rendez-vous. Il est dimanche soir, je suis curieux de savoir ce que cette rencontre peut nous apporter...

Cette fois-ci, nous nous voyons chez moi, j’ai prévu de continuer nos échanges autour d’une bouteille de blanc, mon préféré ! Elle arrive à l’heure, habillée plus décontractée. Je sens un peu plus son attitude, elle a des charmes qu’elle dissimule dans un comportement un peu garçon manqué, un style vestimentaire mitigé. Cela reste correct, mais je sens qu’elle veut être femme, elle est un peu maladroite dans ses choix faute de conseils ou d’expériences avec des hommes qui ne la mettaient pas vraiment sur un piédestal. Mais elle a toujours ce regard que je n’arrive pas à cerner...
La soirée suit son cours, et nous nous rapprochons de plus en plus jusqu’à ce que, tous les deux assis sur le sol devant l’ordinateur à choisir la prochaine musique, nos lèvres se touchent pour la première fois. Elle sait embrasser, cela me rassure. Elle reste timide dans ses gestes et se laisse guider par les miens, abandonnant ses habits dans une sensualité et une délicatesse qui dissimulent à peine son excitation. Elle qui ne voulait pas d’un complice sexuel, elle me montre pourtant le contraire (sûrement parce que l’on se plaît physiquement et que mon discours l’a mise à l’aise et en confiance).
Nous sommes donc tous les deux nus, allongés sur mon lit. Etant donné que j’aime les préliminaires et encore plus déclencher le plaisir d’une femme, je prends l’initiative de descendre jusqu’à ses lèvres défendues. Je prends mon temps, effleurant le bord de celles-ci pour aller jusqu’à son genou, caressant le creux avant de glisser jusqu’à l’autre, pour enfin revenir vers ce mont brûlant de chaleur. Elle sent mon souffle chaud à travers son tanga qui est inondé de désir. Je le fais glisser jusqu’à dévoiler son intimité totale, puis je m’approche et pose délicatement ma langue. Elle a un tressaillement comme si elle recevait une décharge. J’appuie plus intensément sur son bouton que je découvre du bout de ma langue tendue. Je la fais glisser, tantôt tendue, tantôt plate, pour jouer avec les nerfs de son bouton, puis je remonte pour passer aux choses sérieuses. Je l’embrasse alors fougueusement en prenant sa joue dans ma main, puis son bassin comme si nous étions dans une danse. Je sens une grande timidité, est-ce que je l’impressionne, ou doute-t-elle de ma bienveillance ? Se méfie-t-elle ?Je choisis donc de retirer moi-même mes vêtements. Je suis là, nu, face à elle, et je commence à voir que ce côté légèrement dominant la perturbe et l’excite, elle tortille un peu comme si elle me chuchotait « prends-moi, maintenant ! ». Je m’allonge sur elle, et dans un mouvement de bassin, le sexe dressé, je rentre petit à petit en elle. Elle aime ça, son souffle se transforme en râle de plaisir. Je donne des coups de reins de plus en plus rapides et forts, son excitation monte mais je sens que l’orgasme est encore loin. J’en profite pour changer de position : elle se met sur moi, et me surprend, apparemment elle aime cette manière de faire ! Peut-être que les années d’équitation y sont pour quelque chose. Elle me chevauche énergiquement dans un silence timide, mais en phase avec le mouvement. Mon sexe glisse le long du sien, je le sens pénétrer dans son antre chaud, faisant monter mon plaisir à chaque butée...
Pour ne pas venir trop vite, je change de position et la place en levrette. Elle a hâte que je la prenne, je le vois à sa façon de me présenter ses fesses bien fermes, comme si elle attendait impatiemment de se faire prendre. Je ne me fais pas prier et la pénètre d’un coup sec (enfin, c’est une façon de parler tellement elle mouille d’excitation). Mes coups de reins de plus en plus puissants font monter son plaisir, elle gémit de plus en plus. Mais je sens que je suis encore bien loin de son orgasme. Le temps passe et je sais que je ne pourrai plus trop me retenir. Alors qu’elle est allongée sur le ventre les jambes serrées, je rentre en elle de plus en plus loin et fort. Soudain, une envie me vient : je lui attrape les cheveux et tire doucement en arrière, ce qui accentue sa cambrure. Elle a alors un gémissement particulier, comme si j’avais trouvé un autre point sensible, différent, qui éveille d’autres sens. Oh oui, plus que je ne l’espérais, mais ne soyons pas pressés...Nous sommes donc là, tous les deux, en transe, et je suis sur le point de jouir. Alors, dans un dernier élan, je donne tout, effectuant des mouvements de bassin tous plus souples et plus secs les uns que les autres, jusqu’à sentir mon sexe gonfler et remplir la protection que j’ai mise. Mes derniers spasmes lui donnent d’ultimes sensations...
Nous nous allongeons côte à côte sur le lit, je lui demande si ça va, question à laquelle elle répond à l’affirmative de manière sûre. Nous sommes bien, elle dans mes bras, apaisée. Après avoir repris nos esprits, bercés par la musique de fond de l’ordinateur, je lui demande :— J’espère que ça allait ? — Oui c’était bien — Mais tu as joui ? — Non... en fait, j’ai un souci, je suis difficile à faire venir... — Je vois...
Je décide de relever ce challenge et me positionne devant son mont infranchissable pour commencer son ascension. D’abord par des coups de langue progressifs, puis par des lèches plus langoureuses les unes que les autres, comme si je prenais au sens propre le terme « lèvres » et que je m’attelais à un baiser des plus intenses. Je m’attarde ensuite sur son clitoris, ce qui a comme effet de changer totalement ses soupirs. Je commence à avoir des crampes (oui, à force, ma langue me lâche, affaiblie par l’effort), mais je ne m’arrêterai que lorsqu’un orgasme aura gagné son corps !Au bout de quelques minutes, elle finit enfin par baisser sa garde et me laisser la combler de plaisir. J’attends qu’elle se remette, et captivé par l’envie de lui donner du plaisir, je tente le tout pour le tout :— Tu as déjà squirté ? (j’avais remarqué qu’elle mouillait beaucoup, d’où la question)— Ça veut dire quoi ? — Bah éjaculé quoi ! — Il n’y a que les hommes qui font ça !
Elle me regarde comme si elle me sentait capable de la surprendre, encore... Ça l’excite...— Je peux ? — Euh... Ça fait mal ? (sur un ton hésitant)— Mais non, si c’était le cas, je ne le ferais pas.
Léa me fait alors un léger signe d’approbation, mais avec une petite retenue.Je me place devant elle et j’introduis délicatement mon majeur et mon annulaire en elle, massant d’abord son intérieur. Puis, petit à petit, je bouge de haut en bas, comme si je voulais toucher son clitoris et son trou secret de l’intérieur. J’accélère, ses soupirs aussi, jusqu’à une certaine vitesse. Soudain, elle met de la cyprine partout sur mes doigts, le lit et sur elle.Elle me regarde, essayant de comprendre ce qu’il vient de se passer. Elle n’en revient pas, elle a fait ça toute seule, aidé par un doigté expérimenté. Elle rougit de sa performance. Et encore, ce n’est que le début de ce qu’elle a réussi à accomplir...
Pour comprendre la signification des *, voir ma présentation...
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