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Le début d'une obsession

Chapitre 1

Première rencontre

Avec plusieurs hommes
Cette histoire est inspirée de faits réels...Bonjour,Je m’appelle Emma, brune, yeux marron, 1m70, 55 kilos et je suis lycéenne. Cela ne fait que quelques mois que j’ai franchi le cap des premières caresses sexuelles avec un homme approchant la trentaine, et pourtant, me voilà dans l’optique de concrétiser l’un de mes fantasmes : le fameux plan à 3 (avec 2 hommes).
Je ne le sais pas encore, mais ce 3ème homme est l’un des amis de mon partenaire de jeu. Je n’ai que rarement pu lui envoyer 1 photo, par-ci, par-là, en passant par le téléphone de Jean, mon amant, puisqu’il s’appelle ainsi.
Cependant, cela ne m’a pas empêchée de fantasmer sur lui, à un point que vous n’imaginez pas encore... Pour vous en donner un aperçu, une fois, Jean m’a dit que je ne verrai peut-être jamais Mathieu, et cela m’a mis dans un état de frustration terrible, à tel point que je sautais partout dans l’appartement !
Quelques semaines passèrent, et comme à mon habitude, je me rendis chez Jean. Lui qui m’avait dit de me presser, n’était même pas chez lui. Quelle audace !J’étais en train de me demander si j’allais faire un tour quand je le vis arriver... accompagné. Immédiatement, je reconnus Mathieu. Puis, je me suis approchée d’eux afin de les saluer.Mathieu se présenta, mais confiante, je le coupais tout de suite, en lui disant qu’il ne m’était pas inconnu. Puis nous prîmes l’ascenseur, et là, la panique me gagna, je ne savais pas si je pouvais embrasser Jean devant Mathieu, si je devais parler, me faire discrète... Par conséquent, je choisis la dernière option.
L’ascenseur s’ouvrit et nous nous installâmes sur le canapé avec 1 verre en main. Jusque-là, tout allait bien de mon côté. Puis Jean commença à me caresser la cuisse et Mathieu ne tarda pas à faire la même chose. La suite des évènements commençait à se dessiner dans ma tête, ce qui ne me laissait pas de marbre. Jean se leva, me permettant de mater son joli petit cul puis, je fis de même et lui fis un bisou. La sensation de vivre cette passion devant quelqu’un, et non pas uniquement devant l’éternel (faux) tableau de Monet meublant le grand salon me fit frémir. Sentant certainement la tension monter, les garçons commencèrent à s’agiter, et me demandèrent de me rasseoir entre eux, ce que je fis. Ils reprirent leur manège manuel, de façon beaucoup plus prononcée cette fois-ci.
La chaleur gagnait mes joues, et des parties plus couvertes également. Je commençais à caresser l’entrejambe de Jean tout en regardant les réactions de Mathieu qui souriait, avec une lueur particulière dans le regard. Celle-ci m’invitait à caresser son torse, du moins pour le moment, après tout, c’était un inconnu cet homme ! Rapidement, mes mains caressées par sa pilosité glissèrent sous son tee-shirt, à la recherche de ses tétons. J’adorais, plus par jeu que par excitation sexuelle, tripoter les mamelons masculins.
Mais visiblement, ma pudeur ne plaisait pas à ces messieurs, étant donné que Jean annonça à son ami que je ne lui obéissais pas suffisamment tout en faisant référence au fait que je l’avais embrassé sans son autorisation. Moi qui me proclamais soumise (tu parles !). Mathieu rigola, mais se prêta au jeu, il saisit mes cheveux d’un coup sec et dirigea ma tête vers sa braguette. Personnellement, j’étais paniquée, je n’avais jamais été traitée comme ça, n’ayant eu qu’un seul partenaire, ce qui ne m’empêchait pas de m’en réjouir. Heureusement, Mathieu m’invita, avec sa voix enivrante, à déboutonner son jean, et à le sucer. Comme par miracle (ou comme une salope obéissante), je le fis. Je commençais tout d’abord à lécher son gland, puis fis glisser ma langue jusqu’à ses bourses avant de l’englober, du mieux que je pouvais avec ma petite bouche, lui soutirant un râle de plaisir. Pendant ce temps, Jean s’était dévêtu et je pouvais voir son érection pointer vers moi.
Mais aujourd’hui, ce n’était pas particulièrement lui qui m’intéressait, alors d’une main distraite, je le branlais et me suis concentrée sur Mathieu. Il avait des yeux verts, une peau mate, ainsi qu’une barbe assez fournie... mes réflexions furent interrompues quand il commença à me baiser la bouche tandis que Jean complimentait mes gros seins (selon lui) qu’on pouvait entrapercevoir lorsque je me penchais. Je n’en avais pas pris conscience sur le moment, mais en fait, il m’exposait aux yeux de son ami, comme un trophée, tout en vantant mes qualités.
Le plaisir montait, en effet, je sentais ma mouille couler entre mes cuisses, elle qui allait bientôt être frictionnée par les mains avides et talentueuses de Mathieu. Mais avant cela, il me fallait quand même m’occuper un peu plus sérieusement de Jean, le pauvre, lui qui m’avait fait une si belle surprise ! Pour cela, j’entrepris un petit strip-tease, car je savais qu’il adorait ça. Je me suis levée et ai commencé à balancer mes hanches tout en tirant sur les bretelles de ma robe, puis, je me suis approchée de lui, à quelques cm de ses lèvres et suis repartie en faisant mine de chercher quelque chose parterre, ce qui laissait bien voir mon string en dentelle. Quand je me retournais, ces messieurs avaient un regard animal, mon coup avait fonctionné, comme toujours. Puis, impatiente, j’ai enlevé ma robe, et suis revenue vers eux, en string et soutien-gorge rouges.
Mathieu m’a agenouillée et m’a à nouveau ordonnée de le sucer, j’ai donc craché sur son gland pour le lubrifier, puis me suis mise à l’ouvrage, tandis que Jean frottait sa queue entre le creux de mes fesses. Rapidement, il délaissa son membre pour venir caresser mon anus, ce qui me fit me cambrer afin qu’il y ait mieux accès alors que Mathieu me caressait la poitrine... « Me caressait la poitrine » ai-je dit... Non, pendant qu’il me pinçait les tétons et me les malaxait avec vigueur. Je gémissais, Mathieu aussi, et Jean, comme à son habitude n’exprimait son plaisir que par la taille de sa verge. Je ne vais pas vous cacher qu’entendre qu’un homme prendre du plaisir me fait plus d’effet que de pouvoir le constater uniquement visuellement. Ce qui me donna envie de plus, j’exprimais alors mon envie de me faire baiser. Cela aurait marché s’il n’y avait eu que Jean, mais il y avait Mathieu. Celui-ci me répondit :
— tu veux qu’on te baise ?
Je ne dis rien.
— Tu veux qu’on te baise salope ?— Oui, répondis-je.— Oui quoi ?— Oui, je veux que vous me baisiez... dis-je, toute penaude.
Ils se regardèrent, Mathieu mit un préservatif puis décida de me mettre à 4 pattes pour me prendre en levrette. Il s’inséra en moi tandis que je suçais Jean, j’entendais ses couilles claquer contre mon cul, mes bruits de succion autour de la queue de Jean et surtout, je me sentais pleine. En effet, Mathieu était un peu plus large que Jean, et qu’est-ce que c’était bon, putain ! (C’est d’ailleurs ce jour-là que j’ai découvert que ce n’était pas la taille en longueur qui comptait, mais la largeur).
Mathieu accéléra la cadence, accélérant le rythme de mes gémissements et leurs puissances. J’avais envie que jamais il ne s’arrête, qu’il me baise partout : sur le canapé, contre l’évier, sur un lit, dans l’ascenseur... Mais il faut l’avouer, ma pipe ne valait plus grand-chose...
Les garçons échangèrent leur place afin de se reposer sans me laisser le moindre répit, et ce manège dura bien 20 minutes. 20 minutes à pomper deux queues,20 minutes à me faire labourer sans ménagement,20 minutes à me faire fesser avec force,20 minutes à gémir de plaisir, formant un magnifique trio...Puis ils décidèrent de regarder mon anus, le pauvre, lui qui n’avait rien demandé...Jean le lécha avidement, je sentais sa petite langue essayer de s’introduire toujours plus profondément, dessinant tantôt des cercles, tantôt fendant tous les obstacles pour arriver à creuser un passage, si je puis dire. Puis, il réitéra l’opération avec ses doigts...
Ma chatte se liquéfiait dans tous les sens du terme, mais toute cette préparation n’était pas pour lui... Non, elle était pour la fameuse, PLUS GROSSE bite de Mathieu...
On ne va pas s’attarder sur l’échec cuisant que fut cet essai de pénétration, je le qualifierai juste de « piquant ».
Une fois remise de mes émotions, Mathieu approcha ses lèvres des miennes, les effleurant... sans jamais les toucher... la tension sexuelle avait regrimpé. J’essayais en vain de les écraser sous le poids des miennes, haletant de plus en plus vite, mais il finissait toujours par s’échapper. A présent, je le suppliais de m’embrasser, mais celui-ci me répondit que je n’y aurais pas droit immédiatement.Jean, dans son coin, s’en amusa bien, moi qui tant de fois l’avais branlé et m’étais arrêtée juste avant qu’il jouisse... Ce désir non satisfait me poussait à accepter chacune des choses orchestrées par Mathieu :
— Sucer plus profondément jusqu’à en avoir les larmes aux yeux et des remontées acides.— Réclamer des fessées toujours plus fortes, jusqu’à ce que mon cul en devienne, quelques heures plus tard, violacé.— Me sentir salie de ses insultes dont mes oreilles n’avaient pas l’habitude, et pire encore accepter de me désigner moi-même, par ses termes. Je dois dire qu’il avait une préférence pour le mot salope, mais chienne venait en position n°2 sur le podium. Ce qui nous amène à ma plus grande humiliation, selon mon ressenti personnel :— Marcher à 4 pattes, telle une chienne... Je trouve cela tellement dégradant, j’en ai encore honte en y repensant, le soir dans ma chambre.
Mais au fond de moi, vous vous en doutez... j’adorais cette situation, le fait de se sentir totalement... dépossédée. Dépossédée de mes préjugés, de mes choix, de toutes les limites fixées par la société qui chaque jour, essaie de me garder dans le « droit chemin ». C’est donc en m’abandonnant un peu plus chaque seconde que Jean, et son cher ami m’amenèrent au Nirvana, même si visuellement, cela ressemblait plutôt aux chutes du Niagara.
J’avais pris mon pied comme jamais, mais toutes les bonnes choses ont une fin... Ces messieurs n’en pouvaient plus, ils devaient se décharger. Pour cela, ils me firent agenouiller, tandis qu’ils se branlaient tous deux, afin d’être en phase. Je sentais leur respiration s’accélérer et pouvais, encore une fois me délecter des gémissements de Mathieu. Je les attendais. Et d’un coup, Mathieu lança les hostilités, suivi de peu par Jean. Leurs râles de plaisir, ainsi que mes doigts rapidement introduits dans ma chatte m’offrirent un dernier orgasme, figurant un magnifique tableau sonore et visuel.
Durant la soirée, je ne cessais de penser à Mathieu, à comment il m’avait baisée, doigtée, et à son baiser laissé au dernier instant... J’avais envie de le dire à Jean, mais en même temps, j’hésitais... Peur de le blesser. Cependant, n’aimant pas garder mes ressentis secrets, je le mis au courant. C’est comme ça que dans les semaines qui suivirent, Jean me baisa plus... sauvagement et envoya bon nombre de photos de moi à Mathieu, sans oublier celle prise pendant la soirée, après notre plan à 3, où l’on me voyait couverte de bleus.
J’espère que ça vous a plu, n’hésitez pas à me dire ce que vous en pensez !
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