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Le début d'une obsession

Chapitre 3

Drôle de soirée

Avec plusieurs hommes
J’écris pour moi, en conséquence, je ne ferai pas ce passage tant attendu par certains détaillant ma relation avec Jean. 

Il est seulement nécessaire de dire que durant 3 semaines environ, nous avons ressenti et vécu d’agréables moments, cependant, des inquiétudes, de ma part principalement se sont installées aboutissant à une violente dispute. 

Cela faisait maintenant 3 jours que je ne parlais plus à Jean, et il était certain que ce ne serait pas moi qui ferais le premier pas, quitte à réduire à néant définitivement notre relation. Ce n’était certes pas mon genre je dois l’avouer, mais celui-ci avait dépassé les bornes, prononcé des mots interdits. 
Alors, je m’étais dit que c’était l’occasion de découvrir les boîtes de nuit. De plus cela comblerait mon amie, qui la pauvre, ne subissait que mes refus depuis 6 mois, ne m’estimant pas capable de veiller aussi tard.

La chance semblait être avec moi puisque je découvris qu’en cette période, elle y allait tous les soirs. 

Ayant rendez-vous l’après-midi, je décidai dès midi de ma tenue. J’hésitais… En effet, Jean m’avait avertie qu’il ne fallait surtout pas trop en montrer dans ce genre d’endroit au risque de se faire saborder la soirée. J’optai donc pour un short assez long, en jean, que je ne trouvais pas trop moulant, accompagné d’un débardeur habillé, ni échancré, ni décolleté, rouge ainsi qu’une paire de baskets.

Il était 17 heures quand j’ai rejoint Elisa en ville, qui était alors entourée par 4 filles et 5 garçons que je ne connaissais pas, m’insufflant un vent de panique. Mais assez rapidement 2 couples nous quittèrent et nous entamâmes une marche vers l’appartement de l’un des garçons. Lucas semblait multiplier les efforts pour me mettre à l’aise et au bout d’une heure ou deux, je me permis de remarquer qu’il était plutôt pas mal avec ses boucles blondes, ses yeux bleus et sa peau claire. Il était également un peu musclé et mesurait une bonne tête et demie de plus que moi.

Nous mangeâmes, discutâmes et j’appris qu’ils étaient quasiment tous homosexuels, sauf Lucas… et que le plus âgé me dominait de 3 ans, étant la plus jeune.

Puis vers 22h30, une nouvelle fille du même âge que moi, plutôt mignonne nous rejoignait. Par la suite, je fus déçue lorsqu’Elisa lui annonça que me draguer serait vain, étant hétéro. Certes, je ne m’étais jamais sentie attirée par une femme, mais j’aurais bien aimé que celle-ci tente quelque chose.
Nous sommes ensuite sorties toutes les deux et avons discuté. En parallèle, j’envoyais un message à Mathieu pour lui demander si à tout hasard, il connaissait la boîte où j’allais me rendre. Et bien sûr, en tant qu’homme de la nuit, il m’en parla un peu plus et m’indiqua qu’il y serait sûrement dans 2 jours… Cette information ne m’échappa pas et me perturba, mais bientôt les autres nous rejoignirent et nous partîmes en direction du centre-ville.

Sur le chemin, nous avons acheté de quoi boire puis nous nous sommes posés au bord de la Garonne. Après 3 verres, j’ai regardé Lucas qui m’attirait de plus en plus et lui ai dit qu’il ne fallait pas que je l’embrasse ce soir, car j’étais avec Jean, ce à quoi il me répondit qu’il ne comptait pas le faire dans tous les cas, vexée, je me suis éloignée.

Après nous être faits embêter par une bande de petits cons, il faut dire ce qu’ils étaient… nous sommes allés nous réfugier sur la piste de danse. Il était encore tôt, nous étions par conséquent dans les premiers arrivés. Elisa discutait avec le videur qu’elle connaissait bien en attendant que l’ambiance monte. Petit à petit, cela se produisit, nous invitant à danser tous ensemble. Malheureusement, ma sage tenue n’empêcha pas un premier garçon, certes plutôt charmant qui devait avoir mon âge, de me demander si le célibat m’enveloppait. Je l’ai détrompé (même si en soi si, mais bon…) puis me suis rendu compte que mes amis du soir étaient partis au coin fumeur. A la suite de cet évènement, cherchant à me remettre de mes émotions je les ai rejoints, cependant les effets de l’alcool s’estompant, je commençais à m’ennuyer.

Un autre homme d’une dizaine d’années supplémentaires cette fois-ci me dénomma pour la soirée « la fille au tee-shirt rouge », mais il ne me dérangea pas très longtemps, étant subjuguée par la fille qui dansait sur le podium. Elle était blonde, avec quelques kilos en trop et un rouge à lèvres outrageant, comme son style de danse à vrai dire. Son assurance m’attirait, comment pouvait-elle oser se déhancher ainsi au milieu de la foule ? Je restais à la regarder ainsi, admirative, durant une bonne dizaine de minutes…

Puis vers 4 heures du matin je fus à nouveau draguée par un homme de 21 ans. Celui-ci avait l’air différent, en effet, il semblait avoir besoin de parler et non pas uniquement pressé de me sauter puisque je lui avais clairement dit que lui et moi dans son lit, ça ne serait pas pour aujourd’hui. Il eut l’intérêt de me distraire un temps et me proposa de boire dans son verre. Bien entendu, j’hésitai, alors je le fis tout d’abord boire puis j’attendis un peu et voyant qu’il ne devenait pas bizarre, je m’autorisai à boire deux gorgées. Malheureusement, cela ne suffit pas à faire remonter ma capacité à m’adapter à cet étrange environnement. Alors, vers 5h30, je quittai la boite, seule, pour attraper le premier métro après avoir averti mes compagnons.

Une fois sortie, le centre-ville absolument désert m’inquiéta... J’avais envie de retourner là-bas, mais mon lit me faisait de l’œil.

Le lendemain, je parlai à ma meilleure amie de l’invitation à peine voilée de Mathieu, étant vraiment perdue : d’une part je crevais d’envie de me le taper et en plus, je ne savais même pas si je reverrais un jour Jean et de l’autre, j’espérais quand même fortement que lui et moi, c’était loin d’être fini…

Au décours de l’après-midi, mon envie n’avait fait que s’accentuer en discutant avec lui…

Un jour plus tard, j’hésitais encore un peu, mais je déplorais toujours l’absence du moindre signe de Jean. Mathieu me confirma qu’il serait bien là ce soir et alors, inconsciemment ou non, je pris la décision d’enterrer ma relation avec Jean, en décidant que oui, ce soir je sortirais.Mes vannes commencèrent alors à lâcher et je passai une bonne demi-heure à me doigter sur notre sextape, mais cela ne fit que m’ouvrir l’appétit.

Après le repas du soir, j’allai en centre-ville attendre Elisa et ses amis sur un banc, armée d’un roman (drôle d’accessoire me direz-vous), tout en discutant avec Mathieu. Mais très vite, je n’ai plus réussi à me concentrer, j’avais très chaud et je m’imaginais déjà entre ses bras (pour rester polie).

Ce soir-là, malgré mon envie de séduire j’étais restée sage avec mes éternelles baskets, mon short le plus long (voulant éviter de me faire draguer par d’autres mecs), un noir assez classe et un débardeur mauve du même style que le rouge, mais assurément plus discret par sa couleur.

Mathieu m’indiqua qu’il aurait apprécié que je lui ramène une fille et qu’en échange, nous pourrions faire l’after chez « eux ». Immédiatement, je me remémorai la fille que j’avais embrassé en soutien-gorge, plutôt par jeu que par attirance sexuelle, au beau milieu des convives de l’anniversaire d’Elisa. Lorsque celle-ci arriva, je lui demandai si la jolie blonde serait de la partie, mais sa réponse fut négative. Il y avait quasiment les mêmes personnes que la dernière fois, dont Lucas qui malgré son précédent rejet en début de soirée, m’avait par la suite montré un côté très protecteur.

Nous discutions, mangions un bout puis, accompagnés de vodka et de Sprite, nous asseyions dans un parc, près de la boîte. En parallèle, je ne cessais d’échanger avec Mathieu qui m’allumait très fortement, puis me demanda si j’étais tentée par un plan à 4. Je n’avais pas du tout prévu cette tournure des évènements. Il m’envoya une photo des bonhommes, que je jugeai plutôt passables mais bon… N’ayant pas vraiment la force de négocier et ne voulant surtout pas qu’il m’échappe lui, j’acceptai. Une fois cela dit, j’en fis profiter toute la rue.Ceux avec qui j’étais semblaient plutôt contents, contents que je délaisse enfin Jean qui selon eux, ne me méritait pas. Puis, pour ne pas m’ennuyer cette fois-ci, je combinai binge drinking et dépassement des repères de l’OMS (aie aie aie).

Je crois qu’à partir de là j’ai mené la soirée, malheureusement pour eux. Je n’avais pas spécialement envie de danser et tout le groupe me suivit au coin fumeur. Les filles voulaient danser, mais les garçons, sur qui j’étais assise (une fesse - une cuisse) ne semblaient pas décider à les suivre. Pour m’amuser, je m’étais trémoussée sur leur cuisse et ceux-ci n’avaient pas manqué de me faire remarquer que ce manège leur plaisait bien. Puis perdue dans mes pensées, Elisa m’appela pour me dire que Mathieu était là. Dès que je le vis, je me levai et l’embrassai. Il ne s’attendait pas à ça, mais j’estimais que c’était un juste retour des choses.Je fis une bise aux autres, qui permis à Elisa de me demander si j’étais vraiment sûre de moi puis, suivi Mathieu dans la cohue, qui me tirait par le bras.

A l’entrée, je découvris l’un des autres hommes de la soirée qui malgré sa chemise blanche ne me plaisait pas énormément, par conséquent, je lui fis simplement la bise. Mais Mathieu, mécontent, me demanda de l’embrasser également.

Au cours de notre marche, Mathieu commença par me dire que concernant Jean, cela n’était point embêtant, étant donné qu’il se trouvait à des centaines de kM. Cela n’était pas un argument suffisant selon moi, mais si cela pouvait lui faire plaisir, qu’il le dise…
Ils se moquèrent ensuite tous deux de moi, lorsque je leur annonçai (fièrement ?) que je portais mon short le plus long, visiblement court à leur goût.
J’enchaînai sur l’ami de mes parents, ayant la cinquantaine passé qui m’avait draguée lors d’un anniversaire (Vous devez vous dire que les anniversaires me réussissent) ce qui sembla intéresser Mathieu de façon perverse… Ponctuant tous mes récits par mon envie d’uriner, Mathieu me demanda donc si j’étais tentée par l’urophilie, et horrifiée je répondis que non, au grand jamais ! Il en conclu que j’aimais être dominée, mais non pas humiliée.
Connaissant mon affection pour les culs masculins, il m’invita par la suite à glisser ma main dans le pantalon de son ami et dans le sien, tandis que chacun des garçons glissaient l’une de ses mains dans mon short.

Peu de temps après, Mathieu s’était rendu compte que nous étions suivis par un homme, qui n’avait pas l’air très en forme je dois dire, mais encadrée, je n’étais guère inquiète.

Cependant voilà, nous marchions, nous marchions, mais je n’en pouvais plus, j’avais tellement envie de le sucer dès maintenant, même si nous n’étions pas encore arrivés… Après tout, il n’y avait personne, alors certes le pont était très éclairé mais ce n’était quand même pas lui qui allait faire sa chochotte ! Mais contre toute attente, il me répondit fermement qu’ayant pu attendre jusque-là, je pouvais bien patienter encore un peu.

Lorsque nous sommes arrivés près de la résidence, Mathieu m’indiqua le 3ème homme et me demanda d’une part, de la boucler si on ne me parlait pas à partir de maintenant, et de dire « Salut, je suis ta salope ce soir », dès qu’il eut prononcé ces mots, il me poussa dans la direction de cet homme, me faisant tituber.A sa hauteur, je lui ai donc dit en rigolant :

Salut, je suis ta salope de ce soir.

Puis nous avons attendu l’ascenseur qui ne semblait jamais arriver, alors j’ai commencé à me frotter contre le mur, à défaut de pouvoir tripoter l’un des 3 hommes. Entre l’alcool et l’excitation, qui était si forte, j’étais dans un état second.L’appartement était assez luxueux mais je n’étais pas là pour visiter, ils me le rappelèrent en me conduisant sur le balcon et me donnèrent à boire, à ma demande. Mais en vérité, j’en reçu plus sur mes habits qu’autre part.
Je fus ensuite rapidement déshabillée tandis que je tentais vainement à genoux, de défaire la chemise de notre hôte. Agacés par ma lenteur, ils se déshabillèrent tous les trois.

Ils retournèrent alors à l’intérieur, et lorsque je commençais à me relever pour les suivre, Mathieu m’ordonna de rentrer à quatre pattes, comme une chienne, humiliée. Tandis qu’ils prenaient un verre, tranquillement installés autour du bar, Mathieu me demandait de les sucer tour à tour, en évoquant l’un des mariages auquel il avait pu assister en Thaïlande, pendant lequel on pouvait se faire sucer sous la table.

Après 10 minutes de ce manège, ils se levèrent et l’un d’entre eux m’introduisit quelque chose dans le cul, ne m’y attendant pas je grimaçai et râlai, ce qui ne tarda pas à les faire rire, juste avant de me l’enlever.
Mathieu me demanda alors de sucer notre hôte, et immédiatement, je m’y affairai. Malheureusement pour lui (et heureusement pour moi, même si je n’étais pas habituée à cette situation), la trique ne venait pas. A vrai dire, j’avais bien senti qu’il ne semblait pas très à l’aise… 
Sûrement attristé, il indiqua aux autres « elle n’aime pas ça », comme si je n’étais pas là, ce qui me déplut fortement et ne fit qu’accroître mon bonheur lorsqu’il se mit hors-jeu : je n’avais plus qu’un autre homme en travers de mon chemin.

A partir de là, mes souvenirs se font assez confus…

J’ai tout d’abord sucé Gaël (dont je ne connaissais pas le nom ce soir-là) qui cette fois-ci se trouvait debout, me permettant de le détailler. Celui-ci était grand, décoré de piercings à l’oreille et au téton ainsi que de tatouages tout le long d’un bras et sur le torse. De plus, il puait la cigarette. L’ensemble de ce tableau, sur le moment, me fit un peu peur.Mais lorsque je fus à quatre pattes sur le canapé quelques minutes plus tard, entrain de sucer Mathieu tandis que Gaël devait être en train de se branler et que notre hôte regardait, je pris un réel plaisir. Oui, un réel plaisir à sucer confortablement cette queue qui m’avait tant manquée même si j’étais encore loin d’apprécier pleinement les gorges profondes.

Mes borborismes, ponctués par mon souffle haletant, étaient une douce musique.

Puis Mathieu céda sa place à Gaël afin de pouvoir me zébrer le cul à l’aide de sa ceinture. Cela faisait mal, mais le plaisir sadique évident qu’il en retirait comblait mon côté masochiste, d’autant plus que j’avais toujours eu un faible pour les ceintures, plus élégantes, comparées à la main. Il ne semblait pas décider à s’arrêter, joignant certainement au geste, la parole insultante. Il proposa ensuite à Gaël de le faire lui-même. Celui-ci, peu convaincu, m’administra quelques coups puis s’arrêta.

L’enchaînement logique fut qu’ils se déchaînèrent sur mes seins en les mordillant, les triturant, les pinçant, les giflant… M’arrachant des gémissements.

Nous avons ensuite fait une pause au décours de laquelle je me suis souvenue que le lendemain, c’est-à-dire dans quelques heures, je devais aller à la plage, accompagnée de ma famille… Je me rendis alors compte à ce moment-là, trop tard évidemment, qu’il me faudrait cacher la multitude de bleus colorant mon corps…

A partir de là, les coups furent moins présents et après avoir très certainement inondé les doigts de Mathieu, il invita Gaël à me pénétrer. 
J’avais peur, puisque Mathieu avait eu la gentillesse de me préciser que celui-ci était encore mieux membré que lui (je ne l’avais pas remarqué moi-même durant la soirée, étant un peu trop… à l’ouest). Cela semblait décidemment être une tradition avec lui de commencer par le plus gros…
Néanmoins, Gaël me rassura et me pris doucement en levrette pour commencer, tandis que Mathieu était dans ma bouche. 
Gaël accéléra ensuite ses mouvements tout en caressant mon dos, mes fesses… et mon anus. Il dû également me tirer les cheveux.

Suant, Gaël se dégagea en conséquence, afin que Mathieu puisse me pénétrer à son tour, celui-ci fut moins précautionneux, le chemin étant déjà fait. Puis au bout d’un temps indéterminé, ponctué de nos halètements mutuels, il se retira. Ces vieux voulaient (encore) une pause ! Mais j’avais encore envie, encore besoin de sentir un, LE sexe érectile en moi.Ils me regardèrent tous les trois et me demandèrent qui je voulais… Bien entendu, je le voulais LUI. Celui-ci, terrassé (je me refuse à croire que je le repoussais), refusa un instant, mais encouragé par ses amis revint à la charge. 

Je crois que j’ai joui.

Puis Gaël, devant rentrer chez lui m’intima de le rejoindre sur le balcon. Remarquant cette fois-ci la hauteur, je fus prise de vertige mais rassurée lorsque je dû m’accroupir dos au vide, face à lui. Je le suçais quelques instants, du mieux que je pu l’amenant à une puissante éjaculation, qu’il me déversa sur le visage.

Tandis que je me rinçais sous la douche, j’entendis que les amis de Mathieu lui demandaient de me rejoindre mais celui-ci refusa en indiquant que s’il le faisait, il me baiserait là-bas. Personnellement je n’y voyais pas d’inconvénient mais bon…

Une fois revenue, j’ai sûrement parlé de Jean puisque je me souviens avoir rétorqué par la suite, dans un élan de courage, que Mathieu était un connard, refusant d’avouer à Jean cette soirée. Oui, il m’avait fallu du courage pour le défier, en pleine nuit, accompagné de deux autres hommes plus grands et bien plus épais que moi, « loin » de quiconque pourrait m’aider. L’alcool devait se dissiper, puisque je commençais à ressentir mon inconscience.

Gaël nous quitta tandis que notre hôte alla se coucher. Il ne restait donc plus que Mathieu…

Je me suis allongée sur le canapé-lit, sur lequel il me doigta quelques minutes, me faisant encore mouiller de façon indécente, puis changea brutalement de comportement. Il commença tout d’abord par m’ordonner de cesser mes gémissements puis m’attrapa fermement le menton et me fis comprendre que je n’étais rien, rien d’autre qu’une vulgaire chose qu’on baise, qu’on souille et qu’on jette. Il m’indiqua également que si je voulais le revoir, je ne devrais en aucun cas révéler à Jean cette soirée. Ce fut rude, mais j’étais avertie. Décidant d’outrepasser cette incartade, j’approuvai lorsque quelques minutes après, il m’annonça qu’il allait désormais me faire l’amour, drôle de mot dans sa bouche. Mais il est vrai qu’il se fit plus doux, sûrement exténué, puisqu’il était quasiment 6 heures du matin. Peinant à arriver à nos fins dans cette position, nous nous sommes mis face à face, tandis que lui se branlait, je me doigtais. 

Il prit un instant pour me dire que s’il avait vécu plus proche, il se serait fait un plaisir de m’éduquer, ce qui m’excita beaucoup.

Néanmoins, il décida de m’autoriser à le laisser sans jouir, mais je me refusais cela. Alors, j’utilisai les dernières forces qu’il me restait et le suçai tant bien que mal. Sur le point de jouir, il m’ordonna de lui présenter ma bouche afin qu’il puisse se vider les couilles dedans. Chose que j’avais formellement refusé à Gaël pour des raisons sanitaires évidentes. Mais je ne pouvais rien refuser à Mathieu…

Après quelques coups de sopalin… Nous nous sommes couchés et il s’est endormi, en ronflant.
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