Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 46 J'aime
  • 13 Commentaires

Débuts d'une soumise

Chapitre 4

SM / Fétichisme
Suite de mon histoire, avec une véritable entrée en matière cette fois. Les commentaires sont ma seule rétribution ; alors n’hésitez pas à me faire part de vos impressions sur le forum, et par mails ou messages privés.

Son corps, déjà épuisé, à l’entente inattendue de ce bruit sourd, se remit à trembler. Ses muscles noués l’élancèrent davantage. Elle était tendue et l’esprit en alerte, attentive à la moindre sensation qui aurait pu la renseigner sur ce qui allait suivre. Mais son corps à demi anesthésié par la position dans laquelle il était maintenu était rendu insensible par l’épais cuir de sa combinaison, et ses yeux et oreilles ne lui étaient d’aucun secours, dissimulés par le bâillon. Elle sentit malgré tout sur son sexe toujours suintant, seule partie de son corps à découvert, le courant léger de déplacements d’air derrière elle. Son Maître n’est pas loin ; il s’affaire derrière elle, mais elle ne sait pas ce qu’il fait.Les faibles courants d’air, derrière elle, parviennent toujours sur son sexe ; elle se sent alors plus humide que jamais, elle sent que son Maître va bientôt la prendre et savoure d’avance la sensation du sexe dur la pénétrant, volant sa virginité, faisant du sang qui coulera la preuve magnifique de son nouveau statut. Toute à ces pensées, elle sursaute quand une main prend appuis sur son fessier. Le moment est arrivé… Elle oublie ses courbatures et se concentre sur cette main qui la touche. Mais très vite la main se retire, et deux autres mains tâtonnent ses hanches, se coincent à la fourche des cuisses avec des mouvements patauds. Un morceau de peau chaude et humide, l’extrémité du sexe de son Maître sans doute, frôle la peau de ses lèvres intimes. Mais elle sent également au passage le contact soyeux de longs poils contre son sexe offert. Alors l’angoisse la saisit : elle sent que ce ne sont pas des mains sur ses hanches, mais les pattes griffues d’un chien qui se colle contre elle et pèse de son tout son poids sur son dos cambré. Son Maître la confie à son chien ; il ne compte pas prendre sa virginité lui-même ! Elle veut hurler, se débattre, mais le bâillon empêche toute rébellion, et ses liens sont bien serrés. Pendant ce temps, le chien, excité par l’odeur du sexe humide de la jeune fille, continue de peser sur elle pour trouver où nicher son sexe. Le membre humide et déjà fortement gonflé de l’animal tape plusieurs fois tout près de l’entrée du vagin que la jeune fille offre malgré elle ; mais il n’arrive pas à se loger. La jeune fille, muscles tendus et cherchant à fuir cet amant imprévu, sent à nouveau la main sur son dos et se fige, interdite. La main est chaude ; elle en discerne la tiédeur qui traverse peu à peu le cuir. Elle sent aussi l’autre main de son Maître frôlant son entrecuisse comme pour en écarter le chien, et s’en trouve un peu rassurée ; mais elle se rend finalement compte que son Maître a saisi le sexe turgescent du chien pour le guider en elle.Le sexe de l’animal, fermement guidé par son Maître, pénètre lentement dans le sanctuaire jusqu’ici inviolé. Le vagin de la jeune fille est humide, mais également crispé par l’angoisse, et la progression est lente. Elle sent son Maître qui maîtrise le chien durant la pénétration pour l’empêcher de se retirer trop vite. La douleur de la perte de son hymen se noie dans celle provoquée par les mouvements convulsifs du chien, excité au maximum. Son Maître le laisse alors faire comme il veut, tout en laissant sa main posée sur le dos de sa désormais soumise à part entière, comme pour la rassurer. Les va-et-vient violents du chien font balloter le corps de la jeune fille en dépit des attaches solides auxquelles elle est accrochée. La pénétration n’a alors rien d‘agréable : le sexe canin se fraye un passage dans les chairs intimes sans se soucier des gémissements étouffés par le bâillon que produit la femelle attachée là. Mais les secrétions produites par le sexe de la jeune fille durant sa longue attente font leur effet et facilitent peu à peu les pénétrations syncopées de l’animal. La soumise se concentre sur la main de son Maître qu’elle sent toujours dans son dos, et s’imagine que le sexe rude du chien est en fait celui de son Maître ; elle se met pourtant à apprécier la sensation d’être ainsi pourfendue. Elle se détend bientôt et commence à sentir un plaisir nouveau s’emparer d’elle, mais le chien – trop occupé de son propre plaisir – accélère encore le rythme de ses va-et-vient pour finalement déverser son sperme qui se mélange au sang de la virginité dans le sexe étroit. Le chien se fige et reste encore un moment, son sexe se dégonflant très lentement sans libérer le vagin blessé.La main du Maître quitte le dos de la soumise. Il déboucle les sangles autour de sa tête pour libérer ses yeux et ses oreilles. Elle redécouvre la lumière blanche des néons en clignant des yeux et entend derrière elle le souffle rauque du chien toujours agrippé à son dos. Son Maître se dresse devant elle ; il ne retire pas le bâillon, mais la fixe d’un œil critique. Puis, sans dire un mot, il fait glisser lentement la fermeture de son pantalon pour en sortir son sexe en érection et commence à se masturber en fixant toujours la jeune fille, dont les yeux prouvent qu’elle est encore sous le choc de ce dépucelage imprévu, et qui accueille toujours malgré elle le sexe à demi débandé du chien dans son vagin, encore vierge quelques minutes auparavant.Le chien finit par se dégager d’un coup de reins, et descend du dos de la jeune fille qui gémit encore. Son vagin palpitant la fait souffrir ; elle se sent ouverte et souillée. Le sperme mêlé à son sang coule le long de ses cuisses sur le cuir noir en longues trainasses blanches mélangées de rouge. Son Maître la fixe toujours ; elle n’ose pas lever ses yeux vers lui et son regard s’arrête sur la main qui astique le sexe de bonne taille. Les mouvements de son Maître s’accélèrent, et il déverse bientôt son sperme sur son visage, toujours bâillonné, couvrant ses joues, son front et ses cheveux du même type de trainées blanches qui coulent déjà sur ses jambes.Son Maître rentre alors son sexe dans son pantalon, qu’il referme avec nonchalance. Puis il parle, enfin :– Te voilà véritablement ma soumise, maintenant. Il ajoute sur le ton d’une aimable conversation :– À présent, bonne nuit.Il siffle le chien qui s’était couché sur le sol après ses exploits et sort de la pièce en éteignant le néon. La porte se referme derrière lui dans un claquement sourd.La nuit va être longue pour la soumise toujours attachée, sexe et visage couverts de sperme.
Diffuse en direct !
Regarder son live