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La décadence étudiante

Chapitre 3

Le Fantasme

Gay
Cela fait maintenant quelques mois depuis la fois où Louis m’a ajouté dans le fameux groupe "Baise" et j’ai eu le temps d’expérimenter un peu. Mais aujourd’hui, une page se tourne, en effet, j’ai contacté un organisateur afin de réaliser l’un de mes fantasmes : le Bukkake. Depuis ma première fois, je suis attiré par ce liquide blanchâtre au goût amer mais tellement délicieux, depuis ce jour, je ne cesse de penser à ce fantasme. Teddy, l’organisateur m’a demandé mes critères de recrutement et je dois avouer qu’à part une bonne hygiène, rien d’autre ne m’intéresse, je ne vais pas me faire enculer, je vais juste sucer jusqu’à jouissance.
Il est treize heures, je pars de chez moi direction le lieu de l’événement, une fois sur place Teddy me montre la pièce, spacieuse, très spacieuse, je lui demande donc :
— Dis-moi Teddy, pourquoi autant d’espace ? Ce n’est qu’un bukkake.— Oui, mais comme tu n’as pas donné de critères, beaucoup ont répondu présent, de plus les jeunes hommes comme toi, c’est recherché.— Quand tu dis "beaucoup", c’est combien environ ?— Nous sommes un établissement réputé, avec une clientèle fidèle, nous avons passé un appel sur notre page privé et au départ, il y a eu presque deux cents réponses.— DEUX CENTS ? C’est plus un bukkake, c’est une inondation là !— Mais nous avons fait un tri, certes léger, car peu de critères, mais quand même, ils seront cent quarante-trois de mémoire, mais on compte souvent dix pour cent de désistement, donc je pense qu’ils seront cent trente, ça te va ?— Je m’attendais à quinze ou vingt sans te mentir, je ne pense pas pouvoir tous les sucer !— Ne t’inquiète pas, il y a un saladier à disposition et certains vont éjaculer dans les dix premières minutes.— Pas de soucis, ça me met la pression.— Trois gars seront là pour assurer la sécurité et le bon déroulement de l’événement, ça commence comme prévu à quatorze heures et ça finit quand tu auras fini, si tu veux faire une pause, manger, boire ou autres, tu peux, des mignardises seront à dispositions pour tous ainsi que quelques bouteilles de champagne.— Oh merci ! Et si jamais je n’en peux plus ?— Nous pouvons définir deux mots qui auront chacun leur utilisation précise : un pour stopper toute fellation, mais que les restants éjaculent dans le saladier, l’autre pour que tout le monde s’en aille.— D’accord, je propose tout simplement "Jus de queue" et "Stop", ça me semble simple.— En effet, par ailleurs, si tu souhaites quand même pratiquer la sodomie, des capotes sont à dispositions, bien que tous les gars soient dans l’obligation de fournir un dépistage négatif, après libre à toi de choisir.— D’accord parfait, je te remercie pour tout ça, il est bientôt l’heure, je vais me préparer !— Pas de soucis, je reste dans le coin tout le long de l’événement, si besoin fais-moi signe.
Je pars me changer dans le vestiaire qui donne sur la salle, j’ai choisi de simple bas résille avec un trou pour mon cul et ma bite, à peine, je l’enfile que j’entends déjà du monde derrière la porte, beaucoup de monde, je stresse...
J’ouvre la porte, tout le monde se tait et se tourne vers moi, j’avance plus au moins au centre, une serviette est posée là avec le fameux saladier, je me mets à genoux et très vite les premières bites se présentent, c’est un peu brouillon car je me retrouve avec six bites sur le visage et je ne sais plus du tout comment gérer tout ça, machinalement je suce et branle tout ce qui passe, il y en a de la blanche, métisse, noire, longue, minuscule, fripée, vieille, jeune, des durs, des toutes molles, d’ailleurs je m’occupe d’une bite de black bien dure pendant qu’un monstre est posé sur mon visage, j’ai jamais vu ça, elle doit faire vingt-cinq centimètres, voir trente, je ne sais pas, elle est énorme, je la goûte mais le gars jouit déjà et s’en va, je sens que ça va être fast-food, en même temps cent quarante-trois faut que ça tourne.
Et effectivement ça tourne bien, je ne sais pas combien j’en ai fini, mais je suis déjà couvert de sperme, ma bouche est endolorie et le saladier est rempli à une petite moitié, je demande une pause pour boire autre chose que du foutre. Je me dirige donc vers la table et me sers un verre de champagne, mais je crois que mes comparses ont d’autres envies, un s’empare de ma coupe, mais sa bite dedans et la remplit de semences, d’accord, je bois.
Histoire de laisser ma bouche se reposer, je propose qu’on m’encule, je me mets à quatre pattes et la tournée commence, ce sont des dizaines de queues, avec ou sans capote, qui défilent dans mon cul, les capotes pleines sont déposées devant moi pendant que le saladier et posé sous mes fesses afin de récupérer l’excédent qui pourrait s’échapper de mon cul, d’ailleurs ce saladier commence à être bien rempli puisque qu’un deuxième vient d’être apporté. Je demande à ce que des bites se présentent à ma bouche, je me dis qu’avec deux trous ça ira plus vite, même si j’adore ce moment, je constate que seulement une cinquantaine me sont passés dessus.
C’est mon cul qui commence à me faire mal maintenant, en même temps ces rigolos s’amusent à enchaîner les doubles pénétrations, et certains sont très bien membrés, je stoppe l’anal et verse le contenu de mon cul dans le saladier, je me mets à genoux et tiens, je reconnais là quelqu’un de mon école, je me dis qu’il aurait peut-être été judicieux de mettre une cagoule afin d’être anonyme, mais un bukkake avec une cagoule ça n’a plus rien à voir.
C’est les derniers, enfin, les vingt derniers, je suis complètement recouvert de sperme, les yeux me piquent, j’ai la bouche et le cul en feu, mais je continue de sucer, j’aurais jamais autant bouffé de kilomètres de bites, mais qu’est-ce que c’est bon, tout ce sperme mélangé, la pièce empeste la semence et la sueur et je continue d’enchaîner.
C’est le dernier, pour marquer le coup, je l’allonge, est m’empale sur sa queue, c’est mon moment à moi, beaucoup sont encore là bien que la plupart soient déjà parti, ils me regardent prendre mon pied avec le visage couvert de glaçage blanc et jaunâtre, le jeune homme fini par se raidir, je me relève et présente ma bouche à sa hampe, il me remplit la bouche avec de grosses coulées que je recrache dans le saladier.
Teddy revient vers moi et me demande ce que je souhaite faire pour finir, je prends une coupe vide et la remplie avec le contenu du saladier puis l’avale cul-sec.
— Je vais boire tout ce sperme si tu me le permets.— Bien sûr, c’est comme tu veux !
Je prends le saladier et commence à me délecter de ce mélange de nectar, il doit bien y avoir 1,5 litre en tout, mais pas grave, j’ai mon temps, et tout ce jus m’a mis en chienne, je prends des mignardises que je trempe allègrement dans le saladier et que je mange, certains de mes remplisseurs sont dégoûtés de la scène et s’en vont, nous ne sommes plus qu’une dizaine dans cette pièce, j’ai fini mon premier saladier et j’ai du mal avec le deuxième, mais au bout de quelque temps, il se finit aussi. Je me permets de proposer à deux des participants restants de me prendre en double pour finir, ce qu’ils font avec joie et entrain, je jouis à nouveau et les en remercie.
— Tu peux aller te coucher si tu le souhaites.— Oui merci à toi.
Je me glisse sous une douche chaude, mon corps me fait mal, mais c’est de la bonne souffrance. En sortant, Teddy me fait le bilan, ils étaient cent trente-huit au final, nouveau record de l’établissement !
Je rentre chez moi avec fierté et avec mon trophée : un album photos de la soirée, je me couche, je suis exténué.
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