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Déchéance africaine

Chapitre 2

dressage et singeries

SM / Fétichisme
Après cette première nuit passée dans le village de Kaboudiara, Emmanuelle se réveille tôt. En soulevant ses draps, elle retrouve son gode qui a glissé de sa chatte après s’être endormie. Elle s’en saisit et se dirige vers le cabinet de toilette pour le nettoyer avant de s’occuper de sa propre toilette. Elle retourne vers la chambre après ses ablutions et décide de s’habiller dans une tenue qui ne va pas attirer les convoitises. Elle est une femme respectable et entend bien ne pas voir se renouveler l’épisode de la veille. Dans la pénombre, elle choisit un string en dentelle rouge et le soutien-gorge assorti, mais, surtout, elle opte pour un pantalon type safari avec un chemisier blanc en coton. Elle se dit que de cette façon, elle sera moins attirante et qu’elle évitera les convoitises du vieux chef. Son inconscient la fait agir à l’inverse de ses pensées et elle ferme les boutons de son chemisier, juste ce qu’il faut pour que l’on puisse voir la fine dentelle de son soutien-gorge.
Lorsqu’elle ressort de la chambre, Emmanuelle tombe nez à nez avec Fadima qui est venue les chercher pour le petit-déjeuner. Emmanuelle ne souhaite pas être confrontée au vieux chef et prétexte qu’elle ne déjeune pas le matin pour se soustraire à sa présence. Elle demande cependant à Fadima d’aller réveiller ses étudiantes pour qu’elles puissent profiter de ce petit-déjeuner. Elle se retourne et se rend au cabinet dentaire pour y faire l’inventaire du matériel en place. La pièce a été coupée en deux au moyen d’une cloison amovible et présente deux cabinets dentaires avec fauteuils et appareillages de qualité correcte. En voyant la configuration des lieux, Emmanuelle comprend que seuls deux praticiens étaient attendus. Elle va donc faire travailler ses deux internes et se contenter de les superviser. Elle se dit que de cette façon, elle va pouvoir être intransigeante et mener la vie dure à ses deux internes qui... la désirent.
Cette pensée vient de germer dans son cerveau et Emmanuelle se rappelle les événements de la veille. Elle se rappelle ses caresses alors que ses deux internes faisaient l’amour juste à côté d’elle, mais surtout elle a le souvenir de ces deux mains masculines qui s’activaient entre ses cuisses. Elle ferme les yeux et sa main droite s’égare sur ses seins alors que sa main gauche rejoint son sexe. Elle aurait pu se caresser jusqu’à se faire jouir si elle n’avait pas entendu les voix de Fadima et de ses étudiantes dans le couloir. En quelques secondes, Emmanuelle change d’avis et se précipite dans le couloir pour suivre les trois femmes. Il faut... elle doit revoir le vieux chef au plus vite pour lui prouver qu’elle peut lui résister. Elle doit s’affirmer et rejeter cette envie irrépressible qu’elle a de lui offrir son corps. Il faut qu’elle le regarde dans les yeux et qu’elle lui fasse comprendre qu’elle appartient à un autre : son mari Michel !
Fadima n’a pas fait de remarque lorsqu’elle a vu Emmanuelle les suivre, pensant que cette dernière avait changé d’avis. Les quatre femmes arrivent dans le quarré du chef de village et se présentent sous une paillote qui accueille la grande table de la famille. Mbemba est déjà à table et invite Emmanuelle à prendre place à ses côtés. Elle se dérobe et emploie un banal prétexte pour s’installer au milieu des femmes. Elle baisse cependant la tête en voyant le regard noir que lui jette le vieux chef. Elle prend rapidement son petit-déjeuner et quitte la table après avoir donné son accord à Fadima qui lui demandait si elle pouvait les assister.
Trois jours viennent de passer et à chaque fois, Emmanuelle a esquivé l’invitation de Mbemba à s’asseoir près de lui à table. Fadima est quasiment en permanence avec elle et ses internes lors des consultations des habitants du village. Emmanuelle ne pardonne rien à ses étudiantes et en rajoute pour les rabaisser devant la femme du vieux chef. Elle prend un certain plaisir à leur faire payer le complot qu’elles ont monté dans son dos, mais Fadima, sans jamais rien dire, prend rapidement parti pour les deux jeunes femmes. Lors de leurs temps libres, Gabrielle et Marie suivent Fadima qui leur montre les alentours du village. Fadima est très intéressée par le caméscope que Gabrielle utilise en permanence pour filmer la vie du village et, très vite, elle lui demande de l’initier à son utilisation. Fadima apprend très vite et Gabrielle lui confie facilement son caméscope pour qu’elle la filme avec Marie au fil de leurs promenades et de leurs rencontres.
En ce quatrième jour de présence, Emmanuelle rentre dans sa chambre après le déjeuner. Elle est épuisée, car il faut dire que les journées commencent tôt au village. Pour pallier aux fortes chaleurs, le petit-déjeuner se fait juste avant le lever du soleil vers 5H30 et la journée se poursuit vers le déjeuner qui a lieu aux environs de 11h00. Ensuite, les heures sont trop chaudes et le village s’endort pour une sieste réparatrice. Emmanuelle se hâte à retirer son pantalon et son chemisier épais, car elle a bien compris que cette tenue n’est pas adaptée à la chaleur ambiante. Le jour où elle a pris la décision de porter ce genre de tenue, elle a très vite déchanté en souffrant de la chaleur presque insupportable qui règne dans le cabinet. Elle s’est très vite rendue dans sa chambre pour ôter les vêtements superflus et se retrouver en sous-vêtements sous sa blouse de praticienne.
Elle ne porte pantalon et chemisier que lorsqu’elle sort du dispensaire pour aller prendre ses repas chez le vieux chef, mais, dès qu’elle rentre dans sa chambre, elle retire tout pour se retrouver en sous-vêtements. Il est l’heure de la sieste et Emmanuelle se retrouve sous son léger drap en string en dentelle rouge, car elle a décidé de retirer son soutien-gorge pour sentir les pointes de ses seins se frotter contre le doux tissu de son drap. En vérité, elle attend le retour de ses étudiantes en faisant semblant de dormir, car elle sait que ces deux cochonnes ne manquent pas de se caresser mutuellement avant de dormir un peu. Depuis la séance du premier soir, Emmanuelle attend avec impatience d’épier ses étudiantes en se remémorant les mots de Gabrielle : « Ce serait bien, elle pourrait venir nous lécher la chatte ! Depuis le temps que je fantasme sur son corps parfait de femme mûre ! »
A chaque fois qu’elle s’allonge, elle pense à ces mots en fermant les yeux et elle se voit en train de lécher la chatte de ses deux étudiantes. Emmanuelle ne se prive pas de se caresser en silence quand les deux jeunes femmes se font du bien alors qu’elles pensent que leur prof dort. Immanquablement, les pensées d’Emmanuelle glissent vers Mbemba et le prêtre. Elle se revoit encore avec leurs deux mains sur sa chatte et elle se met à mouiller abondamment et se met trois doigts dans le con avant de jouir en étouffant ses gémissements dans son oreiller.
Emmanuelle tente de chasser ces pensées de son esprit dans l’espoir de s’endormir, mais ses seins se sont durcis et le frottement du drap sur ses tétons sensibles la met en émoi. Une fois de plus, elle sent sa chatte se liquéfier et elle espère que ses internes vont vite venir se mettre au lit pour se faire jouir en les entendant se faire l’amour. Soudain, elle entend des éclats de voix. Enfin ! Ces petites salopes d’étudiantes vont venir animer sa sieste. Cependant, Emmanuelle entend une voix inhabituelle à cette heure de la journée. Elle tend l’oreille et reconnait la voix de Fadima. Les trois femmes entrent dans la chambre et la femme du chef s’approche de son lit. Elle la bouscule doucement afin de la réveiller. Emmanuelle feint le réveil précipité et s’étonne de voir la femme du chef dans sa chambre.
— Fadima ! Mais que faites-vous ici ? demande Emmanuelle dans un demi-sommeil de cinéma.— Emmanuelle, tu dois me suivre. Le conseil s’est réuni et les membres demandent à te voir immédiatement !— Je m’habille et j’arrive ! Allez m’attendre dehors ! annonce Emmanuelle en feignant un bâillement.— Non, ça ne peut pas attendre, le conseil n’aime pas attendre !! Tiens, prends ta blouse et suis-moi !! déclare solennellement Fadima.— Très bien, mais je ne sais même pas où se trouve le conseil !! répond Emmanuelle, soudain affolée.— Passe ta blouse et je vais t’y conduire !! Vite, je te rappelle qu’ils n’aiment pas attendre !!
Sans réfléchir, Emmanuelle s’extirpe de ses draps et se présente devant ses étudiantes et Fadima en string et seins nus. Elle n’a pas le temps de voir le regard envieux que lui jette Gabrielle et s’empresse d’enfiler sa blouse pour suivre la femme du chef. Les deux femmes traversent rapidement le village, car Fadima ne laisse pas le temps à Emmanuelle de réfléchir. Elle la tire par le bras et l’entraîne devant un bâtiment à l’autre bout du village. Elle pousse la porte du bâtiment et entraîne Emmanuelle à l’intérieur. Après avoir habitué ses yeux à la pénombre ambiante, Emmanuelle découvre Mbemba assis sur un grand siège. Oumar, le sorcier, et Salim, le plus ancien après eux, siègent à ses côtés. Assane et Bakari sont postés de part et d’autre de la porte. Emmanuelle a à peine fait connaissance des lieux que le vieux chef prend la parole.
— Je te remercie pour ta diligence, Fadima ! Tu peux maintenant te retirer, nous devons nous entretenir avec le docteur ! Tout ceci a été déclaré sur un ton qui ne supporte pas la répartie et Fadima s’efface vivement en refermant la porte derrière elle.— Docteur, vous vous êtes rendue coupable d’insoumission !! déclare solennellement Mbemba dès que la porte s’est refermée.— Mais... je ... mais !!! bredouille Emmanuelle.— Il est inutile de nier !! Vous avez tout fait pour vous soustraire à mon autorité ces trois derniers jours et après en avoir longuement discuté avec le conseil, nous avons jugé que vous deviez être punie !!— Mais... mais, comment ? Pourquoi ? Qu’ai-je fait ? s’indigne Emmanuelle.— Il n’est plus temps de vous poser des questions, vous auriez dû vous les poser avant, docteur !! annonce Mbemba d’une voix glaciale.— Qu’allez-vous faire de moi, chef ? demande Emmanuelle d’une voix étranglée.— Je vais te donner vingt coups de cravache pour t’apprendre à ne pas te dérober quand je veux t’avoir près de moi.
Emmanuelle commence à comprendre. Elle a irrité le vieux chef en ne souhaitant pas se soumettre à ses demandes de se rapprocher de lui et maintenant elle va en payer le prix. Assane et Bakari se sont rapprochés et la saisissent par les bras pour la faire mettre à genoux. Elle tente de résister, mais les nonagénaires sont dotés d’une force qu’elle n’aurait pu soupçonner. Rapidement, Emmanuelle se retrouve à genoux et Assane la maintient par les cheveux pour qu’elle regarde leur chef.
— Maintenant, à poil petite chienne allumeuse !! annonce Mbemba.— Non, je vous en supplie !! s’écrie Emmanuelle.
Elle ne comprend pas ce qui se passe, mais cette soudaine autorité la plonge dans une sorte de transe qu’elle n’avait jamais ressentie au cours de toute son existence. Emmanuelle ressent une sensation nouvelle dans son ventre. Malgré une étrange sensation de nœud dans l’estomac, elle sent sa chatte s’inonder et une irrépressible envie d’obéir à ce mâle autoritaire. Comme dans un rêve, elle se voit ouvrir sa blouse et la retirer de façon sensuelle. Elle a envie de plaire à ce mâle qui veut lui donner une correction. Peut-être que son subconscient la pousse à faire ce genre de geste dans le fol espoir de limiter la punition. Elle fait lentement glisser son string le long de ses cuisses pour l’amener sur ses genoux et se dresse pour présenter ses seins et sa chatte épilée à son bourreau. Sur un geste de Mbemba, Assane et Bakari lui plaquent les épaules au sol.
Emmanuelle prend conscience que, dans cette position, elle a le cul bien en l’air et qu’elle offre une vue imprenable sur ses orifices. Malgré la peur de la sentence qui l’attend, elle sent sa chatte se liquéfier et se surprend à attendre le premier coup. Mbemba se saisit de sa cravache et se place derrière elle. Emmanuelle sait qu’il peut admirer sa chatte et sa petite rondelle bien offertes. Elle se sent humiliée, mais son ventre va à l’encontre de ses pensées et elle se surprend à attendre le premier coup sur ses fesses. Elle a envie de se soumettre à cet homme qui pourrait être son grand-père. Elle ne sait pas pourquoi, mais elle veut que ce mâle la traite comme une pute désobéissante. La petite bourgeoise universitaire attend maintenant sa punition avec impatience et souhaite ardemment sentir la cravache lui cingler les fesses. Mbemba lui caresse les fesses avec douceur. Emmanuelle se met à ronronner comme une chatte en chaleur au moment où le premier coup tombe.
Le coup a été rude et Emmanuelle pousse un cri strident. Un deuxième coup tombe sur ses fesses et elle pousse un deuxième cri. Mbemba tend la cravache à son sorcier avant de se placer devant Emmanuelle.
— Oumar, tu vas prendre ma place et lui donner les coups de cravache. Je vais devoir la faire taire, sinon elle va réveiller tout le village cette petite pute blanche !!
Mbemba se place face à Emmanuelle et retire prestement sa djellaba pour se retrouver nu face à elle. Elle découvre juste devant son visage une queue monstrueuse qui mesure au moins 35 centimètres de long et a un diamètre de 7 bons centimètres. Emmanuelle n’a jamais vu un tel membre et commence à prendre peur rien qu’à cette vue. Mbemba ne lui laisse pas le temps de réagir plus, d’une main, il la saisit par les cheveux et de l’autre il maintient son membre devant ses lèvres. Emmanuelle serre les lèvres, mais, sur un signe du vieux chef, Oumar fait claquer la cravache sur ses fesses. Elle ouvre la bouche dans un grand cri et Mbemba en profite pour introduire sa queue dans la bouche offerte. Il tient maintenant Emmanuelle des deux mains par les cheveux et lui force la bouche avec son énorme chibre. La queue entre de plus en plus loin dans la bouche de la dentiste universitaire alors que les coups de cravache continuent à pleuvoir sur ses fesses.
Emmanuelle se sent totalement avilie, mais, étrangement, elle sent sa chatte s’inonder et ses fesses se tendent vers les coups de cravache. Malgré la grosseur du membre qui lui remplit la bouche, elle se surprend à vouloir faire plaisir au vieux chef et sa bouche ne tarde pas à s’assouplir pour laisser le gros mandrin glisser entre ses lèvres. Très vite, l’énorme gland vient frapper contre sa glotte et, alors qu’elle déglutit pour reprendre son souffle, Emmanuelle sent la tête de cette grosse queue forcer ce dernier barrage et se frayer un chemin dans sa gorge. Elle a un haut-le-cœur et se met à saliver abondamment. Jamais un homme n’a eu l’audace d’une telle pratique avec elle. Cette action de Mbemba dans sa bouche conjuguée aux coups de cravache sur son cul affole les sens d’Emmanuelle. Pour limiter les nausées, elle s’efforce à respirer profondément par le nez et finit par s’habituer à ce corps étranger dans sa gorge.
Elle bascule lentement vers une soumission qui ne l’avait jamais effleurée. Elle aime sentir les coups sur son cul alors qu’elle offre sa gorge au maître des lieux. Elle se sent chienne et n’a jamais été autant excitée de toute sa vie. Elle veut plaire à cet homme, quitte à devenir sa pute soumise et obéir à tout ce qu’il lui demande. Mbemba fait de lents va-et-vient dans sa bouche et s’enfonce toujours un peu plus jusqu’à ce qu’Emmanuelle sente les poils pubiens de l’homme sur son nez. C’est le moment où les coups cessent sur ses fesses et Mbemba se retire de la bouche accueillante. Emmanuelle reprend son souffle et se laisse retomber sur le sol. Mbemba n’a pas l’intention d’interrompre son dressage et demande aux membres du conseil de la placer sur la table qui se trouve sur un côté de la pièce. Emmanuelle se laisse manipuler, encore épuisée par cette séance de gorge profonde qui l’a laissée pantelante. Mbemba s’approche avec une corde et commence à lui lier les poignets.
Il demande ensuite à ses conseillers de lui soulever les jambes qu’il va lier avec les poignets au-dessus du ventre d’Emmanuelle. Il termine son bondage en tirant sur la corde vers la tête de la dentiste pour terminer son lien autour de son cou. Emmanuelle est sortie de sa torpeur et sait que dans cette position, elle offre une vue parfaite sur sa chatte et son petit œillet.
— Maintenant, nous allons te baiser ma petite esclave blanche !! annonce Mbemba.— Non, je vous en prie, chef !! Pas ça !! répond Emmanuelle sans grande conviction.— Désormais, je ne suis plus le chef pour toi, mais je suis ton maître et tu feras tout ce que je décide !! As-tu bien compris ma petite esclave blanche ?— Non, je vous en supplie, chef !! répond Emmanuelle dans un dernier sursaut de rébellion.— Tu es mon esclave et je suis ton maître !! s’écrie Mbemba en lui donnant une gifle.— Oui, maître ! se résigne Emmanuelle alors qu’une larme coule sur sa joue.— Mes amis, nous allons baiser cette esclave blanche, mais moi seul ai le droit de la faire jouir !!
Sans rien dire, tous les membres du conseil se mettent nus. Dans la périphérie de son regard, Emmanuelle peut juger de la virilité de ses tortionnaires. Sans être aussi gros que leur chef, ils arborent tous des queues d’au moins 25 centimètres et elles sont toutes bien épaisses. Mbemba veut avoir la primeur de ses orifices et il tire Emmanuelle vers le bord de la table. Sans aucun préparatif, il plante son énorme membre dans la chatte de son esclave lui arrachant un cri de surprise. La chatte d’Emmanuelle n’a jamais été habituée à une telle présence, mais son antre est tellement lubrifié par la séance de cravache que la queue coulisse sans problème en elle. Elle se sent écartelée, mais ses chairs épousent parfaitement l’énorme dard et ce sentiment de plénitude l’excite immédiatement. Alors que Mbemba commence ses va-et-vient en elle, les queues des membres du conseil se succèdent dans sa bouche. Oumar a pris l’initiative de lui lécher les seins.
Il finit par se redresser et prend les deux tétons érigés entre ses doigts et les pince fortement. Entre douleur et excitation, Emmanuelle se met à gémir et se surprend à vouloir qu’Oumar lui morde ses pointes de seins bien dressées. Elle a en permanence une queue dans la bouche et ne peut exprimer ses envies, mais le sorcier a sûrement lu dans ses pensées et se penche de nouveau sur sa poitrine pour lui mordre les tétons. Emmanuelle se met à gémir de plus belle, sentant le plaisir monter dans son ventre. Mbemba qui ne veut pas la voir jouir tout de suite se retire de sa chatte et laisse lentement tomber l’excitation de son esclave blanche. Lorsqu’il la juge suffisamment apaisée, il présente son gros dard entre les fesses de son esclave. Emmanuelle sent le gros gland se poser sur sa petite rondelle et elle remue des hanches pour tenter de se dérober à cette introduction. Certes, elle a déjà pratiqué la sodomie, mais jamais avec un aussi gros engin.
Mbemba a compris sa réticence et lui enduit la rondelle d’un onguent avant de présenter à nouveau son gland à l’entrée du petit orifice. Il saisit Emmanuelle par les cuisses et pousse son bassin vers l’avant pour s’introduire dans le petit cul de sa proie. Elle sent son œillet s’élargir, mais, étrangement, elle ne ressent aucune douleur. Comment est-ce possible ? Emmanuelle se le demande alors que l’énorme membre entre sans résistance tout au fond de son cul. Au bout d’une minute, elle sent les couilles de son maître taper contre ses fesses. Elle a les 35 centimètres de chaire au fond de son cul et ne ressent aucune douleur. D’abord lentement, Mbemba se met à remuer dans son fondement puis il accélère le rythme arrachant des soupirs à son esclave. Emmanuelle a l’impression de se faire prendre par l’âne qu’elle voyait dans le champ près de la maison de campagne de ses parents lorsqu’elle était adolescente.
A plusieurs reprises, elle avait vu l’animal en érection et avait été fascinée par un membre d’une telle dimension. Combien de fois avait-elle été remplie de honte après s’être masturbée en pensant à la queue de l’animal ! En sentant cette grosse queue en elle, Emmanuelle ferme les yeux et s’imagine dans le champ sous l’animal qui lui prend le cul. Les images défilent dans sa tête et elle sent le plaisir monter de nouveau dans son ventre, elle se met à gémir sans retenue, une queue toujours en bouche.
— Elle te plaît ma queue, ma petite esclave blanche ? lui demande Mbemba.— Hummm... oui !! Elle est bonne... hummm !! répond Emmanuelle en lâchant la queue qu’elle a dans la bouche avant de la reprendre aussi vite.
Mbemba sent qu’elle va jouir et se retire de son cul. Il veut exciter la dentiste au maximum avant de lui offrir la jouissance. Il est le maître et c’est lui qui décide quand elle peut atteindre l’orgasme ou non. Les queues se succèdent dans sa chatte et dans son cul et dès que l’orgasme commence à monter en elle, tout s’arrête. Emmanuelle va de frustration en frustration et ses nerfs son à vif tant elle veut ressentir l’orgasme libérateur. Après une bonne heure de ce traitement, Mbemba reprend la main et introduit sa queue dans la chatte en feu d’Emmanuelle. Après quelques va-et-vient dans la vulve de son esclave, il se met à gicler en elle, lui déclenchant un terrible orgasme. Emmanuelle met plusieurs minutes à se remettre de ce violent orgasme si longtemps interdit par son maître. Mbemba en profite pour la libérer de ses liens et lorsqu’il la sent assez solide, il la remet sur pied.
Il lui demande de remettre sa blouse avant de lui tendre un collier en cuir muni d’un anneau qui ressemble à s’y méprendre à un collier pour chien.
— A partir de maintenant, tu porteras en permanence ce collier. Il sera la marque de ta soumission à mon égard et te rappellera qui est ton maître. Je veux te voir le placer toi-même sur ton cou afin de me prouver que tu veux m’obéir sans retenue.— Oui, maître ! dit Emmanuelle en se saisissant du collier pour le placer sur son cou.— Maintenant, tu peux repartir au dispensaire ! annonce Mbemba avant de se retourner.
Emmanuelle ne demande rien, en bonne soumise, et sort de la salle du conseil pour regagner le dispensaire. Tout en marchant, elle touche des doigts le collier accroché à son cou qui lui rappelle déjà qu’elle appartient au vieux chef. Ce qu’elle ne sait pas, c’est que Fadima la regarde traverser le village. La femme du chef après avoir quitté la salle du conseil s’est rendue au poste d’observation qu’elle s’est ménagé à l’arrière du bâtiment. Son mari ne le sait pas, mais elle est très curieuse. Depuis longtemps, Fadima observe en secret ce qui se passe au conseil. Elle a assisté à toute la scène, une main entre les cuisses et s’est fait jouir bien avant qu’Emmanuelle ne soit libérée par son orgasme tant attendu. Fadima est déjà très complice avec les étudiantes d’Emmanuelle et se demande déjà si elle va leur révéler la vraie nature de leur professeure.
A SUIVRELe soir venu, Emmanuelle rejoint le carré du vieux chef, accompagnée de ses deux internes pour y prendre leur repas. Un simple regard de Mbemba lui impose de venir s’asseoir près de lui. Emmanuelle s’approche de son maître la tête baissée et prend place près de lui sans dire un mot. Les trois femmes du chef ont remarqué le collier qu’elle porte et savent très bien ce que cela signifie. Chacune d’elle a porté ce genre de collier à un moment de leur vie. A chaque fois que le chef a choisi une femme, il l’a parée d’un tel collier pour faire comprendre au reste de la population que la porteuse était sa propriété. Le collier reste en place tant que la femme n’est pas devenue l’épouse officielle du chef. Mis à part Gabrielle et Marie, personne n’est surpris de voir Emmanuelle se rapprocher du maître des lieux. A peine est-elle installée qu’Emmanuelle sent la main du chef se poser sur sa cuisse. Emmanuelle a abandonné ses pantalons pour se présenter en robe devant son maître.
La main remonte le bas de sa robe et se glisse lentement entre ses cuisses. En bonne soumise, elle ouvre les cuisses et laisse son maître explorer son entrejambe de la main. Très vite, les doigts experts atteignent la lisière de sa culotte en dentelle et écartent la fine étoffe pour glisser sur ses lèvres déjà humides et gonflées par le désir. Les doigts atteignent son petit bouton et le caressent lentement avec une grande efficacité. Emmanuelle doit faire un effort surhumain de concentration pour ne pas se mettre à gémir. Gabrielle et Marie l’observent et ne peuvent que trop bien deviner ce qui se passe sous la table. La dentiste se sent humiliée d’être ainsi traitée devant ses propres internes, mais le spectacle qu’elle leur offre l’excite bizarrement et elle se surprend à penser qu’elle aimerait que son maître la prenne là, devant elles. Mbemba retire sa main juste avant que le plaisir ne monte et il laisse Emmanuelle frustrée et avide de sexe.
Fadima est la seule personne autour de la table à ne pas avoir apprécié le spectacle. Jalouse, elle sent que cette petite pute blonde est en train de prendre sa place de favorite auprès du vieux chef. Elle va assurément se venger et va conduire cette salope vers la clairière aux singes. Une colonie de chimpanzés s’est installée il y a près d’un an dans la forêt qui s’étend à l’ouest du village. Il s’agit d’une troupe de singes qui a dû émigrer depuis le parc du Niokolo-Koba qui constitue l’une des plus grandes réserves animalières du Sénégal. La clairière à laquelle pense Fadima est un endroit défendu pour les habitants du village. En effet, trois mâles chimpanzés y règnent en maître et ils sautent sur toutes les femelles qui s’en approchent. Cette clairière a été interdite par Mbemba après que trois femmes se soient fait violer par ces trois mâles en rut qui semblent avoir fait des humaines leur proie favorite.
Dès qu’elle va le pouvoir, Fadima va braver cet interdit pour conduire sa rivale dans ce lieu maudit. Elle va parler de son projet à ses nouvelles amies, Gabrielle et Marie, et va tout faire pour qu’elles assistent à la saillie de leur professeure. Après le repas, elle attire les deux jeunes femmes à l’écart et leur expose son projet en restant vague sur la nature de ce qui risque de se passer. Elle insiste pour qu’au moment venu, Gabrielle se munisse de son caméscope pour filmer cette rencontre inattendue. Elle leur dit qu’elle attirera Emmanuelle dès que possible vers la clairière et qu’il faudra qu’elles se tiennent prêtes à les suivre discrètement. Les deux jeunes internes sont enthousiastes et c’est avec plaisir qu’elles concluent un pacte avec la femme du vieux chef.
Dès le lendemain, il n’y a pas foule au dispensaire et après avoir vu deux patients en début de matinée, le cabinet est vide. Il est environ neuf heures du matin lorsque Fadima qui était venue aider, comme tous les jours, propose à Emmanuelle d’aller faire un tour dans les environs du village. Après une brève hésitation, elle accepte tout en demandant à ses étudiantes de mettre de l’ordre dans le cabinet. Elle veut être un peu seule avec la femme du chef et n’a trouvé que ce prétexte pour les maintenir loin d’elles. Fadima jette un regard entendu aux deux jeunes femmes. Elle jubile, car le piège se referme plus vite que prévu sur sa rivale. Emmanuelle demande quelques minutes à Fadima pour se changer, car elle est simplement vêtue d’une robe légère. Cette dernière lui affirme que sa tenue est acceptable pour la petite balade qu’elle lui propose et Emmanuelle la suit sans poser plus de questions. Fadima conduit Emmanuelle hors du village et prend la direction de la forêt.
Elle se retourne fréquemment pour s’assurer que ses complices les suivent. Tout en marchant, elle explique à Emmanuelle que dans ce coin, des chimpanzés ont élu domicile, et que si elles ont un peu de chance, elles risquent d’en apercevoir un ou deux. Emmanuelle est ravie par cette bonne nouvelle et suit Fadima avec entrain. Les deux femmes pénètrent dans la forêt et marche un petit moment sous la frondaison avant d’atteindre une petite clairière. Fadima a un petit sourire en pensant à ce qu’elles vont y trouver. Elle sait que dans les hauteurs des grands arbres vivent des mâles qui ont déjà goûté à la femelle humaine. Dans ces groupes de grands primates, seul le mâle dominant a le droit de saillir les femelles, cependant, il n’empêche que les autres mâles tentent leur chance lorsqu’ils voient passer à leur portée une femelle qui n’est pas du groupe. Fadima espère en secret que les mâles seront au rendez-vous et que sa rivale va devoir subir leurs assauts bestiaux.
Lorsque les deux femmes pénètrent dans la clairière, elles s’arrêtent net. Au beau milieu de la clairière, deux femelles chimpanzé se tiennent là entourées par plusieurs petits. Après quelques minutes d’observation, Emmanuelle tente une approche malgré les protestations de Fadima. Fascinée, elle s’accroupit et deux petits curieux viennent jouer près d’elle. Petit à petit, le petit groupe de primates s’approche d’elle jusqu’à la toucher. Fadima est restée en retrait et regarde la scène avec étonnement. Soudain, femelles et petits se mettent à courir dans tous les sens et grimpent très vite au premier arbre à leur portée. Un grand mâle vient de se laisser tomber de la frondaison à quelques pas d’Emmanuelle entre elle et Fadima. Lentement, cette dernière s’éclipse et va rejoindre les deux internes qui viennent de se poster derrière un tronc d’arbre couché au sol.
Emmanuelle se retourne et découvre ce qui a fait fuir toute la petite famille de chimpanzés. Face à elle, un mâle se tient debout et avance vers elle. Elle ne peut douter du sexe du primate, car il arbore un énorme chibre bien tendu vers son ventre. Soudain prise de panique, Emmanuelle regarde en tout sens à la recherche de Fadima, mais cette dernière n’apparaît pas dans son champ de vision. Elle a dû prendre peur et s’enfuir en voyant ce mâle tomber près d’elles, se dit Emmanuelle. Sans se précipiter, elle recule doucement en cherchant à s’éloigner du mâle qui semble vouloir jouer avec elle. A sa grande surprise, l’animal n’avance pas vers elle et Emmanuelle pense qu’elle va pouvoir se sortir de ce mauvais pas lorsqu’elle entend un bruit sourd dans son dos. Elle tourne brièvement la tête et découvre derrière elle un autre mâle qui arbore une queue tout aussi tendue que celle de son congénère. Elle se sent prise au piège et, sans réfléchir, se met à courir pour échapper aux deux mâles.
Emmanuelle court vers la frondaison et se sent presque sauvée lorsqu’un troisième animal atterrit près d’elle et la fait tomber sur le sol moelleux de la clairière. Lorsqu’elle redresse la tête, elle constate que le chimpanzé qui vient de la plaquer au sol est plus grand que les deux autres. Il arbore aussi un sexe turgescent encore plus gros que ceux de ses congénères. Le grand mâle vient de se poser sur ses quatre membres et il s’approche d’Emmanuelle pour la renifler. La dentiste est complètement tétanisée de sentir l’animal se rapprocher inexorablement d’elle.
Dans sa course éperdue, Emmanuelle s’est rapprochée du trio qui se cache derrière un tronc et les trois femmes sont aux premières loges pour le spectacle qui va suivre. Gabrielle saisit son caméscope et commence à filmer la scène en prenant soin de ne pas être vue. Fadima s’est assise derrière Marie et la tient par les hanches tout en observant attentivement ce qui se passe à quelques mètres d’elles.
Le grand mâle se penche sur Emmanuelle et commence à la renifler. Il semble attiré par son entrejambe et très vite ses narines s’approchent de son mont de Vénus que sa robe dissimule à peine après la chute. Elle n’ose pas bouger sous l’imposante présence du chimpanzé et remarque que les deux autres mâles se rapprochent lentement, semblant chercher l’approbation de leur congénère. Soudain, la grosse main velue du grand mâle se pose sur son entrejambe et, d’instinct, Emmanuelle resserre ses jambes. Les deux autres mâles se sont maintenant suffisamment rapprochés pour pouvoir la toucher. Emmanuelle est morte de peur et ferme les yeux dans l’espoir de voir disparaître les chimpanzés qui l’entourent. Elle sent alors une main se poser sur ses seins nus sous le tissu léger de sa robe alors qu’une autre main lui caresse les cheveux. Comme dans un rêve, elle sent ses tétons se durcir et ses aréoles se creuser lentement. Ce signe, Emmanuelle le connaît bien.
Il est la confirmation d’une excitation naissante et elle se demande un instant comment elle peut avoir une telle réaction entourée de ces trois grands primates. Cependant, la main qui glissait jusqu’à maintenant sur son mont de Vénus vient de descendre et soulève le bas de sa robe avant d’atteindre la fine dentelle de son string. Avant qu’elle ait le temps de réagir, la main puissante arrache le fin tissu et Emmanuelle sent le souffle animal sur sa chatte. Les images de sa convocation au conseil des anciens défilent dans sa tête et elle sent sa chatte s’humidifier alors qu’un gros doigt glisse sur sa fente. Comment peut-elle ressentir une telle excitation entourée de ces trois animaux qui lui caressent maintenant tout le corps ? Elle sent le souffle chaud du grand mâle sur sa chatte et devine que ses effluves intimes l’attirent au plus haut point. L’animal tente d’écarter ses jambes serrées et elle a soudain peur qu’il ne lui fasse du mal pour arriver à ses fins.
Elle écarte donc lentement ses cuisses et très vite elle sent la langue du mâle en rut lui lécher le sexe. Le chimpanzé se place entre ses cuisses et les écarte largement de ses mains puissantes. Même si elle le voulait, Emmanuelle ne peut résister à une telle force et se laisse manipuler par les mains velues. Le singe s’est installé entre ses cuisses et se met à lui lécher la chatte alors qu’une main se fait plus pressante sur sa poitrine. Toujours les yeux fermés, Emmanuelle s’imagine avec Mbemba et les membres du conseil et elle se détend sous les caresses incessantes des primates. Lentement, elle porte ses mains vers les boutons qui ferment sa robe et les défait un à un afin de dénuder sa poitrine. Elle veut sentir cette main qui la caresse directement sur sa peau et prendre possession de ses tétons si sensibles aux attouchements. La main se pose sur la peau nue de ses seins et, très vite, une langue vient lui lécher un téton.
Emmanuelle n’est plus qu’une femelle en chaleur prête à se faire saillir quand bien même ce serait par ces trois bêtes sauvages. Elle se laisse emporter par sa libido et encourage les trois mâles en rut :
— Hummm, oui !! Oui vos langues... hummm !!— Oh... oui !! fais-la entrer dans ma chatte... humm !!— Mange-moi les seins... oh oui encore... hummm !!!!— Elle vous plaît votre nouvelle guenon en chaleur ? Oh, oui... oui c’est bon !!
La main qui lui caressait la tête vient de saisir ses cheveux et les tire avec rudesse. Surprise, Emmanuelle ouvre les yeux et découvre au niveau de son visage un sexe turgescent. Elle comprend les intentions du mâle et ne peut que se rendre à l’évidence : elle va devoir sucer la grosse queue du primate pour assouvir ses envies. Dans un réflexe d’humanité, elle répugne à prendre ce sexe animal en bouche et pince les lèvres lorsque le gland du sexe tendu s’approche de sa bouche. Cependant, un grognement appuyé et une pression plus forte sur sa tête la font plier et Emmanuelle doit se résoudre à ouvrir la bouche. La grosse queue entre et plonge vers le fond de sa gorge. Elle porte très vite sa main droite sur la grosse queue afin de limiter son amplitude dans sa bouche. Emmanuelle ferme à nouveau les yeux et se met à sucer lentement le sexe animal. Elle en trouve la peau étrangement douce et se surprend à apprécier la texture de ce sexe animal dans sa bouche.
De son autre main, elle cherche la queue du singe qui lui lèche les seins et se met à le branler lentement tout en suçant l’autre mâle.Les trois femmes cachées derrière leur tronc d’arbre couché n’en croient pas leurs yeux. Elles ont vu la dentiste résister un cours instant pour finalement se laisser glisser vers la luxure. Elles ont vu cette salope ouvrir sa robe pour se retrouver à moitié nue au milieu des trois mâles en rut. Gabrielle se concentre pour filmer la scène même si le fait de voir sa professeure se laisser manipuler par des animaux en rut l’excite. De son côté, Fadima a glissé une main dans le chemiser de Marie et caresse ses petits seins alors que son autre main est passée de la hanche à l’entrejambe de la jeune interne. Elle soupire sous les caresses appuyées de la femme du vieux chef tout en regardant avec avidité la scène qui se déroule sous ses yeux. Tout en continuant à filmer, Gabrielle se rapproche de Marie et lui prend sa main droite pour la placer entre ses cuisses. Marie connaît bien sa compagne et, très vite, ses doigts se glissent vers sa fente dépourvue de culotte.
Elle l’entend gémir lorsque son majeur pénètre dans sa grotte trempée d’excitation.Les gémissements d’Emmanuelle sont étouffés par la queue qui lui pénètre maintenant la bouche. Sa main droite a glissé sur les couilles du mâle qu’elle suce et elle les malaxe doucement en laissant le mâle investir sa bouche à sa guise. La queue entre de plus en plus loin dans sa gorge, mais elle est beaucoup moins imposante que celle de Mbemba. Emmanuelle finit par accepter ce membre en gorge profonde et son menton vient se frotter aux couilles du chimpanzé. Les lèvres et la langue animales s’activent toujours sur ses seins quand elle sent le grand mâle remuer entre ses jambes. Avant qu’elle ait le temps de réagir, elle le sent lui saisir les jambes et les remonter vers sa poitrine avant de plonger son sexe tout au fond de sa chatte inondée de mouille. Les deux autres mâles se sont écartés pour laisser place à celui qui semble être leur chef. Emmanuelle reçoit cette offrande avec bonheur et crie pour exprimer son plaisir :
— Ah... oh... ouiiii !! Prends bien la chatte de ta guenon !!!— Hummm... ouiiii !!! Vas-y... tout au fond !!! Hummmm !!!
Emmanuelle ne se reconnait pas, mais elle apprécie ce rapport animal et bestial. Elle avait un jour été tentée de se faire prendre par son chien alors qu’elle était seule dans sa maison de campagne dans le sud-est de la France. Prise par une énorme envie de baise, elle avait laissé l’animal lui lécher la chatte, mais n’avait pu se résoudre à se laisser saillir par son Braque de Weimar. Elle y est enfin et se laisse prendre par un animal qui a une force supérieure à un homme et qui la prend avec vigueur. Elle ne peut retenir son excitation et exprime son bonheur sans retenue :
— Oh ouiii, mon beau mâle !! Défonce ta salope de guenon !! Prends-moi fort... ouiiiii !!
Derrière leur tronc d’arbre, les trois spectatrices sont excitées par le spectacle. Fadima et Marie ne tardent pas à se retrouver en 69 et se mangent mutuellement la chatte en écoutant Emmanuelle crier son bonheur. Gabrielle continue à filmer et s’astiquant la chatte de deux doigts sans perdre une seconde de ce qu’elle filme.
Soudain, le grand mâle saisit Emmanuelle de ses quatre membres et la retourne pour qu’elle se retrouve au-dessus de lui. Emmanuelle place ses mains de part et d’autre de la tête de l’animal et se met à le chevaucher afin de faire aller toute la longueur de sa queue dans sa chatte. Le chimpanzé qui lui avait mis sa queue en bouche jusque-là passe derrière elle et se met à lui lécher la rondelle. Se pourrait-il que ces trois mâles en rut aient envie de la prendre de concert ? Emmanuelle repense à sa visite au conseil des anciens et se surprend à vouloir sentir ces queues animales dans ses orifices. Le mâle inoccupé se trouve près d’elle et Emmanuelle se penche vers lui pour prendre sa queue en bouche. Le chimpanzé se rapproche et lui attrape les cheveux pour plonger sa bite au fond de sa bouche. Avide de se faire saillir par les bêtes qui l’entourent, elle laisse le chibre glisser au fond de sa gorge et s’active sur les deux membres qui la pénètrent.
Emmanuelle n’est plus qu’une femelle en chaleur qui veut prendre sa ration de queue et jouir comme une bonne salope. La langue qui lui léchait le cul n’est plus présente et Emmanuelle sent des mains velues se poser sur ses hanches. Elle sent un gland se poser sur ses fesses et, voulant sentir cette queue s’enfoncer en elle, elle projette sa main droite vers ses fesses et les écarte pour faciliter la pénétration. L’animal donne un grand coup de reins et plonge sa queue au plus profond du rectum de la dentiste. Le cri de surprise d’Emmanuelle est étouffé par la queue qui lui encombre la gorge, mais, très vite, elle se délecte de cette triple saillie animale. Jusque-là plutôt inactive, elle se met à bouger et à aller à la rencontre des queues qui la pénètrent. Elle s’active maintenant sans retenue et se livre aux trois mâles en rut avec une terrible envie de jouir.
C’est le mâle qui lui prend la bouche qui cède le premier et qui jouit tout au fond de sa gorge à grandes saccades de sperme chaud et fourni. Emmanuelle avale le foutre en continuant à remuer des hanches pour mieux sentir les queues qui lui emplissent la chatte et le cul.
— Ouiiii, c’est trop bon !! Défoncez votre femelle en chaleur !!— Hummm !! Encore... oui je veux votre jus en moi, mes beaux mâles !!— Faites-moi jouir mes affreux amants avec vos bonnes bites de singe en rut... hummm !!!
Les mâles se déchaînent sur le corps d’Emmanuelle et prennent ses orifices offerts sans ménagement. Ils s’activent bestialement et plus ils sont violents, plus elle aime ce qui se passe en elle. Elle veut qu’ils la prennent comme une poupée sexuelle et qu’ils la fassent jouir comme une chienne en chaleur. Au bout de quelques minutes, Emmanuelle part dans un violent orgasme en sentant les deux primates se vider dans sa chatte et dans son cul. Elle hurle sa jouissance sans se soucier de qui pourrait l’entendre :
— Ahh... ouiii... c’est bon !!— Remplissez-moi !!! Hummm... je jouiiiiis !!
Juste après s’être vidé les couilles en elle, les deux singes sortent d’elle et la laissent en plan au beau milieu de la clairière. Emmanuelle reste là, étendue sur le sol souple de la clairière. Elle ferme les yeux et savoure ce moment de sexe bestial qui la laisse totalement pantelante. Elle ne reprend connaissance que lorsque Fadima se penche sur elle pour demander comment elle va. La femme du vieux chef a profité du moment d’accalmie pour renvoyer les deux internes vers le village avant de rejoindre la dentiste dans la clairière.
— Emmanuelle ! Dis-moi que tout va bien ! dit Fadima sur un air faussement inquiet.— Fadima !! Tu étais là ? répond Emmanuelle dans un souffle.— Oui, j’ai pris peur, mais je me suis cachée, ment Fadima.— Ne me dis pas que tu as tout vu !! s’écrie Emmanuelle, complètement affolée.— J’ai tout vu, mais rien n’est de ta faute, tu n’y peux rien Emmanuelle !— Mon Dieu, promets-moi de ne pas en parler !! J’ai tellement honte !! pleurniche Emmanuelle.— Tout ça restera entre nous ! promet Fadima en aidant la dentiste à se réajuster.
Emmanuelle ramasse les vestiges de son string en dentelle et se laisse guider par Fadima vers le village. Elle est affolée par le fait que cette dernière ait tout vu de sa débauche animale, mais elle sait que c’est une femme de parole et qu’elle ne racontera rien à personne.
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