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Déchéance africaine

Chapitre 3

soumission aux étudiantes

SM / Fétichisme
Fadima raccompagne Emmanuelle jusqu’au dispensaire. Cette dernière découvre ses deux internes en plein travail d’inventaire et elle leur lance sans même les regarder qu’elle file se laver avant le repas. Elle les entend ricaner entre elles, mais ne fait pas attention à ce qu’elles peuvent bien se dire. Le reste de la journée se passe sans heurt et les pensées d’Emmanuelle vont souvent vers cette clairière qu’elle a visitée dans la matinée. Le souvenir de ces énormes queues animales la hante et elle se revoit prise par tous ses orifices comme une vulgaire guenon en chaleur. Toutes ces pensées contribuent à maintenir une chaleur moite dans sa chatte et elle passe régulièrement ses doigts sur sa fente à l’abri des regards de ses étudiantes.
Le soir venu, Emmanuelle est encore toute retournée par cette séance de sexe avec les trois chimpanzés et décide de ne rien porter sous sa robe légère pour aller prendre le dîner chez le vieux chef. Elle espère que, fidèle à ses habitudes, Mbemba va lui caresser la chatte sous la table. Elle est tellement excitée qu’elle veut s’offrir à son maître en lui facilitant la tâche pour qu’il puisse glisser à volonté ses doigts dans son puits d’amour.
Tout en se rendant chez le vieux chef, Emmanuelle caresse le collier qu’il a posé à son cou et se sent prête à être dressée par son maître. En arrivant à la table de Mbemba, elle va se placer directement à sa gauche alors que Gabrielle et Marie se placent au milieu des femmes. Le repas commence et tout en parlant avec ses convives, le vieux chef pose sa main sur la cuisse de la dentiste. A ce contact, Emmanuelle ouvre grand le compas de ses jambes pour faciliter l’accès vers son sexe à son maître. Ravi, Mbemba se penche vers elle et lui dit doucement à l’oreille :
— Je constate que tu es devenue raisonnable ma petite esclave blanche !!— Oui, maître !! répond-elle tout bas entre ses lèvres.— Je vais te caresser, mais je ne veux pas t’entendre gémir ou même te trémousser sur ton siège !! Compris ?— Bien maître !! dit Emmanuelle, impatiente de sentir cette main sur son sexe.
La main remonte lentement le long de sa cuisse et un doigt vient se poser délicieusement sur sa fente humide d’excitation. Mbemba semble apprécier qu’elle se soit abstenue de porter une quelconque lingerie, et très vite, son doigt remonte entre ses lèvres pour venir titiller son clitoris qui s’est déjà échappé de son capuchon. Cette caresse attendue une bonne partie de la journée la fait presque défaillir et elle a toutes les peines du monde à retenir un gémissement de plaisir.
Emmanuelle tente de se donner une contenance, mais doit admettre que l’exercice est difficile. Elle regarde furtivement ses internes, inquiète de les voir observer le spectacle, mais ces dernières sont bien trop occupées à discuter avec les femmes du chef pour faire attention à elle. Voyant cela, elle se détend et se livre à son maître en ouvrant encore plus les cuisses.
Après avoir caressé lentement son clitoris, le doigt redescend lentement vers sa vulve et se présente à l’entrée de sa chatte. Le doigt entre très vite et se met à coulisser dans le conduit trempé de mouille d’Emmanuelle. A un rythme lent, mais implacable, Mbemba branle la chatte de son esclave blanche et ne tarde pas à y glisser un deuxième doigt. Emmanuelle se mord les lèvres pour ne pas gémir, mais, surtout, elle doit faire un gros effort de concentration pour ne pas remuer son bassin au rythme des doigts qui la pistonnent.
Elle est au supplice de ne pouvoir exprimer son plaisir, mais elle apprécie cette douce torture. Les doigts ressortent enfin de sa chatte et descendent entre ses fesses pour venir humecter sa petite rondelle de sa propre mouille.
Un doigt fait de petits ronds sur son anus qui se détend progressivement. D’une lente poussée, il entre dans son cul et Emmanuelle se mord encore les lèvres pour ne pas crier. Depuis qu’elle a pris la grosse queue de Mbemba dans son fondement, elle aime la sodomie. Emmanuelle s’est toujours pliée de mauvaise grâce à cette pratique, mais avec son maître, c’est différent. Il a réussi à la faire jouir avec son pieu, alors que toutes ses expériences précédentes s’étaient soldées par un manque de plaisir évident. Elle baisse la tête et ferme les yeux tout en résistant à l’envie de porter sa main à sa chatte pour se doigter.
Emmanuelle se revoit dans la clairière aux prises avec les mâles en rut, et très vite, elle ouvre les yeux pour ne pas se mettre à jouir. La sentant au bord de la jouissance, Mbemba retire son doigt et replace sa main sur la table, laissant son esclave avec un fort sentiment de frustration. La petite séance n’a duré que quelques minutes, pas pour Emmanuelle, cela a semblé une éternité. A la fin du repas, le vieux chef demande à Fadima de s’approcher et lui dit :
— Tu vas conduire Emmanuelle dans ta case et tu vas la préparer. Je vous rejoins dans quelques instants.— Bien mon tendre époux, nous vous attendrons.

Fadima prend Emmanuelle par le bras et lui demande de la suivre. Elles entrent dans la case ronde de Fadima faiblement éclairée par une lampe à huile. Le sol est recouvert de tapis et la rustique habitation ne comporte qu’une petite commode rudimentaire et deux grandes paillasses. A peine entrées, la femme du chef annonce à Emmanuelle :
— Déshabille-toi !!— Mais enfin, Fadima, qu’est-ce qui vous prend ? répond Emmanuelle, surprise.— Tu as entendu comme moi, Mbemba veut que je te prépare, alors déshabille-toi !!— Si c’est la volonté du chef, je vais le faire !! rétorque Emmanuelle, un peu décontenancée.
Emmanuelle retire sa robe et comme elle ne porte rien dessous, elle se retrouve nue devant Fadima. Cette dernière lui demande de se mettre à genoux, jambes ouvertes, et s’empare d’une cordelette pour lui lier les mains dans le dos. Emmanuelle se laisse faire, mais s’étonne de ce qui se passe. Pourquoi Fadima l’attache-t-elle ? Le vieux chef aurait-il peur de la voir fuir ? Après ce qui vient de se passer, Emmanuelle n’a aucune envie de fuir son maître, bien au contraire. Elle n’a pas le temps de se poser plus de questions, car le vieux chef vient de faire son apparition dans la case. Il se place devant Emmanuelle et lui prend le menton pour lui faire lever la tête.
— Ma petite esclave, je suis satisfait de ce que je viens de voir !! Penses-tu que je puisse l’être ?— Oui, maître ! répond timidement Emmanuelle.— Donc, je le suis !! dit-il en retirant sa djellaba pour se retrouver nu face à elle.— J’en suis ravie, maître !! annonce Emmanuelle, un peu rassurée. Mais pourquoi suis-je alors attachée ?— Pour que tu te sentes encore plus mon esclave, mais je ne t’ai pas fait venir pour ça. Demain, je pars pour Dakar, car j’ai quelques affaires à régler. Je veux que tu sois sage pendant mon absence et je vais te confier à Fadima. Tu vas porter ceci (il accroche une laisse en cuir tressé au collier d’Emmanuelle) et tu ne pourras sortir que si Fadima te tient en laisse pendant mon absence. Chacun, au village, sait ce que cela signifie et personne ne fera de remarque. Maintenant, je vais te laisser un petit souvenir pour que tu te souviennes de moi pendant mon absence.
Il tire sur la laisse et le visage d’Emmanuelle s’approche de son sexe tendu. Il pose une main sur ses cheveux et elle comprend immédiatement ce qu’il réclame. Emmanuelle ouvre la bouche et laisse l’énorme membre lui pénétrer la bouche. Elle a tellement envie de cette grosse queue qu’elle s’applique à le sucer en totale soumission. Derrière elle, Fadima ne fait pas qu’observer. Elle a glissé une main entre ses cuisses et lui caresse la chatte. Emmanuelle sent ses doigts glisser sur sa fente et caresser doucement son clitoris. Au moment où elle sent deux doigts entrer dans sa chatte, elle pousse un profond gémissement étouffé par la grosse queue qui encombre sa bouche. Avec ses mains liées dans le dos, Emmanuelle se sent offerte et goûte ce moment de soumission qu’elle offre au vieux chef et à son épouse. Les doigts de Fadima sortent de sa chatte et remontent entre ses fesses. Ils sont trempés de sa mouille et Fadima n’a aucun mal à les faire entrer dans son cul.
Sous l’action conjuguée de la queue qui lui emplit la bouche et des doigts qui s’activent dans son cul, Emmanuelle se met à gémir de plus belle. Fadima se colle à elle et la dentiste constate que la femme du chef s’est mise nue et apprécie le contact de la peau satinée sur la sienne. Fadima approche son visage de celui d’Emmanuelle et l’embrasse dans le cou en portant son autre main sur la queue de son mari. Mbemba se retire de la bouche de la dentiste et laisse son épouse lui pomper la queue tout en demandant à Emmanuelle qui gémit maintenant librement :
— Tu aimes ses caresses, ma petite esclave blanche ?— Hummm... oui ... oui... c’est bon ses doigts dans mon cul !! répond Emmanuelle essoufflée.— Elle t’en met combien ?— Deux... hummm... je crois !!!— Tu en veux un autre ?— Hummm, tout ce que vous voulez, maître !!— Elle va te préparer pour me recevoir, ma petite esclave !! Fadima, élargis-lui le cul avec trois doigts, je suis sûr qu’elle veut ma queue dans son petit œillet !!— Hummm oui maître... je suis toute à vous !!
Fadima lâche la queue de son mari et tend ses lèvres à Emmanuelle qui ouvre la bouche et laisse la langue de la femme du chef tournoyer autour de la sienne alors qu’un troisième doigt entre lentement dans son cul. Leur baiser devient fougueux et c’est le souffle coupé qu’Emmanuelle reprend la queue de son maître en bouche. Les doigts de Fadima trouvent rapidement leur place et coulissent maintenant librement dans le boyau culier de la dentiste. Mbemba se laisse sucer quelques minutes et repousse la bouche d’Emmanuelle avant de s’adresser à son épouse.
— Elle est prête, détache-la et mets-toi en position !— Avec plaisir, mon époux !! répond Fadima avec enthousiasme.
Rapidement, les mains d’Emmanuelle sont déliées et Fadima s’allonge pour placer son visage entre les cuisses de la dentiste. Mbemba fait pivoter son esclave et pousse son torse vers l’avant. Emmanuelle n’a que le temps de poser ses mains de part et d’autre du bassin de Fadima et les deux femmes se retrouvent en position de 69. La femme du chef n’a pas attendu et elle s’agrippe aux hanches d’Emmanuelle pour porter sa langue sur sa chatte. Dans la faible lumière que diffuse la lampe à huile, la dentiste a la surprise de se retrouver face à un sexe parfaitement imberbe alors qu’elle avait toujours imaginé que ces femmes dans un monde aussi reculé étaient poilues au possible. Elle apprendra plus tard qu’une bizarrerie génétique confère aux femmes de ce peuple une nudité totale au niveau de leur sexe et de leurs aisselles. Mbemba pousse sur sa nuque et l’oblige à porter son visage vers la chatte de Fadima.
La langue qui s’active déjà sur son clitoris la fait gémir et Emmanuelle ne peut résister au bon vouloir de son maître. Elle s’applique à poser sa langue sur le sexe de la femme du chef et commence à fouiller ses lèvres humides en remontant vers son clitoris.
Emmanuelle n’a jamais pratiqué ce genre d’expérience sexuelle, mais l’odeur enivrante du sexe de Fadima la pousse à dépasser ses limites et elle s’applique à lui lécher la chatte en repensant aux paroles de Gabrielle le soir de leur arrivée : « Ce serait bien, elle pourrait venir nous lécher la chatte ! Depuis le temps que je fantasme sur son corps parfait de femme mûre ». Au souvenir de ces paroles, Emmanuelle s’applique à manger la chatte de Fadima en imaginant qu’elle se délecte de celles de ses internes. Mbemba vient de la saisir par les hanches et il plante son énorme chibre dans la vulve de la dentiste qui pousse un grand râle de plaisir. La langue de Fadima s’active sur son clitoris et, sentant la queue de son maître dans sa chatte, Emmanuelle glisse deux doigts dans la vulve de son épouse, lui arrachant un soupir de satisfaction. La dentiste se lâche et, entre deux coups de langue sur la chatte de sa partenaire, elle encourage son maître :
— Humm... oui maître !! Prenez bien votre petite esclave blanche... hummm !!!— Oui, ouiii, encoreeeee !!— Je vais te la mettre dans le cul ma petite pute blanche !! s’écrie Mbemba.— Ohh... oui... dans mon petit cul d’esclave... maître !!! crie Emmanuelle tant elle le veut dans tous ses orifices.— Je vais t’enculer comme une bonne pute, ma petite esclave blanche !! annonce Mbemba alors qu’il sort déjà sa queue de la chatte de sa soumise.
Des deux mains, il écarte ses fesses et présente son énorme gland sur la rondelle de sa soumise. Emmanuelle a tellement bien été préparée par Fadima que le gros gland n’a pas de mal à se glisser entre les fesses de la dentiste qui serre malgré tout les dents en sentant l’énorme chibre entrer en elle. L’énorme membre entre inexorablement en elle et les couilles du vieux chef ne tardent pas à venir claquer contre le haut de ses cuisses. Pendant quelques dizaines de secondes, il reste planté en elle sans bouger et c’est Emmanuelle qui lance la saillie anale en remuant du bassin. Elle veut le sentir bouger en elle et profiter de cette énorme queue qui lui défonce le cul. Mbemba lui agrippe les hanches et se met à la besogner comme un jeune homme.
— Ohh... oui maître !! Défoncez votre petite pute soumise... hummmm !!!— Je vais te défoncer le cul pendant que ma femme te mange la chatte, ma petite salope !!— Hummmm... ouiiii !!! vous me faites du bien tous les deux !! crie Emmanuelle.— Je vais faire de toi ma femme et je pourrai t’offrir comme je le veux, ma petite pute blanche !!— Hummmm... ouiiiii !!! Je suis à vous mon maître !!!— Je vais te garder et tu me feras du bien avec Fadima !!— Ohh, maître... oui !!! J’aime votre grosse queue !!— Prends-moi bien au fond de ton cul et donne du plaisir à ma femme ma petite pute blanche !!
Emmanuelle, obéissante, replonge son visage entre les cuisses de Fadima et lui dévore la chatte avec délectation. Cette dernière se met à gémir et tortille des hanches sous les caresses buccales de sa partenaire. Emmanuelle glisse un troisième doigt dans la chatte de Fadima qui ne tarde pas à partir dans un violent orgasme. Besognée avec force par son maître, la dentiste ne résiste pas à la jouissance de sa comparse et se laisse emporter dans un orgasme tout aussi violent en sentant son maître se vider en longs jets dans son cul. Emmanuelle s’effondre sur Fadima tant la jouissance a été intense. Mbemba se retire de son cul et laisse les deux femmes reprendre leurs esprits. Lorsque les deux femmes se remettent à bouger, le vieux chef donne ses ordres :
— Fadima, tu vas reconduire Emmanuelle vers le dispensaire et je t’attends dans ma case pour le reste de la nuit.
Il laisse retomber sa djellaba et sort de la case, sans même un regard pour les deux femmes. Avant de se rhabiller, Fadima attrape Emmanuelle par les cheveux et l’embrasse avec fougue. Emmanuelle se soumet et rend son baiser à la femme du chef, car elle la considère désormais comme sa maîtresse. Après avoir remis sa robe, la dentiste se soumet à Fadima et se fait conduire en laisse à travers le village vers le dispensaire. Elles entrent dans l’établissement et se dirigent vers la chambre réservée à Emmanuelle et ses deux internes. En ouvrant la porte, la dentiste découvre un spectacle auquel elle ne s’attendait pas. Ses deux internes complètement nues ont étalé tous ses effets personnels sur son lit et s’amusent de ce qu’elles ont découvert :
— Regarde, elle aime la lingerie fine notre prof !! déclare Gabrielle en agitant les culottes en dentelle de sa professeure sous le nez de Marie.— Oui et elle ne doit pas s’ennuyer avec ce petit joujou !! ajoute Marie en exhibant son gode.— Mais, enfin, je peux savoir ce que vous faites !! s’écrie Emmanuelle, outrée par l’attitude de ses internes.— Nous inspectons ton intimité, madame la salope !! dit Gabrielle avec un sourire narquois.— Mais, je ne vous permets pas !!— Mesdames, je vais vous laisser, car mon mari m’attend !! annonce Fadima avant de lâcher la laisse d’Emmanuelle et de la laisser en plan face à ses deux internes.— Comment osez-vous fouiller dans mes effets personnels mesdemoiselles ? s’écrie Emmanuelle, affolée par les découvertes que ses internes viennent de mettre à jour.— Nous faisons ce qui nous chante, madame la professeure salope !! dit Gabrielle en s’avançant rapidement vers elle.— De quel droit m’insultez-vous ainsi ? crie Emmanuelle, au comble de l’énervement.— De quel droit ? Je vais te montrer, espèce de chienne lubrique !! annonce Gabrielle en attrapant la laisse pour conduire sans ménagement sa prof vers son lit.— Doucement, vous me faites mal !! se plaint Emmanuelle, tant la traction sur son cou est violente.— Tu vas me dire ce que tu penses de ces images !! déclare Gabrielle en saisissant son caméscope avant de lancer la vidéo.— Mais... mais !!! bredouille la dentiste en se voyant entourée par les trois chimpanzés sur la vidéo.— Alors, tu ne les aimes pas les bites de singe ma petite prof salope ? jubile Gabrielle en voyant le visage de sa professeure se décomposer.— C’est... c’est immonde !! finit par lâcher Emmanuelle.— Oh, oui c’est immonde de voir une femme prendre un tel plaisir avec des singes en rut !! Tu ne peux pas nier que tu t’es bien envoyée en l’air dans cette clairière espèce de petite pute !! déclare Gabrielle sur un ton moqueur.— Que comptez-vous faire de cette vidéo ? s’inquiète Emmanuelle, soudain consciente que ces images pourraient ruiner sa réputation.— Tout dépend de toi, ma petite salope de prof !!— Qu’attendez-vous de moi, Gabrielle ? annonce Emmanuelle en baissant la tête dans une posture de soumission.— Je veux que tu fasses tout ce que je te demande sans réfléchir. Tu vas devenir mon esclave et j’oublierai de diffuser cette vidéo sur le campus !!— Tout ce que vous souhaitez, tant que vous ne diffusez pas cette vidéo, Gabrielle, je vous en supplie !! déclare Emmanuelle, se sentant prise au piège.— Tu vas commencer par te mettre à poil et tu vas enfiler ces bas et porte-jarretelles que nous avons découverts dans tes bagages. Je veux aussi que tu portes ces escarpins rouges que tu cachais au fond de ta valise.
Sans dire un mot, Emmanuelle se déplace vers son lit tout en retirant sa robe. Elle se pose sur son lit encombré de ses affaires et se saisit de ses bas avant de les enfiler sur ses longues jambes. Elle passe ensuite son porte-jarretelles et y accroche ses bas avant de loger ses pieds dans ses escarpins rouges.
Elle est prête, se remet debout et sent la laisse pendre entre ses seins. Cette situation pour le moins inattendue la trouble beaucoup et elle sent sa chatte s’inonder de nouveau après les assauts qu’elle a subis de Mbemba et de son épouse.
Elle ne sait pas se l’expliquer, mais cette situation de soumission l’excite beaucoup et elle a envie de se livrer à ses internes alors qu’elle n’y aurait jamais pensé avant sa venue dans ce village reculé du Sénégal. Comment peut-elle basculer dans ce genre de pratique, elle qui a toujours fait valoir son caractère de battante à qui on ne la fait pas.
Elle ferme brièvement les yeux et se revoit adolescente quand son maître d’équitation lui cinglait les cuisses de sa cravache quand elle ne faisait pas ce qu’il lui demandait. Elle se souvient que ces coups lui faisaient dresser les seins et qu’immanquablement, sa culotte était humide quand elle la retirait dans sa chambre. Une traction sur la laisse lui fait ouvrir les yeux et Emmanuelle se retrouve face à Gabrielle, sa nouvelle tortionnaire.
— Mets-toi à quatre pattes et suis-moi !! annonce Gabrielle sur un ton autoritaire.— Oui... oui... répond Emmanuelle d’une petite voix.— Oui, qui ? s’écrie Gabrielle en tirant violemment sur la laisse.— Oui, maîtresse ! répond Emmanuelle en se pliant à la volonté de son interne avant de se laisser tomber au sol pour se retrouver à quatre pattes au pied de son étudiante.
Gabrielle la conduit vers le lit des deux jeunes femmes et se laisse tomber sur le dos sur le matelas en ouvrant largement les jambes. Gabrielle tire sur la laisse et oblige Emmanuelle à s’approcher de sa chatte offerte.
— Lèche-moi la chatte ma petite salope de prof !! Depuis le temps que j’en rêve !!— Non, je ne peux pas faire ça, Gabrielle !! déclare Emmanuelle dans un dernier élan de dignité.— Marie, claque-lui le cul à cette chienne jusqu’à ce qu’elle obéisse !! s’énerve Gabrielle en tirant sur la laisse reliée au cou de sa professeure.
La première claque sur ses fesses ne se fait pas attendre. Marie lui donne une fessée si puissante qu’Emmanuelle n’a d’autre choix que d’approcher son visage du sexe de Gabrielle. Elle sort sa langue et commence à lécher la chatte de sa nouvelle maîtresse avec application, arrachant un soupir à Gabrielle. Plus Gabrielle soupire et moins les claques sur ses fesses sont moins appuyées jusqu’à se transformer en caresses. La main de Marie finit par glisser sur sa chatte et la caresse au rythme des gémissements qu’Emmanuelle procure à sa nouvelle maîtresse. La dentiste s’applique maintenant à donner du plaisir à son interne et lui lèche la chatte comme le ferait une lesbienne experte. Emmanuelle fait courir sa langue du clito aux lèvres ouvertes de sa maîtresse et risque un doigt à l’entrée de sa petite chatte épilée.
— Hummm, ouiii, donne-moi tes doigts ma petite prof soumise !! Fais-moi du bien, hummmm !!
Emmanuelle entre un doigt dans la petite chatte béante de son étudiante tout en faisant rouler sa langue sur son clitoris érigé par l’excitation. Dans son dos, Marie lui écarte les fesses et se met à lui lécher le trou du cul. Cette caresse buccale détend l’anus d’Emmanuelle qui laisse échapper le sperme de Mbemba qui finit sur la langue de Marie.
— Putain, cette salope s’est fait enculer, son fion déborde de sperme !! s’écrie Marie.— Tu as pris une bite dans le cul ma petite pute ? demande Gabrielle en tirant Emmanuelle par les cheveux.— Oui, c’est le chef qui m’a prise !! avoue Emmanuelle en baissant les yeux.— Je ne pensais pas que tu étais du genre à te faire enculer... jusqu’à ce que je te vois avec ces trois mâles en rut, ma petite pute !! Tu aimes ça ma salope ?— Pour tout vous dire, j’aime la grosse queue de Mbemba !! annonce Emmanuelle en baissant la tête, honteuse.— Relève-toi et laisse-moi sortir les cadeaux que nous a faits Fadima. Nous allons te donner ce que tu mérites ma petite prof soumise !!
Gabrielle cherche dans ses affaires et sort deux énormes godes en ébène assujettis à des liens en cuir. Les objets phalliques font les mêmes dimensions que la queue du chef de village et semblent avoir été créés à l’image de son sexe. Les deux jeunes femmes s’aident l’une l’autre pour poser les godes au niveau de leurs hanches et Gabrielle reprend sa position allongée sur le lit. Marie pousse Emmanuelle vers la couche et l’invite à enjamber le phallus dressé au-dessus du bassin de sa copine. Emmanuelle a une hésitation, mais se rappelle très vite que sa réputation est en jeu. Elle tourne la tête vers Marie et découvre que le caméscope a été mis sur un pied et qu’une petite lumière rouge prouve que tout ce qui vient de se passer a été filmé. L’excitation prend le pas sur la raison et Emmanuelle se laisse descendre sur le gros phallus d’ébène en regardant la caméra.
Ces deux petites salopes d’interne veulent l’amener plus bas que terre, mais Emmanuelle y voit un plaisir si longtemps enfoui en elle. Mbemba a commencé son dressage, mais se sentir rabaissée par ses propres étudiantes lui procure un désir indéfinissable. Plus elle est rabaissée, plus elle ressent un désir sexuel au-delà de ses limites. Elle sait que ses deux internes peuvent utiliser ces vidéos pour la traîner dans le caniveau dans tout le campus et peut-être au-delà, mais Emmanuelle y trouve une excitation toute nouvelle : elle est filmée dans sa soumission et cela lui procure un profond plaisir. Elle se met à bouger ses hanches et sa chatte monte et descend sur le phallus alors que Marie lui écarte une nouvelle fois les fesses. Elle pose le gland de son gode sur la rondelle de sa professeure et pousse lentement en lui tenant les hanches. Emmanuelle n’y tient plus et encourage ses deux internes :
— Hummm, ouiiii ! Prenez-moi !! Allez, Marie, défoncez-moi le cul !!— Tu aimes te faire prendre par tous les trous, espèce de petite bourgeoise salope !! déclare Gabrielle en la regardant droit dans les yeux après avoir saisi sa professeure par les cheveux.— Hummmm...— Je veux t’entendre le dire, espèce de pute !!— Oui, j’aime me faire prendre pas tous mes trous de salope bourgeoise !! crie Emmanuelle en tournant son visage vers la caméra.— Tu aimerais être ma petite pute à l’université ?— Hummm... oui, je suis déjà votre petite pute !! répond Emmanuelle en sentant le gros chibre attaché aux hanches de Marie entrer dans son cul.— Je vois déjà la tête du doyen quand je vais lui dire ça !! annonce Gabrielle, triomphale.— Comment ça, le doyen ? interroge Emmanuelle, soudainement inquiète.— Le doyen est mon parrain et je crois savoir qu’il y a longtemps qu’il aimerait te baiser ma petite pute !!— Co... comment ? s’exclame Emmanuelle.— Tais-toi et donne-moi ta bouche ma petite pute !! répond Gabrielle en la saisissant par les cheveux pour rapprocher la bouche de sa professeure de la sienne.
Gabrielle plonge sa langue dans la bouche de sa professeure et Emmanuelle lui rend son baiser avec envie. Elle s’imagine dans le bureau du doyen qui l’oblige à lui sucer la queue alors que Gabrielle la besogne avec ce gros gode-ceinture qui lui fourre actuellement la chatte. Cette vision l’excite au plus haut point et Emmanuelle sent le plaisir monter en elle. Ses gémissements se transforment en suppliques et elle réclame sa jouissance.
— Hummm, ouiii... c’est trop bon !! Vous allez me faire jouir !! Hummm !!— Marie, retire-toi et pousse-la sur le côté, je ne veux pas qu’elle jouisse !!
Marie réagit immédiatement et se retire du cul de sa professeure. Elle la pousse sur le côté afin que Gabrielle puisse se dégager de la chatte d’Emmanuelle. La dentiste reste prostrée sur le lit dans sa frustration de jouissance. Gabrielle se saisit d’une cordelette qu’elle avait dissimulée sous son oreiller et commence à ligoter les poignets de sa professeure dans son dos avant de dire à Marie :
— Va le chercher, maintenant !!
Sans dire un mot, Marie quitte la chambre alors que Gabrielle fait mettre Emmanuelle à genoux au pied du lit. La dentiste est tellement affectée par sa frustration de jouissance qu’elle se laisse manipuler sans protester par son interne. Gabrielle tend la cordelette et vient l’attacher aux chevilles d’Emmanuelle qui se retrouve pieds et poings liés dans le dos au moment où Marie réapparait dans la pièce. Derrière elle entre le docteur Coulibaly qui la suit jusqu’au lit des deux jeunes femmes. Il s’approche d’Emmanuelle, la prend par les cheveux et déclare :
— Je vois que vous êtes arrivées à vos fins, mesdemoiselles !!— Oui, maintenant elle fera tout ce que nous voulons !! déclare Gabrielle sur un ton triomphal.— On peut en faire ce qu’on veut ? demande le docteur en tirant sur les cheveux d’Emmanuelle pour qu’elle le regarde dans les yeux.— Oui, mais ce soir je veux qu’elle te regarde nous baiser et qu’elle ait envie de ta grosse queue pour plus tard.— Je suis à votre service, mesdemoiselles !! déclare le docteur en retirant ses vêtements.
Très vite, Gabrielle place Marie en levrette sur le lit et elle se place juste au-dessus d’elle afin que leurs deux petits culs soient offerts au médecin. Le docteur Coulibaly monte sur le lit et se place derrière ses deux comparses. Il plonge sa queue dans la chatte de Gabrielle qui se met immédiatement à gémir. Il la besogne pendant quelques minutes avant de sortir de sa chatte et de replonger dans celle de Marie. Les deux petites salopes regardent leur professeure en se faisant fourrer par le docteur et ne sont pas avares de commentaires.
— Si tu savais comme elle est bonne cette grosse queue !! dit Gabrielle.— Humm... oui, je suis sûre que tu la veux !! renchérit Marie.— Elle n’y a pas droit, elle n’a le droit que de regarder, ma chérie !! gémit Gabrielle.
Les deux jeunes femmes se font défoncer par la grosse queue du docteur. Emmanuelle regarde avidement et sent sa chatte se liquéfier. La vision de ses deux internes en train de se faire défoncer par une grosse bite fait remonter en elle son désir et elle part dans un violent orgasme au moment où ses deux internes se mettent à jouir. Emmanuelle passera ainsi toute la nuit attachée au pied du lit à regarder ses étudiantes se faire prendre par tous les orifices par un docteur étonnamment performant. Emmanuelle ne saura dire plus tard combien d’orgasmes elle aura subis juste en regardant le trio baiser.
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