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Déchéance africaine

Chapitre 4

Les volontés du chef

SM / Fétichisme
La nuit a été agitée pour Emmanuelle, son esprit n’a pas pris beaucoup de repos, car elle s’est revue en rêve aux prises avec les trois mâles chimpanzés et avec le petit âne du chef. En se réveillant, elle se rend compte que sa main droite caresse sa chatte trempée d’excitation. A sa grande stupéfaction, elle est seule dans la chambre. Quelle heure peut-il bien être ? Elle regarde sa montre, il est déjà 9 heures du matin. Comment a-t-elle pu dormir aussi longtemps ? Emmanuelle s’habille très vite et file rejoindre ses internes au cabinet. En passant dans la salle d’attente, elle constate qu’il y a beaucoup plus de monde qu’à l’habitude. Elle entre dans le cabinet où Gabrielle l’accueille froidement :
— C’est seulement maintenant que tu daignes faire ton apparition !! Lance sèchement la jeune femme en toisant sa professeure.— Je... je suis désolé !! Balbutie Emmanuelle en baissant la tête et en sentant un frémissement lui parcourir l’échine.— Je n’ai que faire de tes excuses, aujourd’hui c’est jour de marché au village et tu as pu constater que la salle d’attente est pleine !! crie Gabrielle en s’approchant d’elle.— Je pense que nous allons devoir trouver un moyen d’occuper ces braves gens, ma petite pute soumise !! Susurre la jeune interne à l’oreille de la dentiste.
Sans ménagement, elle la prend par le bras et la conduit vers la chambre. Elle se saisit de la laisse et commence à flageller les fesses d’Emmanuelle avec l’objet en cuir tressé. Sous les coups, la dentiste se mord les lèvres, mais ne peut s’empêcher de cambrer le dos pour offrir encore plus sa croupe à la morsure de la lanière en cuir. Emmanuelle goûte avec délectation cette situation. Elle a dirigé avec une main de fer la jeune femme depuis trois ans comme elle le fait avec tous ses étudiants et voilà qu’elle se soumet sans broncher à Gabrielle. Le comportement de cette jeune femme l’a souvent irritée et elle a souvent eu envie de la gifler. Elle était à des années-lumière de penser qu’un jour elle prendrait du plaisir à se soumettre à son interne. Emmanuelle sent ses tétons durcir et sa chatte s’humidifier. Soudain, les coups cessent et Gabrielle pousse la dentiste sur leur grand lit.
— A poil, salope !! Et plus vite que ça !!
Emmanuelle se dépêche d’obéir et retire avec empressement sa petite robe, elle dégrafe son soutien-gorge balconnet ½ sein en fine dentelle rouge et le laisse glisser vers le sol. Elle termine son effeuillage en retirant son string assorti au soutien-gorge et le laisse tomber près du lit.
— Maintenant, tu vas te mettre à quatre pattes sur le lit et te cambrer pour offrir tes petits trous de chienne en chaleur.— Oui ! répond timidement Emmanuelle.— Oui, qui ?— Oui, maîtresse !!— As-tu vu les trois hommes qui ne sont pas du village au fond de la salle d’attente ? Demande Gabrielle en saisissant sa professeure par les cheveux.— Oui, je les ai vus, maîtresse ! répond Emmanuelle en visualisant les trois hommes d’une trentaine d’années qu’elle a aperçus au fond de la salle.— J’ai eu une petite conversation discrète avec eux et ils sont prêts à patienter en ta compagnie. Tu vas te faire sauter pour mon plaisir et mon profit et tu vas devenir ma petite presque pute bourgeoise et soumise. Ca te plaît, dis-moi.— Oui, maîtresse !!— Oui, quoi ? demande sèchement Gabrielle en tirant plus fort sur les cheveux d’Emmanuelle.— Oui, je veux devenir votre petite pute bourgeoise et soumise !!— Fort bien !! Annonce Gabrielle avant d’accrocher la laisse au collier de la dentiste et de lier l’autre extrémité à la tête du lit.
Gabrielle sort de la chambre et revient très vite suivie des trois hommes. Elle leur tend une boîte de préservatifs qu’elle a demandés au docteur Coulibaly avant de déclarer :
— Puisque tout est réglé, faites-en ce que vous voulez !!— Vraiment tout ce qu’on veut ? demande l’un des trois hommes.— Tout ce que vous voulez tant que vous portez une capote !! Vous allez voir cette salope à des orifices très accueillants.
Gabrielle place son caméscope sur son trépied avant de quitter la pièce alors que les trois hommes retirent leurs djellabas et viennent entourer la dentiste dans le plus simple appareil. L’un d’entre eux se place face à elle et la tire par les cheveux pour la faire se redresser. Emmanuelle se retrouve à genoux et l’homme ne tarde pas à faire rouler ses tétons érigés par l’excitation entre ses doigts. Soudain, il pince fortement les deux tétons, arrachant un cri à la dentiste. Il relâche doucement la pression et la pince de nouveau. Emmanuelle a des larmes qui lui montent aux yeux, mais elle se cambre tant elle a envie de faire plaisir à sa maîtresse. Elle regarde fixement la caméra et se met à gémir en se faisant maltraiter les tétons. Elle sent ses aréoles se creuser et ses tétons durcir entre les doigts du grand black. Des mains lui caressent le dos et les hanches alors qu’une autre main vient de glisser entre ses cuisses.
Les doigts inquisiteurs ne tardent pas à glisser sur sa fente humide d’excitation et rapidement elle sent deux doigts entrer en elle. Emmanuelle se met à gémir en faisant des mouvements de bassin pour inviter les doigts à la pénétrer plus profond. L’homme qui la doigte finit par s’adresser à ses deux compagnons :
— Elle est bien chaude cette petite pute blanche !! Elle mouille comme une chienne en chaleur !! Boubacar, tu devrais lui donner ta queue à sucer et toi Issa continue à lui titiller les seins. Cette salope à l’air d’aimer qu’on la maltraite !!— Diop, tu crois qu’elle va supporter nos grosses queues cette chienne ? demande Boubacar.— Elle s’ouvre bien cette chienne, j’ai déjà quatre doigts dans sa chatte et elle semble en redemander. Je vais vérifier si son petit cul est aussi accueillant.
Emmanuelle a juste le temps de jeter un rapide coup d’œil autour d’elle avant de recevoir le vit de Boubacar en bouche. Les trois hommes arborent tous une queue d’au moins 25 centimètres. La dentiste se demande comment les hommes peuvent être aussi bien membrés dans cette région du monde. Elle n’a pas le temps de pousser plus avant sa réflexion, car elle sent un doigt tout trempé de sa mouille lui caresser la rondelle alors qu’Issa lui attrape la main droite pour la porter sur sa queue déjà bien tendue. Boubacar lui attrape la tête des deux mains et entreprend de lui baiser la bouche. La queue entre de plus en plus profondément dans la bouche d’Emmanuelle et elle se met à saliver abondamment. Mbemba lui a déjà infligé ce genre de traitement et la professeure connaît la sensation que procure un gland qui passe la barrière de sa luette pour s’enfoncer dans sa gorge.
Elle s’applique à bien respirer par le nez pour chasser les haut-le-cœur et elle lève le menton telle une avaleuse de sabre afin d’offrir le moins de résistance possible à l’énorme queue qui lui viole la bouche. Emmanuelle se sent avilie, mais le simple fait de se sentir utilisée comme un jouet sexuel, un vide-couille, ne fait qu’accroître son excitation de bourgeoise en chaleur. Derrière elle, Diop a déjà glissé un doigt dans son cul et le fait tournoyer pour lui élargir la rondelle. Emmanuelle fait onduler son bassin de manière à l’inciter à pousser plus loin les investigations. Diop semble comprendre l’invitation, car très vite il glisse un deuxième puis un troisième doigt dans son cul. La bourgeoise a désormais l’habitude de se faire dilater les orifices et ne ressent plus aucune douleur quand on lui élargit le trou du cul. Elle se met à gémir sur la grosse queue qui lui emplit la bouche et remue son bassin de façon à aller à la rencontre des doigts qui lui perforent la rondelle.
Emmanuelle est au comble de l’excitation, elle fait la pute pour sa maîtresse et elle a très envie de sentir les queues de ses trois clients en elle. Elle profite d’un moment où Boubacar ressort sa queue de sa bouche pour les invectiver.
— Bande de salauds, c’est tout ce que vous savez faire de vos queues !!— La petite pute blanche veut goûter à nos gourdins !! Nous allons te défoncer, salope !! dit Diop en lui donnant une claque sur les fesses.— Vous n’arriverez même pas à me faire jouir avec vos petites bites !! Lance Emmanuelle, provocatrice.— On va te défoncer, petite pute !! dit Boubacar en lui donnant une gifle magistrale.
Issa s’est allongé près d’Emmanuelle et Diop la soulève comme un fétu de paille pour la placer au-dessus de la queue dressée de son compère. Emmanuelle n’a que le temps d’écarter les cuisses et elle se fait littéralement empaler sur la queue tendue à l’extrême. Diop lui pousse les épaules vers l’avant afin qu’elle place ses mains de part et d’autre de la tête d’Issa. Boubacar l’attrape par les cheveux et il plante sa grosse queue dans sa bouche. Diop s’est placé derrière elle et lui plante sa bite sans ménagement dans le cul. Les trois bites s’activent dans tous ses orifices et Emmanuelle n’est plus qu’un objet sexuel entre les mains des trois hommes. Elle les a provoqués et elle est heureuse d’être traitée comme une vulgaire pute. Ces quelques jours passés à Kaboudiara l’ont totalement transformée, elle est devenue une véritable chienne lubrique et elle doit avouer qu’elle aime cette nouvelle Emmanuelle.
Si son mari la voyait, lui, si aimant et tellement respectueux de sa femme, serait horrifié de voir ce qu’elle est devenue. Sous l’emprise de Mbemba et de Gabrielle elle a découvert sa vraie nature de soumise assoiffée de sexe. Emmanuelle n’a plus envie de quitter ce petit village au milieu de la brousse, elle veut être l’esclave à vie du chef du village et de son interne. Les trois queues s’activent en elle et Emmanuelle sent la vague de chaleur annonciatrice de sa jouissance monter dans son ventre. Soudain, les trois hommes arrêtent de la besogner et Emmanuelle perçoit des cris dans le couloir.
— Non, chef !! Ne la dérangez pas, elle se repose !! crie la voix de Gabrielle.— J’entre si je veux !! Je suis le chef du village et je vais où bon me semble !!— Non, non... je vous en prie !! supplie la voix de Gabrielle avant que la porte de la chambre ne s’ouvre avec violence.
Comprenant ce qui se passait, les trois hommes se retirent des orifices d’Emmanuelle au moment où Mbemba fait irruption dans la pièce. Emmanuelle s’effondre sur le lit, anéantie par son orgasme avorté. Les trois hommes s’habillent en toute hâte avant d’affronter la fureur du chef de village.
— Vous trois, vous sortez et je ne veux plus vous voir au village !!— Ce n’est pas de notre faute, c’est la petite blanche qui nous l’a offerte tente de se défendre Diop.— Sortez, avant que je ne change d’avis !! hurle Mbemba.
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