Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 93 J'aime
  • 6 Commentaires

La déchéance de Nadia

Chapitre 1

Trash
En entrant chez M. Bennani, mon banquier, mon cœur battait très fort. En effet, j’appréhendais ce rendez-vous.Mon mari Kamal est au chômage depuis bientôt une année et notre situation financière est dans le rouge. Nous avions épuisé les maigres économies qu’on avait faites et les recours auprès de nos familles respectives. Mon seul salaire d’enseignante de français au Lycée ne suffisait pas à payer nos factures, nos traites et la scolarité de nos deux enfants, Salim et Réda, 14 et 18 ans respectivement. J’ai épousé mon mari à l’âge de 23 ans, alors que j’officiais depuis une année en tant qu’enseignante.Je porte très bien mes 42 ans. Je suis une belle brune et je mesure 1m67 pour 54 kg. J’ai de belles formes que je cache derrière des habits passe-partout ; une belle paire de fesse et un bon 90C. Il faut croire que je suis de nature pudique et que mon mari est du genre jaloux.Pour ce rendez-vous, une fois n’est pas coutume, j’ai décidé de me mettre un peu plus en valeur. J’ai opté pour une jupe droite marron qui m’arrive jusqu’aux genoux et un chemisier beige. Des bottines tannées à petit talent complétaient ma tenue. En effet, je voulais mettre toutes les chances de mon côté pour obtenir un prêt et je savais, en me référant à la façon avec laquelle M. Bennani me regarde à chaque fois qu’on se rencontre, qu’il me trouvait à son goût.Le regard malsain qu’il me lança en me voyant entrer me dégoûta mais me conforta dans mon choix vestimentaire. J’espérais que tout se passerait bien et qu’il m’accordera le crédit que je demandais.— Vous savez Madame Slimani que j’aurais aimé vous aider, mais ce n’est guère possible. Vous accusez déjà d’un retard de paiement de votre ancien crédit. Trois mois, c’est ça ?— Oui, répondis-je en palissant, mais vous connaissez très bien ma situation. Vous êtes mon dernier recours.— Je suis vraiment désolé Madame Slimani, mais ça ne va pas être possible.Sans m’en rendre compte, j’ai commencé à pleurer. Comment allait-on nous en sortir ?La main tendue de M. Bennani me tira de ma torpeur. Je pris le mouchoir qu’il me proposa pour essuyer mes larmes.— Votre situation est si catastrophique ?— Vous n’imaginez même pas, répondis-je, sans prêter attention au regard illuminé de mon banquier.— Alors, j’ai peut-être une solution pour toi.Je ne donnai pas plus d’importance au passage au tutoiement de M. Bennani. Il était ma bouée de sauvetage et j’attendis la solution de sa bouche.— Nadia, je peux t’appeler Nadia, n’est-ce pas ? Sans attendra ma réponse, il continua, je te demanderais de revenir demain à l’heure de la fermeture. On sera plus tranquille pour te développer ma solution. Ça te va ?— Bien sûr M. Bennani.— Et au fait, je dois te féliciter pour ce que tu portes. C’est agréable de discuter avec une personne qui a ton charme et ton élégance.Je trouvai sa remarque déplacée, mais je m’empêchai de le lui faire savoir. En quelque sorte, il a l’avenir de ma famille entre ses mains. Un rouge de honte me monta aux joues. Jamais je n’aurais accepté une telle remarque de quelqu’un. Je le remerciai d’un sourire forcée. En tout cas, je ne pouvais pas lui rendre le compliment. La cinquantaine bien entamée, c’était un monsieur grisonnant, bedonnant, pas moche mais certainement pas beau.La nuit, entre les bras de mon mari, je lui racontai que le prêt était fort possible. Je ne lui fis pas part des propos déplacés de M. Bennani. Je n’avais surtout pas envie d’une de ses crises de Jalousie. La possibilité de voir le bout du tunnel me donnait de l’entrain et ma main effleura le sexe de mon mari. Je ne suis pas portée sur le sexe ; un seul rapport par semaine généralement à la demande de mon mari. Ce dernier réduit la lumière de notre lampe et me fis l’amour. Au bout d’une dizaine de minutes, il éjacula en moi. J’aimais mon mari et j’aimais le voir prendre du plaisir, c’était mon seul plaisir.Le lendemain, je me dévisageai devant mon miroir. Mes yeux légèrement maquillés et les quelques ridules en coin conférait à mon regard un aspect félin. Je portai un pantalon qui épousait mes formes et un corsage à échancrure qui dévoilait la naissance de mes seins. Je n’avais jamais porté ce vêtement car son décolleté mettait trop en valeur mes seins. Je le cachai avec un foulard et m’empressai d’aller au lycée. Ma journée se passa normalement et je me retrouvai encore une fois face à M. Bennani. Pour je ne sais quelle raison, j’avais enlevé mon foulard avant d’entrer dans l’agence.Un peu en retard à cause de la circulation, il était tout seul dans l’agence de la BMCI.Fébrilement, je le suivis dans son bureau.— Reste debout, je t’en prie, ça ne va pas être long. Sa formule de politesse semblait déplacée tellement son ton était dur. Je restai figée sur place.— Le pantalon est pas mal, mais je préfère les jupes. En tout cas, je vois que tu as fait des efforts vestimentaires.
Son regard bavait sur mes seins. Je restais bouche bée, ne sachant comment réagir. Comment osait-il ?— C’est pour moi que tu exhibes ce magnifique décolleté ?— Je… C’est pour … Euh, non … enfin … bredouillais-je.— Inutile de me répondre, me coupa-t-il.Au bout de quelques secondes d’un silence pesant, il reprit :— Vu ta situation, je pense que tu es prête à tout pour t’en sortir, non ? Devant mon silence, son ton se fit plus autoritaire, réponds !— Oui, balbutiais-je sans me rendre compte de la portée de mon affirmation.— Alors mets-toi à genou et supplie moi !Comme un automate, je pris la position ordonnée. Je me sentis humiliée et atteinte dans ma dignité. Le regard baissée, j’entendis les pas de M. Bennani s’approcher et vis ses jambes et ses pieds se dessiner sous mon regard. Je demeurai coite mais son silence m’invitait à prendre la parole, ce que je fis :— Je vous en supplie M. Bennani, accordez–moi ce prêt.Je trouvais ma posture pitoyable et mes supplications minables et affligeantes. Comment me suis-je retrouvée dans cette situation aussi grotesque, médiocre et piteuse. Les yeux au sol, j’attendais la sentence quand j’entendis le bruit d’une fermeture éclair qu’on baissait. Ce n’est pas possible, pensais-je. Comment pouvait-il s’enhardir à commettre pareil acte ? Je suis une femme estimable et non une pute. Je n’ai connu qu’un seul homme dans ma vie, mon mari. Il demeurera le seul. — Regarde-moi !Demeurant immobile et silencieuse, il me tira par les cheveux. J’avais très mal. Je m’empressais d’utiliser ma main pour lui ôter celle qui me malmenait mais sa prise se fit plus violente, j’avais les larmes aux yeux.— Mets tes mains derrière ton dos et regarde-moi !Instinctivement, je répondis favorablement à son ordre. Mes yeux se retrouvaient en face d’une énorme bite. Elle était au repos mais elle dépassait celle de mon mari en pleine érection, que ce soit en largeur ou en longueur. J’étais horrifiée par cette vision. Cependant, j’étais aussi, à ma grande honte, émoustillée.— Ça se voit que c’est la première fois que tu as devant toi une bite avec de telles proportions.Je ne répondais pas, mais mes yeux ne quittaient pas cette bite. Je n’arrivais pas décrocher mon regard de cette queue fascinante. C’est la première bite que je vois à part celle de mon mari, et c’est aussi la première fois que la vision d’une bite me fit effet pareil.— Touche-la salope !Salope ? Quel mufle ! Comment pouvait-il me traiter de la sorte, moi, la femme respectueuse et fidèle.Malgré mes réflexions, ma main se retrouva sur sa bite. J’obéissais à cet homme qui tenait le destin de ma famille entre ses mains. Sans m’en rendre compte, ma main faisait des allers retours sur cette bite monstrueuse. Ma main n’en faisait même pas le tour. Et je la sentais grossir encore sous les effets des caresses que je lui prodiguais.— Depuis le temps que je fantasme sur tes mamelons de vache petite salope, enlève ton haut.Avec l’autre main, sans volonté, l’esprit ailleurs, j’ôtai mon corsage. Je quittais la bite de M. Bennani à regret pour l’enlever entièrement puis me remis à la masturber, à la grande satisfaction de mon banquier.Il s’empressa de dégrafer mon soutien-gorge, se saisit de mes deux seins et les utilisa pour se branler. Je le laissais faire. Le contact de sa bite sur ma peau m’électrisa et je sentis ma culotte s’humidifier. Je me sentis embarrassée et rabaissée. Je pensai à Kamal et je sentis la honte me submerger. Que pensera-t-il de moi s’il me voyait dans cette position, utilisée comme un objet par cet homme pervers. Il m’a forcé, oui c’est ça ! Mais comment expliquer cette chaleur dans mon bas-ventre ?Il dira que je suis une pute, oui !Une pute qui offre ses charmes contre de l’argent.— Ça t’excite petite pute, avoue-le !Prononcé par M. Bennani, ce mot me fouetta. Pourtant, j’avais envie de répondre que oui, ça m’excite ! Moi, la femme prude, j’appréciais le traitement de mes seins.M. Bennani, au bout de quelques minutes, dans un râle guttural, se saisit de sa bite avec sa main, la pressa et éjacula d’énormes quantités de sperme sur mes seins. Le sperme qui se répondait sur mes mamelles me faisait frissonner, enflammait mon sexe et mon être. J’étais si excitée que les bouts de mes seins me faisaient souffrir.M. Bennani avait repris sa place derrière son bureau sur sa chaise dactylo. Je gardais ma position, mains derrière le dos, sperme étalé sur mes seins. — Viens ici !Un ordre. Comme si je n’attendais que ça, je me relevai pour le rejoindre.— Pas comme ça, à quatre pattes grosse salope !Au lieu de m’offusquer, comme une chienne, je pris la position demandée et le rejoignis.— Nettoie-moi ma bite !L’ordre fusa et malgré l’humiliation, je me penchai et sortais la langue pour recueillir les gouttes de spermes qui perlait de sa bite. Il utilisait sa bite pour recueillir le sperme sur mes seins que je lapais avec ma langue.— Je savais que derrière tes airs de femme respectable, se cache une petite chienne bien obéissante.
Diffuse en direct !
Regarder son live