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Déchéance organisée

Chapitre 1

SM / Fétichisme
J’ai toujours eu des sentiments très forts pour Marie-France Daumont. Lorsque j’étais adolescent, j’étais fou amoureux d’elle par exemple. Lorsque nous sommes sortis ensembles, il n’y avait même plus de mot pour décrire ce que je ressentais pour elle. Lorsqu’elle m’a laissée après m’avoir publiquement humilié devant tous nos amis parce que je ne parvenais pas à la satisfaire, je l’ai haïe à un point difficilement croyable. Jamais pourtant je n’ai fait état de cette haine. Jamais elle ne s’est atténuée. A mesure que les années passaient, j’ai toujours conservé dans un coin sombre et mauvais de mon cerveau l’envie secrète de me venger de l’affront qu’elle m’avait fait subir de la pire des façons. Nous somme toujours restés amicalement en contact et j’attendais – patiemment – que le moment béni ou elle paierait le prix fort pour les rires et les réflexions qui m’avaient tant blessées.
Aujourd’hui je jubile car ce jour est arrivé.
Celle qui s’appelle maintenant Marie-France Daumont-Labat depuis qu’elle a épousé le riche et puissant magna de l’industrie fait encore belle figure pendant le cordial repas ou elle nous a invités. Pourtant, je n’ignore pas qu’elle est en passe d’être jetée à la rue comme une malpropre dans un avenir très proche. Je suis un bon ami de Raymond Labat et c’est lui qui m’a directement expliqué qu’il était fermement décidé à faire payer à son épouse sa dernière tromperie de trop. Humilié dans son orgueil d’homme comme je le fus moi même jadis, il prépare un dossier si accablant que Marie-France terminera sans le sous et sans honneur, il s’y est engagé. Il n’aura de cesse que de voir celle à qui il avait tout donné enfin échouée dans le caniveau et misérable. Il veut la détruire. En bon ami que je suis, je lui propose de l’aider…
Dés que les hostilités entre les époux se déclenchent, Raymond met à contribution tous ses appuis et ses pressions pour que tous se détournent de l’épouse volage, n’hésitant pas à dévoiler publiquement sa honte et l’infamie dont il est frappé, exposant avec force détails les personnages louches avec lesquels elle frayait. Rapidement, tous les amis sur lesquels Marie-France pensait pouvoir compter lui ferme leur porte. Son image médiatique est irrémédiablement terni. Ca n’est plus celle d’une jeune femme prometteuse er racée mais celle d’une Messaline sur le retour sans cœur qui abusa un homme d’honneur irréprochable pour se lier avec des voleurs et des escrocs honteux. Elle va perdre son procès et plus personne n’osera prendre le risque de la secourir car ce serait s’aliéner les foudres de son puissant mari.
A un moment de la soirée, elle expose avec son orgueilleuse vanité les terribles attaques « injustes » dont elle est l’objet et assure que son mari paiera très cher le cauchemar qu’il lui fait subir. Je ris sous cape car elle l’ignore mais même son avocat est en fait à la botte de Raymond Labat. Elle est finie. Ruinée. La belle façade qu’elle affiche encore n’a pas d’autre but que de convaincre les invités qu’elle ne les oubliera pas s’ils l’assistent dans sa « lutte pour la justice ». Mais personne n’ose prendre partie et elle s’enferme dans un mutisme agacé. La soirée touche à son terme et c’est maintenant l’angoisse qui l’habite. Le plus discrètement possible, je la vois maintenant qui quémande à certains une « petite aide pour gérer ce passage à vide » mais tous refusent plus ou moins poliment. Ceux qui détiennent le pouvoir et l’argent n’aiment pas les perdants. Ils s’en écartent comme si cela pouvait s’attraper. Je suis le dernier à prendre congé et j’ai droit à son plus beau sourire :— Mon cher Michel, nous sommes de vieux amis… commence la sournoise.— Sans aucun doute, très chère Marie !— C’est très embarrassant pour moi de te demander ça mais compte tenu de la situation actuelle, consentirais-tu à m’accorder un petit prêt ? Je te rembourserai très rapidement bien entendu ! ajoute-t’elle un peu trop vite.— Tu me connais bien, très chère Marie. Je n’accorde rien sans rien. Et tu sais le genre de choses qui m’attire pour en avoir si souvent ri durant nos soirées n’est ce pas…
Je suis producteur. Et ça n’est un secret pour personne qu’en marge de production très sérieuses et reconnues, j’organise parfois des spectacles pervers voir des petits tournages spéciaux destinés à des initiés triés sur le volet. J’ai la réputation d’être un jouisseur malsain uniquement toléré parce que je suis riche et très en vu en fait. Elle s’empourpre et ne se méprend pas une minute sur la nature de ma proposition :— Sors d’ici ! Je n’en suis pas réduite à livrer ma réputation à un pornographe immonde à peine capable de bander !— Bien, très chère Marie ! Je n’insiste donc pas et respecte ton courage mais sache que si d’aventure tu changeais d’avis… — Sors d’ici te dis je !!! Tu me dégouttes !!!
Je prends congé avec un grand sourire désolé. Ça fait bien longtemps que les humiliations de cette garce n’ont plus d’impact sur moi. Et contrairement à elle, j’ai tout mon temps…
Plusieurs semaines se sont écoulées. Je viens juste d’apprendre par Raymond que Marie-France n’arrive plus à assumer le loyer de son somptueux appartement et qu’elle a du opter pour un hôtel sous peine de ne plus être en mesure de payer les frais d’avocat. Aussi ne suis-je pas vraiment surpris lorsque mon mobile retentit :— Bonjour mon cher Michel ! — Bonjour… fais-je en feignant de ne pas reconnaître mon interlocutrice.— C’est Marie-France ! Marie-France Daumont-Labat, mon cher Michel !
— Oh mais quel plaisir !!! Comment vas-tu, ma chère Marie ? — Et bien… C’est justement ce dont je souhaitai t’entretenir en fait ! Je passais vers chez toi et je me suis dit que je devais chercher conseil auprès d’un vrai ami ! — Et tu as très bien fait !!! Monte voyons ! Je terminerai de me préparer et nous discuterons du sujet qui te préoccupe !— Merci, Michel ! Je… Je savais que je pouvais compter sur toi !— Bien entendu voyons ! Je t’attends !
Comme j’étais prêt à partir, je fonce dans la salle de bain et me déshabille pour ne garder que mon peignoir d’intérieur. Je mets une vidéo d’une de mes dernières « productions spéciales » que je sélectionne avec application dans le lecteur , allume la télé mais coupe le son et ébouriffe mes cheveux. Quand le carillon de la porte d’entrée retentit, j’arrive en mimant de me sécher les cheveux avec une serviette comme si je sortais de la douche. Elle est là, souriante :— Oh mais je te dérange…— Mais non, tu ne me déranges jamais ! Entre ! Assieds toi dans le salon, je termine de me préparer !
Je la quitte sois disant pour la salle de bain mais bifurque dans ma chambre ou je branche la vidéo intérieure. J’en profite pour passer un coup de téléphone qui crédibilisera l’idée que je viens d’avoir et mets tout au point en regardant les écrans de surveillance. Marie-France est assise dans le canapé et peine à détacher son regard scandalisé de l’écran. Le DvD que j’ai choisi est une compilation des pires fantasmes filmés tolérables. Le morceau choisi qu’elle contemple s’appelle « Bougnoules violées » et met en scène un trio de « policiers » sadiques membrés comme des ânes qui torturent et défoncent sans pitié des jeunes beurettes des cités. Je sens ma queue se durcir en voyant la mine écœurée de Marie-France alors qu’un « flic » ressort sa verge d’entre les grosses fesses de la jeune arabe pour la lui donner à sucer de force pendant qu’un autre prend sa place brutalement. Elle détourne ses yeux quand les ceinturons de cuir commencent à pleuvoir sur les seins martyrisés de la gamine et regrette d’avoir à nouveau regardé en tombant sur un gros plan des orifices complètement défoncés et béants sur lesquels ils urinent. Toujours de la chambre, je lance sadiquement un joyeux :— Ça va ?— Heu… Oui… répond elle enfin après une hésitation.
Je reviens habillé vers le salon au moment exact ou commence la bande-annonce de « tournantes 4» qui met en scène des mères de famille et des femmes d’un certain âge prises à la chaîne par des hommes de couleur dans les caves d’une cité. Comme par hasard, la scène qui défile montre une rouquine à la quarantaine sonnée bien en chair, entièrement nue, maintenue de force sur la terre battue par un groupe d’africains aux queues énormes. Elle pleure et supplie – son maquillage la transformant en pauvre loque pathétique - quand le premier force sa queue dans son anus boursouflé par les sodomies répétées.— Oh mon Dieu, excuse moi ! dis je en m’élançant vers la télécommande avec une mine contrite.— Pardon ? Oh non, je ne faisais pas attention… rétorque-t’elle alors qu’elle a le visage complètement empourpré.— J’avais totalement oublié que je devais valider les nouvelles bande-annonces... Je suis sincèrement désolé, ma chère amie !— Non ça n’est pas grave voyons, Michel !!! Je n’ai rien vu !— Bon je préfère car c’est assez spécial…
Mon téléphone retentit enfin sans que j’ai pour autant coupé la diffusion. Je prends l’appel avec un regard d’excuse. A l’écran, c’est « Orgie Catho » qui commence. Une brune vulgaire et grasse aux lourds seins tombants habillée en bonne sœur lèche l’anus d’une jeune novice au look nubile pendant qu’un gros prêtre immonde lui défonce la chatte avec un cierge énorme. Ensuite la novice s’empale en gémissant de douleur sur la bite distendue du prêtre sous les yeux avides d’une douzaine de nouveaux prêtres en cercle autours de la grosse « nonne » qui les branle et engloutit avidement leurs membres. Pour le final, la brune est pendue par les seins à la voûte et fouettée jusqu’au sang par les prêtres déchaînés qui n’interrompent la flagellation que pour retourner défoncer la novice prosternée, fesses ouvertes à deux mains et aux orifices distendus dégoulinants de sperme.Lorsque j’interromps la conversation, je coupe le DvD en m’excusant distraitement et constate avec joie que le visage de Marie-France est emperlé d’une mauvaise sueur angoissée.— Un imprévue, ma chère amie ! Je dois faire une audition rapide ! Mais accompagne moi donc si tu as le temps ! Tu me raconteras ce que je peux faire pour toi et je te déposerai ensuite ! A moins que tu ne sois déjà en voiture…
Tu parles que je sais bien qu’elle n’a plus son coupé Audi depuis un moment…— Oui très bien… Mais je ne voudrai pas t’embêter avec mes histoires voyons !— Pense-tu ! Ah et puis quel idiot, j’espère ne pas t’avoir irrémédiablement choquée avec mes films immondes !— Je n’y ai même pas fait attention je t’assure…— Bien, bien… Dépêchons-nous maintenant par contre si tu veux bien !
Une fois dans la voiture, je reçois des coups de téléphone à répétition qui empêchent Marie-France de m’exposer ses soucis. J’ai cependant le temps de lui montrer brièvement que j’ai toujours ma petite boite métallique contenant un vice qu’elle aimait tant et que son époux lui avait définitivement interdit. Je sais qu’elle est mûre pour replonger… Entre deux appels, elle glisse innocemment :— Toujours accro à la snifette, petit coquin ?
Je n’ai jamais été accro à cette merde en fait. Je me contente d’en distribuer à l’occasion avec quelques pilules adaptées pour affirmer mes appuis sociaux ou détendre mes « actrices ». Vu ce qu’elles subissent, c’est souvent préférable… — De temps en temps, oui ! Et puis je fournis un peu les copains, tu sais comment c’est.— J’en aurai bien besoin en ce moment… souffle-t’elle avec un petit sourire.— Aucun soucis voyons ! dis je en lui tendant ma boite. — C’est que… avec le procès et tout ça… Je ne peux pas me le permettre car…— Mais oublie ça, voyons ! Ça t’aidera à tenir le coup et tu me paieras quand tu pourras, il n’y a pas urgence !— Oh merci, Michel ! Mais je te rembourserai sans faute, tu sais !
Tu parles que tu vas me rembourser, grosse pute, je souris en moi même. Une fois que tu auras « repiqué », tu me rembourseras au centuple pour avoir ta dose à te mettre dans les narines, je le sais bien !Je l’encourage du regard et elle s’envoie une petite dose discrètement sans même m’en proposer ensuite. Elle part d’un petit rire cristallin et dit :— Oh que c’est bon… Ça va m’aider à tenir le coup, merci Michel ! Tu sais, ça ne va pas fort…
Je ne relève pas et me gare sur le coté pour faire signe à une grande blonde élégamment vêtue d’un superbe tailleur qui cache ses formes pulpeuses. J’ai très soigneusement suivi son dossier et j’ai une stratégie en tête pour bien ferrer Marie-France en utilisant cette salope. — Tu préfères que je te dépose le temps que je fasse l’interview ? je demande à Marie-France.— Non, pas de problème, Michel !— C’est que je ne voudrai pas t’embêter avec ça alors que tu dois avoir beaucoup de choses à faire. Ça risque d’être un peu particulier tu sais. Je dois poser des questions plutôt curieuses pour le film…— Aucun soucis ! Je viens déjà te solliciter, je ne vais pas en plus t‘empêcher de gagner ta vie ! minaude-t’elle.
Ben tiens ! Avec le coup du téléphone, elle a peur que je ne mette les voiles et qu’elle ne puisse plus être en mesure de me soutirer du fric, la fourbe. Et le look de la femme la rassure. Elle se dit qu’il s’agit d’un casting informel pour le ciné classique. Elle va pas être déçue… — Tu peux laisser ma candidate monter à l’avant par contre ?— Oh mais bien entendu !
La blonde monte en saluant Marie-France qui l’ignore superbement et s’installe à l’arrière. Je redémarre et rompt le silence :— Bonjour. Je suis Michel Varnant et mon amie assise derrière s’appelle Marie-France.— Je suis Jacqueline Duval, monsieur Varnant. Bonjour madame.— Je suis navré, madame Duval mais j’ai trois interviews aujourd’hui et mon assistante ne m’a pas stipulé pour quelle production vous étiez intéressée.— Et bien… hésite la femme en rougissant. C’est pour la série… « Forcée par l’anus », monsieur Varnant.— Mince… Vous n’aviez pas le look habituel… Marie-France, il vaudrait mieux que l’on se revoit plus tard tu sais. C’est en rapport avec mes films un peu spéciaux. Avec le coup de ce matin, tu vas vraiment me prendre pour un gros malade ! Franchement je préfèrerai !— Non s’il te plait, supplie t’elle au bord des larmes. J’attendrai le temps qu’il faut mais j’ai besoin de ton aide, je t’assure ! — Tu es vraiment certaine, Marie ? Tu ne vas pas me voir sous mon meilleur jour… Vas faire des courses et on se retrouve dans une heure, ce serait mieux, crois moi !— Michel s’il te plait… Je vais me faire toute petite, ne t’inquiète pas…— Bon… On va essayer de faire rapide. Bon, Jacqueline, mon amie n’est pas du milieu alors on se limite au minimum, ok ?— C’est vous qui commandez, monsieur Varnant.— Ok… Bon, on va descendre dans le parking là et on va discuter un peu…— Oui, monsieur Varnant, réponds la blonde en rougissant.
Une fois garé dans un endroit bien tranquille, j’attaque :— tu connais le concept de la série ?
Le tutoiement pose clairement le ton : — Oui. Des femmes mariées et très « sages » sont contraintes par leur époux d’être sodomisées par des inconnus violents. Elles conservent leur anonymat en étant cagoulées.— Parfait. Tu pratiques l’anal ?— Oui, monsieur.— Régulièrement ?— Et bien… Je fréquentais parfois certains clubs et mon ami de l’époque me travaillaient un peu l’anus.— Ah… Je suppose que tu es quand même dilatée alors…— Oui un peu !— Un peu comment ? Il y a une différence entre se faire sodomiser occasionnellement et défoncer à la chaîne quand même ! Tu te faisais défoncer à la chaîne, hein Jacqueline ?— Oui c’est vrai mais…— Mais quoi ? Il te dilatait aux écarteurs ton ami ? Peut être même qu’il te fistait ?— Oui…— Donc tu ne fais pas l’affaire pour « Forcée par l’anus », c’est tout. Les clients de ce produit achètent pour voir les nanas gémir et pleurer quand elle se font enculer. Tel que j’imagine ton trou, ça ne va pas être très crédible…— S’il vous plaît… J’ai vraiment besoin d’argent, monsieur, gémit la blonde. Je vous montre si vous voulez et vous me dîtes !— Ça m’ennuie là avec mon amie à l’arrière !
Cette salope de Marie-France fait celle qui n’écoute pas alors qu’elle est écarlate. Elle feint d’être au téléphone mais je sais pertinemment que le signal ne passe pas dans le parking et qu’elle n’en rate pas une miette. Autant en rajouter un peu…— Bon d’accord fais voir. Mais discrètement, je ne tiens pas à embarrasser ma passagère qui est loin d’être une dépravée partouzeuse aux trous béants, elle !
Jacqueline Duval se met à genoux sur le siège et relève son tailleur. Bien entendu, elle porte un string minimaliste. Elle écarte ses fesses à deux mains et se cambre. La situation l’excite aussi car l’habitacle s’imprègne des relents de sa chatte trempée. J’avance la main vers son derrière et me met à palper comme si c’était de la viande :— Non franchement, tu es complètement défoncée ! Je suis désolé mais tu ne fais pas l’affaire…— Je vous en supplie monsieur Varnant ! Il me faut cet argent… Je ferai ce que vous voulez ! Je sais être très obéissante vous savez…— Peu importe. Tu ne conviens pas à cette collection ! Participe plutôt à « Tournante ». Je produis le cinquième épisode bientôt ! Dans « Tournante », j’ai justement besoin de vieille chiennes qui prennent de la queue par tous les trous !— Non, monsieur Varnant ! Je dois être masquée ; j’ai des enfants, une famille, je ne veux pas qu’ils apprennent ce que je fais… Et j’ai besoin de cet argent rapidement…— Je ne suis pas responsable de tes problèmes ni du fait que tu te fais tellement défoncer qu’on dirait que tu couches avec des chevaux ! Et ça donne quoi le reste vu l’état de ton cul ?
Sans prévenir, je soulève carrément le tailleur et relève brutalement le chemisier, la débraillant de façon ridicule. Elle se laisse faire docilement en reniflant doucement. Elle a les hanches larges et des grosses fesses un peu molles mais encore appétissantes. Deux gros seins laiteux surplombent son petit ventre gras.— Tu as quel âge, Jacqueline ?— J’ai 46 ans, murmure-t’elle en se retenant de tomber en sanglot.— C’est bien le problème ! Tu as les fringues d’une petite bourgeoise bien propre, le corps d’une mère de famille mais les trous d’une pute à nègres ! Tu as du te faire ramoner par des centaines de bougnoules mais tu ne veux pas qu’on voit ton visage de salope sur les vidéos alors qu’il a du tellement servir de réceptacle à jute qu’on pourrait remplir une baignoire !
Elle se met à pleurer et ça m’excite. J’hésite à lui dire de me sucer mais considère que c’est encore trop prématuré. Marie-France n’est pas prête pour ça. A ce propos, je me calme et reprends d’un ton ennuyé :— Pardon… je n’aurai pas dur dire ça… Et rhabille toi voyons. Mais je ne vois pas comment je peux t’aider sincèrement… Tu n’es pas faite pour rentrer dans ce milieu et tu ferais mieux de retourner voir ta famille. A moins que…— Oui… souffle la blonde comme une noyée.
Je constate que Marie-France est suspendue à mes lèvres.— Tu as entendu parler des « Live Show » ?— Non, monsieur Varnant !— Et bien comme le nom l’indique, ce sont des prestations réelles et non filmées – sauf avec accord. Par contre, ça se déroule devant un public très averti et blasé par les productions classiques.— Mais… Ça paie bien ?— Très bien car les gens qui apprécient ce genre de truc peuvent se permettre d’assumer financièrement les pires perversions. — Et… il s’y passe quoi ?— Pas mal de SM très hard. De très grosses défonces aussi et des pratiques spéciales genre double vaginal et anal, travail aux écarteurs, fist et foot fucking.— Je… Je peux assurer ça. Vous avez vu.— Oui et c’est pour ça que je te le propose. Tu es branchée SM aussi ?— Je ne veux pas être marquée durablement.— Mais tu te laisses attacher et fouetter ?— Oui…— Ca t’excite d’avoir les mamelles ou les lèvres de la chatte distendues ?— Oui…— Te faire insulter et avilir aussi ?— Oui… Aussi…— Si tu t’imagines en train de te faire traiter de grosse pute et de salope par une vingtaine d’hommes d’affaires très important qui s’encanaillent, ça t’excite ?— Je… je ne sais pas !— Bien alors car ils aiment humilier, pas se retrouver avec une vraie putain pro qui sourit en acceptant. Tu vois le style ?— Oui j’imagine. — En fait c’est un spectacle mais il arrive qu’ils se lâchent parfois et participent. Ca donne lieu à des bonus bien sur mais ça peut être difficile à supporter. Tu avales quand tu suces ?— Oui, monsieur Varnant. — Urine et sperme ?— Je… Je le ferai s’il le faut.— Je te demande car une fois, ça a tourné à la scato. La fille a du faire devant eux et manger. Ensuite ils l’ont attachée et étendue dans la baignoire et ils lui ont pissé, juté, chié et vomi dessus. Certains l’ont même utilisée comme cendrier.— Mon Dieu…— Elle a empoché beaucoup d’argent mais elle a été drôlement secouée pendant un bout de temps même si maintenant c’est ma « spécialiste » pour ce genre de plan et qu’elle s’est même mise à la zoo. A ce propos, tu te verrais sucer ou te faire baiser par un chien ?— Je ne sais pas. Le prix…— Le prix n’est pas un problème, crois moi ! Tous les bonus sont pour toi car je ne prends pas d’argent sur ces prestations. Je ne suis pas un macro. Ça m’est simplement utile pour tisser des liens et satisfaire les perversions de certains puissants compliqués. Tu veux essayer ?— Ce serait quand ?— Il y a un « live » ce soir ! A l’hôtel « Meridian » ! — Ça se passe dans un palace ?— Bien entendu ! On ne fait pas descendre ce genre de spectateurs dans un « Formule 1 » enfin ! La plupart de ces établissements sont habitués à nos « petites soirées »…— Il y a un scénario ?— En quelques sortes, oui ! Le plan principale repose sur des étalons avec des bites monstrueuses qui défonceront les filles sur le billard pour que tout le monde puisse en profiter. Mais ça ne doit pas beaucoup t’effrayer quand on voit comment tu es déjà déchirée… Les pratiques restent classiques mais ce sont les spectateurs qui orientent le scénar. Quand tu n’es pas sur le billard, tu satisfait les spectateurs qui le demandent de la façon qu’ils souhaitent.— Je fais la prostituée quoi…— Pire. L’esclave sexuel. Et tu dois avoir honte de ce que tu fais car ce qui les excite c’est de te voir contrainte à te dépraver, ne l’oublie pas. — Je n’aurai aucun mal… C’est ignoble !— Exactement ! Surtout qu’il y a des jeunettes et que ça va les exciter de voir une vieille chienne dans ton genre au milieu, c’est sur ! Ca leur rappellera bobonne et toutes les saloperies qu’ils rêvent de lui faire mais n’osent pas concrétiser.— Donc avec des filles aussi probablement.— Possible. Le plan maman et sa fille, genre inceste honteux, ça marche pas mal. Tu fais les filles ?— Je le ferai oui mais je n’aime pas ça.— Tant mieux si tu fais ta dégoutée ! Ah ! Une des « invitées actives » est une ancienne gloire de la chanson tombée en désuétude. Ils adorent ça ! Une des leurs qui a trébuchée ! Elle touche le plus gros cachet du fait de sa notoriété mais elle ne le vole pas, crois moi, car c’est elle qui supportera les pires cochonneries… Il y aura aussi peut être une autre « star », une présentatrice de télé qui aime les trucs tordus.— Je… je peux être masquée ?— Tu peux porter un loup en exhibition de groupe mais si tu es entraînée dans une chambre pour un truc spécial, il faudra peut être le retirer.— Je ne veux pas être reconnue…— Attends ! Réfléchis une seconde ? Ces gens sont très en vus ! C’est une soirée facile ce soir : les cadres dirigeants de deux multinationales qui vont fusionner. Ce genre de petits évènements les lie aussi durablement que le contrat classique…Tu crois vraiment qu’ils souhaitent te causer des soucis ? Ce serait admettre qu’ils participaient à des orgies immondes et les dégâts les concernant seraient bien pires que pour toi ! Pourquoi selon toi les partouses les plus dégueulasses se déroulent dans ces milieux sans qu’il y ait de scandales ? Simplement parce que leur propre perversité commune leur assure un silence obligatoire. — Je ne sais pas trop…— J’ai bien peur que tu n’aies pas beaucoup le choix. Si tu as besoin d’argent rapidement et que tu ne souhaites pas avoir le visage filmé, c’est tout ce que j’ai à te proposer.— J’accepte. Merci, monsieur Varnant.
Nous ressortons du parking et je lâche Jacqueline Duval. Elle me remercie, le visage angoissé. Marie-France reprend place à coté de moi et j’appelle la blonde de mon coté de la voiture et lui dis doucement mais bien assez fort pour que l’autre faux-derche entende parfaitement :— Ah Jacqueline,. Donne moi tes coordonnées directes. J’aimerai que tu viennes chez moi ensuite pour me remercier concrètement…— Mais je croyais que…— C’est pour éviter que mon amie Marie-France ne pense que je suis un pervers dégueulasse mais tu ne vas pas t’en tirer comme ça. Je t’appellerai dans la semaine et je te pèterai le cul comme tu aimes, salope !
Nous nous entendons pour le rendez-vous « live » de ce soir et elle s’éloigne enfin. Marie-France se renvoie un coup de coke dans les narines. Elle a les yeux brillants et elle est excitée, ça se voit. Il ne faut pas s’y tromper car sous sa façade de bourgeoise, c’est une sacrée salope. Elle est mûre pour la première partie du plan et je lui tends la perche :— Je ne voudrais pas t’infliger un autre spectacle comme celui que tu viens de voir. Tu as quelque chose à me demander, je t’écoute.— Et bien… j’aurai besoin d’un peu d’argent ! Avec le divorce, je ne m’en sors pas et comme tu es mon seul ami qui…— Tu sais ce que j’attends de toi si je te donne de l’argent.— Tu me traites comme si j’étais une prostitué, minaude-t’elle.— Nous ne sommes pas des inconnus et tu sais que j’ai toujours des vues sur toi, je ne m’en suis jamais caché.— Je suis toujours techniquement une femme mariée, fait elle, faussement scandalisée.— C’est justement ce qui m’excite le plus.— Cochon !!! ricane-t’elle. C’est d’accord ! Mais ne me confonds pas avec cette femme immonde, je suis très sage et classique sexuellement !
Tu parles !!! Se faire surprendre par le détective privé payé par son mari Raymond en train de se faire sauter en même temps par trois jeunes nègres qu’elle payait dans sa villa de Saint Barth, on a vu plus sage !
— Voilà ce que je te propose : tu m’accompagnes ce soir à une petite soirées spéciale.— Mais Michel, ma réputation…— Ne t’inquiète pas, tu seras masquée. On s’encanaille un peu. Je serai généreux et ça sera très excitant, tu verras ! D’autant que ça devait pas être l’éclate niveau sexe avec ce pauvre Raymond !!!— Ohlala non c’est vrai, s’amuse-t’elle d’un mauvais rire moqueur, exactement celui qu’elle avait eu pour m’humilier en public « avant ».
J’ai envie de la frapper et ça doit se voir car elle a un petit geste de recul effrayé mais je reprends immédiatement le contrôle. Ce serait trop bête de tout gâcher alors que j’attends cela depuis si longtemps… Nous nous quittons bien sagement après nous être entendus sur les modalités pour se retrouver.
Marie-France est quand même inquiète lorsque nous arrivons au parking du Méridian. Elle porte un superbe tailleur ocre de marque hors de prix, un chemisier beige, des bas à couture et de superbes escarpins qui mettent en valeur ses mollets délicieusement musclés. Lorsque nous descendons de la voiture, je lui tends le loup en satin destiné à masquer son visage. Fébrilement, elle le met et nous arrivons jusqu’à l’ascenseur spécial qui nous emmène directement jusqu’à la suite que j’ai loué.Nous parvenons à l’étage requis et les deux gorilles me font un signe de tête respectueux. La soirée est déjà avancée. Elle est destinée uniquement aux gros pontes des deux compagnies et il est rare que des débordements extrêmes aient lieu en public. Avec les gens de la Jet Set, du spectacle ou même de la politique par contre…Je salue très naturellement les gens que je croise. Jusqu’ici on se croirait dans un cocktail mondain. Lorsque nous arrivons dans la salle du « billard », l’ambiance est toute autre…A quatre pattes et les poignets attachés dans le dos, Jacqueline Duval suce péniblement la queue gigantesque d’un grand noir musculeux agenouillé devant elle tandis qu’un second défonce en alternance sa chatte et son cul béants. La blonde ne porte plus que ses bas déchirés et son porte –jarretelles. Ses lourds seins mous et son ventre gras ballottent sous les violent coups de boutoir. Ses fesses et ses cuisses blanches sont marbrées des claques répétées qu’elles ont reçues. Elle est en sueur, le visage, les cheveux en bataille et le minuscule masque maculés de coulées de sperme gluantes. Elle pose ses yeux exorbités de honte et de douleur sur moi et l’odeur des corps prend à la gorge. — Monsieur Varant…, supplie-t’elle.Tout autours de la table, une vingtaine d’hommes en costumes mais plus très respectables vocifèrent :— Transperce cette pute !!!— Allez vas y, fais lui sortir la merde par la bouche à cette vieille truie !Je sens Marie-France qui se serre un peu plus sur moi. Je lui désigne l’écriteau qui flanque le « billard » et sur lequel on peut lire le programme : « Jacqueline, 46 ans. Bonne mère de famille avec trois enfants, divorcée : Contrainte de fréquenter les clubs de partouses où elle était prise à la chaîne lorsqu’elle était mariée, elle souhaite se racheter une respectabilité. Mais en attendant – sans ressources - elle supportera le pire pour de l’argent facile. »— Tes gamins savent que tu es une putain, Jacqueline ? raille un grand maigre.— Si tu as une fille, amène là, on lui fera sa fête si elle est aussi portée sur la bite que sa maman, lâche un autre.Le spectacle est terrible et les propos immondes autant que les pénétrations sauvages transforment les très retenus cadres en une bande d’infects salauds. Le noir qui se fait sucer gifle Jacqueline Duval deux fois, déclenchant de nouveaux encouragement. A demi assommée, elle ne peut l’empêcher de s’allonger sous elle. Il prend ses gros seins mous à pleines mains et la plaque sur lui. La Blonde hurle et tente de se débattre tandis que l’enculeur sort sa verge et écarte les fesses molles à deux mains pour bien montrer l’anus torturé aux spectateurs qui poussent une clameur joyeuse.— Les deux dans le cul ! hurle un gros type immonde !!!— Arrache lui les mamelles, renchérit un petit dégarni.— Non… s’il vous plait… supplie Jacqueline pendant que tous les autres hurlent de joie.— Mon Dieu… souffle Marie-France à coté de moi. — Aaaaaaaaarrrrrgghhhhh hurle la blonde tout le temps que les bites hors normes s’enfoncent de concert dans son rectum béant et que les globes de ses seins se violacent sous la poigne qui les tord sans pitié.
Un grand cri de joie sadique et général salue l’exploit. Les deux noirs la défoncent le plus durement possible puis déculent et écartent à nouveau les grosses fesses de la suppliciée. L’anus éclaté reste entièrement ouvert, rouge et gluant, et lorsqu’un des noirs enfourne dedans les doigts de ses deux mains pour l’écarter de toute ses forces, il est à nouveau salué par les spectateurs. — Ouvrez la en deux, la cochonne !!! ordonne un chauve au regard halluciné.Jacqueline Duval cherche l’air, la bouche ouverte sur un cri muet. Le noir ressort enfin ses doigts, tartine pour la énième fois généreusement une bonne dose de crème épaisse sur l’anus et le vagin et recommence à exploser les trous de la blonde avec son collègue. Deux dans un orifice, puis dans l’autre, puis un chacun. Certains voyeurs autours se branlent maintenant sans retenue à travers leur pantalon, quelques queues turgescentes sont même sorties plus ou moins discrètement. Quelques spectateurs saluent l’arrivée de Marie-France :— Sur le billard, la nouvelle !!!— Ouaiiiiiss !!! Défoncez la !!!Je susurre à l’oreille de Marie-France :— Vas y monte et finis la ! Travaille la au poing ! Je double la somme !Elle me regarde avec dégoût mais l’argent que je lui propose l’emporte. Avec une moue de défi, elle retire sa veste de tailleur puis me donne sa montre et ses bracelets et monte sur la table sous les encouragements. Je fais signe aux noirs de s’écarter et il y a quelques grognements de mécontentements jusqu’à ce que je gronde à la nouvelle arrivée :— Vas y ! Déchire la !!!— Non pitié… Monsieur Varnant… Non… hoquète péniblement Jacqueline Duval que les deux noirs maintiennent fermement sur le tapis.— Les seins ! Écrase-les ! j’ordonne à un des noirs.Sans hésiter, il dégage les seins martyrisés de chaque coté du torse de la blonde toujours maintenue à plat ventre sur le billard puis l’enjambe au niveau des épaules. Il s’agenouille jusqu’à ce que ses grosses couilles et sa queue démentielle toujours dressée battent comiquement le dessus de la tête femme esclave. Sous les encouragements, il enfonce ses deux genoux dans la chair molle, écrasant impitoyablement les mamelles massacrées et clouant Jacqueline Duval sur le tapis vert. La suppliciée perd presque conscience sous la terrible souffrance. Je tire sur ma cigarette et la regarde dans les yeux en approchant le mégot incandescent du sein le plus proche et dis avec un mauvais sourire :— On se réveille, Jacqueline !Puis j’écrase la cigarette sur le téton dans un grésillement immonde. Elle hurle et se débat à nouveau, tirant toujours plus sur ses gros nichons détruis. Pendant ce temps, Marie-France s’est positionnée derrière la blonde. D’une moue dégoûtée, elle ferme son poing droit et le plonge brutalement dans le vagin supplicié ou il s’enfonce jusqu’au poignet. La Fistée pousse un long gémissement qui se transforme en hurlement quand le poing gauche entre dans son anus. Les spectateurs sont devenus des brutes infâmes et ils encouragent la nouvelle venue.Sadiquement, Marie-France ressort ses poings et les replonge de toutes ses forces. Jacqueline Duval est à nouveau au bord de l’évanouissement et les deux noirs la raniment en la giflant. Deux spectateurs tirant sur des cigares m’interrogent du regard. Je caresse gentiment le visage baigné de sueur de la Duval pour avoir son attention :— Jacqueline ? Encore une petite motivation ?— Pitié… souffle-t’elle, le regard fiévreux.Je me détourne et fais signe aux fumeurs de se lancer. Les deux cigares s’enfoncent profondément, un sur chaque mamelon, déclenchant un nouveau cri de bête agonisante. L’ambiance est à son comble quand Marie-France se met à faire pénétrer la main qui ravage l’anus jusqu’au coude en forçant. Les spectateurs comptent en cœur la douzaine de fois ou le poing impitoyable replonge dans l’orifice dévasté, toujours un peu plus loin. C’est le délire total lorsqu’elle met ses deux mains jointes comme pour une prière et regarde l’assemblée pareille à un Gladiateur romain. Tous les hommes présents poussent un cri je joie effrayant et les deux mains pénètrent dans le rectum distendu à se déchirer. Plongée dans l’anus jusqu’aux poignets, Marie-France me jette un regard interrogateur ou la folie du stupre se mêle à l’inquiétude et je hurle :— TUE LA !!!Tous les autres reprennent en cœur, habités par la démence « TUE LA !!! TUE LA !!! ». Les avant-bras joints, Marie-France pousse toujours plus loin. Le gel lubrifiant se met à couler du trou du cul sous la pression mais elle ne s’arrête pas avant d’être bloquée par ses coudes. Jacqueline Duval râle et bave, les yeux révulsés. Quelques vas et viens bestiaux et la bonne mère de famille commence à jouir du cul en lançant une longue plainte désarticulée. Marie-France fait coulisser ses bras encouragée par les « Han ! Han ! » des mateurs hallucinés. Enfin, la blonde, le trou du cul distendu à outrance, ne peut se retenir et se met à pisser en pleurant, le corps agité de spasmes incontrôlables. Avidement, elle cherche encore l’air de la bouche mais ne rencontre que les queues des noirs qui se vident sur elle et flagellent son visage brutalement de leurs gourdins. Marie-France ressort ses poings souillés et est ovationnée tout le temps ou elle se nettoie avec la serviette que je lui ai tendue. Je constate que les trous défoncés restent ouverts de façon inquiétante. Marie-France me rejoint pendant que les deux noirs portent Jacqueline Duval dans une chambre ou l’attend le docteur qui ne manque jamais d’assister à nos petites soirées. Elle n’aura pas volé son fric, la mère de famille !!!
Deux belles jeunettes ont pris la place de Jacqueline sur le billard. Malgré la très belle plastique des demoiselles, la plupart des spectateurs sont encore sous le coup de la scène de folie à laquelle ils ont assisté. Certains ont joui dans leur costume, d’autres se dirigent vers les toilettes pour se finir et les plus délurés vont – l’air de rien – vers la salle des « paillasses ». Quand on explique de quoi il s’agit au départ, tout le monde a une mine dégoutée mais une fois la soirée lancée, les « paillasses » sont souvent bien occupées… Nous buvons tranquillement un verre maintenant et Marie-France est félicitée par plusieurs fêtards concernant sa « prestation ». Comme à son habitude, elle minaude et feint poliment de ne pas sentir les frôlements limites dont elle est l’objet. Ses admirateurs « sentent » qu’elle est de la haute et ça les excite encore plus. Plusieurs d’entre eux lui font des propositions poussées mais elle refuse poliment. Elle a gagné beaucoup d’argent sans vraiment s’impliquer et sa « dignité » est de retour. Interloquée, elle me demande quand même où vont les hommes qui empruntent le discret couloir qui mène aux « paillasses ». Je lui fais un clin d’œil mystérieux et l’entraîne derrière moi. Au bout du couloir, il y a plusieurs portes. J’en pousse une et nous nous retrouvons dans une pièce exiguë et carrelée. L’odeur de sperme et d’urine y est entêtante. Quatre minuscules cabines, une à chaque point cardinal se font face. Nous pénétrons dans l’une d’elle et Marie-France a un geste de recul. Une fois la porte franchie, une glace sans tain permet de voir la victime au centre des quatre cabines. C’est une jeune rouquine à la peau laiteuse et aux cheveux mi-longs. Très maigre, elle a des petits seins ridicules au tétons énormes. Paradoxalement elle a un ventre replet et gras qui surplombe une chatte vulgaire aux lèvres épaisses et saillantes entièrement rasée. Ses hanches sont étroites - presque masculines – et ses petites fesses musclées et son dos laissent voir des traces récentes de flagellation. Agenouillée à même le sol, elle suce et branle en pleurant les queues qui pendent plus ou moins mollement des trous percés dans chaque cabine. Un jet d’urine vient de jaillir de la lourde bite qui pointe de la cabine à notre gauche suivi d’un ordre :— Avale ! Bois le bon jus, gouinasse !
La « paillasse » tourne docilement la tête, bouche ouverte, et le flot de pisse frappe sa langue. Les yeux baissés, elle continue à branler les deux autres grosses queues excités par le spectacle en même temps qu’elle boit la pisse immonde. Rapidement, un jet de sperme venu d’une autre cabine englue ses cheveux et elle enfourne dans sa bouche en tremblant la queue qui crache puis la nettoie avec application. Je bande comme un âne et Marie-France ne peut l’ignorer car je suis collé sur ses fesses. Je lui murmure :— Tu veux essayer ?— Tu t’égares enfin ! C’est immonde !
Je laisse échapper un petit rire méchant et montre le petit papier imprimé dans la cabine sur lequel on peut lire : « Cette Paillasse s’appelle Corinne. Elle a 18 ans aujourd’hui et des tendances lesbiennes. Sous prétexte d’être majeure, elle pense pouvoir vivre une existence de dépravée. Merci de l’humilier sans pitié pour aider son beau-père a faire rentrer cette rebelle dans le droit chemin. »Nous quittons la cabine alors que la brune embouche une petite queue molle qui vient d’apparaître dans un trou resté vacant.— Il y a trois salles à « paillasses » dont une avec une bonne mère de famille désespérée comme cette pauvre Jacqueline que tu as si violemment fistée ! Tu veux voir les autres ?— Non, c’est franchement répugnant ! — Dommage… On a tondu cette pauvre maman et elle est empalée sur un gigantesque god écarteur à ventouse fixé au sol, ça plait beaucoup…— Quelle horreur !
Pour une fois, je la crois ! Raison de plus pour bander en imaginant quand elle échouera là pour la première fois…— Qui est cette pauvre gamine rousse là dedans, demande Marie-France.— Une fugueuse trop contente de se faire quelques billets.— Tu es vraiment dégueulasse…— Tu ne crois pas si bien dire ! Tu veux savoir ce que j’ai prévu pour elle en fin de soirée ? Un bon viol collectif avec tous les gentils messieurs en costard qui le souhaiteront ! Heureusement qu’elle aime les coups de ceinturon. Je te montrerai la vidéo si tu es sage…Elle affiche un mutisme fâché lorsque nous revenons dans le salon. C’est à nouveau le vacarme au « billard ». Marianne Ferra, l’ex-star de la chanson se fait justement cruellement fouetter les seins au martinet par un « spectateur » encouragé par ses collègues hilares qui l’obligent à chanter ses « grands succès » pendant que les deux étalons noirs la défoncent en maintenant son buste offert à la morsure du cuir.Je propose à Marie-France de prendre congé et nous repartons après que j’ai salué les responsables des sociétés à l’initiative du « live show » qui se déclarent « positivement enchantés ».Dans l’ascenseur, je caresse brutalement Marie-France qui se défend mollement. Une fois dans le parking, je la force à s’agenouiller sans dire un mot et elle sort ma queue gluante d’excitation qu’elle prend en bouche. Quand je suis bien raide, je la mets debout et la plaque à même le mur en béton du fond du box. Je relève violemment son tailleur, tire sur son slip en dentelle puis murmure :— Vas y… Écarte tes fesses…— Non s’il te plait pas comme ça… supplie-t’elle tout en obéissant.
Ses trous son gluants de mouille. Je tâte son anus du pouce, positionne mon gland et m’enfonce d’une seule poussée. Elle pousse un petit cri de douleur mais elle ne m’abuse pas : sans être Jacqueline Duval, elle est habituée à se faire sodomiser durement ! Je tire sur son chemisier, dévoilant ses seins lourds, et la colle fermement contre le mur rugueux avant de la besogner férocement. En quelques coups, je me mets à jouir. Je me vide longuement entre ses fesses puis je la prends par les cheveux et tire méchamment pour qu’elle se remette à genoux :— Aïe ! Tu n’es pas obligé de me faire mal, je vais le faire… gémit elle.— C’est comme ça que ça m’excite, salope !
Elle nettoie docilement ma queue sortant de son cul jusqu’à la dernière goutte. Échevelée et l’œil furibond, elle se plaint des griffures que le crépi lui a occasionné à la poitrine. Une fois en voiture, elle remet de l’ordre dans sa tenue et je lui donne la somme convenue. Qu’elle recompte jusqu’au dernier billet. Le retour jusqu’à chez elle s’effectue dans le plus grand silence et elle me quitte sans m’avoir adressé la parole. Enculer Marie-France m’a excité et je décide de repasser à la soirée. Normalement, les dernières inhibitions sont tombées maintenant et ceux qui sont restés se livrent aux pires excès qui soient, s’émulant les uns les autres. C’est bien souvent le moment où les vraies natures se révèlent et où les dérapages surviennent…
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