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Déchéance et rédemption

Chapitre 7

Moments d'égarement

Inceste
Le Club
 

La journée se déroula sans surprise. Comme prévu, Alexander fut déposé le matin à son lieu de travail par sa fille Alicia. La boutique informatique se trouvant dans le même quartier que l’hôpital Honoré-Mercier, le détour que devait effectuer la femme-médecin n’était donc qu’une simple formalité. C’est à seize heures trente pile que la jeune femme reprit avec elle son passager afin de faire un crochet vers l’hôtel où ce dernier logeait depuis son retour au pays. Alex n’ayant alors rapporté avec lui qu’une valise et un sac à dos, la chambre qu’il occupait au Sheraton fut rapidement vidée et la carte d’accès remise à la réception.
 L’homme était heureux. Non seulement heureux de pouvoir quitter cet endroit froid et commercial mais heureux aussi de se retrouver dans une maison où il se sentait bien reçu. L’homme se réjouissait en effet de l’accueil que lui avaient fait ses deux filles, deux femmes joviales et sympathiques qui semblaient tant, tout comme lui d’ailleurs, vouloir rattraper le temps perdu au terme de toutes ses années d’absence. Bien qu’il les appréciait pour leur gentillesse et leur personnalité, sa conscience acceptait encore difficilement leur orientation sexuelle tout comme celle de son ex-femme Sonia et de son ancienne amante Jasmine, la mère de Sophie. Sachant par contre que ses filles avaient pleinement fait le choix d’assumer cet aspect de leur vie, il trouva opportun de n’y porter aucun jugement et ce, au nom du respect qu’il éprouvait pour ses enfants.
 Il se résolut donc à considérer l’ambiance particulière régnant chez les tourterelles comme une certaine forme d’exotisme. Exotisme qu’il n’eût jamais été question de connaître dans les rangs de l’armée de Sa Majesté, l’homosexualité y ayant toujours été taboue pour ne pas dire bannie.
 Sophie venait d’effectuer son retour du travail au moment même où les deux autres se présentèrent au cottage situé dans l’arrondissement de Sainte-Rosalie. La journée était radieuse et invitait à la détente à l’extérieur.

 -Les filles, proposa Alexander, permettez-moi de vous offrir ce soir un bon repas sur la terrasse d’un restaurant. Je vous suis tellement reconnaissant pour votre accueil, vous m’avez fait chaud au cœur!
 -Chouette alors! se réjouit Sophie qui y voyait une merveilleuse opportunité de se sauver de la préparation du dîner. Tu entends ça, minet?
 -Excellente idée! approuva Alicia à son tour. Et c’est vendredi soir, on pourrait même faire les clubs toute la soirée!

 La Rôtisserie St-Hubert de la rue Daniel-Johnson Ouest fut un choix unanime. Côtes levées et poulet cajun firent les délices du trio qui avait bien pris soin d’arroser le repas d’un vin proposé par la maison. Il n’était que dix-neuf heures trente quand Sophie, déjà un peu pompette, fit sa proposition:

 -Le cabaret Flamingo n’est pas très loin, c’est sur la rue des Cascades.
 -Tu as le goût de mater des belles filles? demanda coquinement Alicia à sa copine.
 -Bof, de temps en temps, y a pas de mal. Mais ce serait surtout pour Papa. Qu’en penses-tu, Daddy?

 Sitôt dit, sitôt fait. À vingt heures, le petit groupe se retrouva dans l’ambiance tamisée mais bruyante du club de danseuses avoisinant la rivière Yamaska. Attablés tout près de la scène, l’homme et ses deux filles observaient avec avidité et convoitise les jeunes femmes se trémousser à moitié (puis complètement) nues à quelques mètres à peine d’eux au son d’une musique tantôt rythmée, tantôt lascive. 

 -Comment tu les trouves, nos filles? demanda Alicia à son père. Mieux qu’en Angleterre?
 -Vraiment pas pires! approuva l’homme. La petite Cynthia, au milieu de la scène, possède tout un cul, sans compter ses beaux gros nichons!
 -Wow! s’étonna Sophie. C’est fou ce qu’une couple de bières te libère le vocabulaire!

 Alex sourit à la remarque de sa plus jeune. Elle et sa sœur n’avaient plus à ignorer qu’il était un habitué de ces lieux de fréquentation. Aussi, dans une témérité fortement stimulée par l’alcool, fit-il à sa compagnie une offre aussi surprenante qu’inattendue:

 -C’est ma tournée, les filles! Payez-vous chacune une pitoune qui viendra danser à votre table. De mon côté, je vais me réserver la belle petite Cynthia.

 Tour à tour, les deux demi-sœurs reçurent la visite des filles que leur offrait leur père. Se trémoussant lentement sur un air de tango, Natascha se faisait particulièrement aguichante pour Sophie, se défaisant de ses vêtements jusqu’au tout dernier dans une sensuelle prestation qu’elle termina sur les genoux de la rouquine, collant sa poitrine nue sur celle de l’autre. Les contacts physiques étant permis entre femmes, Sophie n’hésita pas à poser ses mains sur des fesses fraîches et basanées et à accepter les lèvres que lui offrit la danseuse, en répondant aussitôt par un frenchkiss agrémenté d’un langoureux jeu de langues.
 N’éprouvant aucune jalousie, Alicia, quant à elle, se plaisait avec Coralie, une pulpeuse métisse aux seins énormes et à l’invitant large derrière. Aussi, davantage désinhibée par les bières qu’elle se retenait de roter bruyamment, insista-t-elle auprès de la femme aux yeux jaune-vert pour lui glisser un énorme billet entre les seins avant de lui demander de se retourner et de s’incliner vers l’avant afin de pouvoir déguster sa mouille fraîche et odoriférante.
 Bien qu’occupé lui-même avec une Cynthia à l’aspect à la fois angélique et diablement envoûtant, Alex ne pouvait s’empêcher d’observer du coin de l’œil ses filles alors en pleine séance de gouinage. Il ne put nier en son for intérieur que la vue de ce spectacle encore singulier pour lui contribuait largement à bâtir la solide érection qui déformait maintenant son pantalon.
 Minuit quarante-cinq. L’alcoolémie à la limite de la légalité, Alicia reconduisit son groupe de fêtards à la maison. Ricanant à l’unisson, tous les membres du trio devisaient joyeusement sur leurs expériences de la soirée, se moquant à l’occasion de leurs difficultés respectives à assembler correctement leurs mots, leur élocution fortement altérée par tous les verres ingurgités.
 À peine arrivé, Alexander se versa un double whisky et monta en titubant vers sa chambre. Les filles, quant à elles, avaient déjà gravi quatre à quatre les marches menant à l’étage, s’étant joyeusement précipitées vers la douche. Pour les jeunes donzelles que la soirée avait émoustillées, la nuit ne faisait que commencer.

 
La tentation ultime
 L’ex-militaire déposa son verre vide sur la table de chevet et se laissa choir dans son lit. Dans sa tête il repassait en boucle les moments qu’il venait de passer au cabaret Flamingo en compagnie de ses filles. Alors qu’il les entendait non loin de lui ricaner et pousser de joyeux gloussements sous les jets d’eau, il voyait de nouveau ces images d’elles défiler devant lui. Alicia et Sophie en train de s’embrasser et de se caresser sans aucune retenue à leur table. En train de lui adresser des regards et des sourires effrontément coquins. De lui envoyer ingénument du bout des lèvres de sensuels et provocants baisers.
 Les questions et les fantasmes alternaient maintenant dans son esprit fortement engourdi par l’alcool. En se montrant soudainement si reconnaissant et si audacieux face à elles, n’avait-il pas été en train d’ouvrir une boîte de Pandore avec ses filles? Les deux lesbiennes qu’il avait procréées manifestaient-elles envers leur géniteur un intérêt qui allait maintenant au-delà du simple lien filial? Était-il en train de sombrer dans un piège tendu par leurs charmes et cette soif de luxure qui semblait environner leur milieu de vie?
 Non, impossible! se dit-il. Alexander savait très bien qu’il divaguait, que c’était son ivresse qui lui suggérait ces scénarios aussi improbables que dénués de tout sens moral. Ses filles avaient beau être délurées, il les savait sérieuses et raisonnables, capables de s’approcher de la ligne interdite sans toutefois la franchir. Mais ce qu’elles étaient bandantes et désirables à voir! Certes il avait déjà visionné nombre de scènes lesbiennes sur des sites pornos auparavant, mais pouvoir observer deux filles en réel s’exécuter librement devant ses yeux, filles qu’il savait de surcroît être de son propre sang, était loin de le laisser indifférent.
 S’étant légèrement assoupi, il laissa momentanément son subconscient errer d’un rêve érotique à l’autre, se voyant offrir son énorme queue aux lèvres d’une Alicia bavant d’envie ou égarer sa langue dans l’anus brûlant de sa demi-sœur en chaleur.
 Paradoxalement, ce fut le calme régnant dans la maison qui le tira de sa somnolence. Se relevant, il résolut à son tour de profiter de la douche. De passage devant la porte entrebâillée de la chambre des filles, il s’immobilisa soudain, paralysé par la scène silencieuse qui s’offrait à ses yeux : Alicia et Sophie se tenaient toutes deux agenouillées sur le lit, nues et les yeux clos, s’embrassant tendrement. Des caresses sensuelles coulant doucement sur leurs dos et leurs fesses. Des seins paresseusement léchés par une langue vagabonde. Sentant l’excitation agiter son étendard masculin, il ne pouvait détacher de son regard ces deux nymphes qu’il trouvait à présent absolument irrésistibles, la grâce de leurs formes se fondant dans celle de leurs mouvements.
 Noyé dans ses ablutions, il tentait péniblement de reprendre ses esprits. Ses filles l’hypnotisaient maintenant comme jamais. Calme-toi, Alex! se dit-il enfin en ré-enfilant son peignoir au sortir de la cabine dans laquelle il avait repris, pensait-il, quelque contrôle sur ses pulsions. Ce sont tes filles, n’y pense même pas!

 C’est en passant de nouveau devant la porte entrouverte qu’il sentit presque son sang s’arrêter et un picotement caractéristique envelopper sa nuque entière.
 Les deux lesbiennes se trouvaient toujours sur le lit, Sophie cette fois sur le dos et sa partenaire qui la dominait sur les genoux, positionnées en ciseaux alors qu’Alicia frottait langoureusement son sexe sur celui de son amoureuse. La vue de sa plus vieille agitant ainsi les fesses et les cuisses sur sa plus jeune telle une porno-star lui fit presque perdre la tête. Sa présence devant la chambre des tourterelles ne passa toutefois pas inaperçue :

 -Tiens, nous avons un spectateur! s’exclama joyeusement Alicia en se dégageant de son entrave gomorrhéenne.
 -Désolé, les filles! balbutia timidement l’homme. Je... Je n’ai rien vu. Je me retire pour la nuit. Dormez bien.

 À peine avait-il gagné sa chambre qu’il sentit deux mains féminines se poser sur ses épaules afin de l’attirer dans la direction opposée.
 
Pris au piège
 -Oh, mais tu ne vas pas nous laisser ainsi, Papichou d’amour, surtout après la si belle soirée que nous venons de passer ensemble? demanda coquinement une Sophie toujours sous l’effet de l’alcool.

 -Allez, viens! lui susurra à son tour une Alicia tout aussi saoûle. Cette nuit, nous voulons vraiment faire ta connaissance!
 -Non, les filles! C’est... Ce n’est pas bien. On ne devrait pas! voulut les implorer le pauvre homme.

 L’instant d’après le père se retrouvait au lit avec ses deux filles, au milieu de murs qui semblaient encore danser tout autour de lui. Étendues à ses côtés et toujours en tenue d’Ève, les deux femmes qui s’étaient ensemble secrètement engagées en début de soirée dans une coquine et singulière gageure faisaient lentement courir leurs mains sur l’unique vêtement que portait encore le grand rouquin. Pris d’un inconfortable sentiment d’interdit et de culpabilité, celui-ci gardait les yeux clos, paralysé devant les gestes et les propos de ses deux espiègles.

 -Tu dois être en manque de sexe maintenant que tu es redevenu célibataire, lui suggéra Alicia en infiltrant les doigts sous les pans du peignoir. Pourquoi te payer des femmes de mauvaise vie quand tu as la chance d’avoir deux jeunes nanas prêtes à satisfaire tous tes désirs?

 Toujours passif, Alex poussa un gémissement de désespoir comme il sentait des doigts féminins explorer son corps velu et athlétique, s’aventurant audacieusement dans des régions de plus en plus interdites.

 -Non, les filles, je vous en prie, pas ça! Il ne faut pas, tenta-t-il de s’opposer avec de moins en moins de conviction.
 -Allons, Papounet d’amour, chuchota Sophie, il ne faut pas résister. Ali et moi savons très bien que tu as une folle envie de nous deux. Allez, viens jouer un peu avec tes filles!

 C’est en terminant sa phrase que la rouquine saisit le mandrin fièrement dressé de leur père pour aussitôt l’emboucher dans un gloussement de plaisir. Sa sœur Alicia approcha sa bouche de celle de l’homme, puis lui demanda juste avant de glisser ses lèvres humides entre les siennes :

 -Tu vas nous dire qui de nous deux embrasse le mieux, Daddy?
 -Mmmfff. Arrêtez, les filles! supplia Alex après s’être dégagé du baiser ainsi offert tout en émettant un premier gémissement de plaisir. C’est... C’est de l’inceste!
 -Ah oui? argumenta Sophie en continuant de lécher le gland turgescent. Et deux demi-sœurs qui baisent ensemble, ça s’appelle comment?
 -Nous t’appartenons, enchaîna la plus vieille en s’engageant dans une incongrue argumentation. Toute fille est la propriété de son père jusqu’à ce qu’il la donne en mariage. Aurais-tu osé faire don à ta fille de sa sœur à l’occasion de noces incestueuses?

 En proie à une sauvage fellation, la seule réponse que l’homme fit entendre fut la plainte étouffée d’un individu se perdant peu à peu dans les plaisirs charnels interdits.

 -Elle a trop de poils, sa queue, sembla se plaindre Sophie en examinant de près le gigantesque manche emprisonné entre ses doigts fins. Je veux bien d’une bite dans les fesses mais pas de ces poils à l’intérieur du cul. Si tu veux m’aider à gagner mon pari, minet, tu vas devoir sortir le rasoir!
 -Ah ce que tu es difficile à la fin! accepta Alicia en brandissant un Bic jetable hors de son tiroir de chevet. C’est avec grand peine que je perdrai finalement cette gageure!

 Alors que Sophie, suspendant le gland par le bout des lèvres, gardait bien dressé l’organe sexuel du père, Alicia en balaya prudemment la hampe de sa lame coupante, éliminant tout poil superflu de l’imposant mandrin.

 -Tiens, voilà, Mademoiselle la difficile. Il est maintenant tout lisse pour toi, comme la peau d’un bébé!
 -Ah, il est parfait! approuva la jeune avant de reprendre en gorge profonde l’organe masculin fraîchement rasé.
 -Qu’est-ce que vous faites, les filles? demanda Alex, à moitié endormi, en remuant lentement les jambes.
 -Tout va bien, Papa chéri. Ali et moi on te prépare pour une petite fête. Laisse-toi faire!

 Sophie se redressa en levrette, offrant son derrière à sa copine, puis:

 -Prépare-moi maintenant, pendant que je finis d’aspirer ce gros suçon.

 Alicia se positionna, porta sa langue entre les fesses de Sophie puis s’engagea dans un soigneux anulingus, passant et repassant son organe lingual autour et dans le sphincter en ébullition. Enduits de lubrifiant, deux doigts introduits l’un après l’autre achevèrent de bien dilater l’œillet de la rouquine qui se trémoussait déjà dans une folle expectative.
 Alex bougeait à peine, semblant apprécier de plus en plus le traitement que lui faisait subir sa plus jeune.

 -Mmmfff, les filles. Faut pas. Faut pas... murmurait-il, maintenant presque sans voix.

 Fin prête pour l’étape finale, Sophie prit place au-dessus du membre viril dur comme l’acier en le saisissant sous ses fesses. Au même moment Alicia chevauchait de très près la tête de l’homme, lui offrant ses lèvres et son anus.

 -Qu’est-ce que c’est? demanda le grand rouquin, les yeux toujours clos. Ça sent, ça sent... Oh, putain!
 -C’est ma belle chatte, Papa chéri. Toute pleine de mouille fraîche pour toi. Maintenant déguste!
 -Les enfants, arrêtez ça! soupira-t-il une dernière fois.
 -Attention Papa, ça va serrer très fort! l’avertit l’autre fille qui se laissa alors doucement empaler sur le lourd pénis de son père.
 -Ooofff! souffla l’homme comme il sentait la chaleur du rectum de Sophie emprisonner sa grosse bite. Non! S’il te plaît, chérie...
 -Oooh, elle est grosse, sa queue, minet. Vraiment, vraiment très grosse! Ouille ouille!

 Devant la détermination manifestée de la part de ses agresseuses, l’homme se contraignit à joindre le mouvement et s’abandonna lui-même à la luxure en léchant goulûment la féminité humide et parfumée de sa plus vieille. Pendant ce temps, c’est une Sophie aux anges qui faisait cheminer par des va-et-vient son anus le long de la hampe paternelle, lentement d’abord puis de plus en plus frénétiquement.

 -Ahhh, ahhh! gémit au bout de quelques secondes celui qui se déchargea violemment dans les reins de sa fille d’une abondante quantité de foutre épais et gluant, maculant les fesses rosées de Sophie qui se retira avant les toutes dernières giclées.
 -J’ai gagné! annonça triomphalement la rouquine en laissant échapper quelques filets de sperme chaud sur le ventre d’Alex qui achevait de haleter sa jouissance.
 -J’étais pourtant certaine que tu ne pourrais le faire, connaissant ta répulsion pour les mecs poilus! concéda Alicia.
 -Gagné quoi? s’enquit l’homme à peine émergé de sa torpeur.
 -J’avais fait avec Sophie le pari qu’avant la fin de la nuit elle ne parviendrait pas à charger dans son beau derrière la semence de son père, expliqua Alicia. Je lui dois donc une soirée complète de soumission.

 
Le père adopté
 S’étant levée tôt le lendemain matin, Sophie entreprit de prendre une douche. Tout en se savonnant elle savourait sa victoire de la nuit passée. Son petit trou était certes encore un peu sensible mais, se disait-elle, le jeu en avait vraiment valu la chandelle ou plutôt l’immense cierge. Chantonnant au cœur de ses ablutions, elle ne se rendit pas compte de l’arrivée d’Alexander qui se présenta vêtu uniquement de son peignoir.

 -Oups, désolé, Sophie! J’ignorais que tu étais là.
 -Papichou? Non, viens. Viens me rejoindre sous la douche. L’eau est si bonne!

 L’homme hésita, un peu gêné, puis s’exécuta, laissant tomber son vêtement. Répondant à son regard invitant, il rejoignit sa fille sous les jets d’eau.

 -Je veux te dire que je suis vraiment désolé pour tout ce qui s’est passé cette nuit, commença-t-il. J’étais complètement rond et... vous m’aviez rendu tellement dingue, vous les filles...
 -Mais non, Papa! répondit la jeune en lui caressant les fesses. C’est nous qui t’avons provoqué. On l’a fait exprès, tu sais? Nous avions tellement envie de toi. Nous n’avions jamais eu l’occasion de jouer avec notre père, auparavant. C’était donc une façon pour nous de rattraper le temps!

 Elle lui fit tendrement la bise.

 -Et sais-tu quoi? Ali et moi te voulons chaque soir dans notre lit. On pourra jaser tranquillement ensemble. On te contera notre belle histoire d’amour avant de baiser à nouveau!

 Elle se tut. Sans attendre davantage, elle se savonna abondamment l’anus, le rendant le plus glissant possible.

 -Ta pauvre bite a sûrement besoin d’un bon nettoyage. Mon p’tit trou, lui, il est tout propre! annonça-t-elle candidement.

 Elle se retourna, offrant de nouveau ses fesses luisantes de savon à la convoitise de son père :

 -Allez, viens. Frotte bien ta belle queue dans le chaud petit derrière de ta fille!
 -Sophie, tu es épouvantable, savais-tu ça?

 Elle se pencha légèrement. Il la saisit par les hanches.
 Au moment même où Alicia faisait à son tour son entrée dans la pièce afin d’offrir un café à sa copine, elle l’aperçut au milieu des vapeurs chaudes en train de se faire de nouveau sauvagement sodomiser par son père.

 -Sacrée coquine! se dit-elle, souriante, après avoir refermé discrètement la porte derrière elle. En train de faire de lui un papa-gâteau!

 Elle devint soudain songeuse :

 -Mais qu’est-ce que nos mères vont penser de tout ça?

 (À venir: Polémiques)
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