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Déchéance et rédemption

Chapitre 8

Polémiques

Inceste
C’est avec nervosité que Jasmine ouvrit le pli recommandé en provenance du Ministère des Affaires étrangères.
— Je ne... Je ne pourrai pas, Sonia. Lis-la-moi, je te prie.
La femme dans la quarantaine qui arborait, tout comme sa fille Alicia, une chevelure d’encre déplia la lettre. Elle parcourut la missive en levant de temps en temps ses yeux d’argent en direction de son amoureuse rongée par l’inquiétude.
— C’est signé du Sous-Ministre en personne. Ça parle de ton mari. Il écrit que Jérôme sera formellement accusé d’espionnage par les autorités chinoises. Il dit déplorer la situation et désire t’assurer que toutes les démarches nécessaires seront entreprises afin de le faire libérer dans le meilleur délai possible.
L’esprit abattu, Jasmine s’assit en acceptant le mouchoir offert par l’autre femme.
— Jérôme le savait, affirma-t-elle en soupirant longuement. Depuis l’arrestation en sol canadien de cette haute dirigeante d’entreprise chinoise et tout ce qui se passe avec Hong Kong, il me disait que tous nos diplomates marchaient maintenant sur une corde raide.— Que peut-on faire ?— Rien. Sinon espérer. Et tâcher de ne pas trop y penser.— Alors viens, ma belle, suggéra Sonia. Tu as grand besoin de relaxer. Laisse-moi t’offrir une petite gâterie au sex-shop.
***
Une véritable lune de miel s’était installée entre Alexander McKenzie et ses deux filles Sophie et Alicia. Ravi de pouvoir librement manifester à leur égard reconnaissance et affection, le père des tourterelles ne comptait plus les occasions de combler ses petites chéries, faisant de lui un véritable papa-gâteau avenant et généreux. Aussi n’hésitait-il pas à les entraîner dans les boutiques spécialisées afin de les couvrir de présents, offrant à qui une élégante tenue de soirée, à qui de la joaillerie de valeur. D’autre part, après-midis suaves à la plage nudiste, soupers gastronomiques au resto-bar et folles veillées au club de danseuses étaient devenus prétextes à de coquines activités entre père et filles retrouvés, les soirées se terminant toujours, comme de raison, aux petites heures de la nuit dans le lit Queen des tourterelles. Telles deux sauvageonnes constamment en quête de sensations nouvelles, les deux demi-sœurs semblaient prendre un malin plaisir à repousser les frontières de l’interdit en se livrant avec leur nouvel apollon à des activités dont la nature semblait vouloir dépasser l’imaginaire : double enfilade pour Sophie qui, positionnée en levrette, servait à son père une fellation tout en se faisant sodomiser au gode-ceinture par Alicia, double-jeu pour Alexander qui, dominant des nymphes agenouillées à ses pieds, s’abandonnait d’un côté à une fellation servie par sa plus vieille et de l’autre à un anulingus par Sophie ou tout simplement combo féminin alors que, couché sur le dos, l’homme savourait simultanément un coït vaginal avec Sophie et un cunnilingus chez Alicia, les deux filles, se faisant face au-dessus de leur père, bouclant le triangle de baise par un frenchkiss sans fin agrémenté de caresses sur les seins.Cet après-midi-là, ce fut pour le nouveau trio la tournée des sex-shops. Traînant avec lui depuis longtemps un vieux fantasme, Alexander accompagna ses deux donzelles au rayon des articles destinés aux activités BDSM.
— Que diriez-vous de ça, les enfants ? leur demanda-t-il en désignant un harnais fait de lanières de cuir épais et garni de nombreux pics de métal.— Ça, c’est pour attacher un homme en état de soumission, fit remarquer Alicia qui ne saisissait pas encore les intentions de son père.— Justement. Ce serait pour moi. Ça vous dirait de dominer votre homme à l’occasion ?— Tu veux dire, intervint Sophie en manipulant le matériel, que tu aimerais que...
Alexander prit le harnais dans sa main et le brandit devant elles avant de le remettre à Alicia :
— Oui, je me soumettrais à vous, les filles. Juste pour un soir. Et vous m’enculeriez sans retenue. Au gode-ceinture.
Surprises, elles se regardèrent.
— Eh bien dis donc, toi, réagit finalement Sophie, t’as vraiment pas fini de nous surprendre !— J’ai toujours voulu m’abandonner à une bonne séance de sodomie, expliqua-t-il. Avec une femme, évidemment. Pas avec un mec.
La phrase qu’il ajouta fut cependant de trop, provoquant l’irritation de sa plus vieille :
— Quoi de plus normal ?— Ah oui ? rétorqua Alicia fortement contrariée par ces derniers mots en balançant violemment l’article sur l’étalage, parce que te faire enculer par un mec n’aurait pas été normal ?! Es-tu en train de nous dire aussi que les pratiques lesbiennes ne sont pas normales ?
C’est face au ton colérique de sa fille que l’homme se rendit compte qu’il venait de trahir ses arrière-pensées.
— Euh non, balbutia-t-il, pas vraiment, c’est-à-dire...— On sait ce que tu penses de nous au fond de toi, ne cherche pas à le cacher, le réprimanda Sophie à son tour. On est pas folles ! On le sait que dans ta tête tu n’approuves pas ce qu’on fait, Ali et moi, parce que toi tu ne trouves pas ça acceptable, deux nanas qui font l’amour ensemble. Tu pensais peut-être nous convertir aux hommes en te joignant à nos ébats ? Et bien dis-toi bien que tu te trompes !
Alexander ne parlait plus, confronté à ses vieux préjugés. Sophie en profita pour enfoncer le clou :
— Sache, Papichou, qu’on n’a jamais choisi d’être lesbiennes, Ali et moi ! Les circonstances de la vie nous ont simplement conduites à découvrir notre orientation sexuelle, un point c’est tout.— Sophie dit vrai, approuva Alicia qui s’était quelque peu calmée. Malheureusement il y a encore trop de gens qui comme toi cherchent à nous pointer du doigt !
De retour à la maison, la conversation se poursuivit sur un ton amer:
— Tu nous déçois énormément avec tes idées démodées, Papa, se plaignit de nouveau Sophie en parlant également au nom de son amie de cœur. On te croyait plus ouvert et plus compréhensif. Pour finir, tu n’es pas mieux que les autres qui ne voient dans l’homosexualité que de la perversion ! compléta la fille qui ne retenait plus son chagrin.
L’homme avait baissé la tête, acculé au comptoir. Rongé de remords, il prit dans ses bras sa plus jeune qui pleurait maintenant à chaudes larmes.
— Pauvres petites ! se désola-t-il. Je n’aurais jamais dû parler de la sorte. Je suis... Je suis désolé.
Silencieuse, Alicia observait la scène, doublement abattue par le comportement de leur père et par les sanglots de sa femme.
— Laissez-nous donc simplement être comme on est ! s’exprima du fond du cœur la rouquine dans un pathétique pousser à bout. Est-ce qu’on se mêle des affaires des gens, nous, pour leur dire comment vivre leur vie ?— Je regrette sincèrement, leur murmura l’homme qui se sentait secoué par les sanglots de sa fille. Je vais faire un effort, je vous promets.
Alicia rejoignit le couple enlacé. Elle caressa tendrement la chevelure de sa copine.
— On ne t’en veut pas, tu sais, dit-elle alors. On prie seulement pour que le Ciel te donne une révélation. Pour qu’enfin ton esprit s’ouvre à la réalité.
En gentleman, le grand rouquin sortit un mouchoir et se mit à éponger les pleurs de sa fille.
— Je ne voulais vraiment pas vous chagriner. Vous êtes si précieuses pour moi, ajouta-t-il en exprimant de nouveau ses regrets.— Si nous aimons baiser avec toi, Papichou, ce n’est pas parce que tu es un mec, c’est parce que tu es notre père, voulut préciser Sophie qui s’était maintenant ressaisie. Cela ne fait pas de nous des bis, encore moins des hétéros !
Comme elle prononçait ces mots, telle une enfant cherchant sa consolation auprès de son jouet préféré, elle s’accroupit devant son père afin de dégager de son pantalon un lourd organe viril molasse et humide qu’elle s’empressa de couvrir de ses lèvres encore gonflées par le chagrin.
— Tu sais pourquoi j’aime te sucer, Papounet ? C’est que lorsque j’ai ta queue dans ma bouche, je la prends en me disant que la bite de mon père va bientôt se retrouver dans un de mes trous et ça, ça m’excite vraiment !
Alicia qui, au même moment, s’était déjà dénudé la poitrine s’approcha de l’homme par derrière et lui retira sa chemise avant de se coller sur lui et de caresser des doigts sa rousse et abondante toison pectorale.L’atmosphère connut un tout autre parfum comme le trio s’apprêtait à vivre une nouvelle et torride activité au goût d’inceste et d’interdit.
***
— Celui-là! désigna Jasmine en pointant du doigt devant Sonia un objet ovoïde de couleur violette.La conseillère du sex-shop retira l’article en montre et le déposa dans les mains de la femme aux cheveux flamboyants.
— C’est un très bon choix, approuva-t-elle en souriant. Il se porte aussi bien dans l’anus que dans le vagin.
Elle s’approcha discrètement des deux clientes et ajouta en chuchotant :
— J’en utilise justement un présentement. Ça m’aide beaucoup lorsque je me sens constipée !
Elle ajouta d’une voix redevenue normale :
— Cet œuf possède trois intensités de vibration et vient avec sa commande sans fil, ses piles et un étui de transport.
Jasmine et Sonia se regardèrent en gloussant de rire.
— Tu le prends ? demanda cette dernière à sa compagne. Je te l’offre !— Et en prime, je vous remets un petit tube de lubrifiant, compléta la vendeuse en souriant.
Dans la voiture qui les ramenait, Jasmine trépignait d’excitation :
— Arrêtons-nous quelque part pour l’essayer. S’il te plaît, Soso !— Tu ne peux pas attendre qu’on soit rendues ? T’es vraiment pire qu’une enfant !— Arrête-toi ici, c’est un McDo !
Les deux gouines firent leur entrée au restaurant, passèrent outre le comptoir de service et gagnèrent directement les toilettes des dames. Elles s’enfermèrent dans le premier cabinet privé disponible. Se trémoussant le derrière, Jasmine s’inclina vers l’avant en s’appuyant sur la cuvette.
— Calme-toi un peu et baisse ton jeans ! lui commanda en chuchotant Sonia tout en ouvrant l’étui renfermant le sex-toy.
Jasmine s’exécuta, exposant à la vue de son amante un tanga serré fuchsia déjà trempé hors duquel deux fesses légèrement dodues semblaient vouloir rebondir. Sonia saisit le sous-vêtement et l’abaissa aux genoux de la femme impatiente. Elle saisit le jouet sexuel et le porta à la bouche de Jasmine.
— Allez, prends-le et mouille-le bien, belle salope. Pendant ce temps je vais décider où tu vas le prendre.
Une subtile mais enivrante vapeur de cyprine et d’huiles périnéales envahit le cubicule comme Sonia écartait tout grand les ballons moites de son amie. Un furtif cunnilingus s’ensuivit, puis un profond anulingus qui apporta chez sa bénéficiaire un doute concernant les intentions de celle qui menait les opérations.L’œuf vibrant fut introduit vaginalement, à la grande satisfaction de la rouquine qui émit alors un gémissement de plaisir. Il en fut cependant aussitôt retiré.
— Qu’est-ce que tu fais, chérie, il était pas bien ? demanda Jasmine.— C’est pas là que je le veux. C’était juste pour finir de le lubrifier, répondit l’autre en présentant l’instrument à l’orée de la rosette humide et frétillante.
Une poussée lente mais ferme, un cri étouffé traduisant davantage la surprise que la souffrance, et l’objet se trouva baignant dans la chaleur rectale de celle qui se redressa aussitôt.
— Et voilà, chère, annonça Sonia. Enculée et prête à jerker !
À peine sorties de leur cachette, les deux amoureuses furent confrontées à une employée qui se trouvait postée devant leur porte.
— Elle avait... de petits problèmes avec sa fermeture-éclair, s’hasarda Sonia en guise d’explication.— Un zippeur télécommandé? se moqua, incrédule, la serveuse en désignant le dispositif électronique reposant dans la main de celle qui se voyait prise en défaut.
De retour dans la voiture, la grande coquine reprit en main l’instrument de contrôle.
— Hum, voyons voir...
C’est en sursautant sur sa banquette que Jasmine ressentit les premières vibrations émises par le dispositif :
— Ouaouh, c’est tout un... tout un feeling !— Parfait ! Tout fonctionne bien, approuva Sonia en remettant le tout à off. Maintenant c’est moi qui déciderai quand il sera en marche.— Oh, t’es méchante, Soso ! protesta l’autre.— C’est moi qui t’offre le cadeau, mais j’en garde le contrôle ! rétorqua la femme aux cheveux noirs.
Désirant profiter au maximum de cette chaude et radieuse journée, les deux mères de famille décidèrent d’un commun accord d’aller rendre visite à leurs filles qu’elles n’avaient pas revues depuis un certain temps.
— Elles sont chez elles, tu crois, nos petites chéries ? demanda l’une des deux femmes.— Sans doute, présuma l’autre. Aujourd’hui c’est samedi et avec les semaines qu’elles connaissent au boulot, je les verrais difficilement ailleurs qu’à la maison !— Je suis partante pour aller voir les enfants mais fais gaffe : je ne voudrais pas passer pour une cinglée devant elles à cause de ce que tu m’as planté dans le cul ! avertit Jasmine.
Sophie accueillit sa mère et sa belle-mère, s’efforçant de dissimuler son malaise devant ces visiteuses arrivant à l’improviste. Vêtue d’un simple débardeur rose qui trahissait par la présence de pointes l’absence de soutif et d’un minishort de denim bleu dévoilant la base de ses fesses d’ado tout en révélant l’élastique de son J-string, la jeune femme de vingt-quatre ans invita sa nouvelle compagnie à s’installer dans la fraîcheur de la pièce climatisée.
— Où est ta belle moitié? s’enquit sa mère Jasmine.— Euh, partie, mentit la jeune rouquine. Partie prendre une marche.— Par une chaleur pareille ? C’est vraiment bizarre, opina la mère d’Alicia. En tout cas, c’est vraiment pas dans ses habitudes !— Elle avait besoin... de prendre l’air, tout simplement.— Je trouve singulier le ton que tu utilises, Sophie. Tu es sûre que tout va bien ? s’inquiéta à son tour sa mère, avant de se mettre à se dandiner sur son siège.— Ça va, Maman ? demanda, en guise de réponse, Sophie qui observait la scène. T’es sûre que tout est OK de ton côté?— Oui oui, voulut la rassurer l’autre en jetant un regard noir en direction de Sonia qui, au même moment, pouffait de rire, la télécommande sur ses genoux.— Mais qu’est-ce que t’as ? insista la jeune femme. T’arrêtes pas de fortiller sur ta chaise !— C’est ta tannante de belle-mère, avoua finalement l’autre en désignant du menton une Sonia qui ne pouvait plus contenir ses ricanements. Elle m’a mis un objet vibrant dans le derrière et là, elle prend son pied avec la télécommande.— Oh, je vois ! comprit la fille, semblant légèrement amusée.
Ne tenant plus en place, Jasmine se leva et marcha jusqu’à la porte-patio. La scène extérieure qui se présenta alors à ses yeux la saisit si fort qu’elle pondit malgré elle dans son tanga l’œuf qui glissa alors vers l’avant du sous-vêtement pour se mettre à chatouiller sa vulve humide.
— Arrête ton truc, veux-tu ? ordonna-t-elle sèchement à sa compagne. Mais grand Dieu, qu’est-ce que je vois ?!
À l’abri d’un parasol planté au fond du jardin, on pouvait observer une Alicia en tenue d’Ève qui se faisait frénétiquement baiser par son père sur un transat. C’est avec horreur que Jasmine regardait les ébats de la jeune femme qui avait chevauché l’étalon lui faisant face, solidement empalée sur sa verge, faisant tressauter fesses et mamelles à chacun de ses mouvements. Avec un dégoût non dissimulé, la grande rouquine pouvait ainsi voir sa belle-fille sautiller à coups redoublés sur son ex-amant qui au même moment lui malaxait les seins.
— C’était donc ça, la petite promenade d’Alicia ?! s’adressa-t-elle alors d’un ton indigné à sa fille Sophie.
Sur l’entrefaite, Sonia l’avait rejointe :
— Oh non, c’est pas possible ! s’exclama-t-elle à son tour. Mais qu’est-ce que ça signifie, tout ça ? Que font ma fille et son père ensemble ?
Toutes se rassirent autour de la table.
— Papa habite maintenant avec nous, laissa tomber laconiquement la jeune rousse à voix basse. Je l’ai d’abord amené ici pour qu’Alicia connaisse enfin son père et qu’on lui apprenne que toutes deux étions demi-sœurs. Quand nous avons appris son rejet de votre part et qu’il se trouvait sans logis, nous avons pris la décision de l’accueillir chez nous.— Et Papa, il baise bien ? demanda sarcastiquement Jasmine.— Ça a commencé par une cuite, dit Sophie toujours sur le même ton, une gageure. Depuis, oui, on baise régulièrement. À deux. Et quelquefois même à trois.
Estomaquées, les mères ne parlaient plus. Elles se regardèrent, puis :
— Mais depuis quand êtes-vous aux hommes ? On vous a pourtant toujours connues gouines, comme nous !— Avec lui, c’est pas pareil, Maman. Lui, c’est pas n’importe quel mec. C’est notre père. Celui qu’on aurait dû connaître dès notre naissance. Lorsqu’il nous prend, nous sentons toute son affection paternelle se répandre en nous. Et nous savons qu’il nous aime.
Toujours choquée, Jasmine se leva d’un bond, exprimant à la fois sa vive répulsion et son profond désaccord:
— Mais c’est de l’inceste, tout ça ! Y avez-vous pensé? Je trouve cela tout à fait inacceptable et scandaleux !— Mais alors quoi ? rétorqua du tac au tac une Sophie exaspérée en élevant brusquement le ton à son tour. Qu’est-ce qui est mieux pour toi: se livrer à des activités incestueuses avec son père ou bien tromper son propre mari avec celui de sa meilleure amie !?
Un lourd silence suivit. Sonia, qui jusque-là écoutait silencieusement la conversation entre mère et fille, croisa longuement du regard celui de Jasmine. Celle-ci baissa les yeux, vaincue par le dernier argument servi par sa fille. Les yeux gonflés d’eau, elle se rassit en silence.
— Mais non, Maman, ne pleure pas, demanda la jeune rouquine en allant retrouver sa mère. Je suis désolée. C’est pas ce que je voulais dire !— T’as raison, ma puce, je ne suis pas un exemple moi-même.— Tu... tu n’es pas fâchée, Maman ?
Jasmine prit sa fille dans ses bras.
— Non, mon bébé. Maman n’est pas fâchée. Du tout. La preuve...
La tirant par la main, elle l’entraîna dans l’escalier, suivie de Sonia.
— Tu m’amènes où, Mamichou ?— Monte dans ta chambre avec moi, chérie. Je sais qu’un peu de détente te fera aussi le plus grand bien.— Mais, Maman...— Viens, que je te dis !
Sophie reconnut dans cette dernière réplique le ton autoritaire de sa mère. Elle savait que tenter de lui résister serait inutile. Jasmine exerçait depuis toujours sur sa fille unique cette forme d’envoûtement maternel qui subjuguait cette dernière, la rendant incapable de refuser toute avance de sa part et ce, depuis l’époque où sa mère l’avait personnellement initiée aux joies du sexe.
— Viens là, l’invita-t-elle en couchant sa fille sur le lit. Retire ton haut, tu dois avoir extrêmement chaud.
Sophie s’exécuta en silence, soulevant en même temps les fesses alors que Jasmine tirait sur son minishort en denim.
— Maman, j’suis pas très propre, je transpire et...— Tut tut, fit la mère en glissant sa main dans le J-string de sa fille. Dis-moi, ma puce, tu es passée au rose ? Où sont tes belles petites culottes bleues ?— C’est Ali qui me l’a demandé. Elle dit me trouver plus féminine en rose.
Une langue large et charnue balaya les tétons pointus de la jeune femme.
— Tes seins goûtent le salé, trésor. C’est vrai qu’il fait chaud et que tu transpires.— Laisse voir, demanda Sonia avant de prendre en bouche les menus seins de sa belle-fille. T’as raison. Tes beaux petits nichons, ma jolie, je les arroserais bien d’une bonne bière fraîche avant de les bouffer !
Jasmine déboutonna son pantalon jean et le dézippa avant de guider la main de sa fille à l’intérieur.
— Fouille bien dans ma culotte, petite, tu vas y trouver un trésor !
Gardant les yeux fixés sur ceux, rieurs, de sa mère, la jeune en extirpa l’œuf chaud et englué de cyprine maternelle.
— Non, Maman, tu vas pas... s’étonna-t-elle en examinant le sex-toy violet dans sa main.— Pas moi. C’est Sonia qui va le faire, précisa Jasmine en tirant le J-string de sa fille vers ses pieds.— Mais je ne suis pas lavée, ça va sentir...— Oh pas de problème, ma puce. Tes petites senteurs, je les connais bien ! C’est ce que j’aime chez toi. C’est là que je te reconnais !
Elle remit l’objet ovoïde dans les mains de Sonia:
— Glisse ça dans son beau p’tit trou de derrière, chérie, lui ordonna-t-elle en enduisant de gel lubrifiant l’anus de Sophie après lui avoir levé les genoux. Tu verras comme elle aime ça !— Oommfff ! laissa échapper la jeune comme, ayant les cuisses écartées, elle sentait l’objet tiède et glissant se loger dans son rectum.
Alors que le dispositif émettait ses premières vibrations internes, Jasmine approcha sa bouche de la vulve de sa fille. En ayant écarté les grandes lèvres, elle débusqua le bouton d’amour qui avait déjà commencé à gagner en volume. Sophie connut un sursaut, à la fois excitée par le premier contact de la langue de Jasmine sur son clito et par le travail du sex-toy qui faisait vibrer l’intérieur de ses fesses.
— Ta mouille est sucrée, mon trésor. Qu’as-tu mangé aujourd’hui ?— Un... sundae... au... caramel, Ma... man.— Pousse au max, demanda Jasmine à voix basse à celle qui contrôlait le vibrateur.
Jouissant à la fois dans ses entrailles et dans son jeune sexe, Sophie se fondit dans un foudroyant orgasme qui tira d’elle une longue complainte de plaisir. Embrassant Sonia à pleine bouche, elle expulsa à son tour l’objet hors de son orifice anal, ne conservant dans son intimité que les doux souvenirs générés par ses secousses internes.Revenant peu à peu à elle, elle sourit de nouveau à sa mère.
— Mais non, tu vois, ma puce ? Maman n’est pas fâchée ! lui sourit tendrement celle-ci à son tour en lui caressant la joue.
Elle l’aida à se rasseoir.
— Tu ne trouves pas qu’une mère baise mieux sa fille qu’un père ?
Le sourire innocent de Sophie fut, pour Jasmine, une réponse éloquente.
— Je serais encore plus heureuse si Papa acceptait notre orientation sexuelle. Mais je crois qu’il veut faire un effort. Du moins, c’est ce qu’il nous a dit.— Votre père n’acceptera jamais nos différences, conclut la grande rouquine. Il nous a fait part de sa position sur le sujet, à nous deux vos mères, bien avant l’époque de vos naissances. Et son éducation religieuse de même que son endoctrinement militaire ne vont pas arranger les choses.
(À venir: Un sang qui parle plus fort)
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