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Déchéance et rédemption

Chapitre 12

Moment critique

Hétéro
À la fois excité et craintif concernant le plan de soins qu’allait lui présenter son infirmière, Alexander se sentait totalement désemparé:
— Euh, vous dites ?— Alors, reprit la femme avec autorité, commençons par le commencement: étiez-vous actif sur le plan sexuel avant votre, disons, accident ?— Un peu, je dirais, fit timidement l’homme.— Ne me mentez pas ! C’est très vilain de mentir à son ange. D’ailleurs Alicia et Sophie m’ont tout conté de vos performances. Sachez de plus que votre ange sait aussi être une petite diablesse au lit.— Je... Oui, enfin...
Catherine s’approcha de celui qui était toujours debout et glissa sa main dans sa blouse d’hôpital:
— Il faut reprendre graduellement et régulièrement les activités, compléta-t-elle en prenant en main une bite molasse quoique déjà lourde. Il n’y a rien de plus efficace pour redonner à vos muscles leur pleine capacité.— Vous... Vous croyez, Garde ?— Mais si ! De la bonne baise, savamment exécutée. Y a rien de mieux, vous verrez !
S’étant agenouillée à ses pieds, la jeune praticienne entreprit une fellation chez son patient dont le membre viril reprit rapidement de la vigueur. Ayant fait une courte pause au cours de laquelle elle défit l’homme de son unique pièce de vêtement, elle entraîna par sa queue fortement bandée ce dernier, le coucha sur le lit et se plaça à califourchon au-dessus de lui comme pour un 69.
— L’atteinte de l’orgasme masculin sollicite le travail des muscles qui nous intéressent, Monsieur McKenzie. Nous commençons donc par la base, une bonne fellation bien sentie. Ensuite, si votre condition le permet, nous procéderons à une autre étape.— Euh... Je peux savoir, pour l’autre étape ?— Probablement une sodomie ou quelque chose du genre.
Alexander dévisagea sa partenaire, les yeux interrogateurs.
— Je verrai. C’est moi qui décide, de toute façon. Et vous n’aurez pratiquement rien à faire... ou presque.
Catherine baissa de nouveau la tête et reprit son léchage de bite.

— Maintenant, instruisit-elle son patient entre deux coups de langue, vous me dites quand vous êtes sur le point de venir. C’est très important !
La fellation se poursuivit, le mandrin se faisant de plus en plus volumineux.
— C’est ben gros, c’t’affaire-là! s’étonna Catherine en observant la taille de l’instrument alors qu’elle s’exécutait. Z’êtes sûr que ç’a déjà tout rentré dans le cul de Sophie ?— Je... Je vais jouir ! annonça le grand rouquin au bout de quelques secondes. Hey, mais que faites-vous !?
La femme s’était arrêtée, observant l’imposant pénis qui, momentanément abandonné, annonçait par des mini-secousses l’imminence de l’éjaculation, du liquide pré-séminal perlant sur le méat.
— C’est le moment critique, Monsieur McKenzie. Il faut laisser travailler vos fibres musculaires. Concentrez-vous sur vos pré-contractions et faites-moi savoir quand vous sentirez la tension diminuer.— Mais j’allais jouir, putain !!
Trente secondes s’écoulèrent durant lesquelles l’homme dut patienter, admirant pendant ce temps les dessous de sa thérapeute qui lui présentait ingénument son derrière sous sa courte robe.
— J’ai déjà vu cette petite culotte dans vos affaires, je crois.— Oui, c’est une de mes préférées. Elle me fait sentir plus cochonne. Vous pouvez regarder en-dessous, si vous voulez.
Le délicat vêtement de fine dentelle semi-transparente se fit baisser lentement par l’homme qui découvrit un cul appétissant de même qu’un sexe blond, frisotté et humide dont la vue prolongea la période de tressaillement du membre viril.
— On y retourne ? demanda la femme.— Oui oui, c’est plus... ça s’est calmé, à présent.
La femme reprit cette fois-ci le lourd mandrin en bouche et amorça quelques va-et-vient. Elle s’accroupit davantage, inondant le visage de son patient de ses effluves intimes. De nouveau, celui-ci annonça son orgasme imminent:
— Ça y est, ça vient, ça vient !
À sa grande déception toutefois, l’homme n’aboutit pas, Catherine laissant de nouveau tressaillir en solitaire un dard sur le point d’exploser, l’ayant tout juste retiré du fond de sa gorge.
— Putain, vous allez me faire mourir ! — Au contraire, je veux vous rendre plus vivant que jamais ! Concentrez-vous plutôt sur la tension de votre périnée.— Gngngn !
Un coup de langue supplémentaire, lentement, depuis les bourses jusqu’au gland...
— Arghhh !
Puis un ultime, alors que, dans un interminable râlement de soulagement, de fortes giclées de foutre se mirent à asperger le visage de la blonde qui s’empressa d’instruire à nouveau son élève:
— Contractez bien vos muscles ! Bien fort ! Encore, encore !
Catherine se releva, finit de se dévêtir, ne conservant toutefois que ses bas, et essuya son visage dégoulinant de sperme chaud, non sans s’en être au préalable abondamment enduit l’anus afin de le rendre le plus accueillant possible. Elle retourna au chevet de son patient en nage et lui rafraîchit le visage.
— C’est très encourageant, Monsieur McKenzie ! Je crois que nous pourrons enchaîner immédiatement avec l’étape suivante !— Mais laissez-moi récupérer, par pitié, je sens encore des spasmes dans mes couilles !— Oh, je vous accorde cinq minutes, pas plus, accepta la praticienne en se travaillant le trou du cul à deux doigts. Connaissant votre réputation, cela devrait suffire.
Elle ajouta, d’un ton de nouveau autoritaire :
— Des femmes vous attendent, cher Monsieur, ne l’oubliez pas. Et je dois vous rendre en mesure de toutes les satisfaire et ce, dans les plus brefs délais.— Merde, c’était presque mieux d’affronter ce cinglé d’homophobe au resto !— Vous avez parlé, Monsieur McKenzie, vous avez des commentaires ?— Je disais que jamais je ne couvrirais d’opprobre les homos !— À la bonne heure, heureuse aussi de vous l’entendre dire car, voyez-vous, je me sens un peu visée par votre engagement puisque je suis bi.
L’infirmière réexamina la bite de son patient, à moitié flasque.
— OK, la petite pause est terminée. Nous allons maintenant passer aux choses sérieuses.— Ah bon, parce qu’avant, c’était seulement pour rire ?— Ne jouez pas au gamin avec moi, Monsieur McKenzie. Comme je vous l’ai déjà mentionné, je dois vous remettre sur le piton le plus rapidement possible.
Toujours nue dans ses bas résille blancs montés à mi-cuisses, elle grimpa à nouveau sur le lit, faisant face à l’homme et le chevauchant à genoux au niveau du bassin.
— Sophie m’a avoué que vous étiez un pro de la sodo. C’est ce que je veux vérifier avec vous en complétant cette petite séance de physiothérapie. Vos muscles périnéaux sont à présent bien réchauffés et je les sens disposés à reprendre leurs activités.— On peut pas attendre un autre... cinq minutes ? voulut implorer le pauvre patient.— Ne craignez rien, Alexander, on va procéder en douceur.
Gardant les cuisses écartées au-dessus de l’homme, elle empoigna doucement un sexe manifestant déjà des signes de réanimation.
— Ne dit-on pas, Alex chéri, que l’appétit vient en mangeant ? lui susurra-t-elle en frottant doucement le gland spongieux contre sa rosette glissante.— Catherine, je ne sais pas si... Vous êtes sûre que ça ira ?
Elle se pencha, embrassa le mâle dans le cou et lui mordilla une oreille.
— Allons, du courage, soldat ! Qu’est-ce qui vous exciterait le plus : m’enculer de face ou de dos ?
Alexander hésita. Il admirait l’infirmière dont les cheveux blonds retombaient sur ses seins laiteux, cachant en partie ses tétons, cette petite toison dorée qui se frottait langoureusement sur son pubis, ce sourire espiègle qui l’invitait à la débauche. Mais il se souvint des douces et chaudes fesses qui s’étaient présentées à lui lorsqu’il les avait fébrilement découvertes pendant la première partie de cette singulière séance de kinésithérapie.
— Remontre-moi ton joli p’tit cul, ma poupée ! finit-il par demander.
Cent quatre-vingts degrés plus tard, la jeune femme approchant la trentaine se laissait lentement descendre sur un pieu de nouveau d’acier, se mordant silencieusement la lèvre afin de bien supporter la forte dilatation que lui imposait le membre ayant donné vie à ses deux grandes amies Sophie et Alicia. Son organe viril bien enfoncé dans un cul frétillant, Alexander qui pendant ce temps pelotait doucement les fesses de son infirmière poussa un premier soupir rempli de crainte mais aussi d’expectative.De lents mouvements de va-et-vient s’amorcèrent, la jolie blonde qui prenait appui sur des cuisses musclées et velues goûtant à chaque butée les délices de la plénitude dans ses entrailles. Catherine s’imaginait à la place de ses deux copines sautillant avec volupté sur le vit paternel, les entendant réclamer à grands cris plus de violence dans leurs mouvements endiablés.
— Je vais venir, je vais venir ! gémit à nouveau son client en haletant à toute vapeur.— C’est bon, Monsieur McKenzie, lâchez-vous lousse et donnez tout ce que vous avez !— Hummm ! Arghhh !
La femme elle-même en extase se fit agiter de vives secousses comme le mâle se déchargeait en elle de nouvelles et abondantes quantités de foutre, noyant ses reins d’une chaude sensation de plénitude.Catherine se releva, serrant très fort son muscle anal. C’est dans un bruit évocateur et familier qu’elle se relâcha ensuite dans un Kleenex afin de prendre la mesure de la performance de son patient.
— Vous avez déjà beaucoup de réserve, Monsieur McKenzie. C’est très satisfaisant !— Ah, vraiment ? osa demander l’individu à moitié sans connaissance. Je progresse donc rapidement ?— Absolument. Ce sera donc tout pour aujourd’hui. Nous reprendrons nos exercices demain.
Le lendemain, à la même heure:
— La sieste est terminée, Alexander, on reprend nos exercices périnéaux comme on l’a fait hier !— Hummff... Quoi ?
Le surlendemain, alors que s’envolaient de nouveau les draps du patient :
— Allô, on reprend tout ça, Monsieur McKenzie !— Oh, putain !
— J’ai de bonnes nouvelles pour vous, annonça l’infirmière au bout de quelques jours. Votre congé d’hôpital a été signé!
— Ah ! Ravi enfin de l’entendre.— C’était à une condition toutefois : que vous vous présentiez chez moi tous les soirs de la première semaine afin de compléter votre série d’exercices de rééducation. Je vous attends donc dès ce soir dans ma chambre à dix-neuf heures trente !— Oh, putain, c’est pas vrai. Pitié!
Épilogue
Trois mois s’étaient écoulés depuis le retour d’Alexander McKenzie chez Jasmine Durocher et Sonia LeBel. L’ancien militaire britannique était devenu l’homme de la maison, prenant ainsi la place du malheureux mari de Jasmine, Jérôme, que la Chine venait de condamner à la détention à vie pour son affaire d’espionnage et ce, malgré tous les efforts diplomatiques déployés par le gouvernement canadien afin de le faire libérer.
L’agresseur du restaurant Valentine fut intercepté par les forces de l’ordre peu de temps après son crime. Résistant à son arrestation, l’individu qui brandissait une arme blanche devant les policiers fut abattu par ces derniers et déclaré mort avant même son arrivée à l’hôpital.Complètement rétabli de ses blessures, Alexander quitta son emploi à la boutique informatique et obtint un poste à la hauteur de ses compétences au Ministère canadien de la Défense. Il est aujourd’hui à la tête d’un groupe de recherche dédié au cyberespace dans le cadre d’un projet secret.Jasmine et Sonia constituaient maintenant en compagnie de leur ancienne flamme retrouvée un triangle amoureux renouvelé, celui-ci par contre tout à fait consensuel. C’est avec une grande joie ainsi qu’un plaisir sans cesse renouvelé que tous vivaient leur nouvelle vie à trois, multipliant ad libitum les parties de baise à l’intérieur de la maison comme dans la fraîcheur du jardin.De leur côté, nos deux tourterelles Alicia et Sophie ne comptaient plus les visites effectuées chez leurs mères. Ces dernières ne s’opposaient d’ailleurs pas à ce que leurs filles aient du bon temps en compagnie d’Alexander, mettant même à nombre d’occasions une de leurs chambres à coucher à la disposition de leur progéniture dans le but de permettre de délicieux et torrides ébats incestueux entre père et filles.
Alexander était plus que jamais heureux. Cet homme qui avait jadis fait preuve de lâcheté en reniant ses responsabilités et en abandonnant sa famille savourait sa nouvelle vie, reconnaissant pour le pardon obtenu de la part de ses femmes et pour l’accueil que lui avaient affectueusement accordé ses filles. Mais le plus important de tout était qu’il avait complètement vaincu son homophobie, le libérant ainsi de tout préjugé et ouvrant son esprit au contexte social dans lequel il vivait.C’est à l’occasion d’une petite fête familiale donnée en l’honneur de leurs retrouvailles que les quatre femmes permirent à l’homme qu’elles chérissaient toutes de réaliser un vieux fantasme de jeunesse longtemps refoulé.Début de soirée. À la suite d’un dîner à l’ambiance bon enfant ayant réuni tous les membres de la famille auxquels s’était bien sûr jointe l’infirmière Catherine Blondin, tous furent conviés à la chambre à coucher principale pour la tenue d’une activité spéciale.Alicia, Sophie et Catherine se firent d’abord demander de patienter à l’extérieur de la pièce, le temps que Jasmine et Sonia terminent de préparer Alexander. C’est en ricanant de surprise et d’amusement que les trois jeunes femmes pénétrèrent finalement dans la pièce au milieu de laquelle elles trouvèrent l’homme à quatre pattes sur le lit, entièrement nu, sanglé d’un harnais constitué de lanières de cuir et retenu aux quatre membres par des chaînes. Les deux mères, quant à elles, étaient revêtues telles des dominatrices, portant bikinis de cuir et arborant chacune sur elle un imposant gode-ceinture qui faisait déjà baver d’envie leur soumis.À leur tour, les trois plus jeunes furent invitées à se dévêtir. On remit à Catherine un tube de gel lubrifiant parfumé à la cerise.
— Comme c’est gentil à vous, c’est ma saveur préférée ! remercia-t-elle le groupe féminin.
Sonia fut la première à prendre position derrière l’homme, prête à l’action, lui refilant d’abord quelques claques bien senties sur les fesses.
— Alors, comment tu trouves ça, te faire dominer par de belles nanas comme nous, beau grand salaud ? lui dit-elle alors.— Je suis tout à vous, mes maîtresses, répondit humblement le mâle en position de soumission.
Sophie s’étendit ensuite face à son père, cuisses bien écartées, lui offrant dans sa nudité un sexe rouquin humide qui exhalait déjà des vapeurs de cyprine, attendant fébrilement le cunni qu’elle allait recevoir de la part du soumis. Catherine, quant à elle, glissa doucement par le côté sa tête sous le lourd sexe masculin qu’elle enduisit généreusement du gel lubrifiant à la saveur fruitée.
— Voici les règles du jeu, enchaîna Jasmine qui, debout et martinet à la main, chatouillait le dos et les fesses de son amant. Tu devras soigneusement besogner la chatte de chacune de tes filles et ce, en alternance pendant que ta meuf et moi-même te défoncerons tour à tour le cul. Pendant tout ce temps, tu auras droit à une fellation de la part de Cathy.
Elle lui administra un cinglant coup de son instrument avant de poursuivre :
— Tu n’auras cependant pas le droit de jouir autrement que par ton derrière de lopette. Catherine t’amènera donc jusqu’à ton point critique sans te faire éjaculer, comme elle le faisait si bien pendant tes exercices de rééducation musculaire. Si tu triches en crachant ton foutre sur son visage, le jeu s’arrêtera là.
C’est ainsi que s’amorça la nuit la plus dépravée que Saint-Hyacinthe eût jamais connue. Alors que l’anus du grand rouquin allait goûter aux joies d’une double séance de sodomie servie par Sonia et Jasmine, la langue de l’homme allait se consacrer aux clitos de ses deux filles, la libido du mâle transformé en objet sexuel soigneusement entretenue et exacerbée par les manœuvres diaboliques habilement exécutées par une infirmière qui avait appris à connaître son patient sur le bout... du gland.On raconte encore aujourd’hui que cette nuit-là, Alexander McKenzie a porté ses filles vers l’orgasme à des dizaines de reprises, qu’il a joui comme seul un véritable gay aurait pu le faire et qu’il put finalement se décharger sur la langue de Catherine à la demande de Jasmine et de Sonia qui, vaincues par l’épuisement, avaient quant à elles abandonné la partie.
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