Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 33 J'aime
  • 7 Commentaires

Déchéance et rédemption

Chapitre 24

Un verdict sans appel

Avec plusieurs hommes
La décision
 
Le chef d’État chinois avait conservé son expression de marbre.
 - J’ai été humilié comme aucun homme n’a jamais été humilié, avait-il annoncé à la pauvre Saihe. C’est pourquoi mon code de conduite m’incite à vous expulser immédiatement du pays sans autre forme de procès!
 Sophie ne disait mot, se sachant en grande partie l’artisane de son cuisant échec de la veille.
 - Mais mes collègues, reprit le dignitaire chinois, m’ont tous dit avoir grandement apprécié le spectacle. Et, je dois humblement le reconnaître, ce que vous m’avez fait subir hier soir n’était pas dénué d’agréables sensations. 
 À ces mots la rouquine tourna la tête en direction de Chen Liya qui au même moment lui adressait en souriant un signe de tête d’approbation.
 - Et puisqu’il s’agissait d’un événement privé qui ne sera jamais rendu public, conclut l’homme, je considère dans la circonstance mon honneur sauvegardé et intact.
 Pour une rare fois depuis son arrivée à la Société des Dragons Rouges, la candidate perçut un sourire se dessiner sur le visage du premier ministre.
 - Félicitations et bienvenue à la Société des Dragons Rouges, jeune xiǎo jie! Ce sera une joie pour nos yeux et notre cœur de vous avoir à notre service!
 Sautant de joie sur sa chaise, Sophie ne put réprimer un strident cri de victoire. Se précipitant d’abord sur la MILF chinoise, elle l’embrassa à pleine bouche avant de déposer un bisou affectueux sur la joue de l’homme.
 - Ce que vous pouvez être expressives, vous les Occidentales! réagit d’un air amusé madame Chen en s’essuyant la bouche à l’aide de son mouchoir. 
 Toujours dans l’euphorie, la nouvelle hôtesse sauta sur le téléphone dès son retour à sa chambre.
 - Ne me remercie pas, trésor, lui répondit Evnika alors que Sophie, à l’autre bout du fil, se fondait en d’interminables expressions de gratitude. - Oh Evnika, je suis si contente, si contente, si contente!
 - Avoue tout de même que je t’ai flanqué une bonne frousse! En souvenir de notre passé commun, je ne me suis jamais gardé une petite gêne pour te faire souffrir un peu... du moins mentalement. - Tu es impossible, Evnika Kristensen, mais sais-tu, c’est comme ça que je t’adore!
 Désirant profiter de la conversation, la Maskoutaine questionna celle avec qui elle avait jadis lié son cœur :
 - As-tu des nouvelles de ton ancien… milieu de vie? Comment ça s’est-il passé au Brésil après notre départ? - Tyranny est morte, malheureusement. Torturée jusqu’au trépas par les filles qu’elle avait héritées de moi. C’était pour elle la seule façon d’être affranchie de cet esprit maléfique dont tu m’avais libérée et que je lui avais involontairement légué. (Nda : lire ‘Trahisons, ou le Retour de la Grande’)
 Il y eut un moment de silence sur la ligne.
 - Quelle sera la suite des choses, reprit l’ex-dominatrice, maintenant que ton entrée en fonction est imminente? - Mon prochain objectif sera d’approcher le ministre de la Justice Li Jian afin de le convaincre de faire libérer mon père adoptif. Mais auparavant je devrai subir mon initiation au sein de la Société. Ce sera ce soir, à ce qu’on m’a dit. - Bon, et bien je te souhaite bonne chance. Les initiations sont rarement dénuées de surprises. Quant à moi, je retourne bichonner ma douce Amélia en Norvège. J’ai été ravie de revoir tes amies ici, ainsi que de faire la connaissance de ton père Alex. C’est un type vraiment sympa!
 
L’initiation
Le soir arriva. Chen Liya était venue retrouver sa protégée dans sa chambre.

 - Vous ne m’avez pas encore dit en quoi consistera mon initiation, Liya. Devrais-je m’inquiéter? - Pas que je sache, petite Saihe. Et de plus je ne t’apprendrai rien en te disant que toutes les hôtesses sont passées par là, moi la première. - Mais... Vous pouvez pas m’en dire un peu plus, tout de même? voulut insister la jeune avec un brin d’inquiétude. - C’est secret. Tout ce que je peux dire, c’est que cette activité a principalement pour but de mieux te faire connaître par les membres de la Société. Une façon spéciale de te présenter à eux, quoi.
 Chen Liya la regarda dans les yeux, des yeux à la fois craintifs et curieux, ce qui lui rappela le souvenir de sa propre expérience.
 - Sois sans crainte, petit trésor de l’Occident, la rassura-t-elle. Je serai à tes côtés du début à la fin.
 La matrone lui fit prendre une douche, non sans lui avoir d’abord administré un lavement.
 - Pourquoi tout ça? demanda l’ingénue.
 L’autre la dévisagea, l’air quelque peu décontenancé :
 - Faut-il qu’on te fasse un dessin, jeune Saihe?
 Sophie fraîchement sortie de la douche, Chen Liya s’affaira elle-même à terminer sa préparation en l’essuyant et en saupoudrant tout son corps de talc parfumé. Elle coiffa finalement la future initiée en ornant sa chevelure d’une petite fleur de lotus et lui remit un léger peignoir de soie rouge qu’elle lui demanda d’enfiler. Toutes deux firent ensuite leur entrée dans une petite pièce qui était jusque là inconnue de Sophie. À sa surprise, elle y constata alors la présence de la dizaine de membres de la Société, tous cagoulés pour la circonstance. Sans qu’aucun mot ne fût prononcé, la matrone retira doucement l’unique vêtement porté par la jeune rouquine, exposant ainsi devant tous sa nudité intégrale. Elle lui tendit ensuite deux petits articles de couleur blanchâtre ayant l’aspect d’un amas de minces bandes élastiques tenant dans le creux de la main.
 - Mets vite cela! lui ordonna sèchement la Chinoise. Et quoi que tu ressentes par la suite, tu ne devras ni parler, ni bouger.
 Sans attendre, Sophie obtempéra, se rendant compte que ce qu’elle enfilait maintenant était en fait une petite culotte constituée d’un mince filet très ajouré fait de mailles élastiques en latex. L’accessoire était orné à différents endroits sur sa surface de plusieurs fines bandelettes de cinq centimètres de longueur, élastiques également, qui pendouillaient du vêtement. Le soutif, de conception similaire, fut également fixé sur la poitrine de la fille. On lui banda par la suite les yeux. Sophie était consciente que ce qu’elle portait sur elle ne cachait aucun des détails de son anatomie et qu’au contraire sa présentation était plus aguichante que jamais. Privée de sa vue et plongée dans un silence presque mystique, elle sentit les participants s’approcher tout près d’elle. Un léger tiraillement lui signifia qu’une des bandelettes élastiques de son slip se faisait à présent étirer. Elle en eut la douloureuse confirmation comme elle sentait, presque immédiatement après, le cinglant pincement provoqué par son retour contre l’épiderme sensible de sa fesse. Une seconde bandelette se fit à son tour étirer, claquant cette fois-ci sur le bout d’un mamelon qui se mit à pointer autant de douleur que d’excitation. Une à une, les bandelettes se firent toutes saisir puis étirer, certaines presque jusqu’au point de rupture, avant de reprendre violemment contact avec une peau de plus en plus rougie par les micro-flagellations qu’elle subissait. Il semblait évident pour la jeune torturée que des mains différentes intervenaient à chaque agression qu’on lui infligeait. Elle parvint tout de même à tenir le coup en demeurant immobile et ce, malgré l’énorme difficulté qu’elle dut rencontrer lorsque les bandelettes ancrées à la fourche de son petit vêtement vinrent tour à tour lui mordre l’anus ainsi que le clitoris.
 La culotte et le soutif furent retirés, laissant une peau rougie par le traitement subi chez la jeune initiée. Les yeux toujours entravés d’un bandeau, celle-ci fut introduite dans une pièce plus sombre. Elle y eut droit à des soins spéciaux, Chen Liya la soulageant par l’application sur ses parties sensibles d’une pommade adoucissante. La jeune fille prit un évident plaisir à l’exercice mais fut toutefois prise d’étonnement comme elle sentait ses deux orifices intimes se faire au même moment abondamment oindre de la crème lubrifiante. C’est alors qu’elle commença à comprendre et à redouter la suite des choses... On la libéra de son bandeau. On pouvait voir au centre de la pièce une petite table, ronde et basse, garnie de coussins autant sur sa surface qu’à son pourtour. Non loin d’elle se trouvait une autre table, celle-là d’une hauteur plus normale, sur laquelle se trouvaient une dizaine d’objets apparemment cylindriques et enveloppés dans du tissu de soie. Toujours nue et sentant ses fesses rafraîchies par la crème se caresser en glissant l’une contre l’autre, Sophie se plaça debout près du meuble le plus élevé et remit un des articles emballés au premier homme qui se présenta à elle. Elle rougit comme elle aperçut alors un godemiché de bonne taille se faire déballer sous ses yeux par l’individu toujours cagoulé et silencieux. La distribution se poursuivit ainsi, chaque membre de la Société se faisant tour à tour et jusqu’au dernier remettre un gode à chaque fois de calibre différent. L’obscurité se fit soudainement dans la pièce. Sous le commandement de Chen Liya qui la guidait depuis le début de cette singulière activité, la jeune rouquine se dirigea vers un point lumineux venant d’apparaître dans l’obscurité en périphérie de la table basse. Une fois sur place, elle s’abaissa sur les genoux, appuya sa poitrine nue contre les coussins qui jonchaient le meuble et attendit, s’offrant ainsi en levrette à un membre inconnu de la Société. Le participant assis par terre derrière l’initiée ne rencontra aucune résistance de la part de celle-ci lorsqu’il introduisit à fond le sextoy dans son vagin. Accompagnée de la matrone, Saihe se mit à compter les coups donnés par celui qui guidait l’instrument dans sa plus profonde intimité:
 - Un-un... d... deux... trois... quatre...
 ... et ainsi de suite jusqu’à atteindre la valeur de son âge de vingt-cinq ans.
 - ... cinq...s...sept...
 Deux coups de cravache bien sentis sur les fesses de la part de Chen Liya sanctionnèrent l’erreur dans le décompte qui dut immédiatement être repris à partir de zéro:
 - Un... deux... trois...
  Le nombre de vingt-cinq atteint, Sophie, peinant de plus en plus à se concentrer, enchaîna avec la déclinaison correspondant aux années d’âge de celui qui la baisait. Encore là, aucune erreur dans la séquence ne fut tolérée. Le premier tour terminé, la petite lumière s’éteignit et la fille se releva, sentant encore en elle la présence de fourmillements qui la rendaient voluptueusement distraite. Une seconde lueur s’annonça dans la noirceur du côté opposé de la table. Elle s’installa de nouveau à l’endroit désigné. Le deuxième gode, celui-ci légèrement plus imposant, trouva lui aussi sans difficulté son chemin.
 - Un... deux... trois...
 À quelques reprises encore, l’ingénue dut être à nouveau corrigée dans l’exécution de ses décomptes... La seconde lumière s’éteignit à son tour, permettant à la suivante d’effectuer le prochain appel. C’est à la troisième partie de cette séance d’engodage particulière que la fille se rendit compte que chaque nouvel instrument qui la pénétrait surpassait le précédent en termes de calibre. À la conclusion d’un tour de table complet, ayant successivement accueilli dans son intimité de femme dix instruments de jouissance, Sophie croyait voir arriver la fin des choses. Elle se trompait.
 Une dernière personne devait à son tour lui apposer son sceau d’approbation. Une onzième petite lumière s’alluma donc autour de la table. Celle de Chen Liya qui l’attendait, un gode-ceinture attaché à ses hanches. Toujours accroupie en levrette dans l’obscurité, Sophie ne la reconnut qu’à son doux chuchotement alors qu’elle commençait à forcer son sphincter anal à l’aide de l’artifice qu’elle portait.
 - Madame Chen! tenta-t-elle de protester tout bas. - Laisse-toi faire, ma chérie. C’est pour symboliser mon autorité sur toi. Ce ne sera pas long. Respire bien et laisse-toi aller.
 Dès son début, la sodomie fut agréable bien que légèrement profonde. Le tout se termina dans un doux orgasme anal parfumé de relents de sueur et de cyprine, la fille se laissant aller au sol pendant que la Chinoise d’âge mature lui maintenait le cul en position. Chen Liya se retira, plus que satisfaite de la conduite de sa protégée. Elle aida Sophie à se relever. C’était toujours le silence. Chen chuchota de nouveau à l’oreille de celle qui, sortant de sa transe, se frottait maintenant le derrière:
 - Maintenant, attends!
 Une à une, toutes les dix premières lumières s’allumèrent de nouveau.
 - Tous t’ont acceptée à la Société! se réjouit la Chinoise en serrant la jeune Maskoutaine contre elle.  Elle se tourna dans sa direction: - Maintenant la soirée t’appartient. Va vers qui tu voudras et tu seras de nouveau baisée par le gode de ton choix!
 Sophie n’eut pas à se le faire dire une seconde fois. Toute joyeuse et heureuse de son adoption au sein du groupe, elle profita pleinement du reste de cette soirée de dépravation sans nom, passant d’un membre de la Société à l’autre, acceptant même à l’occasion une baise anale, l’amenant ainsi non pas vers la jouissance mais plutôt vers l’extase. (À venir : Cœurs déchirés)
Diffuse en direct !
Regarder son live