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Déchéance et rédemption

Chapitre 28

Orientation sexuelle assumée

Gay
Épuisés mais néanmoins fiers de leur accomplissement, tous les membres de l’équipe de sauvetage canadienne s’étaient retrouvés au Marriott de Shanghai en compagnie, évidemment, de l’homme qu’ils étaient parvenus à faire libérer, le diplomate Jérôme Durocher. Bien que leur tâche fût terminée, le chef de mission Alexander McKenzie était pleinement conscient que la sécurité de tous ne serait réellement acquise qu’une fois rendus hors des frontières du pays. Catherine leur avait temporairement faussé compagnie, s’absentant quelque temps afin de ’régler’ certaines affaires personnelles avec l’activiste politique chinoise Hua Mai-Linh.
 L’heure était maintenant au bilan. Sachant professionnellement que la période d’incarcération, quoique courte, pût avoir entraîné des séquelles physiques ou mentales, Sophie invita Jérôme à se soumettre à une brève évaluation de sa condition, ce que l’homme accepta volontiers.
 Au terme de ce qui pour les autres s’apparenta davantage à une séance au confessionnal qu’à une consultation, la psychologue refit son apparition seule dans le living de la suite qu’occupait Alex, ayant laissé son nouveau patient prendre un peu de repos dans sa chambre. Semblant visiblement préoccupée, elle fit part à ses coéquipiers de ses observations ainsi que de ses conclusions:

 - Jérôme souffre d’une forme de syndrome post-traumatique, affirma-t-elle au groupe sans entrer dans le détail. Il est extrêmement perturbé, même si à première vue il n’en paraît rien.
 - Vraiment? demanda Alicia. T’a-t-il parlé de coups et de blessures?
 - Négatif. Il s’agit plutôt de torture psychologique. Mon code de déontologie m’interdit pour le moment de vous répéter ce qu’il m’a appris. Par contre, il est primordial que vous sachiez que tous devront porter une attention spéciale à ses moindres besoins, qu’ils soient ou non exprimés verbalement.
 - Quel genre de besoins? interrogea à son tour Alexander. Peut-on au moins avoir une idée?
  - Vous le découvrirez par vous-même assez rapidement. Il sera donc important de bien gérer la situation à chaque fois. Toute émotion négative en lien avec la non-satisfaction de ses requêtes risque de faire empirer sa condition mentale et même d’amener l’homme à adopter des comportements dangereux.

 Sur l’entrefaite, le principal intéressé rejoignait le groupe en pleine discussion.

 - Vous parliez de moi? demanda l’homme en souriant.
 - Tu ne dormais pas? lui demanda Sophie.
 - Pas sommeil pour le moment.
 - Êtes-vous donc disposé à passer un petit examen médical en ma compagnie? lui demanda poliment Alicia.
 - Oh, avec plaisir, Docteure LeBel! Il y a longtemps qu’une femme aussi belle que vous ne m’a pas touché!

 Sur ces paroles qui laissèrent coites d’étonnement les autres personnes présentes, Jérôme accompagna la spécialiste en urgentologie dans sa chambre.
 Assis sur le lit qui faisait maintenant office de table d’examen, l’homme à présent complètement nu se laissa d’abord docilement ausculter par la femme-médecin.

 - Prenez une grande respiration, Monsieur Durocher. Encore. Encore.

 Alicia replaça son stéthoscope autour du cou et s’attarda aux ganglions du cou et des aisselles.

 - Pas de douleur, de point sensible? L’appétit est bon? Le sommeil, ça va?

 La femme se retourna afin de saisir un appareil de mesure. C’est alors qu’elle sentit une main s’infiltrer sous sa jupe, se glisser dans sa culotte et se mettre à lui peloter les fesses.

 - Monsieur Durocher, mais qu’est-ce que vous faites là!? s’opposa avec indignation la fille devant celui qui retira aussitôt la main.
 - Je... Je suis désolé, Alicia. C’est... C’était pas voulu. En fait, c’était plus fort que moi.
 - Pourquoi vous m’avez fait ça, à moi, votre belle-fille? répondit celle qui oscillait entre la surprise et la colère.
 - Ce sont... mes ’traitements’ en prison. C’est ce qu’ils m’ont fait subir. J’ai développé une libido extrêmement impérieuse à cause de cela lors de mon incarcération.

 Il ajouta, avant d’éclater en sanglots devant la femme:

 - Et j’ai maintenant toutes les peines du monde à me contrôler!

 Manifestant un début de compréhension et de compassion, Alicia prit place sur le lit à côté de l’homme assis dont elle couvrit les parties intimes d’une serviette de bain.

 - Racontez-moi tout, Monsieur Durocher, demanda-t-elle d’une voix douce. C’est de cette façon que vous nous aiderez à vous aider.
 - On a procédé à des expériences sur moi, commença l’autre. Des expériences à caractère sexuel. Mais rassure-toi, Ali: ils ne m’ont pas fait souffrir, du moins pas physiquement. Ça se passait plutôt dans la tête. Un jour on m’a conduit dans une petite pièce. On m’a dénudé puis assis sur un petit banc auquel on me fixa ensuite bras et jambes pour m’empêcher de bouger. Trois jeunes femmes se présentèrent ensuite à moi. Toutes de belles Chinoises, pas plus que vingt-deux ou vingt-cinq ans. Sans dire un seul mot, elles se mirent lentement à faire le tour du siège sur lequel on m’avait installé, toute souriantes, un aguichant regard dans les yeux.

 Jérôme ferma les yeux, soupira et reprit:

 - Un à un et toujours en circulant autour de moi, elles retirèrent tous leurs vêtements, incluant leurs affriolantes petites culottes et leurs soutifs de dentelle. Quant à moi, assis sur le siège de bois, je bandais comme un taureau, les filles étaient si désirables! C’est par la suite que le tout se corsa. Une des Chinoises approcha sa jolie poitrine de mon visage suffisamment pour que je puisse, seulement du bout de la langue cependant, chatouiller ses petits tétons. Je commençais à gémir et à demander à la fille de s’offrir davantage à moi, afin que je puisse pleinement entourer de mes lèvres ces mamelons tièdes, que je puisse goûter sans gêne aucune à ces petits nichons qui semblaient ne demander que ça! C’était peine perdue. Au moment où le meilleur arrivait, l’ingénue se retirait hors de portée, me laissant sur mon appétit. Mon pénis était dur comme fer, dressé à la verticale, prêt à l’action, mais il m’était cependant impossible de le toucher!!

 Un nouveau soupir, puis:

 - Immédiatement après, les deux autres jeunes femmes s’arrêtèrent à leur tour devant moi. L’une d’elles porta ses doigts à son conin puis à ma bouche afin de me faire goûter sa mouille tiède. Puis elle se pencha en avant et écarta des mains ses fesses, exposant à ma vue un cul à faire damner un curé ainsi que sa chatte rasée, pendant que sa compagne lui travaillait le petit trou à deux doigts, les faisant pivoter devant mes yeux dans l’orifice étroit pour me signifier qu’il était bien souple et prêt à me recevoir. Mon cœur battait à 200, je crois. La première fille se redressa puis, saisie aux hanches par la seconde, s’accroupit devant moi en me présentant le dos comme pour s’asseoir sur ma bite, sauf qu’elle mit fin à son approche dès que je sentis son œillet glissant entrer en contact avec mon gland congestionné. Elle resta là, à se frotter doucement l’anus contre mon pieu sans aller plus loin. J’avais beau me tortiller afin de parvenir à un début de pénétration, rien n’y faisait. C’est ainsi qu’on me laissa une fois de plus en plan. On voulait tester de cette façon mon degré de frustration ou la résilience de ma libido, je ne sais plus.

 Tout en demeurant à l’écoute, Alicia constata une bosse apparaître sur la serviette qui couvrait l’homme, à la faveur d’une érection se bâtissant chez celui-ci. 

 - Une autre fois, enchaîna-t-il, ça s’est passé avec des hommes, tous dans la vingtaine également. De beaux mâles asiatiques, musclés et bien équipés sexuellement. On m’avait étendu, mains et pieds liés mais jambes complètement relevées au bord d’une table de bois. Encore là, je me trouvais complètement nu, tout comme mes indésirables compagnons de jeu. Les jeunes hommes se mirent à circuler autour de la table, se rapprochant de plus en plus de moi jusqu’au moment où l’un d’eux s’immobilisa à ma tête, sa queue bandée d’où émanait une senteur masculine frôlant ma bouche et mon nez.

 Jérôme fit une pause, remarquant qu’Alicia observait maintenant l’état de son érection.

 - Le jeune mec resta là, reprit Jérôme, attendant que ses effluves envahissent mes narines et que je bave d’envie d’emprisonner le chaud et fier mandrin entre mes lèvres frémissantes. C’est là qu’on me fit découvrir, bien à ma surprise, mon penchant bisexuel. Je désirais tant sentir cette bite chaude au fond de ma gorge! Mes lèvres s’étirèrent suffisamment pour qu’elles puissent atteindre et toucher le gland lisse et gorgé. Je pus au final caresser du bout de la langue le méat de l’Apollon, prenant un peu ce dernier de surprise avant de le voir définitivement s’éloigner de moi. Je sentis une nouvelle fois une vive frustration s’installer dans mon esprit. Mais c’est ce qui suivit qui me rendit complètement dingue.

 Un nouveau soupir, puis:

 - Le jeu se poursuivit à l’autre bout de la table, où toute mon intimité était innocemment exposée et à la merci des garçons qui me mataient. L’un d’eux s’accroupit devant mon cul et se mit à me lécher l’anus. La stimulation que ça me causait de même que la sensation de fraîcheur sur ma rondelle me rendirent presque fou. J’ai alors cru que mon pénis allait éclater tellement il était dur et que le sang semblait gicler avec force à l’intérieur de ses veines.

 L’homme se racla la gorge.

 - Un doigt enduit de lubrifiant vint jouer dans mon orifice. Je le sentais aller et venir dans mon petit passage, c’était divin! Le doigt se retira. Pendant quelques secondes, plus rien, mais j’anticipais déjà comme une salope ce qui allait bientôt arriver. Et voilà qu’une queue chaude et dure vint se coller à ma porte alors que des mains se posaient sur mes hanches. Une queue ferme, prête à défoncer la pute qu’on venait de faire de moi. Je la sentais qui se pressait doucement contre ma rondelle assouplie et prête à l’avaler. Comme je désirais que ce mâle me baise maintenant! Mais le jeune homme n’allait pas plus loin, attendant ma réaction. C’est alors que je me mis à pousser, pousser de toutes mes forces jusqu’à en expulser des vents pour permettre à mon sphincter d’aller embrasser cette bite hésitante et de l’emprisonner entre ses muqueuses. Encore là, c’est avec mépris qu’on me laissa croupir dans mon fantasme inassouvi. Depuis ces séances, je n’ai pratiquement plus de contrôle sur mes désirs. Je ressens constamment le besoin de sexe, de satisfaire ma libido. C’est devenu indépendant de ma volonté.

 - Je comprends. Je comprends très bien, accepta la femme. Je conçois facilement que ce fût difficile pour vous.
 - Je suis tellement navré, Alicia, si tu savais! se remit à sangloter son patient d’un jour en s’efforçant de cacher les signes de son érection. Ce n’était pas mon intention d’être grossier envers toi. Tu sais très bien comme moi combien j’ai toujours voulu faire preuve de respect et de retenue à ton égard ainsi qu’à celui de Sophie ta femme. C’est vrai, tu diras, que j’ai déjà eu une relation sexuelle avec ma fille mais c’était à des fins uniquement d’éducation (Nda: lire ’L’Envol des tourterelles’). Sa mère Jasmine et moi voulions tellement à la veille de ses noces qu’elle ne connaisse pas de mauvaises expériences dans sa vie!
 - Y a pas de souci, Monsieur Durocher, le rassura la jeune femme. Ne vous en faites plus avec ça. Et je vous suis toujours reconnaissante de m’avoir donné une si belle fille en mariage. Maintenant, si on poursuivait notre examen?
 - Je ne voudrais pas que tu me prennes pour un dépravé, Ali, demanda l’ex-détenu devenu cobaye aux mains du régime chinois, mais une fellation de ta part, une toute, toute petite pipe me ferait tellement de bien!
 - Vous n’y pensez pas, Monsieur Durocher? À ce point-là? Non mais dites-moi que c’est pas sérieux?
 - Tu as devant toi un individu traumatisé, Ali, et je ne tiens plus en place! Je t’en conjure! supplia l’autre en se fondant de nouveau en sanglots. Je crains de devenir fou si rien n’est fait maintenant!

 Quelque peu mal à l’aise mais réalisant le désarroi de son beau-père, la femme-médecin aida celui-ci à s’étendre sur le dos. Elle retira la serviette couvrant son sexe qui se redressa aussitôt tel un ressort. Se trouvant de biais par rapport à la porte de la chambre, Ali s’inclina vers l’avant et, après un moment d’hésitation, prit en bouche le manche durci de l’homme alors qu’au même moment elle procédait à son toucher rectal.

 - Hum! Oh, merci Ali! Ce que c’est bon, ce que tu suces bien! s’extasia celui qui en profitait une fois de plus pour explorer intimement, au-dessus d’une petite culotte ornée de papillons descendue jusqu’aux genoux, les chaudes fesses de sa bru.

 La porte s’ouvrit alors brusquement:

 - Chérie, j’ai un truc que je voudrais te montr... Oh putain!!

 Surprenant sa meuf en train de prendre Jérôme en gorge profonde et de se laisser ingénument tripoter le popotin, Sophie, visiblement perturbée, referma rapidement la porte devant Alex et Catherine qui venait d’effectuer son retour à l’hôtel.

 - Ça va? demanda Cathy en apercevant l’expression bizarre de sa compagne.
 - Ça va, répondit l’autre. Ça va, tout va bien. N’entrez pas. N’entrez pas, Ali est ’occupée’ avec Jérôme.

 
***
Il se faisait tard. La journée avait été laborieuse et riche en émotions. Tous s’accordèrent à dire qu’une bonne nuit de sommeil s’imposait.

 Les deux tourterelles étaient de retour dans leur chambre.

 - Pourquoi tu m’as rien dit? demanda Alicia à Sophie tout bas en empruntant un ton de réprimande.
 - Désolée, mon amour, répondit la jeune rouquine. Je m’attendais à ce que tu apprennes par toi-même qu’il est maintenant atteint de satyriasis mais pas vraiment de cette façon-là! Il t’a menacée, molestée?
 - Du tout. Il avait plutôt l’air d’une loque humaine, sans force, sans aucun espoir. C’en était presque pathétique. D’autre part, as-tu mis en garde notre papa Alex?
 - Non, pourquoi?
 - Merde! Il lui a justement suggéré de l’accompagner pour l’aider à prendre sa première douche!

 C’était en effet en songeant au risque d’accident auquel se trouvait exposé son nouveau protégé affaibli par l’incarcération qu’Alex s’était offert afin d’assister Jérôme dans ses ablutions. 
 Les deux hommes se retrouvèrent donc dans la douche dont la suite qu’occupait le grand rouquin était équipée. De toute leur vie, les deux anciens amis n’en étaient pourtant pas à leur première en commun, cependant...

 - Ça va, Jérôme, les jets d’eau ne sont pas trop chauds?
 - C’est partait, Alex. Tu me frottes le dos, s’il te plaît?

 L’homme s’exécuta, savonnant son compagnon à partir des omoplates, massant ses muscles dorsaux et lui frottant les lombes alors que l’autre, appuyé sur ses bras contre la paroi de la cabine, s’abandonnait à de douces manœuvres qui réveillèrent en lui une libido pathologiquement perturbée.

 - Descends plus bas... Plus bas... Oui, encore plus bas...
 - Mais Jérôme, mes mains sont à présent rendues sur tes fesses!

 L’autre se cambra alors et écarta les jambes.

 - Savonne-moi l’anus, je t’en prie. J’en ai tellement besoin!
 - Mais ça va pas, Jerry? C’est à toi de faire ça, pas à moi! Ton trou du cul, tu te le fais, c’est tout!

 Mais l’autre insista, haussant une voix qui emprunta un ton sonnant la détresse :

 - Je t’en supplie, Alex, je t’en supplie : plante-moi ta queue dans le cul!
 - Non, non, mais qu’est-ce que tu me racontes là? Qu’est-ce qui te prend de me demander ça?
 - Je veux connaître les sensations qu’ont les gays et aussi nos meufs quand on les encule. Fais-le, que je te dis. Ça ne fera pas de nous des homos! Je veux juste vivre l’expérience, pour une fois! Allez, fais-le!

 Alex se rappela les recommandations de Sophie. Gérer les situations. Être attentif aux besoins exprimés par Jérôme. Éviter de le contrarier. Il regarda son ami, désespéré et secoué par les pleurs. Il comprit. Saisissant la douche-téléphone, il en dirigea le jet chaud directement vers son propre sexe qui réagit immédiatement en prenant de l’expansion. Un savonnage topique acheva de bâtir une solide érection.
 Jérôme était toujours dans l’attente, se trémoussant l’arrière-train tel un gay sur le point de subir sa défloraison, prêt pour la toute première fois à se faire prendre par un autre homme.
 Aucun mot ne fut prononcé. Alex fit sentir à Jérôme la présence de son membre viril chaud et à la fois dur et spongieux entre ses fesses. Ce dernier se cambra davantage, l’anus glissant de savon, s’ouvrant à son partenaire telle une fleur prête à être fécondée. Fortement bandé lui-même, le futur enculé commença dans son expectative à haleter d’excitation.
 Sans aucune pré-dilatation, Alex se mit à pousser son truc à l’intérieur des entrailles de son ami. Lentement. Il ne trouva pas désagréable la résistance qu’il rencontra au tout début alors qu’il arrachait chez Jérôme un premier gémissement de douleur. Ce serrement prononcé et particulier autour de sa bite n’était pas sans lui rappeler les sodomies auxquelles ses partenaires féminines adoraient se soumettre dans des cris alliant souvent surprise et souffrance.
 Une fois la douleur initiale passée, Jérôme, quant à lui, sentait le relâchement le gagner, appréciant avec volupté la sensation que procurait le cheminement du corps étranger au plus profond de son intimité de nouvelle salope.

 Le coït était maintenant complété, les deux individus s’étant momentanément immobilisés dans un concert de soupirs amoureux.

 - Bon, tu l’as eue dans le cul, ma bite, maintenant je me retire.
 - Non, je t’en prie, besogne-moi maintenant et crache-moi tout ton foutre. Je veux aller jusqu’au bout!

 Ainsi fut-il fait. Agrippant Jérôme par les hanches, Alex ne ménagea aucun coup de butoir et baisa brutalement celui qui s’en vint finalement à connaître un foudroyant orgasme anal qui le fit baver de plaisir sous les jets d’eau. Épuisé par l’exercice, Alex accepta à son tour les soins d’hygiène que lui prodigua son ami.

 - Merci Alex, c’est cool d’avoir accepté. Tu ne peux savoir à quel point ça m’a fait du bien.
 - J’ai su pour tes conditions de détention. Sophie nous a mis au parfum. C’est la raison pour laquelle je l’ai fait, expliqua celui qui se fondit ensuite avec l’autre dans une amicale accolade.

 Il ajouta, en l’aidant à enfiler son peignoir :

 - Nous sommes des amis après tout, et les amis sont là pour ça!
 - Des amis! se dit-il ensuite en lui-même. Me considérera-t-il toujours comme tel lorsqu’il apprendra que Jasmine sa femme l’a trompé avec moi?

 (À venir: Aveux sur aveux)
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