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Déchéance d'une belle-soeur...ou salope parisienne en devenir !

Chapitre 3

Premières expériences de soumission.

SM / Fétichisme
— Ah ! J’ai un message de ta chère et tendre... avec des photos.— Putain ! Montre !
Sur la première, Sylvie était dans le couloir des toilettes, la robe relevée jusqu’au ventre. Une main d’homme caressait son sexe découvert, sous le porte-jarretelles. Sur la seconde, elle était de dos, cuisses bien écartées, les mains posées, en appui contre le mur. Le mec avait descendu la robe sous les seins qu’il empoignait avec vigueur, semblait-il. Sur la troisième, même position avec gros plan sur le cul tout blanc de la belle, orné des jarretelles noires... une main limait la chatte, avec le pouce qui tentait d’amadouer la rondelle.
Avec ce message :
" Le type veut m’emmener dans une cabine pour me baiser ou se faire sucer... je fais quoi ?
Raphaël se régalait des photos de sa femme, mise ainsi à disposition d’un inconnu :
" Putain, j’aurais jamais cru voir ça ! Ma femme, la robe tirebouchonnée sous la poitrine, au-dessus du porte-jarretelles, cul, seins et chatte à l’air, en train de se faire tripoter... tu as vu, il essaie même de l’enculer avec son pouce... et elle se laisse faire ! Mais quelle salope !
— Ça fait rêver, hein, et c’est pas fini... tu veux qu’elle fasse quoi à présent ?— Qu’il la défonce dans les chiottes !— Non, trop risqué. Elle est hypervulnérable. Imagine que le type la fasse jouir comme jamais ! Elle voudra le revoir, s’attachera à lui, et on aura perdu ta femme.
Tu comprends, elle change de modèle psychologique, et suivra le premier qui lui donnera ce qu’elle a toujours attendu en secret. Aujourd’hui , elle se libère de ses frustrations ! Ne grillons pas les étapes, mais je te promets que tu la verras se faire défoncer, et que tu la prendras comme tu en as toujours eu le fantasme... patience ! Bon alors, voilà ce qu’on va lui dire :
— Sylvie, le rapport sexuel t’est interdit pour l’instant ! Tu as compris ! Je m’y oppose. Par contre, ton mari est persuadé que tu n’auras pas.

Nous attendîmes quelques minutes le prochain SMS de Sylvie, un peu anxieux quand même... et pour finir, il arriva avec une photo :
— Elle suce bien votre salope !

Signé, un inconnu, en commentaire...

Et effectivement, on y voyait Sylvie, à genoux dans les toilettes, les cuisses écartées, une grosse bite dans la bouche, une main sur la hampe, et l’autre entre ses cuisses... elle se masturbait comme une grande !Et puis deux autres photos, avec Sylvie qui se faisait éjaculer sur le visage et enfin, des traces de sperme sur les joues, le menton, et sa poitrine.
10 minutes après, la pécheresse revenait, plutôt contente d’elle-même ; elle s’adressa avec dédain à son mari :
— Alors, tu as vu espèce de puceau, j’ai assuré, je l’ai sucé le mec et il a éjaculé dans ma bouche et sur mon visage... un truc que j’ai jamais fait avec toi ! Et que je ne ferai jamais d’ailleurs !— On en reparlera, lui dis-je, venimeux. Ne sois pas trop sûre de toi Sylvie ! N’oublie pas qu’à partir de maintenant, c’est moi qui prends les décisions. D’ailleurs, il faudra que nous reparlions de tout cela posément ce soir... il va y avoir des règles à déterminer ! “
Sylvie acquiesça, elle avait en partie perdu de sa superbe. L’air sombre, elle devait se demander dans quoi elle mettait exactement les pieds ?

Après le repas du soir, bien arrosé avec un petit bourgogne savoureux, les esprits étaient à la détente... moment favorable pour tenter autre chose !
— Dis-moi Sylvie, tu ne voudrais pas nous montrer un de tes achats de ce matin, en live. Quelque chose de convenable, bien sûr ! Tu serais ravissante, j’en suis convaincu... si ton mari est d’accord, bien sûr !— Il n’en est pas question ! Cela reste du domaine de l’intime ! Je te l’interdis Sylvie ! — Et que je revienne complètement nue ? Cela te tente Raphaël ? “
Sylvie quitta la pièce, ce qui nous permit de chuchoter pendant son absence :
— Putain, ça marche trop bien Paul ! Tu es un génie. Je n’aurais jamais cru qu’elle puisse faire tout ça !— Oh, t’as encore rien vu... dans moins de trente minutes, je la baise devant toi ! Tu tiendras le choc ?— Oui ! Oh oui ! J’en rêve... voir ma femme baiser avec un autre mec. Mais je pourrais participer ou pas ?— Au début, tu suis scrupuleusement les instructions, dans peu de temps, elle se fera prendre par nos deux queues. Le programme te convient ? — Parfait !— En tout cas, tu remplis ton rôle à merveille ! Ah ! La voilà ! Ouah, Sylvie, tu es divine ! N’est-ce pas Raphaël ? “

Sylvie, pieds nus, un bracelet de cheville en or autour du pied droit, portait une longue chemise de nuit crème, extrêmement diaphane. Si bien qu’elle offrait tout à loisir vu sur ce qu’elle portait en dessous : des bas résille noirs, une guêpière même couleur avec un redresse seins. Sa poitrine et son petit buisson blond étaient à l’avenant. Elle tourna sur elle même, et nous offrit des verres de porto, avec toujours des regards langoureux à mon adresse.
— Je peux m’asseoir sur tes genoux, en face de mon mari ?— Ben oui !— Attends, je vais me débarrasser de ma nuisette, de toute façon, mon mari sait très bien ce qui va se passer devant ses yeux ! Et je t’ordonne de regarder jusqu’au bout... je t’interdis de quitter la pièce, sinon c’est le divorce tout de suite ! Comme ça au moins, tu apprendras comment on baise bien une femme !”
J’avoue que j’étais un peu gêné par la saillie de ma belle-sœur, surtout qu’elle mit le geste à la parole, et dégrafant sa nuisette, la laissa tomber sur le sol, j’avais donc ma belle-sœur super bandante en guêpière, les seins nus, son sexe à un mètre de mon visage. Puis elle s’assit sur moi de côté. De temps en temps, elle lançait un regard plein de défi à son mari, en face, qui ne bronchait pas.
— Comme ça, cela prouvera que tu avais raison quand tu m’as traitée de salope, tout au long de la journée ! “
Sylvie saisit ma main et la plaça entre ses cuisses, dont la vulve commençait à s’humidifier. Mes doigts allèrent alors visiter ce territoire interdit !

Sylvie s’était retournée vers son mari qu’elle avait en face d’elle, et toujours assise à califourchon sur moi, reposant sur ses genoux, elle avait sa chatte ouverte au maximum. La position offrait plusieurs avantages. Non seulement cette cavalière inversée lui permettait d’ouvrir en grand ses cuisses et son sexe, ce dont trois doigts de ma main droite profitaient grandement, envahissant la caverne gluante de cyprine. Mais en plus, mon autre main pouvait saisir ses seins, que je caressais, malaxais, dont j’agaçais les pointes...
Le plus important était ailleurs ! Sylvie pouvait offrir à son mari la vision, de l’entièreté de sa débauche de femme infidèle. Non seulement Raphaël voyait la main envahir la chatte qui lui "revenait de droit"... mais en plus, comble de la perversité, Raphaël la voyait jouir sous l’intromission de mes doigts !
Et la salope ne se gênait pas... se mordant les lèvres, elle regardait son mari droit dans les yeux, pendant que sa poitrine se soulevait, les pointes de ses seins tendues à l’extrême, que mes doigts venaient pincer. Son souffle se faisait rauque, et en peu de temps, elle se mit à ahaner et à jouir.

J’avais déboutonné mon pantalon, et sortis ma queue, trop à l’étroit. En tâtonnant derrière elle, Sylvie me l’attrapa et commença à me branler. Alors ma belle-sœur se recula sur moi, entourant mon bassin de ses cuisses, et prenant appui sur ses bras, à quatre pattes, elle poussa en arrière et sa vulve bien ouverte et trempée, se riva sur mon sexe très dur qu’elle avala goulûment. Sylvie était littéralement venue s’empaler sur ma queue ! Toujours regardant son mari, elle ne se gêna pas pour gémir, ahaner et crier de plaisir... mais le plus drôle, c’est qu’elle parlait aussi... et je compris bien des choses !
Alors que le souffle de Sylvie commençait à s’accélérer, elle me tint un discours un peu surréaliste.Ma belle-sœur avait de quoi raconter... je ne savais pas si c’était le fait de prendre son pied à fond qui la rendait si prolixe ?!
— Je vais te raconter à toi et à mon... huuumm... crétin de mariiiii... ah, ouiii comme çaaaa ! Pourquoi je suis devenue une feeeemmme facile... han... depuis que tu es arrivéééé !
Évidemment, sa diction et sa syntaxe étaient quelque peu altérées, mais il faut avouer que je " la donnais" à fond. J’étais tellement excité que mon gland était vraiment gros... et dans cette position je venais buter sur son point G, presque à coup sûr ! Il faut dire que ce n’est pas tous les jours qu’on se tape une salope de bourgeoise blonde, auparavant frigide, devant son mari spectateur !
" Oui ! Oui ! Ouiiiiiii !! C’est trop bon ce que tu me fais ! Ma sœur m’a tout... hum... raconté sur son “éducation”. Elle aussi n’était... haaaa ! Pas... pas trop adepte de sexe. Oh, ouiiii ! Elle m’a décrit son... hummmm... conditionnement, tout ce que tu lui as ap... apris. Et... ce que tu lui fais faire... hannnnnn... aujourd’hui... je veux... je... je veux que tu m’éduques comme Ellllllleeeeeeee ! “
Je jetai un coup d’œil de triomphe à son mari, qui ne pipa mots. En donnant le dernier coup de boutoir qui la propulsa dans une jouissance folle, pendant que sa femme récupérait les yeux mi-clos, je lui fis un geste de la main. Il devait dire quelque chose, se montrer outré. Et il le comprit très bien.
— Comment ? Quoi ? Quoi ? Mais tu es devenue complètement folle ma pauvre Sylvie. Tu joues les putes de bas étage devant moi et ton beau-frère, tu te fais tripoter par des inconnus, tu tailles des pipes dans des toilettes ! Et tu veux quoi ? ! Quoi ?! Que Paul fasse de toi son jouet sexuel, son esclave, sa soumise, comme il l’a fait de sa femme ! Mais ça va pas non. J’ai été trop permissif jusque-là. Je pensais que le jeu s’arrêtait ce soir. Je suis trop tolérant avec toi. Alors ou tu reprends tes esprits ou tu fais la pute comme tu veux, mais sans moi. Je ne vais pas toujours tenir la chandelle ! “
Raphaël jouait à la perfection le mari bafoué, frappé dans son honneur qui veut remettre sa femme à sa place. Sylvie, le regard mauvais, s’en prit à lui :
— Je te préviens Raphaël, tu resteras et tu regarderas tout ce que Paul me demandera de faire. Tu y assisteras et tu participeras aussi. Je veux que tu aies honte de moi, que tu sois le témoin fidèle de ma dépravation !— Il n’en est pas question. Tu fais ce que tu veux, mais sans moi. Et ne viens pas te plaindre après.— Tu seras tout le temps là. Tu m’entends. Ou alors après l’éducation de Paul, je me tape tous tes collègues de travail, tous tes amis, et même ton frère et ton père. J’en ai la volonté et les moyens. Je sais qu’ils me désirent tous. Comme cela, tout le monde saura que tu es un mari faible, qui ne sait pas tenir sa petite pute de femme ! Et que sa femme est un vrai garage à bites ! Alors que dis-tu de ça ? !— Tu n’oserais pas te corrompre comme ça ? Tu te rends compte ? Coucher avec mon frère et mon père ? Tu es complètement folle ma pauvre Sylvie.— Tais-toi. J’en suis capable et pire encore. Que dirais-tu d’une petite exhibition et d’un gang bang avec tes collègues et ton patron. Soit tu obéis à mes caprices et tu assistes à tout, soit je mets mes menaces à exécution. Bon, Paul, tu viens avec moi au lit... on sera mieux ! Et toi, tu viens aussi, tu prends la veilleuse que tu rapproches du lit... je veux que tu puisses presque me toucher ! Cela va encore plus m’exciter !— Bien... alors comme ça Madame Martin, épouse jusque-là, prude, voire coincée avec son mari, veut être débauchée et soumise sous les yeux de celui-ci...
Dorénavant, c’est moi qui donne les ordres. Tu as compris petite pute ? "Et je lui pris le menton d’une main ferme, approchai son visage du mien et lui crachai sur la bouche. Étonnée, elle eut une réaction de défi.Je lui assénai alors une gifle. Soumise, vaincue, elle baissa la tête.
— Alors tu veux être traitée comme une putain et une débauchée, comme ta sœur.— Oui Paul.— Tu as honte, tu as peur de ce que je vais te faire faire ? Je te préviens, il n’y a pas de retour en arrière. Une seule désobéissance et tu seras punie... vigoureusement et très vicieusement... et j’ai de l’imagination. Une autre rebuffade, le jeu s’arrête, je pars et je te laisse à ton crétin de mari. Tu as compris toi aussi Raphaël ?— Oui, je n’ai pas le choix. Elle me hait et je sais qu’elle est capable du pire.— Bon très bien. Par contre, une femme ne doit pas humilier son mari de cette façon. Tu l’as déjà enculée ?— Non jamais. Elle a horreur de ça !— Tu aimerais mettre tes doigts dans son cul, la limer comme ça ? Tu vas voir avec moi, elle va adorer !
Sylvie se tenait à genoux sur le lit, cuisses écartées, les seins qui pointaient. En entendant mes paroles, elle devint un peu grise, mais une expression d’excitation se lisait dans son regard. Partagée entre doute, peur, dégoût et excitation morbide, elle était devenue la proie parfaite pour mes projets de soumission. Je m’adressai à Raphaël :
" Il me faut de l’huile d’olive, une carotte, puisque j’imagine que vous n’avez pas de godes... une bougie aussi, des pinces à linge et de la corde... on va aller trouver tout ça. Et toi, petite putain, les mains sur la tête, visage vers le bas !"Raphaël se tourna vers moi, puis vers sa femme, un grand sourire aux lèvres.Sylvie, elle, les cuisses toujours écartées, assise sur les genoux, le sexe entrouvert, tout baveux, ne souriait plus. La femme méprisable qui trahissait son mari, sous ses yeux avec délectation, avait la position de la soumise... et elle comprenait à présent ce que cela signifiait pour elle en réel !Son chemin de croix et d’expiation avait commencé, d’après son propre souhait bien imprudent... elle commençait déjà à s’en mordre les doigts !
Elle avait voulu jouer... elle était prise au piège, car refuser maintenant, signifierait la faire passer pour une faible et une imbécile, aux yeux de son mari !
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