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Déchéance d'une belle-soeur...ou salope parisienne en devenir !

Chapitre 7

Petit problème à l'horizon...

Voyeur / Exhibition
Sylvie s’acclimatait très vite à son nouveau rôle de stripteaseuse. Grisée par l’atmosphère de l’endroit, troublée par les voyeurs, dont elle sentait la présence derrière les glaces sans tain... et surtout ayant encore à l’esprit les images inavouables, et hautement pornographiques de la vidéo, elle se laissait aller au rythme syncopé de la musique.
Ayant excité ses spectateurs par ses pas de danse, et ses déhanchements langoureux, elle défit le lien de son pardessus, et le laissa glisser par terre, se retrouvant seulement vêtue d’un porte-jarretelles et de bas noirs, ainsi que d’un string et d’un soutien-gorge minimaliste de la même couleur. En "jeune professionnelle", Sylvie n’avait pas fait l’erreur de commencer par enlever ses chaussures, bottines noires, qu’elle garderait lorsqu’elle se retrouverait complètement nue sur cette scène !
— Mon Dieu, pensait-elle ! Je vais me retrouver à poil au milieu d’une scène, matée par une dizaine de types, que je ne peux même pas voir ! Et dans un sex-shop ! Moi, Sylvie Martin ! Encore bourgeoise, honnête épouse et femme de grande classe, cadre supérieur... la semaine dernière ! Je suis devenue une stripteaseuse de bas étage... une pute... la putain de mon Maître ! Mais mon Dieu, c’est trop bien ! J’ai la chatte en feu ! Il faut que je me foute à poil.

Mais Sylvie se concentra sur son striptease... intellectualisme et passion sexuelle faisant souvent mauvais ménage !
Lorsqu’elle enleva son soutien-gorge pour révéler ses superbes seins dont les pointes étaient tellement tendues, qu’on aurait pu penser qu’elles allaient lui jaillir de la poitrine, Raphaël émerveillé et surexcité, regardait l’exhibition sexuelle de sa femme :
— Alors vraiment, elle m’étonne ! Elle va vraiment le faire jusqu’au bout !— Tu en doutais ? Elle fera tout ce qu’on voudra ! Elle est à nous, corps et âme !
Le problème, c’est qu’il y avait un nouveau joueur sur les rangs ! Joueur qui n’aurait jamais cru voir Sylvie Martin, dans cet endroit très glauque enlever son string pour apparaître la chatte à l’air, encadrée par ses jarretelles !Lui qui fantasmait depuis tant d’années sur elle, en la croyant inaccessible. Et là, elle jouait les petites putes de caniveau !Quelle n’avait pas été sa surprise, ce matin-là, de la voir entrer dans le sex-shop... endroit que ce célibataire endurci fréquentait en toute discrétion, tous les lundis entre 11h00 et 13h00, pour assister au striptease de la "nouvelle" ! Le créneau était en effet dédié aux couples, dont le mari désirait exhiber sa femme devant des inconnus, en toute sécurité, du fait de l’anonymat du lieu, et de la sortie dérobée qu’empruntait la Playmate, une fois le show terminé. Cela afin d’éviter tout geste importun d’un quelconque "fan" !
Ce jeu d’exhibition d’une femme mariée, avec le plus souvent le mari dans l’un des box, à regarder sa femme se dévêtir, et tenter un jeu sexuel, était l’une des choses qui excitait le plus Jean-Paul Delerue... celui que l’on appelait "la Hyène" dans son service, venait s’encanailler discrètement...
Il s’imaginait le trouble de l’honnête mère de famille qui s’effeuillait pour la première fois devant des inconnus... et le mari qui bandait comme un malade devant le spectacle de sa femme, transformée en vulgaire "putain" !
Et puis ce jour-là, stupéfaction... alors qu’il attendait le moment tant désiré de la nouvelle amatrice, il eut l’immense surprise de voir entrer cette belle blonde en pardessus et basse couture. Son sang ne fit qu’un tour, non seulement la femme devait certainement être nue et en porte-jarretelles sous son pardessus... mais en plus, il la connaissait très bien : Sylvie Martin ! La si belle, si classe, si dédaigneuse Mme Martin ! Mais que foutait-elle donc dans ce lieu de perdition, à des années-lumière de sa zone de confort ?

Et alors, quand après avoir pris renseignement, on lui eut appris que c’était LA Playmate du lundi, il éclata de rage : comment cette salope de bourgeoise qui s’était toujours refusée à lui, pouvait-elle venir maintenant se dévergonder de la pire des manières possibles ! Il était certain que son mari n’était pas au courant des turpitudes de son épouse. Il avait rencontré Raphaël de façon relativement fugitive, lors d’une soirée, et le gars lui avait semblé complètement effacé, voire émasculé par le caractère bien trempé de son épouse. Pauvre type ! Jean-Paul était sûr que sa chienne de femme se refusait à lui, à une sexualité normale, maritale dans le cadre du foyer... pour venir ici ! Putain, ici ! Pour lui, l’affaire était claire, la bourgeoise en mal de sexe venait s’offrir à la concupiscence des hommes frustrés comme lui, pour ensuite en choisir un ? Qu’elle emmenait dans l’une des chambres prévues à cet effet ?
L’imagination de Jean-Paul s’envolait au gré de ses fantasmes inassouvis. Pendant de longs mois, il avait tenté des approches plus ou moins séductrices, gentilles, perverses... il avait tout tenté pour s’envoyer la jolie blonde, l’avoir enfin dans son lit, abuser de son corps... et lui faire faire des choses inavouables.Jean-Paul était un homme, quoique bien arrivé dans la vie, mais complètement nul avec les femmes. Il ne savait tout simplement pas s’y prendre avec la gent féminine. Et cela de tout temps. Il avait bien eu des aventures précaires et courtes, mais rien qui lui aurait permis d’assouvir toutes ses passions sombres et décadentes ! Et l’âge passant n’arrangeait pas les choses...à 61 ans et complètement timoré, on n’a que peu de chances de séduire de jeunes hétaïres !

Alors discrètement, il se mit à observer de loin la blonde incendiaire, cachée derrière des présentoirs d’objets divers, ou des rayonnages de livres. Il avait fermé son grand manteau en cachemire, et remonté son écharpe blanche jusqu’en haut de son nez. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il vit Sylvie errer au milieu des rayons de DVD, s’arrêter au niveau de la catégorie zoophile, en choisir un, pour ensuite le visionner dans une cabine privative !
Là, c’en était trop pour lui ! La salope était exhibitionniste, infidèle, et zoophile de surcroît ! Il n’arrivait pas y croire ! Son désir, amplifié pour elle, dans des proportions inimaginables, n’égalait que sa frustration incommensurable, et sa haine pour cette femme en particulier !
Jean-Paul réfléchissait, son esprit ruait tel un cheval devenu fou ! Plein d’idées et de visions plus ou moins terribles lui venaient !Alors, il décida de suborner la femme infidèle, en faire son esclave et venger ainsi son pauvre mari ! Ce ne serait que justice, et lui en tirerait de multiples plaisirs ! La tentation était trop importante, jamais une telle occasion ne se reproduirait. De plus, il aurait enfin une "monnaie d’échange" pour le célèbre et très privé "dîner de salopes", organisé une fois par mois, par son cercle d’amis, très en vue de la haute société parisienne !

Alors il se retrouva dans le box du peep-show, attendant avec impatience le spectacle de la belle ! Son esprit était en feu, sa verge lui faisait mal, tellement il était en érection. Il avait l’impression que jamais il n’avait été aussi excité !La voir nue devant lui, à quelques mètres, au-delà de la glace sans tain était un événement prodigieux pour lui. Jamais il n’aurait, même dans ses rêves les plus fous, imaginé la voir ainsi ! Et alors, quand elle s’installa sur le fauteuil, qu’elle plaça ses cuisses sur les côtés, s’ouvrant entièrement à la vue des hommes, il eut une éjaculation monstrueuse. Sans s’être touché, il éclata... heureusement qu’il avait pris la précaution de baisser son pantalon de costume Armani... sinon il serait ressorti de là, avec une vilaine tache de sperme...
Obsédé par le spectacle pornographique de Sylvie, il la vit, seins tendus, la chatte qui semblait accessible à tous, la fente brillante et grande ouverte, se caresser le clitoris et se donner en spectacle ! Sylvie se branlait joyeusement et n’ hésitait pas à rendre son plaisir audible pour tous les voyeurs.
— La salope, la salope ! pensa-t-il ; elle se branle la chatte devant tout le monde ! Elle s’exhibe comme une chienne en chaleur ! Mais quelle pute ! Ah, tu cachais bien ton jeu, Sylvie Martin ! Mais il y a au moins un homme sur cette terre qui t’a percée à jour, et qui te punira pour tous tes excès ! "
Puis cédant au jeu de la masturbation, il s’excita à la regarder se goder... Sylvie prit le gros godemiché sur la petite table à côté d’elle, se le passa langoureusement sur les lèvres, le suça comme une pro... et puis d’un geste sec, elle se l’enfila dans son vagin. Elle exhala un cri guttural et commença à ahaner, tandis que sa main accélérait l’objet à une cadence infernale dans son sexe en feu. Au bout de quelques dizaines de secondes, elle se mit à jouir bruyamment, pour le plus grand plaisir des spectateurs. Haletante, essoufflée, repue de plaisir, elle se laissa aller dans le fauteuil, les jambes grandes ouvertes, les bras ballants, la tête renversée en arrière, les yeux clos et la poitrine se soulevant à un rythme de marathonien...Le spectacle était terminé, les volets des box se refermèrent silencieusement.

Jean-Paul se reprenant très vite se remit en ordre et sortit très vite de son box. Il quitta rapidement le sex-shop... il ne fallait pas que sa future victime expiatoire se doute qu’il l’avait reconnue, et avait assisté à son show. Pas assez vite néanmoins, car les deux compères s’esquivèrent assez rapidement aussi, tant Paul et Raphaël ne voulaient pas que Sylvie sache qu’ils avaient assisté à son petit numéro !
— Alors ta femme ? Heureux d’avoir épousé une salope pareille !— Oh mon Dieu, si tu savais, je crois que c’est le spectacle le plus excitant que j’ai jamais vu ! Je n’aurais jamais pensé qu’elle ait le cran de le faire, et en plus elle a trop assuré ! Qu’en penses-tu ?— Oui, elle s’est surpassée ! Néanmoins, il ne faut pas qu’elle se sente en supériorité. Alors pas un mot ce soir, il ne se passera rien. Moi je serai absent, et toi tu joueras le petit mari "normal". Tu n’essayes même pas de la toucher ! Après les deux jours intenses qu’elle vient de vivre, elle va se poser plein de questions. Il est essentiel qu’elle reste dans une attitude confuse. Ainsi nous garderons la main sur elle !— Tiens ?— Oui quoi ?— Ce type dans la rue, devant, ah merde, il vient de tourner le coin... j’ai l’impression de le connaître.— Ah bon, et alors. — Ben, je jurerais qu’il était déjà là, quand nous sommes arrivés dans le sex-shop... je n’ai pas vu son visage, mais cette dégaine, ce grand manteau en cachemire noir, sa pose stylée... non je dois me tromper, ce n’est pas possible ...”

Le lendemain, c’est une Sylvie fière d’elle-même, pleine de vitalité, et toujours avec le feu au cul, qui entra dans les locaux splendides de la mairie de la ville de Paris.Évidemment, ses collègues mâles remarquèrent sa mine enjouée, son tailleur Chanel noir impeccable, mais surtout ses basses coutures... ce qui fit tourner leur imagination à plein régime !Il leur sembla qu’elle avait un je-ne-sais-quoi de différent. Elle paraissait plus épanouie, plus ouverte... rien à voir avec la femme acariâtre et hautaine des mois précédents !
— Sylvie, il y a le boss qui veut te voir dans son bureau...— Ah oui, pourquoi ?— Je n’en sais rien, mais c’est urgent, paraît-il. Vas-y vite, déjà que tu es légèrement en retard !— Bon OK !”

Et Sylvie se rendit dans le bureau du chef de la division culturelle de la mairie de Paris. Elle ouvrit la porte, un grand sourire aux lèvres. Sur la porte, une plaque en bronze :

Jean-Paul Delerue
Responsable du service culturel de la ville de Paris
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