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Déchéance d'une belle-soeur...ou salope parisienne en devenir !

Chapitre 11

Paul reprend la main...

Hétéro
Les deux hommes se retournèrent, très étonnés. Cécile, la femme de Paul était goguenarde. Quant à Paul, lui, il était visiblement très contrarié de trouver sa femme ici, et de la voir participer à cette pétaudière... tout cela ne lui disait rien de bon !
— Cécile, mais que fais-tu ici ? Je t’ai demandé de faire le déplacement ? — Non, mais quelle importance ? C’est ma gentille sœur aînée qui m’a proposé de me joindre à vos divertissements... un peu particuliers d’après ce que je peux voir sur l’écran ! C’est en temps réel ? — Cela ne te regarde pas ! N’essaie même pas de défaire ta valise, tu repars illico chez nous ! Dit Paul très en colère. — Attends, ta femme pourrait peut-être rester un peu ? Elle a fait une longue route pour venir nous rejoindre. Et il est déjà tard ! Dit Raphaël, pour qui cette arrivée soudaine apportait une grande bouffée d’oxygène. — Bon, on verra ça plus tard ! En attendant, je me change, je vais me chercher un verre et j’ai hâte de voir les exploits sexuels de ma grande sœur ! déclara une Cécile folle d’exubérance."
Paul se mura dans le silence, tandis que Raphaël voyait des implications intéressantes à l’arrivée de sa belle-sœur. Jusque-là, il était anéanti par la déchéance morbide de Sylvie. Il n’en pouvait plus. Et alors qu’il cherchait un réconfort moral, ou du moins une solution pour sortir sa femme de ce pétrin, il s’apercevait que Paul s’en foutait royalement. Alors silencieusement, il s’était mis à nourrir une animosité croissante à l’égard de Paul. Après avoir accepté le plan foireux de son beau-frère, il se retrouvait dans une merde noire, sans aide aucune ! Alors il décida de retourner la situation à son avantage... après tout, lui aussi pouvait bien profiter des charmes de sa belle-sœur, comme Paul l’avait fait avec sa propre femme ! “Avec un peu de chance”... se disait-il !
— Pourquoi ne veux-tu pas que ta femme se joigne à nous, Paul ? — Pour regarder sa salope de sœur se faire monter par deux clébards ? ça risquerait trop de l’émoustiller cette salope ! — Et alors, tu as peur que je me la fasse, ta femme ? Tu ne t’es pas gêné avec la mienne ! Non ?! — Oui, mais c’est toi qui me l’as demandé ! — Argument spécieux ! C’est moins drôle quand c’est sa propre femme, qui risque de se retrouver mêlée à des histoires glauques, et de se faire baiser sous tes yeux... n’est-ce pas ? “ Le ton était moqueur et âpre. Raphaël tenait sa vengeance !
Et puis il enfonça le clou :
— Peut-être que ta propre femme s’est fait embringuer comme la mienne, dans les combines de ce salop de Delerue ! — Que dis-tu ? — Tu te souviens ? Delerue nous a demandé de laisser ma porte d’entrée ouverte, pour un invité mystère, qui devait arriver durant le visionnage de ma salope de femme. Il savait donc que c’était la tienne qui allait arriver. Conclusion : elle se retrouve prise elle aussi dans cette histoire pourrie ! Peut-être que Delerue l’a déjà baisée, elle aussi... dit Raphaël avec un ton persifleur. — NON ! C’est pas possible ! Je suis le mari et le maître de ma chère épouse, elle est obligée de m’en parler d’abord ! — Tout comme tu étais "le maître" de la mienne ! répondit Raphaël, goguenard. "

Cette fois-ci, ce fut Paul qui se mura dans un silence boudeur ! Quand sa femme Cécile vint les rejoindre. Son aspect vestimentaire ne devait pas arranger l’humeur déjà massacrante de Paul ! Elle s’était un peu maquillée et portait une espèce de kimono noir, en soie très légère, et très court avec une large échancrure, pour le décolleté de sa poitrine. Ses cuisses étaient quasi dénudées jusqu’à la limite de son pubis...
— Mais qu’est-ce que c’est que cette tenue de pute en chaleur ! Tu viens t’exhiber comme ça devant ton beau-frère ! — Mon Dieu, mais quel hypocrite ! Tout ce qu’il ne faut pas entendre ! Parce que toi, tu regardes un dessin animé de Walt Disney à la télé, peut-être ! ? Dit Cécile en éclatant d’un rire cristallin. — Cela ne te regarde pas ! Tu n’avais pas à venir ici ! — Oh que si ! Et rien que pour te faire chier, je vais m’assoir auprès de Raphaël, qui semble avoir bien besoin de réconfort ! Tu me remplis mon verre, s’il te plaît ? — Mais bien sûr, ma chère belle-sœur ! Ton mari a été un peu dur avec moi, ces derniers temps ! Dit Raphaël avec un grand sourire, tout en remplissant de façon généreuse le verre de whisky de Cécile. — Oui, cela ne m’étonne guère ! Paul a des façons un peu rustres, parfois ! Alors, voyons ce qui arrive d’excitant à ma pauvre grande sœur ! Ajouta Cécile en lorgnant sur l’écran plasma...
Sylvie avait eu un très gros orgasme en se faisant baiser à califourchon sur le premier chien. Cette fois-ci, les deux femmes en noir changèrent le scénario : Sylvie fut mise à quatre pattes, pour se faire défoncer littéralement par le deuxième chien. Elle subit l’assaut avec beaucoup de cris de jouissance, puis l’une des deux femmes la força à baisser la tête vers le premier chien, qui était couché aux pieds de sa maîtresse. Sylvie, toujours saillie par l’autre, rapprocha sa bouche de la tige canine dégagée, et commença à le sucer. Cécile était subjuguée par le spectacle infâme auquel se livrait sa grande sœur, tandis que Raphaël, cuisse contre cuisse avec sa belle-sœur, commençait à s’émoustiller, tant il sentait l’excitation de la femme de son rival à côté de lui !
Cécile avait bu son whisky et s’excitait de plus en plus, devant les performances zoophiles de sa sœur, qui ahanait sous les coups de boutoir du chien qui la prenait...à chaque fois, du moins, qu’elle quittait le sexe canin qu’elle avait dans la bouche. Cécile était abasourdie par la perversité de sa sœur, qui s’offrait ainsi aux désirs de son nouveau maître, et devant son mari, par écran interposé !
Raphael sentant son désir monter, n’hésita qu’un instant pour poser une main chaude et timide sur la cuisse de la jeune femme, qui s’offrit à la caresse, en écartant bien les jambes. Elle défit le lien de son kimono, dont les bords vinrent s’entrouvrir sur sa poitrine dénudée, et son pubis rasé... Puis la jeune femme attira son beau-frère par le cou, et l’embrassa fougueusement. Raphaël, qui ne s’était pas attendu à une telle manifestation chaleureuse, était aux anges. Ses mains caressaient les seins et le sexe offert de la jeune femme, qui gémissait de plus en plus fort. Le couple désormais formé ne s’intéressait plus du tout à la femme en proie à son délire zoophile sur l’écran.

Cécile aida alors Raphaël à se déshabiller entièrement, et guida son membre viril vers sa grotte sacrée. Pénétrant la jeune femme, Raphaël se mit à ahaner de concert avec sa proie docile et offerte. Paul, lui, écœuré par le spectacle de sa femme qui se donnait aussi facilement à son beau-frère, "rien que pour le faire chier", pensa-t-il âprement, se leva d’un bond, éteignit l’écran plasma d’un coup de doigt rageur sur la télécommande, et sortit du salon en furie. Les deux pécheurs, en train de s’abandonner à leur passion interdite, ne le remarquèrent même pas.
Il revint trois minutes plus tard, un sac à la main, alors que Raphaël, en proie à l’orgasme, s’abandonnait dans la chatte accueillante de sa compagne d’un soir.
— Alors, tu t’es bien vidé les couilles dans ma femme !
Vociféra un Paul, visiblement énervé par le tour qu’avait prise la situation.
Eberlués par la présence incongrue du mari jaloux, juste à côté d’eux dans le sofa, et encore en proie aux affres de l’orgasme, les deux tourtereaux ne régirent que mollement.
— Tiens, l’empêcheur de baiser en rond ! Alors tu as bien joué les voyeurs candaulistes...ça t’a plu ? S’écria Cécile mi amusée, mi énervée par la saillie de son mari. — Je ne vois pas où est le problème, dit Raphaël, tu ne t’es pas tapé ma femme à de nombreuses reprises ? Juste retour des choses ! — Certes, certes... sauf que moi je n’ai pas été pleuré dans les jupes de mon beau-frère", quand ma femme me prenait pour un con et me méprisait ! Tu étais bien content quand tu pouvais te la taper comme tu voulais, ta femme, grâce à moi ! C’est quand même grâce à moi que tu as pu l’enculer et la soumettre à de nombreuses reprises ! Tiens, en parlant de soumettre... je vais te montrer comment ma femme aime réellement être baisée ! "
Et Paul ouvrit son sac, posé sur la table basse, et en sortit le parfait attirail de l’amateur de SM !
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