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La déchéance d'une Demoiselle

Chapitre 3

D’ingénue Demoiselle à belle Salope Partie 3

SM / Fétichisme
Il fallut un petit moment avant que des râles de plaisir se fassent entendre et que le string gorgé de cyprine ne suffise plus à absorber ce qui coulait de son antre intime. Satisfait, je m’arrêtai là, essuyant le bout de ma chaussure contre sa cuisse.
Bon maintenant, passons au vrai test.
Dis-je joyeusement en me dirigeant vers le câble de son chargeur de téléphone.
Chapitre 3
Le 1er coup lui coupa le souffle.
Le 2e la fit crier.
Le 3e la fit se plier en deux.
Le 4e, des larmes perlaient dans ses yeux.
Au 5e, elle me supplia d’arrêter.
Ce que je fis, lui laissant reprendre son souffle, tête baissée, à moitié couchée sur ses cuisses.
En 5 coups sur son dos, seulement 5 coups, je l’avais déjà éprouvée.
Il est vrai que le bout arrondi et métallique du câble de chargeur mordait impitoyablement la chair, laissant de jolies traînées rouges, mais je n’avais pas frappé fort et elle semblait déjà à sa limite. Je ne voulais pas l’emmener au-delà de ce qu’elle pouvait supporter et provoquer des dégâts irréversibles tant physiques que moraux. Je lui proposai donc une porte de sortie, sachant ce que cela impliquait.
— Ce n’était qu’un avant-goût, il va y en avoir beaucoup d’autres, si tu n’en peux plus, dit ton safeword. Il n’y a pas de honte à avoir, tout le monde n’est pas fait pour ce genre de traitement, tu sais !

Mais quand elle releva la tête, ce que je vis me surprit, au lieu du visage soulagé et résigné que je m’attendais à voir, il y avait deux yeux, brûlants d’un feu glacial, d’une détermination implacable qui soutenait mon regard avec défi et rage.
Accompagné de juste quelques mots:
— NON ! Je peux le faire !
Puis elle se redressa, bien droite, offrant dans un sursaut d’orgueil, son corps nu et si fragile à mes supplices.
J’étais content de sa réaction, même si j’espérais que cet orgueil ne l’emmène pas trop loin. Dans tous les cas, j’avais envie de voir jusqu’où elle pouvait aller. Je repris donc mon office et m’attelai à martyriser son dos.
Je n’appuyais pas mes coups, mais ils tombaient de manière régulière. A chacune des mesures de « Shine on you crazy diamond », le câble scindait son dos, arrachant un cri à la victime. Je pouvais voir des gouttes de transpiration commencer à apparaître sur son corps et des larmes perler à ses yeux, mais aucun signe de son safeword.
Mais ce fut quand je passai sur ses seins qu’elle dut réellement se contrôler pour ne pas tout arrêter. Des larmes coulaient sur ses joues et je pouvais voir ses phalanges se blanchir tellement elle serrait les poings. Mais mes coups tombaient inexorablement encore et encore, une fois sur le sein gauche, une fois sur le droit accordant à l’un puis à l’autre un bien maigre repos avant que le coup suivant ne tombe à nouveau. Mais, ce fut le coup qui mordit par inadvertance un téton, qui la courba sur ses genoux dans un long râle de douleur.
Je m’arrêtai un instant pour lui laisser reprendre contenance, mais elle tardait et ne faisant pas mine de se relever, je dus lui forcer un peu la main :
— Relève-toi, sinon je serai obligé de vraiment appuyer mes coups et je suis sûr que ça ne va pas te plaire.
Elle se releva lentement, des larmes plein les yeux, elle se remit en position en silence et sans objection, seulement armée de sa froide détermination.
Je recommençai donc à faire pleuvoir les coups sur son corps, alternant entre ses seins et son dos selon mon envie. Bien que je gardais une certaine régularité tant en termes de force que de rythme, elle semblait mieux encaisser. Hormis quand je touchais un endroit déjà frappé, je la voyais beaucoup moins se plier pour tenter d’échapper à mes coups et pour ma part, je faisais attention à ne plus toucher ses tétons. De toute évidence, ma petite Salope commençait à s’habituer à la douleur que je lui infligeais.
Je dois dire que je prenais un plaisir fou. J’adorais le solo de guitare qui vrillait dans mes oreilles, me faisant presque danser pendant que je tournais autour de ma victime. J’adorais les râles de cette dernière qui rythmait la musique. J’adorais ce magnifique corps nu qui rougissait et se tordait à chacun de mes coups. Mais surtout, j’adorais la résilience dont elle faisait preuve, la voir se soumettre à mes assauts avec détermination. Cette volonté de passer mon test, d’aller outre la peur et la douleur pour briser ses limites. Même si c’était très certainement plus pour elle-même que pour moi qu’elle le faisait, ça restait admirable et magnifique.
Et dire que je ne l‘avais même pas encore baisée ...
Je m’arrêtai peu après, elle était en nage, essoufflée, ses seins et le haut de son dos étaient rouges de marques, mais je n’avais pas frappé assez fort pour faire apparaître des gouttes de sang malgré le bout en métal de mon fouet artisanal.
Voyant que je m’arrêtais, elle osa me demander timidement:
— Vous êtes satisfait de moi, Monsieur ?
Je souris.
— Satisfait oui, mais loin d’être rassasié. Tu as bien encaissé en tout cas. Lui dis-je en caressant avec la paume de ma main sa joue, effaçant du pouce les larmes de ses yeux.— Ça a été dur, mais je suis ravie de l’avoir fait, Monsieur. Me dit-elle avec une pointe de soulagement, mais surtout beaucoup de fierté. Lovant sa tête dans ma paume.
Je voyais tout son corps se détendre, imaginant sans doute que le pire était passé. Et elle fut seulement interloquée quand je lui demandai simplement de retirer mes chaussures et de me mettre pieds nus.
— Mais Monsieur, je suis menottée... — Je suis sûr que tu trouveras un moyen ! A moins que tu préfères que je reprenne mes coups ?— Non, non Monsieur, je trouverai un moyen.
Se précipitant et joignant les gestes à la parole, elle se pencha pour essayer de défaire les lacets de mes chaussures avec sa bouche. Après un long moment, de nombreux quolibets, beaucoup de coups de dents, quelques-uns de fouets et même parfois de langue, je me retrouvais pieds nus et ma belle Salope passablement humiliée.
J’allai chercher le bandeau pour les yeux et je le lui mis. Elle se crispa à nouveau, sans doute d’appréhension, mais très vite se détendit sous mes mains qui caressaient son corps meurtri. J’en profitai pour passer sur son sexe et prendre le string détrempé qui y résidait. Elle gémit légèrement quand je le lui retirai.
Il dégoulinait de cyprine tellement elle avait mouillé et elle hésita longuement avant d’ouvrir la bouche quand je lui demandai de le faire. Elle eut un mouvement de dégoût, mais l’accepta malgré tout quand je lui enfournai son string dans la bouche.
— Je te laisse savourer ta propre excitation, mais fais attention à le garder en bouche si tu ne veux pas être punie.
Je me mis debout à côté d’elle, mis mon pied nu à nouveau entre ses cuisses et titillai sa fente de mon gros pouce puis enchaînai :
— Pour te récompenser, je te laisse t’amuser avec mon pied.
Voyant qu’elle ne bougeait pas, sans doute ne sachant pas trop quoi faire de mon pied. Je l’aidai un peu et le levai légèrement, le faisant rentrer doucement dans son sexe trempé, lui arrachant un petit gémissement.
Je la brusquai.
— Tu es entièrement nue, menottée, aveuglée et plugée. Tu es étouffée par ton propre string imbibé de ta cyprine. Fouettée par un inconnu dont tu ne connais même pas le prénom et dont tu as enlevé ses chaussures avec ta bouche. Alors, fais pas ta sainte-nitouche, prends ta récompense et empale-toi sur mon pied comme la belle Salope que tu es. Surtout que vu comme tu mouilles, tu en crèves d’envie.
A ces mots, je la vis hésiter encore un instant avant de céder à ses pulsions et écarter les jambes encore plus pour descendre et s’enfoncer mon gros pouce plus au fond de son intimité.
J’essayais de garder mon pied et mon pouce le plus droit possible pendant ses assauts répétés qui descendaient toujours plus loin sur mon pied. Abandonnant toute honte et inhibition, cette belle Salope s’activait maintenant franchement sur mon pied. Rapidement, je commençais à entendre sa respiration s’accélérer et les gémissements devenir plus soutenus. Je voyais ses seins se balancer en rythme et son liquide interne couler abondamment sur le simili de gode que je lui proposais.
Je savourais le spectacle de débauche qu’elle m’offrait et visiblement, elle prenait sacrément son pied en chevauchant le mien. S’activant toujours plus sur mon pauvre pied qui peinait à tenir le rythme qu’elle imposait, je guettais sa jouissance qui se faisait de plus en plus imminente, attendant l’erreur qu’elle allait forcément commettre.
Ses gémissements se faisaient de plus en plus aigus, puis, dans un ultime mouvement, s’empalant profondément une dernière fois sur mon pied, un long frisson de jouissance parcourut tout son corps. Elle se cambra quand des spasmes incontrôlés prirent possession de son corps et un long cri étouffé sortit de sa bouche remplie.
La vague passa, elle regagnait peu à peu ses moyens, mais entre sa bouche occupée et son extase récente, elle peinait à reprendre son souffle. Je retirai mon pied d’entre ses cuisses et la surpris quand je lui posai ce même pied entre les seins. Puis, appuyant avec sur sa poitrine, je la fis basculer en arrière et la plaquai dos au sol. Elle hoqueta de surprise et voulut bouger, mais mon pied la maintenait fermement au sol. Il me suffisait d’accentuer un peu mon poids sur elle pour l’entendre difficilement respirer.
Elle était à ma merci et je refermais mon piège.
— Je crois que tu as oublié que ton corps m’appartient et à ce titre tes orgasmes aussi, je ne crois pas t’avoir autorisée à jouir, tu seras donc punie. Ça sera 5 coups.
C’était injuste comme punition, je ne l‘avais pas prévenue, mais j’en avais cure, je voulais la voir souffrir encore un peu.
Elle comprit vite ce qui l’attendait et essaya de se débattre un peu pour fuir ce qui allait inexorablement arriver, mais mon pied sur son thorax la maintenait trop fermement au sol. Positionnée comme je l’étais, je la dominais de toute ma hauteur. Je pouvais à loisir fouetter son corps sur l’entièreté de sa longueur, ce que je fis, cinq fois, sur son ventre. Mais cette fois-ci, j’appuyais mes coups. Je frappais lentement, arrachant un grognement de douleur et un cabrement que je peinais à contrôler. Une fois fini, cinq marques très rouges ornaient son ventre et de l’humidité était apparue sur son bandeau.
Je quittai son torse, laissant une marque de mon pied toujours humidifié par son liquide de jouissance pour m’approcher de sa tête et poser, ledit pied, sur sa joue, la trempant au passage et forçant sa tête à se coller au sol de biais.
— Écarte bien tes jambes et lève tes fesses. Non pas comme ça, plus haut, mets-toi sur la plante des pieds et pousse avec tes bras dans le dos. Allez, encore plus haut, écarte encore. Voilà, bouge plus. Je vois parfaitement ta chatte touffue comme ça.
Cette position n’était pas confortable, mais elle était particulièrement indécente et exposait son sexe humide. S’offrant comme ça devait être des plus humiliants pour elle, mais surtout des plus angoissants. Si son intimité était autant exposé à ma vue, il l’était d’autant plus à la morsure de mon fouet improvisé. Et au vu de la tension dans lequel était son corps, l’attente de mon châtiment et la douleur qui allait suivre devaient la terrifier. Je l’ai sentie retenir son souffle quand je déposai délicatement ce qui me servait de fouet sur son sexe et expirer quand je lui dis:
— Je vais maintenant t’apprendre à aimer la douleur et tu me supplieras de te fouetter pour te faire jouir.
Alliant les gestes à la parole, je commençai à passer le câble entre ses lèvres intimes, je profitai du bout métallique et vins titiller le haut de sa fente puis passai à ses seins que je caressai chacun de bas en haut pour revenir donner de petits coups sur les tétons.
Je me mis bientôt à la fouetter, tout doucement d’abord, je tombais sur le long de son sexe, parfois à côté, parfois sur l’intérieur des cuisses, parfois encore sur les tétons. A chaque fois, j’augmentais légèrement la force et bientôt, j’entendis les gémissements de ma victime s’élever, mais cette fois-ci, j’étais bien incapable de dire si c’était de plaisir ou de douleur. Mon pied quittait un instant son visage pour que je puisse me rapprocher de sa grotte baveuse que j’enfournai de deux doigts. Son bassin accompagna les mouvements de mes doigts qui provoquaient de multiples bruits de succion tellement elle était trempée, pendant que ses gémissements toujours plus forts rythmaient “Shine on you crazy diamond“ qui passait en fond. Je quittai ensuite son antre pour reprendre plus franchement les coups de fouet.
Ses zones érogènes ne savaient plus où donner de la tête, envoyant tour à tour des signaux nerveux de plaisir et de douleur au cerveau qui mêlaient les deux informations affolant complètement le corps de sa propriétaire.
A entendre ses râles de plus en plus insistants, je l’autorisai à se débarrasser de son string qu’elle expulsa sur ses seins. Il dégoulina un moment sur le haut de sa poitrine mouvante puis finit par tomber à terre.
Sa bouche enfin libérée, elle révéla vite sa vraie nature. Au lieu de me supplier d’arrêter, elle m’encourageait, m’incitant toujours plus à frapper fort. Elle me suppliait même de continuer, de lui faire mal, de la faire jouir. Et au vu du plaisir qu’elle en prenait, elle confirmait ce que je pensais déjà d’elle, cette belle Salope était une pure masochiste.
Et en tant que masochiste, elle était sur le point de jouir de la douleur et du plaisir que je lui infligeais.
— N’oublie pas, je ne t’ai pas autorisé à jouir ! lui intimais-je.
Ce qu’elle essaya de ne pas faire, non sans mal.
— Pitié... Monsieur pitié... laissez-moi jouir... Pitié... Monsieur. J’en peux plus.— Non pas encore. Lui répondis-je malicieusement.
Je ne la laissai comme ça au bord du précipice salvateur qu’un court moment, mais pour elle, il avait dû durer éternellement, puis je lui dis simplement.
— Tu jouiras dans : 5...4.....3.......2.........1............ Maintenant.
Et elle s’exécuta, dans un magnifique ensemble de spasmes, de cris et de fluide expulsé. Le corps se tendant en arc de cercle les fesses encore en l’air, son intimité expulsant par à-coups de très petits jets sur le sol, faisant ressembler ma magnifique Salope à une splendide fontaine de chair particulièrement obscène. Puis elle s’effondra, se recroquevillant sur elle-même pour récupérer des tremblements qui secouaient encore tout son corps.
— Alors ça fait quoi de découvrir qu’on est masochiste ?— C’est pas vrai, je ne peux pas être maso... je ne suis pas comme ça normalement. Mais c’était si bon. Comment c’est possible... Qu’est-ce qui m’arrive ? Se chuchota-t-elle plus pour elle-même que pour moi.
Cela me fit rire, me moquant d’elle, j’enchaînai:
— Ah je peux t’assurer que tu es maso et une belle en plus. Et avec une forte tendance à la soumission qui plus est. Toi qui voulais connaître le monde du BDSM, on dirait que tu es tombée bien profondément dedans. Tu as bien mérité ton titre de belle Salope. Et il est plus que temps que j’en profite.
Le silence qui s’en suivit fut plus éloquent que des mots et en dit long sur l’état de trouble dans lequel était la belle.
Les yeux toujours bandés, elle ne put voir ce que je faisais, alors ce fut au bruit qu’elle comprit que je m’étais déshabillé. Elle ne fut ni surprise, ni réticente, seulement résignée (ou peut-être bien impatiente ?) quand je l’ai prise par les cheveux et la mis sur ses genoux pour la conduire tranquillement vers son lit. Je la jetai dessus sans ménagement, ventre en avant. Elle écarta instinctivement ses genoux toujours au sol, offrant ses trous respectivement humide et pluggé à ma vue et à mon bon plaisir.
Plaisir, qu’il me pressait de goûter ...
FIN du 3e Chapitre
Un grand merci à LudiStef pour son travail de correctrice et pour ses conseils.
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