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La déchéance d'une Demoiselle

Chapitre 5

D’ingénue Demoiselle à belle Salope Partie 5

SM / Fétichisme
Voyant que je ne cédais pas, elle gardait le silence. Je remis deux pinces à linge, puis deux autres et elle finit par céder.
D’accord, d’accord Monsieur, je vais le faire s’il vous plaît, arrêtez avec les pinces à linge.
Je mis mon pantalon, me dirigeai vers la porte et l’ouvris attendant qu’elle vienne.
Chapitre 5 :
Elle avançait difficilement, ses seins tapissés de pinces comme deux jolis porcs épiques. Arrivée devant la porte ouverte, elle s’arrêta et me regarda, espérant sans doute que je change d’avis puis voyant que je n’en faisais rien, elle retint sa respiration avant de passer. Je la regardai se dandiner dans ce long couloir, elle essayait d’avancer le plus vite et le plus silencieusement possible, mais avec les mains attachées dans le dos et les genoux nus directement en contact avec le plancher, son avancée ressemblait plus à celle de la tortue qu’à celle du lièvre.
Arrivée enfin à la porte des toilettes, elle me regarda pour que je l’ouvre, mais elle fut accueillie par un négligent "débrouille-toi”, la forçant à le faire elle-même avec sa tête. Les toilettes n’étaient pas grandes et pouvaient difficilement contenir deux personnes, je décidai alors de pousser le vice un peu plus loin, j’appuyai l’épaule contre la porte toujours grande ouverte et attendis. Assise sur les toilettes, mais voyant que je ne bougeais pas, elle s’inquiéta :
— Monsieur, vous n’allez quand même pas me regarder pisser ? La porte grande ouverte qui plus est ?
Je ne répondis rien me contentant de la regarder, alors elle enchaîna avec une petite voix pleureuse.
— S’il vous plaît Monsieur, n’importe qui peut me voir s’il vient dans le couloir. Je ne peux pas pisser exposée comme ça moi.— Si tu as besoin, fais-le sinon on retourne dans ta chambre. Lui répondis-je intraitable.
Elle se tut et au bout d’un long moment, elle finit par faire son affaire, rouge de honte. Mais ce fut seulement quand elle eut fini qu’elle réalisa que la vraie humiliation allait commencer. Sans trop y croire, elle tenta quand même :
— Monsieur, pouvez-vous me détacher pour que je puisse m’essuyer ?— Allons... Tu sais bien que jamais je n’accepterai n’est-ce pas ? Lève-toi, mets ta tête sur la lunette des toilettes et écarte bien les jambes.
Sachant qu’elle ne pourrait pas y échapper et sans doute ne voulant pas trop s’attarder en dehors de sa chambre, elle s’exécuta sans objection, offrant son petit cul bien rouge et sa jolie fente humide de pisse à tout le couloir. Laissant la porte ouverte, je me glissai dans le faible espace qui restait sur le côté, entre elle et le mur, dans cette position, j’avais accès à tout son corps. Je pris du papier et commençai à l’essuyer lentement et méticuleusement. Je passais sur son clitoris, ses lèvres intimes, je rentrais même parfois dans sa fente. Mais plus j’essuyais et plus c’était humide, phénomène étonnant n’est-ce pas ?

Je voyais sa tête à 10 centimètres au-dessus de la lunette, les yeux fermés, mordant sa lèvre inférieure pour éviter de faire entendre ses gémissements qui devaient la démanger. De l’autre main, je jouais aussi de temps en temps avec les pinces à linge, l’obligeant même à me supplier d’arrêter.
Ma petite Salope était déjà passablement humiliée, mais je voulais la pousser encore un peu.
— Alors, ma belle Salope on aime se soulager devant des gens et se faire essuyer la chatte en plein couloir ?
Se retenant de gémir pour ne pas faire trop de bruit, elle me répondit d’une petite voix.
— Non Monsieur, je n’aime pas ça, ça me gêne, c’est sale et j’ai trop peur que quelqu’un vienne.— Tu n’aimes pas ça ?
Laissant de côté le papier, je lui enfonçai brusquement deux doigts dans son intimité, la faisant lâcher un long râle de plaisir.
— Moi, j’ai bien l’impression que tu adores ça au contraire. D’ailleurs, tu as tellement l’air d’aimer ça que j’hésite à appeler tes colocs pour nous rejoindre. Ça te dirait ?— Non ! Pitié ! Ne faites pas ça, Monsieur Pitié ! réagit-elle immédiatement.
Il y avait de la peur dans sa voix et dans son regard, elle ne savait pas si je bluffais ou pas, mais elle n’avait aucunement envie de prendre le risque, et elle avait bien raison...
— Tu n’aimerais pas que Frank et les autres fassent la queue dans le couloir pour te prendre à tour de rôle ? Je suis sûr qu’ils adoreraient te défoncer ton joli petit cul. En plus Salope comme tu es, à tous les coups, tu prendrais ton pied comme jamais.— Non Monsieur s’il vous plaît, ne faites pas de bruit, dites-moi juste ce que vous voulez que je fasse.
Je souris, c’est qu’elle commençait à me connaître la petite.
— Il me semble t’avoir dit de poser la tête sur la lunette des toilettes, alors commence déjà par le faire. — Mais Monsieur, beaucoup de monde s’y est assis à la fête, c’est sale.— Pas autant que toi ma chère, alors exécution, lui répondis-je, toujours tout sourire.
A ses mots, elle se décomposa, se souvenant sans doute de mon pied plein de cyprine sur son visage et de ce qu’elle était en train de faire, elle passa de rouge pivoine au blanc ivoire. Ne répondant rien, elle détourna juste les yeux pour regarder la lunette des toilettes et son contenu odorant. Puis, humiliée au possible, elle finit par poser lentement sa joue dessus.
Ce fut seulement quand elle eut fini de poser sa tête que je me remis à jouer avec son vagin, mais cette fois-ci, je me concentrai sur son clitoris que je caressai doucement, coincé entre deux doigts. Puis impitoyable, je continuai à enfoncer le clou :
— Voilà, là tu es à ta place, la place d’une belle Salope, jambes bien écartées à te faire fourrer la chatte à la vue de tous, la tête posée sur la lunette des toilettes, humant l’odeur de ta propre pisse. Tu es de loin la chose la plus sale ici, une fois que tu auras bien compris ça, plus rien d’autre pourra te dégoûter hormis toi-même. Et tu adoreras ça. Je suis sûr que tu aimes déjà être humiliée de la sorte ?— Non Monsieur. Souffla-t-elle dans un gémissement qui contredisait déjà cette négation.
Prenant à pleine main sa toison pubienne, je tirais dessus, lui arrachant un cri muet.
— Non ? Allons, allons, ne me mens pas, attention si tu n’es pas une Salope honnête, je serai obligé de me fâcher et qui sait ce qui pourrait t’arriver.Silence” — Alors tu aimes être humiliée ? répétais-je plus brusquement, tirant encore sur ses poils.— Je ne sais pas Monsieur... Peut-être. — Et bien on va vérifier ça tout de suite !
Et je commençai à la rabaisser, à l’insulter, lui rappelant l’état dans lequel elle est, alors que quelques heures auparavant, cette Salope faisait encore la belle. Je lui repassai la soirée, lui rappelai ce qu’elle avait subi, les aveux qu’elle m’avait faits, ce qu’elle était volontairement devenue uniquement pour pouvoir prendre du plaisir. Plus je l’humiliais, plus sa volonté s’étiolait et elle fondait, évidemment j’accompagnais le tout par mes doigts qui étaient maintenant au nombre de trois dans sa grotte poisseuse et qui y faisaient des ravages. Je pris même le luxe de m’arrêter dans ma diatribe quelques dizaines de secondes pour enfoncer avec mon autre main deux doigts que je venais d’humidifier directement dans son anus, ce qui eut pour effet de la faire magnifiquement feuler pendant de longues secondes.
— Tu vois, tu apprécies de te faire humilier, d’ailleurs je trouve que je suis vraiment gentil avec toi, je ne t’ai même pas fait faire tout ce que j’avais en tête, pour le coup, il y aurait eu de quoi être humiliée. En plus, à défaut de te faire faire ce que j’avais envisagé et que tu mérites largement, je te donne du plaisir alors que ça devrait être l’inverse, tu devrais me remercier tu ne penses pas ?
Sans doute plus poussée par le plaisir qu’elle était en train de prendre, que par vraiment une envie de me remercier, elle s’y plia néanmoins.
— Merci ! Merci Monsieur de me donner du plaisir !— C’est tout ?— Merci Monsieur de ne pas trop humilier la Salope que je suis alors que je le mérite. Merci pour tous les traitements que vous m’avez infligés. Merci de m’avoir fait découvrir où était ma vraie place. Merci pour tout, infiniment merci Monsieur !
Je n’étais pas vraiment convaincu par son numéro, mais je laissai passer, car je prenais grand soin d’essayer de la maintenir dans un état proche de l’orgasme, sans lui laisser la possibilité de l’atteindre.
Cela dura encore de longues minutes et ça faisait maintenant un moment que nous occupions les toilettes, mais visiblement, les priorités de la belle avaient bien changé. L’inquiétude qu’elle avait de prime abord sur les potentielles personnes pouvant la surprendre avait complètement volé en éclat face au raz de marée de plaisir qu’elle affrontait. Même le bruit qu’elle faisait et qu’elle avait jusque-là réussi à minimiser prenait de l’ampleur à tel point que j’étais étonné que personne ne sorte.
Puis, abandonnant toute pudeur et raison, dans un soupir de plaisir, elle me dit:
— Prenez-moi Monsieur, prenez-moi ici si ça vous chante, mais remplissez ma chatte de votre membre et baisez-moi comme une Salope, je vous en supplie Monsieur, j’en peux plus, baisez-moi.
Sortant mes mains de ses trous, je lui pris les cheveux d’une main pour amener son visage devant le mien puis emprisonnai ce même visage de mon autre main, maculant au passage à nouveau ses joues de liquide intime.
— On a plus peur d’être vue maintenant ? On veut se faire humilier et baiser dans les chiottes, la porte ouverte ?— Si Monsieur, j’ai toujours peur, mais j’ai trop envie de vous, j’ai trop besoin de vous sentir dans ma chatte, de me sentir remplie par vous.— Très bien, je te remplirai alors, mais uniquement le cul, une Salope qui baise dans les toilettes ne mérite que d’être enculée. En plus, je pense que j’ai assez bossé, donc tu te débrouilleras pour te faire jouir.
A ces mots, je pris la capote que j’avais mise dans ma poche avant de la rejoindre dans le couloir, je baissai mon pantalon, fis la même chose avec la lunette des toilettes et m’assis. Je tendis le sachet de la capote pour qu’elle le déchire avec ses dents et mis la capote sur mon gland. Instantanément, elle se jeta dessus pour déplier la capote sur mon pénis avec sa bouche et au vu de la dextérité avec laquelle elle y arrivait, ça ne devait certainement pas être son coup d’essai. Elle en profita pour me faire une délicieuse petite pipe qui ne dura malheureusement pas bien longtemps, tellement l’impatience de la belle pour se faire démonter était importante. Quand elle se releva, on aurait dit une louve devant sa proie tellement ses beaux yeux glacés me lançaient un regard affamé.
— Tourne-toi et encule-toi, je veux que si quelqu’un arrive, il puisse te reconnaître immédiatement et t’observer dans toute ta perversité, lui dis-je en tenant mon membre bien droit.
Je savais que ce n’était pas ce qu’elle avait espéré, mais visiblement, sa faim était si intense qu’elle s’accommoda bien vite à l’idée d’avoir son orgasme par le cul. Et sans autre forme de préparation, elle s’empala lentement sur mon pieu, centimètre par centimètre dans un long feulement de douleur et de plaisir. Une fois complètement rentré, elle commença à remonter lentement, prenant appui sur mon ventre de ses mains attachées dans le dos quand elle pouvait, sinon à la seule force de ses jambes.
Ses mouvements étaient amples et lents. Elle laissait presque ressortir entièrement mon sexe avant de le replonger complètement dans son cul, je voyais qu’elle savourait chaque instant, chaque passage de ses parois intimes contre mon mât. Puis sa faim insatiable reprit le dessus et elle accéléra, montant et descendant de plus en plus vite comme si elle voulait limer la paroi de sa grotte malodorante sur mon phallus dressé.
La belle devait être assez sportive pour arriver à maintenir le rythme effréné que sa faim de sexe lui dictait. Quant à moi, je ne l’aidais pas d’un mouvement, je me contentais de regarder ma verge disparaître régulièrement entre les deux magnifiques fesses bien rouges de ma Salope et laissais mes mains se balader à loisir sur ce corps que j’avais tant meurtri. Elle bougeait tant et si bien que j’entendais parfois une pince à linge tomber de ses seins, ce qui ne pouvait que me laisser imaginer le spectacle qu’ils offraient à ce couloir bien trop vide.
Je savourais mon plaisir qui montait tranquillement, malheureusement, tout endurante qu’elle fut, la fatigue commençait à la rattraper. Entre le traitement autant physique que moral que je lui avais infligé, les squats qu’elle enchaînait pour s’enfoncer toujours plus profondément mon sexe dans son fondement et l’inéluctable plaisir qui montait, la pauvrette était essoufflée au possible et de toutes parts de grosses perles de transpiration s’échappaient de l’emprise de son corps pour aller se perdre sur le sol. Malgré la frustration qu’elle en ressentit, elle dut s’arrêter pour reprendre son souffle.
Profitant de ce temps de pose, je lui intimai de me faire face, ce qu’elle fit par réflexe, une fois réinstallée et bien enculée comme elle se devait de l’être, elle recommença à bouger, mais cette fois-ci avec beaucoup moins de fougue et beaucoup plus de régularité. Maintenant face à moi, je pouvais admirer les deux beaux porcs-épics qui lui servaient de seins valdinguer en tous sens, éprouvant la fixation des pinces à chacun de leur mouvement.
Je pris ses seins hypnotisant dans mes mains, les tordant, les malaxant ou jouant avec les pinces puis j’en choisis un et commençai à tirer les pinces une à une. Je soutirais des gémissements plaintifs à la belle pour chaque objet que je retirais et c’est seulement une fois son globe de chair entièrement libéré, que je me décidai à la réconforter par des caresses buccales. Ma langue filant sur sa peau, parcourant son sein à la vitesse de ses va-et-vient pour finir par suçoter, mordiller son téton érigé de désir. Je voyais le plaisir de cette jolie Salope augmenter de plus en plus jusqu’à son point culminant :
— Monsieur, je peux, s’il vous plaît ? dit-elle dans une supplique. — Alors tu aimes être humiliée ?
Son plaisir se faisait trop insistant pour qu’elle puisse lutter, après un petit silence, elle me dit ce que je voulais entendre :
— Oui Monsieur... J’aime que vous m’humiliiez, j’aime que vous me dominiez, j’aime être la marionnette de vos envies...
Satisfait, je l’autorisai à avoir autant d’orgasmes qu’elle voulait avant de prendre dans mes mains la totalité des pinces qui était restée accrochée sur son autre sein et de tirer d’un coup sec.
Elle jouit sur le coup, en silence, son corps tendu comme un arc, un sein accompagné de son téton bien dressé dans ma bouche, son liquide interne coulant légèrement sur mes testicules. Mais, toujours pas satisfait, je ne la laissai pas récupérer, je me levai, l’entraînant avec moi, jetai les pinces pour la prendre par les fesses et l’écrasai contre le mur des toilettes pour m’atteler à défoncer son petit cul à grands coups de boutoir. Tout à mon propre plaisir, je n’eus aucun égard vis-à-vis de la petite Salope qui était encore entièrement immergée dans son torrent de plaisir.
Je lâchai une de ses fesses, la laissant poser une jambe des plus flageolantes par terre, pour venir stimuler son petit mont d’amour tout érigé, alors que ma bouche affamée de son corps vint copieusement mordre dans la chair de son sein, soutirant un long râle de douleur de sa propriétaire. Il n’en fallut pas beaucoup plus pour que la belle replonge allègrement dans le torrent qu’elle venait à peine de quitter, mais cette fois-ci en m’entraînant avec elle. Et c’est dans une symphonie de gémissements et de râles que je me vidai dans ma capote avant de me retirer d’elle.
Les jambes coupées par le plaisir et la fatigue, elle glissa sur le sol, adossée au mur pour essayer de reprendre son souffle et se calmer.
— Je te laisse te débrouiller pour ramasser les pinces et tu vas aussi remercier et embrasser ces belles toilettes, elles ont quand même accueilli plusieurs de tes orgasmes.
A son regard incrédule, je dus me répéter :
— Tu vas mettre tes sales lèvres sur la lunette des toilettes pour y déposer un beau baiser puis les remercier, ensuite tu ramasseras toutes les pinces que tu as laissées tomber par terre.
Vaincue et encore toute transpirante de ses ébats, je la vis s’avancer à contrecœur vers les toilettes, sans un mot, puis approcher sa bouche tremblante de la lunette avant de s’y arrêter à quelques centimètres. Elle resta ainsi de longues secondes avant de fermer les yeux et de poser lentement ses lèvres sur le plastique, puis elle ajouta d’une voix légèrement tremblante :
— Merci pour mes orgasmes.
Je me lavai les mains, la laissant ramasser comme elle pouvait les pinces avant de lui ordonner de se lever, je tirai la chasse, calai deux doigts dans sa fente intime trempée et la tirai comme ça jusque dans sa chambre, la forçant à me suivre via mes doigts dans son sexe.
Notre petite escapade aux toilettes avait permis au disque de se finir, c’est donc sans accompagnement musical que je posai ma capote à côté de la première, m’assis sur le lit et repris le chiffon qui lui servait de robe pour nous essuyer, j’en profitai aussi pour libérer les poignets de ma Salope. Je commençais à fatiguer aussi et je me serais bien arrêté là, mais elle me surprit en s’agenouillant devant moi dans la position que je lui avais apprise, jambes bien écartées, main sur la nuque et dos bien droit. Elle me regarda ensuite droit dans les yeux et me demanda ce qu’il fallait qu’elle fasse ou subisse pour que je lui honore sa chatte.
Il n’en fallut pas plus pour me faire bouillir le sang à nouveau et réveiller mon envie même si cela n’était pas encore visible. Cette belle Salope était vraiment des plus affamées.
— Reste sur tes genoux, mais lève tes fesses de tes jambes.
Elle en voulait encore plus, elle allait en avoir. Je pris ma ceinture et me mis à fouetter à nouveau ses chairs déjà tant meurtries. Je ne l’épargnai pas, frappant tout son corps de manière assez appuyée. Mais toute masochiste et endurante qu’elle était, cette dernière séance fut sa limite et je le vis bien vite. Bien qu’elle luttait pour endurer mes assauts avec toute la volonté du monde, son corps en avait déjà trop subi et je préférai rapidement stopper mes coups. Voyant que je m’arrêtais pour la préserver, elle s’excusa :
— Je suis désolée, Monsieur, j’ai essayé, vraiment. J’espère que ça vous a suffi ?
Pour toute réponse, elle reçut mon sexe durcissant en bouche, elle l’avala bien volontiers et, maintenant d’une main sa tête là où elle devait être, je fis trois pas à reculons pour venir m’asseoir sur le lit, l’entraînant à ma suite. Je la laissai ensuite à son art, qu’elle connaissait fort bien d’ailleurs, jusqu’à ce que mon vit fût suffisamment développé pour remplir sa bouche puis je la fis monter sur le lit, l’allongeai sur le dos, tête dans le vide et commençai à lui baiser la bouche.
Je n’eus aucune attention pour elle, ravageant cette cavité qui avait visiblement plus l’habitude de pratiquer la fellation que de la subir. Chaque main tenant un amas de cheveux comme si c’était des couettes, j’imposai mon rythme en elle dans un mélange de bruit guttural, de bave et de larmes, cherchant à aller toujours plus profondément dans cet antre récalcitrant. Avec ses mains sur mes fesses, je pouvais parfois sentir les ongles de la pauvrette s’enfoncer dans mon fessier, m’indiquant par-là que je restais trop longtemps ou trop profondément en elle, mais tout à mon plaisir, je n’y prêtais guère attention et ce n’était qu’une fois tout son corps crispé et mouvant que je concédai enfin à me retirer pour la laisser respirer ou plutôt tousser un instant ; puis je recommençais. Une fois redevenue bien dure et satisfaite de mon traitement, je me retirai complètement et admirai l’état dans lequel je l’avais mise.
Sa bave coulait sur son visage jusqu’à ses cheveux, recouvrant ses joues, ses pommettes et ses yeux, se mêlant aux larmes à tel point qu’on ne pouvait plus distinguer l’une de l’autre.
— Tu veux toujours que je te remplisse la chatte avec ça ? dis-je en indiquant ma verge dressée.
Encore hébétée et toussante, elle ne put répondre qu’en opinant de la tête. Je lui essuyai alors le visage avec un bout de robe encore immaculée, mis une capote et m’allongeai sur elle pour l’embrasser. Plongeant lentement mon glaive dans son fourreau si chaud, si humide, et surtout si accueillant, je lui fis ensuite l’amour de la manière la plus simple qu’on puisse imaginer. Ce fut tendre, ce fut délicat, ce fut attentionné et ce fut surtout excessivement bon et, bien qu’il n’y eut ni humiliation ni douleur, nous ne tardâmes pas à nous envoler vers l’extase dans un brouhaha de soupir de plaisir.
Une fois fini, nous restâmes un long moment entremêlés, à tel point qu’elle sombra dans le sommeil avant de se réveiller en sursaut quand je me retirai de son étreinte. Je me levai et fis mon rituel habituel avec la capote et sa robe pendant qu’elle regardait, dépitée au possible, l’état lamentable dans lequel était sa robe, maintenant complètement maculée et réduite à l’état de vulgaire chiffon.
— Je vais devoir la jeter maintenant, c’est dommage, je l’aimais bien. Me dit-elle en soupirant.— Tu n’avais qu’à avaler. Lui répondis-je du tac au tac.
Honteuse, elle ne répondit rien pendant un moment avant de changer de sujet.
— Monsieur, j’aimerais beaucoup vous revoir. — Vraiment ?— Oui Monsieur, j’ai passé la nuit la plus incroyable de ma vie, je ne sais pas ce qu’il m’est arrivé cette nuit et je ne pense pas que je réalise ce que j’ai fait, mais la seule chose dont je suis sûre c’est que j’ai eu plus d’orgasmes en une nuit avec vous qu’au cours de toute ma vie et que j’en veux plus encore. Je veux que vous m’emmeniez encore plus loin sur cette route, je veux m’abandonner complètement à votre volonté, je veux devenir votre objet et je veux pouvoir vous appeler maître...— Il faut faire attention à ce que l’on veut jeune Salope. Lui dis-je en me dirigeant vers le bureau.
Ses yeux s’agrandirent et se teintèrent de peur quand elle vit ce que je ramenai et c’est d’un air des plus suppliants qu’elle me regarda quand je lui intimai de venir à mes pieds, mais cette fois-ci elle s’exécuta. Agenouillée devant moi, elle fuyait maintenant mon regard, tout angoissée qu’elle était par le contenu du bol que je tenais à la main et ce que je pouvais lui demander d’en faire. Alors que moi je savourais la pression psychologique que je lui infligeais et le tourment émotionnel qu’elle devait subir simplement en faisant durer ce moment d’inconnu.
Ce fut avec un soupir de soulagement qu’elle accueillit mes mots.
— Si tu veux vraiment repasser une nuit avec moi. Tu vas vider jusqu’à la dernière goutte le contenu de ces capotes sur ton corps et l’étaler sur tes seins, ton ventre, ton bassin, tes fesses puis tu t’enfonceras les capotes vides profondément dans ton intimité.
J’avais hésité à lui demander d’avaler tout le contenu à nouveau et je pense qu’elle l’aurait fait dans le seul but de me revoir. Mais la voir se perdre dans cette peur un long moment était déjà bien suffisant et s’étaler ma semence sur son corps comme ça, allait la dégoûter déjà bien suffisamment.
Supposition, qui se trouva bien vite confirmée au vu de la tête qu’elle fit quand je déposai le bol à côté d’elle et qu’elle prit une capote. Elle n’eut en revanche aucun mot de contestation, elle avait bien trop peur que je revienne sur ma décision et la force à tout avaler.
Elle commença alors à se pencher légèrement en arrière et vida totalement sa première capote sur ses seins, puis étala ma semence sur son corps avec dégoût. Ses mains passaient méticuleusement sur sa peau y déposant une fine couche de mon jus comme si c’était une crème hydratante. Chaque point de sa peau luisait au passage de sa main, indiquant en temps réel ce qui lui restait à traiter et ce qui avait déjà été fait. Après un moment, il ne lui restait que les jambes, les bras et une majeure partie du dos qui n’avaient pas été recouverts de mon sperme, elle s’essuya les mains sur ses cuisses autant qu’elle le pouvait avant de caler les capotes vides sur son majeur et de se les enfoncer dans son sexe une par une. J’en profitai aussi pour lui jeter son plug, lui disant de le mettre, ce qu’elle fit sans difficulté, après les traitements que j’avais infligés à son cul.
Quand elle eut fini, elle resta dressée sur ses genoux, les bras le long du corps, les jambes écartées attendant mon approbation. Ses cheveux en bataille, tout son corps était ravagé de marques rouges et de morsures en particulier une bien visible sur son sein droit. Elle était poisseuse au possible, pluggée, avec les trois bases des capotes tombant de son sexe de quelques centimètres dans le vide. Cette Salope formait un tableau d’une absolue dépravation et seul le rouge qui lui montait aux joues, quand je lui fis la remarque, pouvait achever cette perfection.
Je lui dis de prendre des poses provocantes et, attrapant mon téléphone, je commençai à prendre des photos. D’abord réticente à s’exposer comme ça et laisser des preuves de sa perversité, elle finit par se prendre au jeu, m’offrant des positions toujours plus subjectives pour mon plus grand plaisir.
Quand je fus satisfait, je lui dis de rester comme ça le temps que je revienne et de bien réfléchir à ce qu’elle voulait vraiment, puis je me dirigeai vers sa petite salle de bain. Après une rapide douche qui eut le mérite de chasser la fatigue et de me faire réfléchir un peu, je revins, décidé dans sa chambre où l’indécente n’avait pas bougé d’un pouce.
— Alors ? lui dis-je en entrant.— Ma volonté n’a pas changé, je veux vous revoir et je veux vous appeler maître.
Sans lui répondre, je me dirigeai vers son armoire où je sortis un grand manteau qui s’arrêtait mi-cuisses, mis son vibro dans la poche et le jetai à côté d’elle puis descendis sur mes jambes pour me mettre à son niveau.
— Tu vas annuler tout ce que tu as prévu ce week-end et venir chez moi maintenant, tu y resteras tout le week-end et on s’occupera de toi avec ma Chose. Si tu veux m’appeler maître, il faudra d’abord que je te dresse à devenir une belle petite Chienne docile.
Regardant ma montre, je rajoutai :
— Je te laisse 5 minutes pour envoyer tous les messages que tu veux, puis mettre ce manteau, tes chaussures et me suivre comme tu es.
La soudaineté de mon ordre la prit complètement au dépourvu. Elle n’avait vraisemblablement pas prévu de sortir de l’environnement réconfortant et contrôlé qu’était sa chambre aussi vite, aussi soudainement, et cela la fit paniquer. Elle bégayait des excuses, me demandait si je ne voulais pas dormir ici cette nuit, que c’était mieux d’aller chez moi demain quand on se serait reposé, qu’elle avait du travail, des cours à faire, bref je pense que toutes les raisons pour ne pas me suivre maintenant y passèrent. Je ne doutais pas de l’honnêteté de sa volonté, malheureusement pour elle, la belle m’avait plu, beaucoup plu même. Je n’avais aucune envie d’une relation épisodique, alors ou elle acceptait d’aller jusqu’ au bout et devenir mienne totalement ou elle n’y arrivait pas et je préférais tout arrêter là. Je la laissai à ses objections et profitai de ce temps pour m’habiller tranquillement.
Une fois habillé, je la coupai :
— C’est comme ça que je fonctionne, si tu veux repasser une nuit avec moi, la seule solution est de me suivre maintenant, il te reste encore... 1min30 pour te décider.
C’est à ce moment-là qu’elle réalisa vraiment ce que je lui demandais. J’avais dit de mettre des chaussures et un manteau, mais rien de plus. Elle comprit alors que je voulais la faire sortir nue, uniquement vêtue de son manteau, complètement souillée de mon sperme et toujours ornée de son plug et des capotes.
Tétanisée, elle me regardait de ses beaux yeux gelés où commençaient à perler des larmes. Elle ne put que murmurer des “je suis désolée” et des “ je ne pourrai pas le faire” en boucle. Elle était visiblement complètement scindée en deux par l’envie de me suivre et par la peur. Malheureusement, il était visible que c’était cette peur qui gagnait la partie et la paralysait totalement.
J’ouvris sa porte et lui demandai une fois encore.
— Dernière chance, si je sors tu ne me reverras plus.
Voyant qu’elle ne bougeait pas, je rajoutai :
— C’est dommage.
Et je refermai la porte derrière moi.
FIN du 5eme Chapitre Un grand merci à LudiStef pour son travail de correctrice et pour ses conseils.N’hésitez pas à me parler / à me conseiller en MP ou en commentaire !
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