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Déchéance d'une épouse dévouée

Chapitre 2

Comment tout a basculé

Erotique
J’ai commencé dans un premier chapitre de vous raconter comment moi, Vanessa, épouse fidèle jusque-là, mère d’un adorable fiston de 3 ans, j’en suis arrivée à me soumettre à l’auteur de ce récit pour qu’il puisse ensuite témoigner de ma déchéance assumée.
Mon Maître a exigé que je lui décrive dans les moindres détails intimes tout le ressenti de mon avilissement progressif d’épouse dévouée jusqu’à la réalisation un jour peut-être de mon fantasme de devenir le jouet sexuel d’un homme mature, vicieux et pervers. Il a souhaité pouvoir intervenir lui-même dans mon récit chaque fois qu’il est concerné.
Dans ce deuxième chapitre, je vais exposer la progression de ma soumission à mon Maître écrivain beaucoup plus en détail et notamment quand et comment tout a basculé.
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Je suis une femme épanouie de 34 ans mariée depuis 12 ans à mon homme Éric qui malheureusement n’a d’autres choix que de me laisser seule élever notre fils en son absence durant chaque semaine en raison de son travail pour me retrouver chaque weekend seulement et y accomplir ses devoirs conjugaux.
Côté sexe, très classique jusqu’à ma libération récente à l’initiative de mon Maître, je n’avais jusque-là jamais dévoilé entièrement mon corps nu et donc mon ticket de métro châtain à d’autres que mon mari. J’aime pratiquer la fellation depuis longtemps, mais moins la sodomie que je n’autorise que rarement à mon époux.
Tout a commencé, il y a deux mois, début septembre, quand j’ai reçu une réponse à l’un de mes ‘posts’ sur les forums d’un site de récits érotiques d’un des auteurs du site, ‘JP’. Il m’a proposé de dialoguer un soir prochain, lorsque mon fils serait couché, pour faire plus ample connaissance et savoir ce que je cherchais réellement.
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C’est le lendemain même de mes exploits au sex-shop et à la réception en guêpière du livreur de pizza que j’ai exaucé le souhait majeur de mon homme de coucher avec un autre mec, ce mardi 8 octobre.Après avoir passé la journée sans culotte avec mes boules de geisha et le ‘rosebud’ en moi au boulot sur ordre de mon Maître, je suis particulièrement excitée en prenant ma douche en rentrant. Je veux absolument ressortir ce soir pour satisfaire mes besoins sexuels exacerbés par le mouvement des boules dans mon vagin mouillé comme jamais à cette heure habituelle de rentrée à la maison.
Je veux profiter au maximum du fait que notre fils est gardé par ses grands-parents, comme chaque mardi, pour m’éclater un peu à l’extérieur. Nous échangeons donc longuement avec mon Maître pour trouver le meilleur endroit où je pourrais draguer, mais suffisamment loin des lieux de rencontre éventuelle de nos amis, collègues ou autres dans notre petite ville.
C’est en repensant qu’il me fallait faire le plein de la voiture que j’ai l’idée de faire ce que j’ai jusqu’ici toujours refusé à mon homme de me laisser draguer, voire caresser ou même baiser dans les toilettes d’une station-service après avoir aguiché des routiers sur l’autoroute.
Son grand jeu lorsque l’on part en vacances de nuit, c’est de laisser la lumière intérieure de la voiture allumée en roulant et de me demander de m’exhiber à poil pour exciter les chauffeurs de poids lourds quand il les double à faible allure pour bien qu’ils se rincent l’œil.
Mon Maître de son côté en est aussi arrivé à l’idée de me faire draguer sur une aire d’autoroute, mais ignore mon expérience de drague sur l’autoroute. Nous décidons donc d’un commun accord que je vais aller faire le plein dans une station d’autoroute proche de chez moi.
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Le temps passant, je commence à m’inquiéter de ne pas pouvoir trouver un défi pour Vanessa ce mardi soir où elle est libre. Toutes mes suggestions étant à chaque fois difficiles à réaliser dans le laps de temps imparti. C’est finalement elle qui a une idée réalisable ce soir-là :
— Je viens de repenser que je dois aller faire le plein de ma voiture. Je pourrais aller dans une station de l’autoroute.— Ah super ! Je cherchais justement des aires où tu pourrais draguer. — Je vais en profiter ensuite pour boire un café à la station-service sur l’autoroute. — Tu pourras toujours aller faire un tour du côté parking poids lourd, si tu n’arrives pas à aguicher quelqu’un en montrant ta chatte imberbe aux clients ? — J’ai une meilleure idée pour les aguicher. Je vous raconterai à mon retour ! — Au fait, tu es habillée comment finalement pour aller faire le plein ? — Jupe courte noire, bas, talons et chemisier légèrement transparent, une veste et un manteau.— Avec cette tenue, je vois que tu as vraiment la chatte qui te démanges et tu as besoin d’être labourée, c’est ça Vanessa ? — Il se fait tard. Allez j’y vais. A+— Tu me raconteras quand tu y seras arrivée ?
Une paire d’heures plus tard, la réponse arrive enfin après une relance de ma part :
— Tu as trouvé ton bonheur Vanessa ? — Oui je me suis fait sauter dans des toilettes et dans un camion. Je rentre, je suis morte.— Super. Tu es magnifique ! Tu me raconteras tout cela en détail demain soir après avoir couché ton fils. — En fait tu as profité de faire le plein de ta bagnole et de ton vagin, voire ton cul par la même occasion sur cette aire d’autoroute ! LOL.— Je souhaite pour toi que c’était de l’ordinaire pour la bagnole et du super pour toi et non l’inverse !» — Bonne nuit et repense à ces queues qui t’ont comblé ce soir.
Vingt minutes après, elle est de retour chez elle et la réponse tombe :
— Non une seule bite, mais un vrai pervers le mec. Il m’a baisée 3 fois dont la première dans les toilettes des hommes, puis en allant vers son camion, il m’a relevé la jupe sur les hanches. J’avais la chatte et les seins à l’air sur le parking au milieu d’autres routiers, mon chemisier ayant les boutons arrachés. Bonne nuit. Je vais me coucher ! — Très bien. L’essentiel c’est que tu te sois éclatée ! Il t’a prise par tous les bouts ? Tu me raconteras tout ça plus en détail demain et surtout comment tu l’as allumé ?— Tu avais bien fait de ne pas mettre de sous-vêtement, cela t’a évité qu’ils soient abimés comme ton chemisier !!! LOL.
Le lendemain pendant les pauses à son travail, petit échange après cette première sur l’aire d’autoroute :
— Bonjour Vanessa J’espère que tu as bien dormi après ta soirée mouvementée et que tu n’as pas trop "la tête dans le cul" ce matin ?— Aujourd’hui, tu as droit de te reposer un peu côté sexe. Tu peux donc retirer tes boules dès que tu liras ce message. Tu retireras quand même ton soutif en quittant ton boulot ce soir pour aller récupérer ton fils avec qui tu pourras passer la soirée tranquille.— Bonjour je n’ai pas mis mes boules de geisha car elles doivent être restées dans le camion hier soir.— Ah ! C’est bien dommage. Tu commences effectivement à les perdre souvent comme au sexshop. Tu mouilles beaucoup trop ou ton vagin est trop détendu quand tu es si excitée.— Je te demande simplement de me recontacter ce soir après avoir mis ton fils au lit. Tu me feras alors un compte rendu détaillé de ta soirée sur l’aire d’autoroute pour que je puisse en tirer un récit de vécu qui plaise aux lecteurs de notre saga. A moins que tu ais un peu de temps de libre au boulot pour le faire avant. — Un peu de temps pendant midi et quelques petites pauses par ci par là.— Très bien et jamais d’incartade dans le contrat depuis de son côté ou du tien avant hier soir ? Si c’est la première fois que tu trompes ton mari (avec son consentement, si je comprends bien votre couple) comment te sens-tu aujourd’hui ? As-tu informé ton mari de tes exploits d’hier ?— Non jamais avant lundi avec le livreur car pour moi je l’ai trompé ce soir-là aussi. J’ai honte d’avoir fait ça et surtout d’avoir fait avec un autre des choses que je lui ai toujours refusées (comme baiser dans un lieu public ou m’exhiber comme la dernière des salopes) !— Tu as honte c’est bien, mais tu as su la surmonter. Je t’adore ma petite salope de Vanessa, si tu acceptes ce qualificatif. Tu as raconté à ton mari que tu avais enfin pu réaliser son fantasme ?— Non il le saura vendredi ou samedi. De toute façon c’est ce que je deviens : une salope !— Tu pourras me détailler ton comportement de salope d’hier soir, du moment où tu l’as aguiché jusqu’à la perte de tes boules de geisha dans son camion ?— On verra ce soir quand je serais toute seule.— Il sera fier de toi, tu sais ? Moi aussi je te félicite d’avoir pu enfin franchir ce cap. J’espère que tu as beaucoup joui ! — Oui j’ai joui deux fois.— Tu aimes ton nouveau statut de salope ? Tu ne l’assumes pas encore totalement, si je comprends bien ?— Ben, on a une vie de famille. Il faut quand même faire attention !— Tu en penses quoi au fond de toi-même de ta rapide conversion en salope ? Tu aimes pouvoir jouir plus fort de cette façon, aujourd’hui ?— Un moment que j’avais envie de le faire, depuis le temps que mon homme m’en parlait. Ce n’est pas du tout la même jouissance et les mêmes conditions qu’avec mon homme, là on s’aime et il me respecte. Alors qu’avec des inconnus, il n’y a pas trop de respect pendant l’acte et surtout des paroles plus dures et sans langue de bois !— Mais tu as apprécié que ce routier te traite de tous les noms en te baisant ? Tu t’es sentie pute l’espace du coït, non ?— Oui et je ne sais pas pourquoi, mais cela m’a donnée encore plus envie.— Tu as fait tout ce qu’il t’a demandé sans rechigner ?— Ben, il ne m’a pas trop demandé mon avis et c’est peut-être ça qui m’a plu dans l’acte avec lui ! »— Tu l’as sucé aussi ?— Oui, dans les toilettes des hommes avant qu’il m’y baise en levrette !— Vous avez eu du public sur le parking quand il t’a baisé ?— Non, les rideaux du camion étaient fermés. En revanche beaucoup de routiers m’ont vue déambuler à moitié nue pour aller vers à son camion !— C’est toi qui est allée de ton plein gré dans les toilettes homme ?— Non, c’est lui qui m’a entraînée aux toilettes.— Tu as baisé aux toilettes avec des mecs autour qui se branlaient ?— Non on était dans une cabine fermée des toilettes.— Il t’a prise par derrière, aussi ?— Oui mon cul a pris cher !— Tu penses que c’est moi avec tout ce que je t’ai demandé de faire depuis vendredi qui t’a permis de franchir ce pas ?— C’est peut-être aussi d’avoir lu des scénarios sur le site qui m’a vraiment fait passer le cap de devenir comme ça pour mon homme qui voulait que je couche avec un autre. Cela m’a beaucoup aidé de même que les témoignages sur les forums !— Tu peux me dire dans le détail comment tu as vécu cette première, du moment où tu l’as aguiché en buvant ton café jusqu’à ton retour chez toi ?— On verra tout ça ce soir. Je pars du boulot pour aller chercher mon fils. Je viens d’aller enlever mon soutif avant de partir.
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Une fois mon fils couché, je me déshabille avant de contacter mon Maître écrivain ‘JP’ pour lui envoyer le détail de mon aventure sur l’aire d’autoroute. Il me faudra en fait deux soirs pour rassembler tous mes souvenirs et les transmettre en textos qu’il remettra en forme ultérieurement.
Je me surprend à beaucoup mouiller en me remémorant tout ce qui s’est passé ce soir-là depuis mon départ de la maison pour faire le plein de la voiture jusqu’à mon retour avec cette sensation d’en avoir plein le cul au sens littéral du terme tant il est encore un peu sensible deux soirs après !
Je lui ai dit à la fin de mon récit que j’avais aimé l’écrire toute nue et que cela m’avait beaucoup excitée. Il m’a dit alors de me lâcher pour lui dire les pires choses qui ont pu me traverser l’esprit en matière de sexe et qu’il n’avait aucun tabou et surtout celles que je n’ai jamais osé dire à mon mari, car je ne pense pas qu’il aimerait ce genre de choses. Prise dans l’euphorie de la soirée et de l’écriture détaillée de mon aventure, j’ai réussi à lui dire :
— Que j’aime être traitée comme une salope. — Que j’ai aimée être humiliée par un inconnu qui m’a utilisée ensuite. — Que ce soir-là, j’ai aimée m’exhiber sur le parking devant tous ces routiers et qu’il me bouscule pendant les trois fois qu’il m’a baisé car je n’avais jamais été autant excitée et mouillée. — J’ai également été excitée d’être attachée à sa merci, même si c’était douloureux, vue la position inconfortable dans laquelle j’étais.— Qu’enfin sa petite femme chérie devienne une salope soumise à un pervers sans aucun scrupule.— L’idée d’être un jour prise par plusieurs mecs demeure un de mes fantasmes.
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Je me lance ensuite dans la description chronologique des évènements de ce mardi 8 octobre en début de soirée. Je me caresse et mouille tout en écrivant :« Je suis partie de chez moi avec une petite veste et un manteau au-dessus. J’ai ouvert le portail et suis retournée à la voiture où j’ai enlevé mon manteau. Je suis montée et suis partie de chez moi direction l’autoroute. J’ai pris l’autoroute et j’ai allumé la lumière à l’intérieur de la voiture, ce que mon homme fait régulièrement sur l’autoroute quand il fait noir. J’ai regardé ma jupe qui bien sûr était remontée un peu pour arriver à la lisière de mes bas. Je me suis levée légèrement et l’ai relevée sur mes hanches. Le contraste de mes bas noir et ma peau blanche n’en était que plus voyant. J’ai commencé de rouler à vive allure voyant des camions un peu plus loin devant moi. Arrivée derrière eux, mon cœur s’est mis à battre plus fort. J’ai commencé à les doubler en ralentissant un peu à leur hauteur. Les premiers appels de phare et coups de klaxon se sont mis à retentir. J’ai continué de rouler voyant le panneau indiquant une station-service à 5 kilomètres.
J’ai posé ma main entre mes cuisses à chaque fois que je doublais un camion en caressant mon clito. J’ai dû en doubler 6 ou 7. Puis voyant la station arriver, j’ai mis mon clignotant en regardant dans mon rétro. J’ai vu le camion que je venais juste de doubler mettre le sien aussi.
Je suis sortie en direction de la station-service pour faire le plein de ma voiture. Je n’ai pas pu m’empêcher en descendant de regarder le camion arriver, suivi d’un deuxième que j’avais également doublé avant. Le premier camion a klaxonné en passant pendant que je faisais le plein. Le deuxième a bien ralenti. Je finissais de faire le plein quand un coup de klaxon m’a fait sursauter. En me retournant j’ai vu que je l’avais doublé aussi. Je suis remontée en voiture pour quitter les pompes et venir me garer à côté de la station. Quand j’ai vu le chauffeur du 2eme camion arriver, un homme plutôt petit gros, vraiment pas attirant, j’ai cherché du regard où étaient garés les camions. Ils étaient plutôt loin. J’ai vu les phares du dernier encore allumés au fond du parking.
Je suis rentrée dans la station pour aller payer. J’étais à la caisse avec le petit gros qui buvait une bière, assis à une table tout en me dévisageant. J’ai payé et commandé un café en me mettant au comptoir. Quand mon café fut servi, un homme est rentré, plutôt beau, la peau mat et bien habillé avec un jeans, des chaussures noires et une chemise, plutôt grand 1m80-90, je dirais. Il est venu s’installer à côté de moi. Il a commandé un coca, puis il m’a regardée. Je lui ai souri. Il m’a souri en retour en me disant ‘Bonjour’. Je lui dis ‘Bonjour’ à mon tour. Et là, il me dit : « ça vous arrive souvent de faire ça.» Je fais mine de m’interroger sur ce qu’il vient de dire avec un air étonné. Il ne me laisse pas le temps de répondre et me dit : « de conduire la jupe relevée sans culotte ». Je me sens rougir de honte et regarde ma tasse la tête basse.
Il enchaîne en me tendant la main : « enchanté de faire ta connaissance, Laurent ». Je lui tends la mienne : « de même, Vanessa », ne sachant pas quoi dire d’autre. Il me dit que je suis très jolie. Je lui souris en lui disant merci tout en finissant mon café. Il me demande si j’en veux un autre que j’accepte avec plaisir. Il attrape un tabouret derrière lui et le place à côté de moi : « Tiens assis toi » en prenant ma main pour que je monte sur le tabouret. Quand je m’assois bien sûr ma jupe remonte un peu. Je vais pour me tourner face au bar quand il bloque ma jambe avec sa main : « après ce que tu m’as fait voir en voiture, tu ne vas pas te cacher maintenant ». Je suis ainsi face à lui mes cuisses légèrement écartées. Il me dit qu’il passe rarement par ici et qu’il est de Lyon sans lâcher ma cuisse. Je lui dis que je rentrais chez moi et que j’habite la ville à côté. On discute, les gens rentrent et sortent de la station.
Quand je vois le petit gros juste derrière lui, j’essaie de refermer mes cuisses voyant où il regarde. Mais il me maintient les jambes écartées en se retournant vers le petit gros. Il me sourit en s’écartant et se place à côté de moi, laissant sans aucun doute, une vue imprenable au petit gros sur ma chatte. Il me regarde et me dit « on y va ma chérie ». Sans comprendre pourquoi je lui dis : « oui ». Il me prend par la main pour m’aider à descendre.
Il paie les consos et se tourne vers moi en ouvrant ma veste pour faire apparaître le chemisier légèrement transparent et mes tétons qui tendent le tissu. Le petit gros ne lâche pas ma poitrine du regard. Il lui dit bonne soirée et on part sans qu’il lâche ma main. En sortant il m’ouvre la porte et une fois dehors, il me pose la main sur le cul et me dit : « on tombe rarement sur une salope mariée, tu vas venir avec moi au camion ». Je sens alors une chaleur envahir mon ventre et je lui réponds un petit : « oui ». On avance donc en direction du parking camion quand il s’arrête pour s’allumer une clope. Il se retourne et je me retourne instinctivement pour voir le petit gros sortir. Il repose sa main sur mes fesses et tout en avançant je sens qu’il remonte légèrement ma jupe. En arrivant pas loin du parking camion, il me dit : « Il faut que j’aille aux toilettes avant ». Plus on avance, plus il remonte ma jupe et je la sens à la limite de mes fesses. J’essaie de la redescendre.
Il me dit : « après ce que tu as montré en voiture, tu n’es pas à ça près ». Je le regarde et lui fait un sourire. Une fois devant les toilettes, il finit sa cigarette en regardant le petit gros arriver vers le parking. Il m’attrape par la main et m’attire avec lui dans les toilettes homme. Il me colle le long du mur et m’embrasse à pleine bouche. Sa langue forçant légèrement mes lèvres qui cèdent plutôt rapidement. Ses mains remontent sur mon ventre et ma poitrine, quand il tire d’un coup sec sur mon chemisier ce qui fait sauter presque tous les boutons. Il m’entraîne avec lui dans les toilettes où il ferme la porte derrière nous. Il se tourne et m’embrasse à nouveau, une main sur mes seins, l’autre qui remonte entre mes cuisses.
Il glisse sa main directement sur ma chatte déjà mouillée quand sans que je sente quoi que ce soit, il tire sur la ficelle de mes boules de geisha qui sortent directement de ma chatte. Il me regarde : « t’es une vraie salope toi ! » et il m’embrasse à nouveau. Sa main sur mes seins pince mon téton et tire dessus pendant que l’autre main glisse entre mes cuisses. Il me fourre ses doigts. Puis il lâche mon sein et mets ses mains sur mes épaules. Je sens qu’il ouvre son pantalon. Je descends mes mains et je m’attaque à sa ceinture. Il glisse sa main sur mes fesses qu’il pétrit pendant que j’enlève sa ceinture et ouvre son pantalon, puis baisse sa braguette. Il me mord le cou et me l’embrasse. Je passe ma main dans son pantalon et sens son sexe tout dur. Je rentre ma main dans son boxer quand il remonte ma jupe sur mes hanches. Il m’enlève ma veste qu’il accroche au crochet. Je m’accroupis en sortant sa bite qui est plutôt de taille moyenne, mais plus large que celle de mon homme.
J’approche ma bouche de son sexe quand quelqu’un essaie d’ouvrir la porte. Je m’arrête. Je le vois qui va pour déverrouiller la porte. Je lui dis non, me doutant que c’est le petit gros. Il pose une main derrière ma tête et m’attire pour que je le suce à nouveau. La porte bouge. Je le regarde avec sa bite dans ma bouche et lui fait un signe non de la tête. Il pose ses deux mains sur ma tête et commence un va-et-vient rapide entre mes lèvres. Il s’arrête et me relève en tirant sur mes cheveux, puis me tourne face à la porte. Il sort une capote de sa poche, l’ouvre et l’enfile. Il me fait écarter les cuisses et m’ouvre les fesses en disant : « putain de salope, tu as déjà le cul plein ! » Il me tire les cheveux en arrière et appuie sur mon dos pour que je me cambre bien. Il cherche l’entrée de mon vagin avec sa bite et d’un coup me l’enfonce entièrement. Je la sens vraiment ouvrir ma chatte tellement elle est large. Il fait des va-et-vient rapides et forts.
Il se recule et m’attire en même temps. Je suis cambrée et penchée en avant, les mains sur la porte. Il tire mes cheveux en arrière et de l’autre main, il attrape mon ‘rosebud’ qu’il sort de mon cul. Je commence à gémir de plaisir quand il vient me le mettre sur les lèvres. Je tourne ma tête, mais il tire fort d’un coup sur mes cheveux, cela me fait mal et je crie. Il en profite alors pour rentrer mon ‘rosebud’ dans la bouche.
Il place sa main sur le ‘rosebud’ et de l’autre il vient la glisser sur ma chatte et frotte mon clito avec une force et une vitesse qui me font jouir directement. Je perds pied, mais cris de jouissance étouffée par le ‘rosebud’ et sa main qui le bloque. Quand on entend un râle dans les toilettes d’à côté, il se crispe et je sens son sexe se raidir et vibrer en moi. Il éjacule et se vide dans la capote. On reste un moment comme ça. Je sens son sexe dégonfler légèrement. Il l’enlève de ma chatte et retire sa main de ma bouche et y laisse le ‘rosebud’. Il enlève sa capote et la vide sur mes fesses. Il attrape le ‘rosebud’ et le glisse à nouveau dans mon cul. Je me redresse. Il essuie son sexe avec du papier toilette. J’en prends pour essuyer mes fesses, mais il me le retire des mains et le jette. Il tire sur mon chemisier en arrière qui se bloque, puis avec les boutons des poignées il fait un nœud pour maintenir mes bras derrière le dos.
Il ouvre la porte des toilettes en me poussant dehors pendant qu’il remet son pantalon. Je tombe nez à nez avec le petit gros et deux autres gars qui viennent direct vers moi et posent leurs mains sur moi pour me tripoter les seins. L’un glisse sa main entre mes cuisses. Je suis gênée quand il m’attrape d’une main et tient ma veste et mon sac à main de l’autre pour sortir des toilettes. Il me pousse légèrement en disant : « Va au bout là-bas ». Bien sûr j’ai toujours ma jupe sur mes hanches et je sens son sperme couler sur mes fesses. Mon chemisier bloque toujours mes mains dans mon dos. J’avance jusqu’au camion en passant en plein milieu du parking. Des phares s’allument et on entend que le claquement de mes talons sur le bitume. Des rideaux s’ouvrent. Je regarde le sol quand il m’attrape par les cheveux et me tourne d’un coup vers lui pour glisser sa main sur ma chatte et frotter à nouveau mon clito.
Il m’embrasse sur la bouche un long moment avant que l’on reparte tous les deux vers son camion.Arrivée à son camion, il enlève le nœud qui lie les deux poignées de mon chemisier pour libérer mes bras et m’ouvre la porte pour que je monte dedans. Il reste derrière moi pour bien mater ma chatte et mon cul avec son bijou pendant que je grimpe dans sa cabine. Il en fait le tour ensuite pour monter par l’autre porte. Une fois à l’intérieur, il enlève son pantalon et son boxer et il vient debout à côté de moi. Il fourre directement son sexe à demi mou dans ma bouche et je commence à le sucer. Il reprend vite vigueur. Il pose une main sur ma tête et l’autre sur mes seins pour me pincer et étirer les tétons, les tordant par moment. Il me repousse et se met à genoux et commence de me lécher les pointes de mes mamelons avant de les embrasser tout en glissant une main entre mes cuisses pour me mettre ses doigts dans la chatte.
Il me fait allonger ensuite sur sa couchette sur le dos et il vient me lécher la chatte en aspirant mon clito très fort, le mordillant, puis il me suce la vulve avant de rentrer sa langue dans le vagin.
Il remonte ensuite sa tête en m’embrassant sur tout le corps s’arrêtant à la hauteur de mes seins pour les lécher et me sucer les tétons. Il se redresse alors d’un coup pour attraper un préservatif qu’il enfile et il me prend en m’embrassant sur la bouche. Il attrape mes cuisses qu’il relève très haut, les pliant pour faire relever mon cul. Il me fait tenir mes chevilles avec les mains et il regarde son sexe entrer en moi en mettant un grand coup de rein par moment pour que je le sente bien au fond de ma chatte. Il alterne douceur et brutalité en me baisant un bon moment. Il sort finalement de moi en enlevant sa capote et éjacule tout son jus sur moi, ses jets de sperme arrivant sur mes seins, mon ventre et ma jupe. Il essuie son gland sur mon ticket de métro et me fait rallonger. Il vient alors s’asseoir sur mes seins pour me faire nettoyer sa bite en bloquant mes bras sous ses genoux.
Comme je tourne la tête pour ne pas lécher le sperme qui reste sur son gland, il attrape mes poils de chatte et tire fort dessus en tentant de les arracher. J’hurle de douleur quand il rattrape une autre poignée de poil et avant qu’il ne tire dessus cette fois, j’ouvre ma bouche pour lécher et nettoyer sa bite.
Il se relève et prend une serviette pour essuyer le sperme sur mon corps. Il s’allonge ensuite à côté de moi et pose sa main sur ma chatte et joue avec ses doigts sur mon clito et mes lèvres tout en discutant de tout et de rien. Il me demande alors de passer la nuit avec lui, ce que je refuse catégoriquement.
Il m’embrasse de nouveau et je pose ma main sur son sexe et commence de le masturber. Il attrape mon ‘rosebud’ et joue à le sortir et le rentrer. Au bout d’un moment il me fait mettre sur lui en 69. Pendant que je le suce et qu’il me lèche la chatte, il sort le ‘rosebud’ de mon cul pour le glisser dans ma chatte avant de le remettre dans mon cul. A chaque intromission, une douleur se fait sentir dans mon cul.
Je continue de le sucer et lui lécher ses couilles en étant plutôt heureuse qu’il ne soit pas poilu, jusqu’à ce que sa bite soit bien dure de nouveau. Au bout d’un moment, il me fait retourner pour m’embrasser et me retrouver à califourchon sur lui. Il me donne alors un préservatif que j’ouvre et lui mets. Il me demande de le sucer, ce que je fais. Il me fait mettre ensuite en levrette en se plaçant derrière moi, mais avant de mettre sa bite dans ma chatte, il attrape mon chemisier en tirant dessus comme dans les toilettes et l’accroche au-dessus de moi après avoir nouer les poignées entre elles pour me lier les bras dans le dos. Je me retrouve alors la tête plaquée sur le lit et les mains attachés et surélevés en arrière de mes épaules. Il attrape aussitôt mes tétons et les pince avant de tirer dessus. D’une main, il extrait le ‘rosebud’ de mon cul pour le mettre dans ma bouche. Il sort ensuite sa bite de ma chatte pour la poser sur mon anus.
Sa bite étant bien plus large que le ‘rosebud’, il commence à pousser en posant ses mains sur mes hanches. J’avance alors instinctivement mon bassin pour éviter de me faire enculer. Il me mets alors une de ces claques sur mon cul avant de me ramener à lui de ses deux mains. Puis d’un grand coup sec, il m’encule entièrement d’un coup.
Il reste un moment sans bouger et je sens mon cul complètement ouvert autour de sa bite. Il commence un léger va-et-vient, puis d’une main il attrape mon ‘rosebud’ que j’ai recraché quand il m’a enculé et me le remets en bouche pour me le faire sucer comme si c’était une bite. Puis il augmente la vitesse de ses allers et retours dans mon cul avant de s’amuser à sortir sa bite entièrement et de la remettre dedans. Je le vois qui attrape son portable et prend des photos de sa bite dans mon cul. Il recommence ensuite ses va-et-vient. Il pose son téléphone à côté de mon visage pour que je puisse voir ce qu’il vient de filmer. Je vois sa bite entrer et sortir de mon cul qui reste alors bien ouvert avant qu’il ne la remette dedans. Je me vois avec mon ‘rosebud’ dans la bouche pendant qu’il me sodomise. Il se met à accélérer le mouvement et se plante d’un coup en moi m’écrasant de tous son corps quand il éjacule dans mon cul.
Il s’est alors redressé et a sorti sa bite de mon cul pour y remettre mon ‘rosebud’. Il m’a laissée comme ça un moment toujours les bras en arrière et attachés en hauteur dans une position très inconfortable. Il a repris son portable pour prendre des photos de mon cul et de moi tout entière qu’il m’a fait voir au fur à mesure.
Il se met à fumer une clope en me laissant comme ça en levrette, le cul en l’air et les mains attachées. Il remet son pantalon et sa chemise et sort du camion. Il revient quelques minutes après et me détache enfin en me demandant si je lui en veux. Je lui répond que non. Il me montre toutes les photos qu’il a prises ainsi que la vidéo qu’il efface alors devant moi.
Il commence à se faire tard. Je suis fatiguée et surtout épuisée. Il me demande mon numéro de tel que je lui donne. Je me rhabille comme je peux puis il me met son blouson sur les épaules et me raccompagne jusqu’à ma voiture. Il m’embrasse sur la bouche et je rentre chez moi. Arrivée chez moi, je me rend seulement compte que j’ai reçu 4 appels de mon homme et 1 sms de mon amant du soir pour savoir si j’étais bien rentrée. Je l’ai rappelé pour lui dire que oui. »
A la fin, je dis à mon Maître :
— Bon je vais prendre une douche et me coucher. Merci pour ce que vous m’avez fait subir, cela m’a beaucoup excité.
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Impressionné par la description aussi précise de sa soirée sur le parking poids lourd, j’ai contacté Vanessa à son boulot le lendemain en la remerciant :
— Vraiment super aventure dans l’ensemble, même si la fin a été un peu douloureuse, non ?— Oui mon cul a pris cher !— Au fait, tu as rappelé ton homme pour donner la raison de ton absence ce soir-là ?— Oui je lui ai dit que je m’étais endormie.— Mais tu lui raconteras ce weekend pendant qu’il te baise avec ta guêpière, c’est ça ?— Je ne sais pas ou pas tout.— Quand tu as vu ton cul grand ouvert sur son téléphone, tu n’as pas été effrayée par la taille du trou à ce moment-là ?— Si cela fait drôle, mais j’ai surtout eu peur de savoir ce qu’il allait faire des photos et des vidéos.— Oui c’est sûr que de se retrouver ensuite sur le net, cela aurait été dégueulasse de sa part après ce que tu lui avais permis de faire !— Oui c’est ça, d’autant que c’est lui qui a gardé mes boules de geisha en plus.— S’il te recontacte un jour ce sera peut-être seulement pour te rendre tes boules, non ?— Oui peut-être, mais cela m’étonnerait qui me tel juste pour me les rendre !— Oui c’est évident.— Et si ça arrive de toutes façons vous le saurez et vous choisirez ma tenue complète !— Oui ma chérie. Tu seras habillée en belle pute offerte à ces messieurs !— Attends-toi à y passer un moment dans leurs camions !— Ton homme ne se doute absolument pas alors de la salope que tu es devenue ?— Non je ne pense pas.— Mais il veut depuis longtemps que je couche avec un autre. Alors s’il comprend, soit il prend cette place de maître ou sa petite traînée de femme ira se faire sauter ailleurs.— Et que sa petite salope de femme pourrait même céder un jour aux avances de son patron !
Son dernier message me laisse entrevoir de nouveaux horizons pour la suite des événements.
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J’espère que vous avez apprécié une nouvelle fois ces expériences réelles réalisées par la soumise sur les instructions de son Maître écrivain.
Les personnages et les situations de ce récit sont totalement réels et le reflet exact des événements vécus par l’héroïne, même s’il semble parfois que la réalité dépasse la fiction !
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