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Déchéance d'une épouse dévouée

Chapitre 3

Où mon homme entre en scène et son patron dans ma vie

Voyeur / Exhibition
J’ai commencé, dans un premier chapitre, à vous raconter comment moi, Vanessa, épouse fidèle, jusque-là, mère d’un adorable fiston de 3 ans, j’en suis arrivée à me soumettre à l’auteur de ce récit pour qu’il puisse ensuite témoigner de ma déchéance assumée. Dans un deuxième chapitre, j’ai exposé la progression de ma soumission à mon Maître écrivain beaucoup plus en détail avec notamment le récit de mon premier passage à l’acte hors couple avec un routier sur une aire d’autoroute.
Mon Maître a exigé que je lui décrive, dans les moindres détails intimes, tout le ressenti de mon avilissement progressif d’épouse dévouée jusqu’à la réalisation, un jour, peut-être, de mon fantasme de devenir le jouet sexuel d’un homme mature, vicieux et pervers. Il a souhaité pouvoir intervenir lui-même dans mon récit chaque fois qu’il est concerné.
Dans ce troisième chapitre, je vais indiquer comment mon homme a été informé de cette première incartade qu’il a pourtant si longtemps souhaitée, mais aussi, comment j’ai fini par succomber aux avances de son patron avec l’aide de mon Maître.
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Je suis une femme épanouie de 34 ans, mariée depuis 12 ans à mon homme, Éric, qui, malheureusement, n’a d’autres choix que de me laisser seule élever notre fils en son absence durant chaque semaine en raison de son travail pour me retrouver chaque week-end seulement, et y accomplir ses devoirs conjugaux.
Côté sexe, très classique, jusqu’à ma libération récente à l’initiative de mon Maître, je n’avais jusque-là jamais dévoilé entièrement mon corps nu et donc mon ticket de métro châtain à d’autres que mon mari. J’aime pratiquer la fellation depuis longtemps, mais moins la sodomie que je n’autorise que rarement à mon homme.
Tout a commencé, il y a deux mois, début septembre, quand j’ai reçu une réponse à l’un de mes ‘posts’ sur les forums d’un site de récits érotiques d’un des auteurs du site, ‘JP’. Il m’a proposé de dialoguer un soir prochain, lorsque mon fils serait couché, pour faire plus ample connaissance et savoir ce que je cherchais réellement.
Ce n’est que trois semaines après que j’ai relevé un premier défi de mon maître d’exhiber ma chatte nue sous ma jupe dans un restaurant, avant deux jours plus tard, de le faire en guêpière et bas, cette fois, seins et minou à l’air libre, dans un sex-shop où le vendeur est même venu m’aider à enfiler le ‘rosebud’ que je venais d’acheter sous les yeux de clients ébahis.
Mon troisième défi fut d’exaucer le souhait majeur de mon homme de coucher avec un autre mec sur une aire d’autoroute, le lendemain même de mes exploits, au sex-shop, et à la réception en guêpière du livreur de pizza que j’ai fini par sucer.
Même si j’ai bien apprécié ces différents défis où, en deux jours, pas moins de trois inconnus m’ont tripotée de partout et l’un m’a prise trois fois y compris par le cul, j’ai un peu honte d’avoir fait tout cela, d’autant que j’ai joui plusieurs fois.
Cela faisait un moment que j’avais envie de le faire, depuis le temps que mon homme m’en parlait. Mais ce n’est pas du tout la même jouissance et les mêmes conditions qu’avec mon homme, là on s’aime et il me respecte. Alors qu’avec des inconnus, il n’y a pas trop de respect pendant l’acte et surtout des paroles plus dures et sans langue de bois où je suis traitée comme la dernière des salopes. De toute façon, au fil de la réalisation des différents défis de mon Maître, c’est ce que je deviens : une vraie salope !
Mais finalement, je suis très heureuse d’avoir pu jouer mon propre rôle, cette fois, dans un récit, avant même qu’il ne soit écrit, contrairement aux histoires lues en semaine, que j’ai l’habitude de raconter en me faisant passer pour l’héroïne quand mon homme me prend le week-end suivant.
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C’est le jeudi 10 octobre suivant que nous avons fait le point avec mon Maître après ma première semaine à relever tous ses défis, mais également, pour se mettre d’accord sur la suite à donner, et surtout de savoir qui informerait mon homme avant qu’il ne lise mes exploits le mois suivant sur le site de récits érotiques.

Cette discussion par messages interposés s’est déroulée à bâtons rompus dans un premier temps, après l’avoir remercié de me maintenir dans cet état-là :
— Vous savez, mon excitation est presque permanente maintenant, grâce à vous !— Même sans les boules de geisha dans ta chatte, tu es excitée et tu mouilles en permanence ?— Oui, et de vous écrire toute nue sur mon lit; le récit de mes aventures sur l’aire d’autoroute m’a beaucoup excitée aussi. — Tu aimes me parler de ton intimité et de tout ce que tu ressens ? — J’ai aimé vous décrire dans le détail tout ce qui m’est arrivé ! — Tu penses au fond de toi aujourd’hui, comme on dit vulgairement, que tu as le feu au cul ? — A force de ne coucher que le week-end avec mon homme, oui, je pense. — Pourquoi veut-il que tu couches avec un autre ? — Je pense que cela doit l’exciter ! — De te voir le faire ou de savoir que tu l’as fait ?— Je ne sais pas, peut-être les deux ? — Je comprends que tu aies envie de baiser en semaine, c’est sûr. Mais je comprends aussi que tu ne veux pas d’amant attitré, c’est ça ?— Oui, j’aime mon homme, et un amant attitré, je n’en ai pas du tout envie ! — Tu te vois, je suppose, maintenant, arriver un jour à prendre plusieurs hommes à la fois en toi, non ?— Oui, peut-être que ça m’arrivera un jour ! — Moi, je suis sûr qu’une fois attachée par tes quatre membres en croix, tu jouiras de prendre des bites à répétition dans tous tes orifices. Avoue que cela t’a traversé l’esprit un jour ?— Oui, et même sans être attachées !
Ce n’est qu’à son retour à la maison le soir que nous avons plus longuement évoqué les prochains défis :
— Puisque tu as cette idée en tête de participer peut-être un jour à un gang-bang, j’ai découvert pas très loin de chez toi un établissement qui en organise un la veille de la Toussaint. J’ai également l’adresse-mail d’un habitué qui pourrait t’informer sur ce genre de soirée. Qu’en penses-tu ? — Si cela devait arriver un jour, je trouverais quelqu’un de confiance pour l’organiser ou m’y accompagner. — Pour le gars de confiance, commence par sonder cet habitué sur ses intentions; et comment voit-il votre couple éphémère d’un soir ?— Non, j’ai déjà mon idée sur la personne avec qui je pourrais aller dans une soirée comme ça ! — Super, je t’admire, Vanessa, d’avoir déjà pensé à ça !— Quand jeudi 31 au soir, mon homme sera là, si le lendemain c’est férié ! — Ah dommage. Ce sera partie remise alors. En général, ces soirées-là se font le 1er et le 3e jeudi de chaque mois. Ce sera à toi de t’organiser pour faire garder ton fils et contacter ton protecteur d’un soir ?— Si je contacte cette personne, ça risque d’être chaud pour moi, car à ce que je sais, c’est un chaud lapin ! — Mais tu commences quand même à te faire à l’idée que tu iras un jour à ce genre de soirée à partenaires multiples accompagnée de ton protecteur. Mais comment l’as-tu connu ?— C’est le patron de mon homme, et c’est lui qui m’a dit que c’était un sacré coureur de jupons !— Ah, je vois, après il risque de vouloir te baiser très souvent, c’est sûr ?— Peut-être pas très souvent; mais quand il en aura l’occasion. L’avantage c’est qu’il est marié et a des enfants aussi.— S’il est cavaleur et connaît en plus ton mari, c’est sûr que c’est plus chaud, brûlant, même !— Si ce n’est qu’à l’occasion, ça peut le faire à condition qu’il ne s’en vante jamais !— Non, je ne pense pas. Il est très discret ! D’ailleurs, mon homme ne sait même pas qu’il m’a déjà fait des avances auxquelles je n’ai jamais données suite !— C’est un bon coup au lit, j’imagine. C’est pour cela que tu vas finir par céder bientôt à ses avances avant de lui demander de t’accompagner pour t’envoyer en l’air en gang-bang, comme tu en rêves parfois, c’est ça ?— Je ne sais pas si c’est un bon coup au lit, mais il est plutôt très bien monté à ce que j’ai pu sentir. — Tu as dansé collée-serrée avec lui, et sa bite était dure contre ta cuisse, c’est ça ?— Oui, c’est arrivé l’an dernier au repas de fin d’année de l’entreprise de mon homme !— Il t’a caressé le dos, les seins, les fesses ou une autre partie de ton corps ?— Le dos les fesses, oui, et il a même joué avec l’élastique de mon string au-dessus de ma robe.— Tu n’as pas d’autres occasions prochainement de l’approcher ?— Si, il faudrait que j’aille chercher des papiers à son bureau. — Au travail de ton mari, c’est ça. Parfait, tu iras sans culotte, et tu t’arrangeras pour qu’il le remarque. Il ne pourra pas cette fois jouer avec l’élastique de ton string ! LOL.— Ou lui demander qu’il me les amène à la maison ! — Ah, c’est mieux qu’il vienne te voir. C’est sûr, car quand il aura vu que tu n’as rien dessous, il saura que tu es d’accord pour te faire sauter sans qu’il ait à faire des avances interminables, puisque ce que tu veux de lui finalement, c’est qu’il te baise, non ? — Oui ! — Tu me tiens au courant de sa venue prochaine, d’accord ?— Oui, ben, pas avant la semaine prochaine ! — Tu te sens bien ce soir avant d’aller te coucher, même si tu n’as pas joui ? — Oui, ça va, je suis bien !— Notre petit dial t’a plu ?— Oui. Et à vous ?— Moi aussi. Tu sais, je t’adore Vanessa, reste comme tu es et assume ton côté salope !— Je vais te souhaiter une bonne nuit, et de beaux rêves érotiques ! Bisous.— Bise, à demain, et envoyez-moi des messages pervers; j’aime bien ! — OK, pas de problème, ma chérie.
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Mon homme devant rentrer ce vendredi soir, je me trouve un peu coincée, de devoir lui avouer tout ou partie de ce que j’ai fait durant la semaine sur ordre de mon maître, certes, aussi je vais lui demander de m’aider à trouver la meilleure solution pour informer Éric :
— Bonjour. Ce matin, je porte une jupe à mi-cuisse grise, un porte-jarretelles noir, des bas, un soutif noir, un pull noir, une veste de tailleur grise, des talons et bien sûr mon ‘rosebud’ ! — Bonjour Vanessa. Tu es très classe ce matin; au-dessus, c’est Mrs Jekyll, l’épouse attentionnée et la bonne mère de famille, alors qu’en dessous sommeille Mrs Hyde, la salope assumée !— J’assume cette ambivalence aujourd’hui, grâce à vous !— C’est ce week-end que ton homme va savoir que tu as passé à l’acte pour satisfaire ses désirs et les tiens par la même occasion ?— Peut-être ou peut-être pas ! Cela étant, il m’a poussée pour que je couche avec un autre homme et il m’exhibe dès qu’il en a l’occasion.— C’est toi qui vois ?— Je viens de l’appeler et lui dire que vous allez peut-être le contacter pour dialoguer afin de me faire devenir une vraie cochonne.— OK. Parfait, je vais l’appeler; pas dans l’immédiat, d’ici une heure, car j’attends un artisan chez moi ce matin. Mais je te tiens au courant ?— Plus par SMS, car il ne peut pas répondre où il travaille.— Je suis de retour. OK, par SMS.— Et un petit défi pour vous et moi. Si mon homme me contacte avant midi pour me dire que vous l’avez contacté, j’irai au restaurant avec mes collègues sans culotte comme convenu et aussi sans soutif.— OK. Tu peux déjà enlever ton soutif...— Pourquoi ? Il ne m’a rien dit encore !— Nous échangeons toujours des SMS depuis deux heures pour nous mettre d’accord sur ce qu’il attend de toi !— Ah bien, dans ces conditions, je vais ôter mon soutif avant de partir au restaurant. A toute !— Il veut que je le tienne au courant au fur et mesure des trucs que j’arrive à te faire faire. Je lui ai dit que je lui ferai un résumé avant que tu lui détailles le tout. Mais je n’ai rien dit sur ta relation avec le routier. Il ne sait toujours pas que tu as franchi le pas de baiser avec un autre. Il m’a dit que si je réussissais à te le faire faire, j’aurais carte blanche pour la suite.— Voilà, j’ai enlevé mon soutif. On part au restaurant.
Je la recontacte un bon quart d’heure plus tard :
— Tu es à table avec plusieurs collègues ? Ils peuvent distinguer tes tétons ou voir que tes seins sont libres de leur mouvement ? Tu me feras un petit compte rendu de ton exhib à ton retour.
Mais la réponse ne tombe qu’à la fin de sa pause déjeuner à son retour au travail :
— Oui, mes tétons étaient visibles. Sinon, rien de spécial au restaurant.— Pour info, ton mari m’a dit qu’il risque de ne rentrer que demain.— Ah bon, je ne le savais pas. Je ne vais pas le contacter alors !— J’espère que ton patron vient voir tes tétons dressés ! LOL.— Oui, mon patron est venu plusieurs fois et j’ai même une réunion avec lui après !— Tes seins libres sont bien visibles j’espère et tu aimes désormais qu’on les regarde, non ?— Cela me gêne moins maintenant qu’ils se voient. Je m’y habitue.— Tu te sens comment aujourd’hui sans soutif au boulot ? Tu t’habitues aux regards des collègues surtout en réunion ? Cela t’excite de t’exposer, non ?— Oui, ça m’excite que l’on puisse me regarder !
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Vanessa étant partie en réunion, nous ne reprenons cette conversation qu’une heure plus tard avec l’idée de profiter de l’absence de son homme le soir même pour qu’elle puisse une deuxième fois de la semaine s’envoyer en l’air avec un inconnu :
— Si ton mari ne rentre que demain, nous pouvons rediscuter ce soir comme hier pour être sûrs de là où nous allons tous les deux, d’accord ? Qu’elles sont les limites que tu t’imposes, par exemple ? Sachant que j’ai carte blanche de ton mari maintenant que j’ai réussi à te faire coucher avec un autre, même si tu ne le lui as pas encore avoué !— S’il vous a donné carte blanche; à vous de jouer !— Donc tu peux appeler son patron, consciente de ce qui t’attend peut-être un jour. Il ne te forcera jamais, je pense, mais tu risques de prendre plaisir à tout ce qu’il te fera faire, surtout s’il t’accompagne un jour à une soirée gang-bang !!!— D’accord, je l’appelle maintenant, si j’arrive à l’avoir.— Tu es donc prête à te lancer dans cette aventure ?— Il doit me rappeler tout à l’heure.— Je ne sais pas quel est ton environnement de travail. Si tu es assise à un bureau, as-tu des crayons ou stylos à ta disposition ? Si oui, prends le plus large et enfonce-le dans ta chatte pour bien récupérer ta mouille. Tu suceras ensuite ce stylo comme lorsque l’on réfléchit face à tes collègues de bureau ?— Voilà, je joue avec un gros marqueur, même si je ne suis pas dans un bureau !— J’ai informé ton mari que tu lui dirais jusqu’où je t’ai amené pour l’instant. Il voulait vraiment savoir. A toi de voir comment procéder. — Son patron vient de me laisser un message avec son numéro pour que je le rappelle ! Vous avez carte blanche de mon homme, non ?— Oui, maintenant que tu as baisé en dehors du couple, MAIS il ne le sait toujours pas. Je n’ai pas vendu la mèche, ni même parlé ou évoquer ton escapade sur l’aire d’autoroute ! A toi de le faire ce week-end !— C’est vous qui m’avez dit de lui téléphoner, non ?— Oui, j’assume, car je sais que tu en as vraiment envie de baiser avec lui, non ?— OK. Je vais lui téléphoner. Mais il vaut mieux que j’y aille ou qu’il m’amène les papiers ?— Tu préfères baiser chez toi ou chez lui ?— Comme vous voulez, si j’y vais, ça sera à son bureau ?— Alors pour baiser, il vaut mieux chez toi sur le canapé ou la table de la cuisine !— Bon, je l’appelle. Mais si vous ne voulez pas, je ne l’appelle pas ?— Non, vas-y. Tu en as envie, lâche-toi ! Quand tu ne veux pas quelque chose, tu sais me le dire. Là, j’en conclus que tu es prête à devenir éventuellement un jour un objet sexuel entre ses mains, tu en as conscience ?— On verra bien et si je ne veux pas quelque chose, je refuserai.— Tu as envie, je pense, de goûter au moins une fois au gang-bang, ou au minimum, d’être prise par plusieurs mecs, c’est ça ? Et tu comptes qu’il t’y accompagne ?— Je l’appelle ou pas alors ?— Oui, tu l’appelles.— D’accord, dès maintenant, alors ?— OK. Appelle-le maintenant. Tu me dis quand tu as prévu que vous alliez consommer chez toi. Je veux dire quand il doit t’amener les fameux papiers...prétexte à... — Il veut passer ce soir ou il les donne à mon homme demain après-midi ? Je dois le rappeler pour lui dire quoi ?— Il ne se passera peut-être rien finalement. Il te filera les papiers et tu le reconduiras à la porte après lui avoir offert un café...ou ton corps !!!— Je fais quoi ou je passe les chercher ?— Ton fils sera chez toi quand il passera ? Si ton fils est là, tu iras les chercher, mais ton homme risque de se douter de quelque chose si ce n’est pas lui qui ramène ces fameux papiers demain.— Je peux le faire garder. Il est déjà chez les beaux-parents.— OK, alors fais-le venir chez toi ce soir !— D’accord, je le rappelle, et appelle les beaux-parents.— OK, parfait. Tu sais bien t’organiser, bravo !— C’est OK, il vient pour 21h.— Je passe vite fait faire quelques courses au magasin et prendre quelques petits gâteaux pour le café.— OK, mets les petits plats dans les grands pour bien l’accueillir chez toi avant qu’il entre en toi !— Vous voulez choisir ma tenue ?— Tu l’accueilleras dans une tenue légère, donc sans soutif ni culotte ! Tu t’arrangeras pour qu’il le remarque à un moment, et tu te laisseras faire ensuite jusqu’à la conclusion finale. Tu me raconteras plus tard en détail ta soirée !— Voilà, j’ai pris ma douche et j’ai mis une jupe à mi-cuisse plissée noire, des bas en résilles noires, un pull moulant blanc et bien sûr sans sous-vêtement !— Tu es anxieuse ou tu mouilles déjà ?— Plutôt crispée, j’ai un peu peur avec tout ce qui circule sur lui !
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En attendant l’heure fatidique de sa venue vers 21h, nous avons eu de longs échanges, parfois houleux, avec mon Maître, sur qui devait informer en premier mon homme de mon passage à l’acte en début de semaine et de ma récidive ce soir-là. Déjà particulièrement tendue par la soirée qui m’attend, je ne me sens pas prête à avouer à mon homme tout ce que mon maître a réussi à me faire faire, mais celui-ci insiste pour que ce soit moi qui fasse le premier pas, lui s’engageant à tenir informé mon homme, au fur et à mesure de la réalisation de mes nouveaux défis. Notre échange s’étant arrêté là, une bonne heure avant de recevoir Christophe, le patron de mon homme, je suis à deux doigts de tout arrêter si mon maître ne me relance pas. Je jette une dernière bouteille à la mer en allant refaire du café en cuisine où j’ai laissé mon smartphone :
— Il n’est jamais trop tard pour bien faire. Je refais du café et hésite à faire quelque chose avec lui, pourtant il me mate bien et me fait des avances.— Si vous répondez dans les 5 minutes pour me dire quoi faire quand je reviendrai chercher la cafetière vous pourrez prévenir mon homme; si pas de réponse, je ne ferais rien !!
Et là, soulagement lorsque je retourne à la cuisine; la réponse de mon maître est tombée entre temps :
— Oui, tu peux poursuivre tes avances Vanessa. Tu peux même ouvrir plus les cuisses pour lui dire que tu es prête. Tu me diras si tu penses qu’il va conclure et que tu vas t’offrir à lui pour que je puisse prévenir ton mari.— Je peux toujours lui dire que tu as mis son fils en garde chez ses parents et que tu es avec un homme en ce moment. OK ?— D’accord. Vous voulez que je me soumette à lui ou juste une baise normale. Vous avez carte blanche de mon homme pour me le faire faire ou pas ? J’attends votre réponse. Je reviens après chercher les gâteaux.— Je préviens ton mari que tu es avec un homme ce soir.— Et si vous voulez lui en dire plus, n’hésitez pas, Monsieur.— OK, vas-y, sors le grand jeu. Je dis à ton mari que tu as franchi le pas.— Je pourrai mettre le collier de notre petite chienne, pour y retourner, non ?— Voilà, j’ai prévenu ton mari que tu allais passer à l’acte !— Dites-moi pour la soumission et le collier, je relève un peu ma jupe pour amener le café et reviens ensuite prendre les instructions suivantes en allant chercher les gâteaux ?— Non, pas encore le collier. Laisse-le déjà prendre possession de ton corps de femme mariée et mère de famille.— OK. J’amène les gâteaux. Je reviendrai pour du lait.— J’ai dit à ton mari que je le tenais au courant de la suite des choses, alors préviens-moi si tu peux ? Son patron sait maintenant que tu es nue sous ta jupe, c’est ça ?— Ma jupe est remontée à la lisière de mes bas et il a bien vu mon manège !— OK, tu es super Vanessa. Tout va bien se passer, il va bientôt prendre des initiatives.— Si vous lui dites que cela va être la deuxième fois, mardi prochain, je ferais toutes vos demandes, quelles qu’elles soient !— OK. Voilà, je l’ai prévenu pour mardi aussi, te voilà rassurée.— Je vais renverser du lait sur ma jupe, et aller mettre ma minijupe en daim, car elle est beaucoup plus courte à ras des fesses. J’irai ensuite m’asseoir face à lui sans serrer mes cuisses. Il va la voir ma chatte là !— Parfait, ton mari m’a fait détailler ton aventure de mardi et je lui explique comment tu es habillée ce soir.— Je change ma jupe en ce moment. Vous pouvez lui dire que je vais y passer. Il n’a pas lâché ma ‘chatterie’ du regard ! Là, il va bien voir mes bas, et voir que je n’ai pas de culotte, surtout quand je vais essuyer par terre.— OK, je préviens Éric que tu vas passer à la casserole !— Je ramène la lavette pour un dernier échange de texto. Il vient de passer sa main de mon cul jusqu’à ma chatte mouillée !— Super, c’est parti. Je l’ai déjà dit à Éric. Réponse de ton mari : « Elle va y passer la putain, je bande » !— Il m’a demandé si je savais avec qui tu étais ce soir, j’ai éludé la réponse en relayant ton message de lavette et de main au cul. Mais demain, il voudra savoir, je pense ?— Il a une sacrée bite; sérieux, je viens de la sucer. Pff quel morceau ! Je prends les capotes. Il va me baiser. Il ne me reste plus que ma jupe et mes bas !— OK, bonne baise, et jouis bien, ma petite Vanessa. Prends ton pied en sachant que ça fait bander ton mari !— Je vous recontacte quand il sera parti.
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Il est minuit passé quand je reçois le message de fin des ébats :
— Il vient de partir.— Tu t’es bien éclatée ? Il t’a prise par tous les bouts ?— Oui, mais mon cul pas longtemps, il est trop bien monté !— Ton homme attend mon message disant que ton baiseur est parti pour savoir comment ta soirée s’est finie.— J’ai une photo où je vide la capote sur ma chatte. Vous croyez que je lui envoie ?— Oui. Je le préviens que tu vas le faire.— Je lui marque un truc avec ?— Oui : « Ta petite femme adorée qui prend du plaisir en ton absence. »— OK. Envoyée !— Merci pour ce selfie de ta chatte dégoulinante de sperme qu’Éric vient de me renvoyer !— A super. Lol !— Tu as passé une sacrée soirée, alors ?— Oui. Il est infatigable. Il ne débande jamais. Il a éjaculé 4 fois !— C’est pour cela qu’il lui faut plusieurs maîtresses, sa femme ne lui suffit pas !— Il veut me revoir !— Tu ne seras que l’une de ses nombreuses amantes ! Qu’est-ce que tu en penses ?— Ben vu le bon coup que c’est !— Tu lui as parlé de la soirée Gang-Bang du club près de chez vous ? Il connaît ?— Oui, mais il n’aime pas, car il y en a qui sont crasseux. En plus, il les organise lui-même !— Ah d’accord, mais de lui poser la question; il a compris que tu étais peut-être intéressée par des partenaires multiples, non ?— Oui, il me l’a proposé. Je lui ai dit : pas pour le moment.— Donc tu ne dis pas non et si je te le demande un jour, tu le feras bien sûr ?— Il m’a dit qu’il aimait les bonnes salopes !— Et toi, tu te considères déjà comme une bonne salope ou tu as besoin encore d’entraînement ?— Vous voulez qu’il me prépare un gang-bang ?— Pourquoi ? Tu te sens prête déjà à accueillir des bites à répétition ?— Non lol ! Rien que lui déjà; pfff.— Oui. Il a l’air d’être une carabine à répétition à lui tout seul !— Il m’a dit que pour les soirées qu’il organise, au début, il n’y a pas beaucoup d’hommes, et ils ne sont pas trop bien montés, et il augmente au fur à mesure pour les soirées suivantes !— Et il fait de l’autoformation, super.— Il m’a dit qu’il fallait d’abord que je rôde mon cul !— Ton ‘rosebud’ va déjà te le façonner, surtout si tu le portes longtemps !— Il me veut sans sous-vêtement en sa présence !— Oui, même quand tu iras à son bureau où ton mari travaille.— Donc au repas de fin d’année de l’entreprise, je dois y aller sans sous-vêtement.— Ah, mais d’ici là, tu auras pris l’habitude, cela ne te gênera plus du tout.— Oui, à chaque fois qu’il sera présent, je devrais quitter mes sous-vêtements si j’en porte.— Tu as une semaine d’entraînement à partir de lundi ! C’est tous les jours sans soutif ni culotte !— Il m’a proposé aussi d’aller au restaurant la semaine prochaine. Je lui ai dit que je ne savais pas ça. Je veux votre avis avant de lui répondre.— Tu ne veux pas t’en faire un amant, c’est ce que tu m’as dit que tu n’en voulais pas un d’attitré ?— Oui; pas attitré, mais de temps en temps !— Mais il sait déjà que tu participeras au moins une fois à l’une de ses sauteries ?— Cela dépend, si vous voulez ou pas ?— Moi, je t’y inviterais à y aller bien sûr, mais pas tout de suite. Il te faut encore goûter à d’autres bites anonymes, tu ne penses pas ?— Qu’est-ce qui te plaît en lui, outre sa grosse bite infatigable ?— Il est plutôt dominateur et directif. C’est lui qui m’a fait vider le préservatif sur ma chatte.— Il m’a mis quelques claques sur les fesses et il n’a pas fait semblant !— Il m’a fait venir avec lui jusqu’à sa voiture sans que je m’essuie !— A demi nue ?— Non, toute nue juste avec mes talons pour traverser la rue !— Tu as aimé être nue dans ton quartier ? Car tu risques de le refaire avec moi ?— Plutôt flippant !— Au fait, ton mari m’a tarabusté pour savoir si je connaissais ton baiseur du soir. J’ai éludé la réponse, une fois de plus, mais il va te le redemander demain ?— Il ne faut pas que mon homme sache que c’est son patron !— OK. Il faudra en rediscuter demain pour mettre au point une réponse commune.— Bon, je vais te laisser, il est presque 2H !!!— Oui, bonne nuit; peut-être, à demain matin, alors.— Fais de beaux rêves ma chère petite Vanessa.— Je te quitte là ! Bise.
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Malgré l’heure avancée de la nuit, je vais prendre ma douche, avant d’aller me coucher, en repensant à comment j’ai pu être aussi salope avec son patron en ayant délibérément exposé ma chatte, certes sur demande de mon Maître, en me baissant pour essuyer le lait renversé par terre, tout en écartant les genoux pour faire remonter entièrement le dernier rempart de tissu qui pouvait encore la masquer. Pendant que je me lave, je me tourne en boucle le film des événements de la soirée depuis cet instant où tout a basculé :
« Je le revois qui se lève pendant que je suis penchée et que je commence d’essuyer le lait par terre. Il arrive derrière moi et me met la main aux fesses en allant jusqu’à ma chatte qui est déjà toute mouillée. Je le laisse faire. Pendant que j‘essuie, il relève ma jupe sur mes fesses en glissant ses doigts dans ma chatte. Je suis prise entre excitation et remords envers mon homme. Je me redresse.
Il me tourne face à lui et m’embrasse sur la bouche. Sa langue cherche la mienne qu’il trouve rapidement. Il remet sa main entre mes cuisses que j’écarte instinctivement. Il m’attrape alors et me soulève pour m’asseoir sur la table de la salle à manger. Il m’écarte les cuisses en enlevant mon pull. Il embrasse mes seins, puis il descend jusqu’à ma chatte qu’il goûte en m’aspirant le clito et en léchant mes lèvres. Il remonte le long de mon corps en le léchant jusqu’à ma bouche.
Il ouvre son pantalon et je glisse ma main dedans. Il ne porte rien sous son pantalon. J’attrape son sexe à demi dur, d’une très bonne taille que je commence à masturber. Il s’éloigne de la table en m’en faisant descendre et appuie sur mes épaules pour que je me retrouve à genoux devant lui. J’ai devant mon visage son sexe que je commence à embrasser avant de la prendre en bouche. Il pose une main sur ma poitrine en jouant avec mes tétons et il place l’autre derrière ma tête pour m’imposer son rythme dans la bouche. Je sens son sexe grossir et durcir entre mes lèvres. Je joue avec ma langue sur sa bite.
Il me demande des préservatifs que je vais chercher dans mon sac à main. Dernier échange de message avec mon Maître avant de prendre la boîte. Je la lui tends en revenant, il en prend un pendant que je me baisse pour lui sucer à nouveau sa bite raide. Il met un préservatif, puis me relève, et me tourne le dos à lui, face à la table. Il me penche en me poussant sur la table avant de poser son gland entre mes lèvres vaginales. Il entre doucement en moi et je sens ma chatte s’ouvrir de plus en plus, tellement il est large. Une fois en moi, il pousse un coup sec et je ne peux retenir un gémissement de plaisir.
Il commence un lent va-et-vient en accélérant de plus en plus. Il glisse une main entre la table et moi pour venir agacer mon clito en accélérant ses va-et-vient. Je me mets à jouir d’une force que j’ai rarement ressentie. Mon corps se crispe et je suis prise de tremblements et je gémis de plus en plus.
Il se retire de moi pour me claquer les fesses plusieurs fois. Reprenant un peu mes esprits, il me dit où est ta chambre. Comme une automate je vais jusqu’à notre chambre. Il me suit en me touchant les fesses. Une fois à la chambre, il me pousse sur le lit et vient entre mes cuisses et me prend un moment. Il me fait mettre ensuite en levrette pour me prendre à nouveau. Il tire alors mes cheveux et me met une grosse claque sur les fesses. Je relève la tête en criant, une brûlure douloureuse envahit mes fesses.
Il sort alors son sexe et me regarde dans la glace de l’armoire en face de moi. Il pose son gland sur mon anus. Je ferme les yeux me disant qu’il est trop gros pour mon petit trou. Il force le passage et je fais une grimace en fermant les yeux. Mais je les rouvre immédiatement quand je reçois une autre claque sur les fesses. Il me regarde dans les yeux tout en accentuant la pression de son sexe sur mon anus. Il pose une main sur mon épaule avec l’autre qui tire toujours mes cheveux avant de pousser un grand coup. Mon anus s’ouvre alors qui me fait crier de douleur. Il remet un coup de reins pour bien entrer au fond de mon cul. Je sens mon cul complètement rempli par sa grosse bite. Il commence un léger va-et-vient, mais la douleur est trop forte.
Voyant les larmes couler sur mes joues, il sort sa bite et la remet directement dans ma chatte pour me baiser lentement avant d’accélérer. Je me mets à jouir de nouveau après un long moment de va-et-vient, tantôt lent, tantôt rapide. Il se plante au fond de moi et je sens son sexe grossir et vibrer en moi. Il est en train d’éjaculer dans la capote au fond de moi.
Il s’écrase sur moi laissant son sexe en moi que je sens ramollir doucement pendant qu’il m’embrasse dans le cou et sur la bouche. Il sort de moi en basculant sur le côté. Je sens un vide dans ma chatte. J’ai l’impression qu’elle est grande ouverte.
Il me dit d’aller chercher mon téléphone. Je me lève non sans mal et je vais le chercher. Lorsque je reviens, il est toujours allongé sur le lit et je me mets à côté de lui. Il enlève alors la capote plutôt très bien remplie. Il me la tend en me disant : tu vas la vider sur ta petite chatte pendant que je prends une photo pour ton homme.
Je prends la capote en écartant mes jambes. Il se met face à moi avec mon téléphone et pendant que je la vide, il a un sourire. Je sens couler sur ma chatte et jusqu’à mes fesses un liquide gluant et tiède. Il y a une sacrée quantité de jus. Il prend la photo et repose mon portable avant de m’embrasser sur la bouche.
Il se lève. Puis, en se rhabillant, il me dit : reste comme ça. Une fois habillé, il me fait lever pour retourner dans le salon. Je sens sa semence couler sur mes cuisses et mes jambes. Il me demande de l’accompagner jusqu’à sa voiture complètement nue. Il me tient la main jusqu’à ce qu’il monte en voiture. Je retraverse la rue, la peur au ventre d’être vue ainsi par les voisins, à moitié nue, souillée du jus de mon amant.
Je rentre et j’envoie la photo à mon homme sur demande de mon Maître. »Je sors alors de la douche avec toutes ces images encore en tête et me couche ensuite. Je suis morte et ne tarde pas à m’endormir.
Maintenant que son mari a été mis au parfum de ses aventures extra-conjugales, la soumise est prête à satisfaire toutes les demandes de son Maître écrivain pour la semaine à venir.
Les personnages et les situations de ce récit sont totalement réels et le reflet exact des événements vécus par l’héroïne, même s’il semble parfois que la réalité dépasse la fiction !
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