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Déchéance d'une épouse dévouée

Chapitre 5

Où je joue de mes charmes, pour une double séduction

Avec plusieurs hommes
J’ai commencé dans un premier chapitre à vous raconter comment moi, Vanessa, épouse fidèle jusque-là, mère d’un adorable fiston de 3 ans, j’en suis arrivée à me soumettre à l’auteur de ce récit pour qu’il puisse ensuite témoigner de ma déchéance assumée. Dans un deuxième chapitre, j’ai exposé la progression de ma soumission à mon Maître écrivain beaucoup plus en détail avec notamment le récit de mon premier passage à l’acte hors couple avec un routier sur une aire d’autoroute. Dans un troisième chapitre, j’ai indiqué comment mon homme a été informé de cette incartade, mais aussi comment j’ai fini par succomber aux avances de son patron avec l’aide de mon Maître. Dans un quatrième chapitre, mon homme a découvert ma liaison avec son patron; et ma punition de lui avoir menti a été de lui montrer, in situ, mon côté obscur jusque-là, de reine des salopes que je suis devenue en obéissant à mon Maître.
Mon Maître a exigé que je lui décrive dans les moindres détails intimes tout le ressenti de mon avilissement progressif d’épouse dévouée, jusqu’à la réalisation, un jour, peut-être, de mon fantasme de devenir le jouet sexuel d’un homme mature, vicieux et pervers. Il a souhaité pouvoir intervenir lui-même dans mon récit chaque fois qu’il est concerné.
Dans ce cinquième chapitre, mon Maître me fait connaître les plaisirs de la double pénétration après avoir séduit mes partenaires d’un soir.
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Je suis une femme épanouie de 34 ans, mariée depuis 12 ans à mon homme, Éric, qui, malheureusement, n’a d’autres choix que de me laisser seule élever notre fils en son absence durant chaque semaine en raison de son travail pour me retrouver chaque week-end seulement et y accomplir ses devoirs conjugaux.
Côté sexe, très classique, jusqu’à ma libération récente à l’initiative de mon Maître, je n’avais jusque-là jamais dévoilé entièrement mon corps nu à d’autres que mon mari. J’aime pratiquer la fellation depuis longtemps moins que la sodomie que je n’autorise que rarement à mon homme.
Tout a commencé, il y a deux mois, début septembre, quand j’ai reçu une réponse à l’un de mes ‘posts’ sur les forums d’un site de récits érotiques d’un des auteurs, ‘JP’. Il m’a proposé de dialoguer un soir prochain pour faire plus ample connaissance et savoir ce que je cherchais réellement.
Ce n’est que trois semaines après que j’ai relevé un premier défi de mon maître d’exhiber ma chatte nue sous ma jupe dans un restaurant avant, deux jours plus tard, de le faire cette fois, seins et minou à l’air libre dans un sex-shop où le vendeur est même venu m’aider à enfiler le ‘rosebud’ que je venais d’acheter sous les yeux de clients ébahis.
Mon troisième défi fut d’exaucer le souhait majeur de mon homme de coucher avec un autre mec sur une aire d’autoroute avant le quatrième défi trois jours plus tard, d’inviter son patron chez nous et de l’aguicher jusqu’à ce qu’il me prenne sur notre lit pendant que mon homme dialogue avec mon Maître pour savoir avec qui je découche cette deuxième fois en une semaine depuis notre mariage.
Pour avoir menti à mon homme sur l’identité de ce dernier amant, mon maître m’a puni en m’obligeant à sucer un routier sur un parking en présence de mon homme avant que je n’aguiche au restaurant un client attablé avec sa femme en face de nous, l’invitant ensuite à venir me baiser aux toilettes pour finalement ramener sa capote pleine et la vider sur mon dessert que mon homme m’a forcé de manger entièrement.
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En versant la capote sur mon dessert devant mon homme et mon baiseur qui en souriait, j’étais rouge de honte, me demandant ce qu’Éric allait désormais penser de sa salope de femme, même si c’est lui en connivence avec mon Maître (je suis sûre) qui m’a poussée à me faire prendre par cet inconnu !
Mais finalement, je suis très contente, une fois de plus, d’avoir pu jouer mon propre rôle dans ce quatrième récit avant même qu’il soit écrit. Mon aventure continue en découvrant toujours de nouvelles facettes de mon côté obscur qui m’ouvre des horizons insoupçonnés et une jouissance sans cesse renouvelée !
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Mon homme est reparti de bonne heure, hier matin; je suis déjà excitée à l’idée que ‘JP’ va profiter que mon fils soit chez les grands-parents comme chaque mardi soir pour me donner un défi afin de me faire découvrir de nouvelles sensations. Je sais qu’ils en ont discuté avec mon homme hier soir en me soumettant plusieurs propositions sachant que je ne veux pas faire trop de kilomètres de nuit pour aller dans une ville où je n’ai jamais mis les pieds !

Ils ont convenu finalement que j’irai dans la zone commerciale du Buffalo Grill où nous avons dîné avec mon homme samedi passé, mais cette fois, au Campanile voisin, avec pour défi :
Séduire pendant le dîner deux (ou trois) hommes à la même table, après m’être assurée qu’ils dorment bien dans cet hôtel. Puis les laisser faire ce qu’ils veulent de mon corps, une fois dans leur chambre, si possible tous les trois (ou quatre) ensemble .
C’est finalement en fin d’après-midi, ce mardi 15 octobre, que ‘JP’ me précise ce qu’il attend de moi :
— Ce soir après ta douche et avant de partir, tu me diras en détail comment tu es habillée stp ! Tu me diras dès que tu seras au restaurant, si tu trouves une "paire" de chaussures à ton pied, comme on dit ! LOL. Puis tu me transmettras un court texte pour dire que tu as réussi à te faire inviter dans la chambre. Bien sûr, tu peux me contacter à tout moment en cas de problème pour que je puisse réorienter éventuellement ton défi.— Tu peux commencer d’humidifier ton vagin par quelques attouchements pendant le boulot, je te fais confiance. Il est important que tu sois suffisamment excitée pour avoir envie de baiser ce soir, n’est-ce pas ?— Oui, je caresse ma fente pour y glisser deux doigts à l’intérieur. J’aime les sentir frotter mon bijou intime à travers la paroi fine qui sépare ma chatte de mon cul ouvert par le ‘rosebud’ !— Cette paroi fine devrait être de nouveau mise à contribution ce soir pour ta plus grande jouissance, j’espère. Jouis, jouis encore, ma petite Vanessa adorée, et ce, dès cet après-midi.— J’essaierai de vous tenir au courant de ma soirée.
Il n’y a presque plus personne au boulot. J’ai retiré mon gilet et je laisse ma main entre mes cuisses. Je suis toute mouillée.
— Ouvre ton chemisier pour te caresser les tétons Vanessa et continue de t’exciter; ce soir, tu seras comblée, tu verras !— Il y a encore un peu de monde. C’est un peu risqué que je fasse ça ! — OK, attends, pas de problème; maintiens bien ton excitation...— Puis, il faut que j’amène du courrier à mon supérieur. — J’espère que ce n’est pas celui qui te mate tout le temps ?— Si, c’est lui. Mais comment vous savez ça ? — C’est ton homme qui me l’a dit que tu n’aimais pas ton chef du personnel pour ça !— Je pars du travail. A toute. — Je suis arrivée chez moi, je vais me doucher. — Tu t’habilles comment finalement ? N’oublie pas ton bijou intime rouge ?— Talons; jupe à mi-cuisses; bas sans porte-jarretelles, pull moulant. — OK, tu dois être très belle et désirable, j’imagine. Tu devrais rapidement trouver des admirateurs. Tu peux aller jusqu’à trois, s’il n’y a pas de tables de deux clients !
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Comme je lui ai promis, j’informe par SMS Éric, le mari de Vanessa, au fur et mesure du déroulement de la soirée. Il ponctue chacune de mes interventions par des « Parfait. Tu me diras quand tu auras d’autres nouvelles. » ou des « Quelle salope, elle devient, j’adore ! » ou encore des « Dac. J’espère qu’elle va prendre son pied, ma petite salope de femme ! » voire des « C’est cool ça. Je vais bander rien que de penser à elle » :
19 :20 : Voilà, je pars de chez moi. — OK. Sur le chemin, ne prends pas l’habitude d’allumer les routiers pour qu’ils te klaxonnent et allument eux leurs phares ! Lol.— Rappelle-moi une fois au restaurant. N’oublie pas de demander si tous les clients attablés logent bien à l’hôtel !20 :00 : Voilà, j’y suis. Il y a du monde au restaurant du Campanile. — Tu as repéré des amants appétissants ? Tu as carte blanche pour te faire draguer comme tu veux bien sûr !— Oui, deux hommes au bar un peu plus loin de moi, dont un m’a déjà souri. — Tu fais pour le mieux et choisis bien ceux qui te feront monter dans leur chambre avant le 7e ciel !— Tu me rappelles uniquement quand tu auras été approchée et invitée peut-être à leur table ?— Voilà, ils se sont joints à moi au bar. On discute. Ils dorment bien à l’hôtel. — Super. Tu penses qu’ils seront tous les deux ensemble pour s’occuper de toi dans une seule chambre ? Ils sont mignons, j’espère ? Surtout avec une belle queue endurante !— Tu me rappelles avant de les rejoindre dans la chambre. Fais-toi bien draguer en attendant et continue de mouiller !— Voilà, on va manger ensemble à la même table. — Bon appétit. Ce sera après le café que les choses sérieuses se préciseront. A+— S’il y a des mains baladeuses sous la table, tu laisses faire bien sûr !— Je te rappelle que ton défi est de t’arranger pour qu’ils acceptent de te prendre à deux dans la même chambre !21 :45 : Je suis aux toilettes. Ils avaient chacun une de leur main sur mes cuisses pour me les écarter et ils m’ont longuement caressé ma chatte trempée.
Ils doivent parler de moi comme ils ne sont que tous les deux. J’irai aux toilettes si on monte dans une chambre pour vous dire, quoi. Voilà, on arrive au dessert. Les cafés sont commandés.
— Le dessert est normal cette fois, sans crème ajoutée, tu devrais l’apprécier ? Lol.22 :30 : On monte dans une seule chambre tous les 3. — OK, parfait. Tu me feras un petit point à la mi-temps quand tu seras aux toilettes dans la chambre.— Oui, si je peux. — Ils n’ont pas arrêté de me toucher la chatte. Il y a même quelques clients qui les ont vus faire. Voilà, j’y vais. — Oui, super; et d’exhiber ta chatte aux clients t’a fait mouiller encore plus !
Ce n’est que deux heures plus tard que Vanessa m’envoie le message de fin des festivités :
00 :30 : Je repars de l’hôtel. Ils m’ont bien baisée et ont vidé leurs couilles plusieurs fois. — Super; dans tous tes orifices ? A deux en même temps ?— Oui, nous étions 3 dans la même chambre et ils ont bien utilisé mes 3 trous de salope en me prenant en même temps tous les deux. — Ils m’ont aussi fait une double éjaculation faciale. Je rentre. Bonne nuit. — Bon retour et bonne nuit. Tu es super, Vanessa. Heureux que tu te sois éclatée avec eux !— J’espère que tu as pu goûter pour la première fois à la double pénétration ?— Oui, un dans ma chatte, et l’autre dans mon cul. Ils ont changé régulièrement de trou. — Super. J’espère que tu as aimé te faire remplir de la sorte ?— Oui, j’ai beaucoup aimé. Je coupe, je pars là ! — Bonne route et bonne nuit. Dur le réveil demain. Pas besoin de remettre le ‘rosebud’ pour demain. Il faut soulager ta rondelle !
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Une fois à la maison malgré l’heure tardive, je décide d’aller prendre un bain pour me détendre. Mon esprit ne peut s’empêcher de revivre cette soirée forte en émotion qui m’a procuré de multiples orgasmes parfois d’affilée :
Je me revois arriver au restaurant et me diriger vers le bar pour commander un jus d’orange. Il n’y a pas grand monde dans ce petit bar. Je remarque deux hommes un peu plus loin; l’un, dos à moi, et l’autre qui me fait face et sourit en me voyant. Il me fait un signe de tête. Je lui rends son sourire et lui mime un bonjour avec la bouche. Ils boivent l’apéritif. Son collègue se retourne, et me sourit à son tour en me détaillant de la tête aux pieds. Je finis juste mon jus d’orange quand le barman m’en sert un autre en me disant qu’il est offert par les deux messieurs accoudés au bar. Je leur souris à nouveau et leur dis merci.
Ils se rapprochent de moi toujours avec le sourire et me disent que c’est avec plaisir qu’ils me l’offrent. On commence à discuter d’un peu de tout. J’apprends que ce sont deux commerciaux qui prospectent dans les environs pour la semaine et qu’ils dorment à l’hôtel. Ils sont plutôt mignons. Ils se présentent : Marc, le plus âgé, a environ 45 ans; et l’autre, Benoît, plus timide, la trentaine environ.
Marc baisse souvent les yeux vers mes cuisses qui sont légèrement ouvertes, mais sans trop en montrer même étant assise face à lui, sur un tabouret du bar. Nous trinquons ensemble. Marc me demande si je suis mariée en regardant mon alliance tout en me faisant un sourire charmeur. Je lui réponds que oui; mais que mon mari est très souvent en déplacement pour son travail, et que je me suis arrêtée là pour dîner avant de rentrer chez moi. Ils me proposent alors de manger à leur table, ce que j’accepte volontiers.
Le plus jeune, Benoit, ne parle pas beaucoup. Je le sens plutôt intimidé et je trouve cela très mignon. Pendant qu’il part aux toilettes, le plus âgé, Marc, s’approche de moi afin de pouvoir poser sa main sur ma cuisse tout en me demandant si les semaines ne sont pas trop longues. Sans le repousser, je lui réponds que si; mais que je m’y suis habituée. Il remonte alors sa main légèrement sous ma jupe et sent la lisière de mes bas, ce qui le fait sourire. Je le laisse faire et ressens aussitôt une chaleur envahir mon ventre avant de descendre dans mon vagin que je sais déjà humide.
Benoit revient; et en s’approchant, remarque la main de son collègue sous ma jupe. Il dit alors : « Eh bien, on ne s’ennuie pas en mon absence.» Marc lui répond qu’il faut me faire passer mon ennui et briser un peu ma solitude du moment. Je me sens rougir, ce qui les fait rire. Nous finissons nos verres avant de nous diriger vers une table. Très galant, Marc tire ma chaise pour que je m’assoie. Je sens alors mon ‘rosebud’ bouger dans mon cul.
Je pense alors à mon homme qui veut depuis si longtemps que je couche avec un autre homme. Et là, tout se bouscule dans ma tête. En un instant, je me sens redevenir la salope nympho que j’étais, plus jeune, à l’adolescence, lorsque je me faisais jouir en solitaire dans mon lit tous les soirs, ou en fin de journée, quand je vivais encore chez mes parents.
Je sursaute et sors de mes pensées quand je sens une main sur ma cuisse. Je tourne la tête vers son propriétaire, Marc, bien sûr, l’homme le plus entreprenant des deux. Je sens sa main remonter sur ma cuisse. J’écarte légèrement mes genoux pour lui faciliter la tâche. Et là, sa main remonte carrément jusqu’à ma vulve. Je vois dans ses yeux qu’il est surpris de ne pas trouver de culotte. Il passe alors un doigt entre mes lèvres que je sens glisser facilement en moi, tout en continuant de discuter avec Benoît. Il retire sa main discrètement et amène son doigt à sa bouche et le suce. Je suis gênée et vois le sourire de son collègue. On se lève tous les trois pour aller chercher les entrées. Je me sers et reviens la première à table. Je les vois discuter en regardant régulièrement dans ma direction.
Je me replonge dans mes pensées pour me voir en double pénétration avec mon homme et mes sex-toys. D’imaginer que les propriétaires de deux vraies bites sont en train de comploter pour savoir comment me sauter me fait soudain flipper. J’ai envie de fuir, quitter le restaurant, et rentrer vite chez moi. Mais mon corps et mes désirs profonds en décident une fois de plus autrement, d’autant que mon maître écrivain attend mon compte rendu des évènements au fur et à mesure du déroulement de la soirée.
Ils reviennent s’asseoir. On recommence juste à discuter en mangeant, que je sens déjà la même main se poser à nouveau sur ma cuisse. Je regarde Marc. Il tourne alors sa tête vers son collègue : un « Vas-y » sort de sa bouche. Je regarde à mon tour Benoît, si timide, qu’il en est tout rouge quand je vois qu’il passe sa main droite sous la table pour venir se poser sur mon genou. Un frisson parcourt immédiatement mon corps de ma fente jusqu’à la pointe de mes seins déjà dure et dressée.
Je pose une main sur la sienne sous la table, alors que Marc est déjà à l’entrée de ma chatte trempée qu’il agace avec ses doigts. Benoît remonte timidement sa main alors que j’ai toujours la mienne dessus. Je ferme les yeux un instant avant de saisir son poignet et remonter sa main vers l’endroit qu’il cherche. Au moment où il y arrive, il sent la main de son collègue. Il tente de se retirer, mais je crispe mes doigts pour bloquer son poignet en rouvrant les yeux pour le regarder. Je remonte doucement sa main pour la remettre en place.
Marc, de son côté, a redescendu légèrement la sienne. Je sens alors des doigts timides frôler mes lèvres. J’avance ma chaise pour placer mon bassin plus près sous la table, sans lâcher son poignet qui se colle enfin à ma chatte. Je lâche alors sa main qu’il maintient cette fois pour commencer de jouer avec mes lèvres et mon bouton.
Ce qui me donne le plus envie de poursuivre cette soirée, c’est lorsque je sens la main de Marc remonter pour se mêler à celle de Benoît. Je découvre alors qu’un homme seul à sa table nous regarde sans doute depuis un moment. Nos regards se croisent. Je lui souris, mais prise de remords d’être aussi salope en plein restaurant, je serre machinalement les cuisses. Les deux mains sortent de sous la table immédiatement. Marc pose sa main sur la mienne et je vois que ses doigts sont couverts de ma mouille. Il prend alors une feuille de salade avec cette main pour l’amener à sa bouche en suçant ensuite un à un ses doigts.
Je rabaisse ma jupe légèrement, quand je sens les deux mains venir se replacer sur mes cuisses pour les écarter très largement, chacun, en tirant de son côté, la cuisse la plus proche. Ma chatte s’entrouvre pendant qu’ils me maintiennent un moment les cuisses bien ouvertes. Ils remontent ensuite leurs mains avant de glisser leurs doigts dans ma fente. Deux, puis quatre doigts envahissent bientôt ma chatte. Ils commencent un léger va-et-vient. Marc se met à accélérer le mouvement.
Plus un bruit à table, mes yeux se ferment; je me mords les lèvres pour ne pas gémir. Mon bassin se met à bouger légèrement vers l’avant quand je sens des doigts venir toucher mon ‘rosebud’ pour exciter mon cul. On entend nettement les clapotis de ma mouille. Je serre d’un coup mes cuisses pour ne pas jouir là, en plein milieu du restaurant.
Je recule d’un coup ma chaise et me lève pour aller aux toilettes. J’ai faim de sexe et pas du tout faim d’autre chose. Je reste un moment dans les toilettes. J’en profite pour envoyer quelques messages à mon maître écrivain qui me pousse à franchir toutes ces étapes tout en me demandant de décrire mes sensations. Je me remémore alors ces soirées, seule dans mon lit, à jouer avec mes sex-toys en lisant des récits érotiques. Ce qui m’excitait beaucoup c’était de m’imaginer à la place de ces femmes, plus coquines les unes que les autres. Alors que là, c’est bien moi la salope qui devient une vraie nymphomane et qui va exciter à mon tour les femmes qui vont lire mon récit.
Je lui raconte donc vaguement ce qui s’est passé jusque-là avant de retourner à table. En arrivant, je vois Marc poser un mot sur le bord de la table. Je m’assois et prends connaissance du texte : « Si tu veux venir boire un dernier verre dans notre chambre, remonte ta jupe pour que l’on voie ton joli minou. »
Je les regarde tout en remontant ma jupe. Ils me sourient tous les deux en se demandant sans doute, comment une mère de famille peut se conduire ainsi. Mais prise dans l’euphorie du moment, je laisse mes deux acolytes encore inconnus deux heures auparavant découvrir ma chatte et mon ticket de métro. Marc dit alors à son collègue : « On aura deux desserts comme ça ».
Nous en rions tous les trois. On finit par prendre un dessert et un café bien que je n’aie plus très faim. Plusieurs clients regardent souvent dans notre direction chaque fois que des mains passent entre mes cuisses pour venir agacer mon bouton ou se glisser dans ma petite fente pour ne pas laisser retomber mon excitation.
Ils m’ont offert le repas et nous sommes sortis du restaurant pour aller directement vers les chambres. Une fois dehors, Benoît s’est mis à discuter en marchant à mes côtés tandis que Marc plus vicieux se tient derrière moi. Une fois éloigné du restaurant, je sens ses mains sur mes hanches qui remontent doucement ma jupe. Mon cœur se met à battre très fort lorsqu’il la passe au-dessus de mes fesses. Il me donne le numéro de la chambre où je dois les rejoindre. Ils me laissent devant pour pouvoir mater mon cul nu. Marc dit alors à son collègue en me suivant dans les escaliers : « Regarde la cochonne; elle a même préparé son petit trou. Elle n’est pas venue ici par hasard. »
Ils ont dû apercevoir la pierre rouge qui orne mes fesses ayant laissé ma jupe suffisamment remontée pour qu’ils le remarquent. Une fois devant la porte, Marc l’ouvre et me laisse galamment entrer la première avant de poser ses mains sur mes hanches et m’embrasser dans le cou. Une fois tous les trois entrés, il me pousse contre Benoît. Pour ne pas tomber, je pose instinctivement mes mains sur ses épaules et me colle à lui en posant mes lèvres sur les siennes et l’embrasse.
Marc, toujours derrière moi, remonte ses mains sous mon pull par-devant pour se saisir de mes seins libres de tout sous-vêtement. Benoît pose ses mains sur mon cul et glisse un doigt entre mes fesses pour appuyer un peu sur mon ‘rosebud’ et jouer avec. Ils me déshabillent lentement en me faisant retourner face à l’un ou à l’autre et m’embrasser alors chacun leur tour, tout en me caressant.
Marc m’allonge sur le lit quand je suis à moitié nue avec seulement mes bas et mes talons. Il écarte mes cuisses en posant mes pieds sur le bord du lit et se met à genoux pour venir lécher ma vulve. Benoît s’allonge à côté de moi pour venir m’embrasser en caressant ma poitrine.
Le silence est tel que je perçois le bruit d’une fermeture éclair s’ouvrir, et la boucle d’un ceinturon se défaire. Je descends ma main sur l’entrejambe de mon petit timide. Je sens sa bosse sous mes doigts que je masse. Pendant ce temps, Marc me fait fondre sous sa bouche que j’entends aspirer mon clito ou mes lèvres. Je serre ma main sur le sexe de Benoît que je commence à masturber à travers son pantalon. Il ne lâche pas ma bouche. Nos langues mélangent nos salives.
Je sens mon plaisir monter. Je passe alors ma deuxième main dans les cheveux de ce vicieux de Marc qui me donne tant de plaisir avec sa bouche et sa langue sur ma fente. Je bouge mon bassin au rythme de ses coups de langue. Je me crispe soudain en gémissant et me mets à jouir, prise de tremblements.
Il se relève d’entre mes cuisses et vient m’embrasser, Benoît, lui ayant laissé la place pour aller se déshabiller. Marc me fait goûter mon propre jus de mouille. Je l’embrasse goulûment en attrapant son sexe d’une main que je sens de bonne taille. Je commence à le masturber en me relevant pour me mettre ensuite à genoux sur le lit et descendre mon visage sur son sexe. Je pose mes lèvres dessus et commence à lui lécher le gland. Il passe sa main entre mes cuisses et vient investir ma fente.
Benoît, un peu plus loin, est nu à présent. Je vois son beau sexe bien épais et long. Il est bien raide, aussi je lui fais signe d’approcher de la main. J’attrape son sexe d’une main en suçant toujours son collègue qui me fait passer une jambe de l’autre côté de sa tête afin d’avoir accès à mon petit bouton pour l’agacer avec sa langue. Je sors alors son sexe de ma bouche et attire celui de Benoît jusqu’à mes lèvres pour commencer de le sucer à son tour.
Benoit passe ensuite ses mains entre moi et son collègue pour venir caresser mes seins. J’essaie de rapprocher les deux sexes bien durs afin de pouvoir passer de l’un de l’autre. Je m’active de plus en plus avec ma langue d’une queue à l’autre, quand je sens Marc commencer à jouer avec mon ‘rosebud’ tirant doucement dessus. Je sens mon cul s’ouvrir pour le laisser sortir avant qu’il ne le repousse à l’intérieur. Il joue un moment comme cela jusqu’à ce qu’il le sorte entièrement de mon cul et le rentre plusieurs fois d’affilée.
Je lèche les deux glands en même temps et les rapproche encore pour pouvoir prendre leurs deux bites ensemble dans ma bouche. Je la sens se déformer un peu, et arrive finalement non sans mal à les placer dans ma bouche pour faire quelques va-et-vient en jouant avec ma langue d’un sexe à l’autre en même temps. Marc me repousse gentiment sur le côté et je laisse son sexe sortir de ma bouche.
Il se lève et va chercher des préservatifs dans son sac. Je continue pendant ce temps de sucer Benoît. Marc revient et se place derrière moi après avoir enfilé un préservatif sur son sexe. Il frotte son gland entre mes lèvres intimes avant de le glisser lentement dedans. Il pose ses mains sur mes hanches et commence à me prendre de plus en plus fort et vite jusqu’à ce que je me crispe en sentant son sexe durcir dans ma chatte, et vibrer dans un cri rauque m’indiquant qu’il se vide en moi. Je gémis au bord de la jouissance en même temps que lui.
Ayant pendant ce temps délaissé le sexe de Benoit, celui-ci est allé à son tour enfiler un préservatif. Au moment où Marc sort de mon antre, Benoit vient s’allonger à côté de lui. Je me redresse et enjambe Benoit pour venir m’empaler directement sur sa bite. Sans l’avoir sucé ni branlé avant, je me place au-dessus de lui et passe ma main entre nos deux corps pour prendre son sexe dans ma main et le glisser dans ma chatte.
Je le chevauche en me redressant pour poser une main sur sa cuisse et l’autre sur son torse. Je monte et descends sur sa bite bien raide. Marc a disparu depuis un moment. Lorsqu’il sort, un long moment après, de la salle de bains, je suis en train de jouir une nouvelle fois après ma chevauchée et je m’écroule sur Benoit qui continue ses va-et-vient en moi pendant que je gémis en jouissant de plus en plus.
Je sens une main sur mes fesses qui libère mon cul du ‘rosebud’ pour le remplacer par des doigts qui l’explore. Je me remets à peine de ma jouissance que je sens une main attraper mes cheveux pour me relever la tête et me retrouver avec un sexe à moitié mou devant la bouche. Je l’ouvre aussitôt pour qu’il puisse l’introduire pendant qu’il me titille les tétons.
C’est au tour de Benoit de poser ses mains sur mes fesses et venir glisser ses doigts dans mon cul, pendant que la bite de son collègue reprend vigueur. Cela m’excite énormément de sentir un sexe durcir dans ma bouche et m’a toujours fait beaucoup d’effets. Marc lâche mes seins pour venir poser ses mains sur ma tête et imprimer lui-même le rythme des va-et-vient, en forçant parfois pour me glisser sa bite au fond de la gorge.
Je me suis mise à tousser plusieurs fois en sentant de plus en plus de salive s’accumuler dans ma bouche. Ainsi, à chaque fois qu’il se retire, des filets de bave pendent sur sa queue avant qu’il ne me la replonge au fond de la gorge, jusqu’à ce que je m’étouffe avec et que j’essaie de le repousser en posant mes mains sur ses cuisses. Mais il a vraiment trop de force pour moi. Il finit quand même par sortir un bon moment après. Je reprends enfin ma respiration après avoir toussé et expulsé toute la salive de ma bouche.
Il arrive alors derrière moi avec sur sa bite une nouvelle capote. Il se met à agacer mon petit trou avec son gland. Je veux le repousser d’une main alors que je suis toujours empalée sur l’autre bite. Je me demande comment il fait pour ne pas débander et éjaculer depuis tout ce temps. Il m’attrape ensuite un bras, puis l’autre, alors que je suis penchée, pour me bloquer les mains dans le dos.
Comme je suis toujours sur Benoit avec sa bite dans la chatte, celui-ci en profite pour venir titiller mes tétons avec sa bouche et sa langue, en me les léchant et suçant, passant de l’un à l’autre.Marc me croise alors les mains dans le dos et me les bloque d’une main pour prendre sa bite de l’autre et la poser sur ma rondelle avant de forcer doucement le passage, pendant que Benoit me tient par les épaules tout en me tétant les seins. Je sens bientôt son gland glisser doucement dans mon cul. Benoit reste enfoncé en moi sans bouger pendant que son collègue s’enfonce toujours lentement, mais sûrement dans mon cul.
Comme sa bite est plus large que mon ‘rosebud’, une douleur se fait sentir dans mon cul. Mais il s’y prend avec douceur jusqu’à ce que je sente son sexe entier dans mon cul. Il reste comme cela un moment sans bouger. C’est Benoit qui commence à ce moment-là un léger va-et-vient dans ma chatte. De sentir frotter ces deux bites dans ma chatte et mon cul m’électrise, et je commence à bouger moi-même mon bassin d’avant en arrière. Marc libère alors mes bras que je pose de chaque côté de Benoit qui continue de s’occuper de mes tétons, me les mordant parfois ou en tirant dessus.
Ils commencent alors à s’activer tous les deux en même temps. Je ne bouge plus. Ils y vont doucement d’abord, le temps qu’ils trouvent le même rythme. C’est Marc qui rate le plus souvent en sortant sa bite de mon cul pour la remettre aussitôt jusqu’à ce qu’ils arrivent finalement à se synchroniser.
Ils peuvent alors accélérer tout en se parlant pour dire que je suis bien remplie. Je bouge légèrement en gémissant de plus en plus fort tant j’adore être prise ainsi par les deux trous en même temps !
Je dois gémir vraiment fort, car Marc pose une main sur ma bouche pour me faire taire avant de me pousser un grand coup pour que je me retrouve la tête dans l’oreiller et étouffer ainsi mes cris de jouissance.
Ils me démontent ainsi un bon moment où je jouis deux fois, presque, d’affilée, avant que je reprenne un peu mes esprits, et soulèvent un peu ma tête de l’oreiller, afin de répondre à Marc qui me demande s’il peut jouir sur mon visage. Je lui réponds oui sans même m’en rendre compte. Ils me libèrent aussitôt le cul et la chatte pour se mettre debout. Je suis toujours à genoux sur le lit quand ils se présentent sans leur capote face à mon visage. Marc me prend une main pour la poser sur ses couilles que je commence à masser avant de faire pareil avec celles de Benoit pendant qu’ils viennent se branler chacun leur tour un peu dans ma bouche pour l’un ou mettre ses couilles sur mes lèvres pour l’autre jusqu’à ce que Marc attrape mes cheveux et se vide sur mon visage, mon front, mes lèvres, mon menton, mes joues tous bientôt couverts de son sperme. Je continue toujours de masser les couilles de Benoit qui sont vraiment grosses quand il éjacule à son tour sur mon visage.
Je suis inondée de son jus. J’ai l’impression qu’il ne s’arrêtera jamais tant j’en reçois dans les yeux et même la bouche lorsque je l’ouvre légèrement pour respirer. Il profite de l’ouverture pour glisser son gland à l’intérieur et y lâcher deux, trois grosses giclées pour se finir sur mon visage. Je me suis mise à essuyer d’abord mes yeux, et là, en les rouvrant, je découvre Marc avec son téléphone en train de me filmer. Je me mets alors un peu en colère. Il me promet que c’est juste pour lui.
Je vais ensuite me nettoyer dans la salle de bains. Lorsque je sors, il est assis sur le bord du lit à regarder la vidéo. Ils me servent un verre à boire, et Marc pose son téléphone devant moi en mode vidéo où je peux voir l’éjaculation faciale de son collègue et découvrir que ce n’est pas lui qui glisse son sexe dans ma bouche, mais bien moi qui est venue gober son gland pour avaler son sperme.
J’ai honte d’avoir été aussi salope et sans m’en rendre compte, j’ai bu mon verre avant de me rhabiller pour partir. Marc me brandit alors mon ‘rosebud’ en me demandant si je n’oublie rien. Je m’approche pour le prendre. Il le cache dans son dos en me disant : "tu repars avec comme tu es venue. Penche-toi sur la table en relevant ta jupe cochonne". Je me tourne sans aucune gêne ni humiliation, de me retrouver dans cette situation; vu tout ce qui s’est passé avant, je ne vais pas jouer la femme farouche.
Je me penche sur la table en écartant mes cuisses et relevant moi-même ma jupe sur mes hanches. Marc me demande d’écarter mon cul. Je pose chacune de mes mains sur mes fesses sous les yeux de Benoit assis sur le lit. Je les écarte, mais il me laisse un petit moment comme cela avant de s’approcher avec mon ‘rosebud’. Il crache sur mon cul plusieurs fois avant d’enfoncer doucement le bijou intime le tournant et le ressortant pour faire durer leur plaisir de mater mon cul de salope avant de finir par l’enfoncer bien à fond dans mon cul.
Quand je me relève pour leur faire la bise, ils tournent légèrement la tête pour un bouche-à-bouche chacun leur tour, tout en relevant à chaque fois ma jupe pour que l’autre se rince l’œil. Je les quitte ensuite et ils me surveillent par la fenêtre jusqu’à ce que j’arrive à ma voiture. Je leur fais un dernier signe, en me tournant, dos à eux, pour leur montrer une dernière fois mon cul en relevant ma jupe tout le trajet jusqu’à ce que je monte en voiture et je rentre chez moi. »
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Ce n’est que le lendemain matin que j’ai un compte rendu un peu plus intime de son ressenti lors des deux heures de baise en duo de la veille :
— Bonjour, Vanessa, comment te sens-tu ce matin ? Pas trop les petits yeux (en trou de pine, comme on dit vulgairement) ? Prends-tu plus de plaisir désormais à baiser hors de ton couple sans culpabilité aucune, aujourd’hui, puisque ton homme bande, de te savoir avec des mecs ?
Peux-tu m’en dire un peu plus sur tout ce que tu as aimé qu’ils te fassent à deux pendant 2 heures hier soir ?
— Bonjour; non, ça va. Je ne suis pas trop fatiguée finalement. Oui, j’ai pris beaucoup de plaisir, même si je pense souvent à mon homme pendant l’acte. Je ne suis pas trop fière de l’avoir trompé. J’ai pas mal de travail. Je vous en dirai plus pendant ma pause déjeuner.— Tu es toujours en jupe comme toute cette semaine ?— Non, j’ai un pantalon; pourquoi ?— C’est ton homme qui voulait savoir pour le pantalon ! OK. Je te laisse bosser. A toute.— Voilà, j’ai un peu plus de temps, là maintenant. Ben, j’ai bien aimé quand ils m’ont caressé la poitrine, m’ont sucé, et titillé la pointe des tétons et qu’ils m’ont léché la chatte en s’attardant sur mon clitoris. Et surtout quand l’un m’a prise en levrette pendant que je suçais l’autre. Et enfin quand je me suis mise à califourchon sur un avec sa bite dans ma chatte et que l’autre m’a prise par le cul !— Ils ne t’ont jamais bousculé un peu, pincé les tétons, fessé ton cul ou tes seins, tiré les cheveux ?— Non, jamais. Il y en a juste un qui a relevé ma jupe, laissant mes fesses découvertes, tout le trajet, lorsqu’on est allé dans sa chambre !— C’étaient tes premières éjaculations faciales ? Ils t’ont fait tirer la langue ?— Non, juste sur le visage et leurs deux spermes mélangés se sont mis à couler ensuite sur mes seins.— Tu aimes le sperme en bouche et en particulier celui de ton homme ?— Oui, et celui de mon homme, j’aime l’avaler. Bon; là je dois reprendre le boulot, je vous laisse.
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Beaucoup de lecteurs doivent penser que je suis une salope et que je ne mérite pas mon homme. Peut-être que vous avez raison, mais je commence à aimer mon statut de salope et femme facile et je ne pense pas m’arrêter là dans mes découvertes tant que mon homme ne me le demande pas !
Maintenant que Vanessa a joué de ses charmes pour séduire deux hommes un soir, elle va les offrir pour en accompagner un autre à la demande de son amant dominant venu chez elle il y a une semaine.
Les personnages et les situations de ce récit sont totalement réels et le reflet exact des évènements vécus par l’héroïne, même s’il semble parfois que la réalité dépasse la fiction !
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