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Déchéance d'une épouse dévouée

Chapitre 8

Double jeu, double vie (2/2) - (Détails de la soirée évoquée au chapitre 7)

Avec plusieurs hommes
Dans le chapitre 7 précédent, Vanessa l’héroïne de cette saga a utilisé le récit écrit de sa soirée de débauche du mercredi 30 octobre 2019 pour avouer à son mari ce qu’elle n’avait jusque-là jamais osé lui dire de vive voix, à savoir qu’elle était en fait la soumise cagoulée dont les sept participants, y compris son homme, avaient usé et abusé pendant plus de trois heures.
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Ce n’est que le lendemain matin 31 octobre à son retour chez elle qu’elle a recontacté son Maître écrivain :
05H10 : Bonjour je suis rentrée. Christophe vient de partir. J’ai beaucoup à vous raconter avec des sentiments mitigés entre colère, humiliation, douleur, plaisir, jouissance, car oui, j’ai joui plusieurs fois d’affilée. Bisous. Je vous fais le résumé au plus vite.
Je ne la recontacte qu’à son boulot quelques heures après une très courte nuit, vu que cette fois, elle n’a pas pris sa matinée.
08H20 : OK. Bonne journée. Ton homme t’a appelée depuis ton retour ? J’espère que ton corps n’est pas trop marqué pour ne pas donner de soupçon à Éric quand il va te retrouver ? Il revient ce soir, non ? Et toute la famille aussi sans doute ? Bon grand week-end de repos ma petite Peggy pour ton côté obscur et Vanessa pour ton côté épouse dévouée et mère attentionnée.08H35 : Re-Bonjour. Non, il ne m’a pas téléphoné. Il était certainement occupé avec Nadine. Même pas un message. Non, je n’ai pas le corps trop marqué. En revanche, j’ai mal partout, surtout à la mâchoire. Oui, mon homme rentre ce soir et la famille dans la journée. Ma journée au boulot va être dure.— Au fait, vous avez discuté avec mon homme de votre côté pendant la soirée ?— Hier soir oui. Il voulait savoir ce que tu faisais avec Philippe, j’ai suivi notre scénario. Et ce matin à 7h, il m’a juste dit que les 2 femmes avaient pris cher hier, surtout la soumise qui a avalé des litres de jus cette chienne et qu’il venait de déposer chez elle la jolie, une cochonne, qu’il allait bosser et que la journée allait être dure aussi pour lui.— La jolie, il l’appelle comme ça !— Vous allez avoir beaucoup de choses à vous raconter avec ton homme ce soir !! Je suppose qu’un jour, tu lui avoueras avoir été la fameuse soumise d’hier soir ? Tu me tiendras au courant quand tu l’auras fait et sa réaction ?— Oui, il apprendra tout quand il le lira ou que je lui lirais.
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Nos échanges n’ont pu reprendre que l’après-midi pour avoir un peu plus de détails sur sa soirée, mais également sur sa journée avec Philippe qui ne la lâche plus des yeux :
— Je suppose maintenant que ton collègue Philippe ne va plus tarder à passer à l’action pour de vrai, cette fois ?— Philippe est charmant, et il m’a même remercié pour les photos. Oui, il va me baiser, c’est sûr. Mais là, j’ai trop mal au cul et à la mâchoire !— Ton collègue cherche toujours à voir si tu n’as pas de culotte ce matin, non ?— Si, mais je porte un shorty aujourd’hui !— Tu me diras aussi comment tu veux que je rapporte cette soirée apothéose de ta métamorphose qui ne sera pas publiée avant mi ou fin décembre, cela te laisse du temps pour tes aveux ? — Tu ne comptes probablement pas lui dire avant la parution de ce récit sur le site où je vais bien sûr parler de notre combine avec ce Philippe qui te baise « fictivement » au Campanile ?
— Oui. Au moins, il saura tout comme ça et ce qui risque encore d’arriver !— Toi qui si j’ai bien compris n’avais jusque-là qu’avalé le jus de ton homme, tu t’es rattrapée ces derniers temps !! J’espère que tu avais eu le temps de grignoter quelque chose avant et que ce n’est pas à jeun que tu as rempli ton estomac de foutre ? Lol.— Oui là, j’ai été servi en sperme, mais on avait mangé un morceau chez Nadine.— Après ton expérience mouvementée d’hier soir où tu as alterné colère, humiliation, douleur, plaisir et jouissance à répétition, tu te sens prête à récidiver, c’est ça ?— Oui, prête à recommencer et c’est prévu avec Christophe.— J’espère que ton homme va te décrire dans le détail sa soirée d’hier : ... pour te mettre en garde sans doute sur l’avilissement que Christophe est capable de faire subir à une femme ! ... et pour toi surtout de savoir qui et comment ils ont sans doute tous utilisé tous tes orifices et sa réaction bien sûr quand tu as été fouettée ou autre.— Il m’a téléphoné tout à l’heure. Il m’a juste dit qu’il avait passé une sacrée soirée et qu’il était passé à l’acte et qu’il m’aimait. Qu’il avait hâte d’être à ce soir !— Tu me feras ensuite un résumé pour que je restitue au mieux cette super soirée avec ton ressenti à chaque événement particulier te concernant ?— Oui, je pense qu’ils me sont tous passés dessus. Ils se sont tous vidés en moi dans mon cul et surtout ma bouche. Pareil pour Nadine, mais surtout dans sa chatte, car Christophe m’a fait allonger au sol plusieurs fois et elle est venue vider dans ma bouche une grosse quantité de sperme s’écoulant de sa chatte !— As-tu léché ensuite la vulve de Nadine pour la nettoyer complètement ?— Oui, j’ai léché sa chatte. Christophe m’y a forcée. A chaque fois qu’elle venait la vider dans ma bouche, il a enlevé mes œillères pour que je vois bien le foutre tomber dans ma bouche !— Après cette soirée, tu préfères sucer ton homme en Peggy ou en Vanessa ?— C’est différent de sucer mon homme en Vanessa où je suis libre, alors qu’en Peggy, j’y étais contrainte !— Si tu avais gardé les œillères, tu crois que tu aurais pu reconnaître ton homme au goût de son sperme dans ta bouche ?— Non, vu le nombre de spermes différents que j’ai dû avaler, je n’étais pas sûr de reconnaître le sien !— Tu as déjà une date pour ta prochaine prestation en Peggy la soumise ?— Non pas encore de date !— J’imagine que maintenant après toutes ces sodomies à répétition de calibres différents, Christophe a pu t’enculer sans que tu le sentes passer cette fois ?— Oui, il m’a enculée au retour à la maison dans la douche et il m’a fait une éjac facial et m’a douché le corps de sperme après, avant que je prenne ma vraie douche !— Tu as la "rondelle" plus souple maintenant alors ? Toi qui n’aimais pas trop ça avant, tu es servie ? »— Oui pour être souple, elle y est là, oui !— Tes petites lèvres sont plus distendues aujourd’hui ?— Oui à cause surtout des pinces et des poids que Christophe leur a mis une bonne partie de la soirée !— J’aimerais bien savoir pendant que tu servais de garage à bites et de vide-couilles, qu’est-ce qui pouvait bien te traverser l’esprit ?— Pas le temps de penser à ce moment-là, j’ai subi leurs assauts sans pouvoir rien faire, ni dire !— Tu n’as pas joui du tout pendant les assauts, trop durs à supporter c’est ça ?— Si j’ai joui plus d’une fois. Ce qui me fait encore plus honte, c’est d’y avoir pris autant de plaisir !— Mais tu es prête à recommencer quand même ?— Ben oui, mais pas avec autant d’hommes. Je ne sais pas combien ils étaient, mais ils nous ont bien baisées. En revanche, je suis un peu dégoûté du sperme !— Le sperme, c’est comme toutes les bonnes choses, il ne faut pas en abuser, sinon ça écœure après !
Ils ont dû te faire mal par moments, sans que tu puisses même crier, juste avoir les larmes qui coulent sans doute, non ?
— Oui, mais j’ai pleuré surtout quand je n’en pouvais plus d’avoir joui autant. Oui, j’ai été malmenée, mais sans grande douleur, sauf par Christophe !— Tu aimes vraiment être violentée alors ! Je ne pensais pas il y a 3 semaines que tu puisses aussi rapidement accepter tout ça. Je suis heureux de t’avoir permis d’y parvenir puisque c’était finalement ton souhait le plus profond d’offrir tout ton corps ainsi ?— Ce que j’ai entendu plusieurs fois alors que je ne voyais rien, c’est : ‘Soumise cagoule suce’ ou ‘Peggy, la truie à sperme’ !— Ce soir, ton homme te dira, j’espère, s’il t’a trompée avec cette Peggy, la soumise cagoulée ? Lol.— Il est venu se faire sucer et se vider dans ma bouche en sortant du cul de Nadine, car Christophe a enlevé plusieurs fois mes œillères pour que je puisse le voir en action !— Et surtout combien de fois et par où il a pris Nadine ?— Sans les œillères, j’ai pu voir à chaque fois mon homme la sauter ou l’enculer ou quand elle le suçait. Il me les a aussi enlevées quand on est reparti. C’est comme ça que je sais qu’ils ont dû finir le reste de la nuit ensemble !— Et toi tu as fini la nuit avec Christophe pendant qu’Éric était avec Nadine, c’est ça. Quel couple super vous formez ?— Non, moi, Christophe m’a ramenée et m’a enlevé tout mon attirail en commençant par le ‘rosebud’ en me mettant accroupie sur le carrelage du salon où s’est alors écoulé tout le sperme que j’avais dans mon cul. Il m’a mis la tête dedans pour que je nettoie avec ma langue tout le jus sur le carrelage !— Au fait, c’est la première fois que tu as eu des orgasmes à répétition ?— Non pas la première fois, mais autant à la suite, oui !— Pour la prochaine fois, tu voudras essayer sans combinaison latex, ni cagoule, je suis sûr ?— Non la prochaine fois, je serais juste attachée et liée par bondage pour être fouettée, dilatée, etc. enfin une séance sm complète quoi !— Sans pénétration de bite ? Uniquement dilatation de ton cul ?— Mais après la séance sm, cela m’étonnerait qu’il ne me baise pas !— Ah OK. Uniquement Christophe et toi, c’est ça ?— Non, il y aura aussi un ami à lui qui a un donjon aménagé dans son grenier !— Ah. OK après la séance sm, ils vont te prendre en double... double péné vaginale peut-être ?— Je verrai bien. Bonne soirée et bon week-end à vous !— Bon week-end et bonne baise avec ton homme en espérant que Nadine ne lui ait pas trop vidé les couilles !!!— Bon là, je vais prendre un bon bain avant que tout le monde rentre à la maison !— Je te souhaite un excellent grand week-end en famille, repose-toi bien et jouis bien avec ton homme en tant que Vanessa cette fois !
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Une fois dans mon bain, seule à la maison en attendant que la famille rentre et surtout que mon homme arrive, je me revois encore hier soir, si excitée à l’approche de cette soirée où j’ai définitivement basculé en chienne soumise à Christophe, mon maître ce soir-là. Tout redéfile bientôt dans ma tête :
« Mon excitation n’a cessé d’augmenter toute la journée dans l’attente de cette soirée. Je me suis dépêchée de rentrer chez moi en sortant du travail pour aller prendre ma douche et me préparer.Je viens juste d’enfiler mes bas avec une petite robe courte moulante et un maquillage léger quand la sonnerie du portail retentit. Je suis si excitée, sachant que c’est lui, que je cours presque pour lui ouvrir la porte. Il rentre, m’embrasse et passe sa main sous ma robe. Il me caresse la chatte déjà trempée et me dit : ‘Très bien salope. Tu es toute mouillée. Ton dressage commence. Je t’avais dit juste un manteau. Alors tu enlèves immédiatement ta robe et tu mets juste ton manteau’.
Je suis surprise par sa demande, croyant toujours qu’il rigole. Mais j’obtempère et enlève ma robe pour me retrouver juste en bas, bottes et manteau, toute nue dessous. On quitte aussitôt la maison. C’est bien la première fois que je sors ainsi de chez moi !!
Nous partons ensemble avec sa voiture. Une fois sortis de la ville pour prendre l’autoroute, il me demande d’ouvrir mon manteau. Il allume la lumière de mon côté au moment où j’ouvre mon manteau. Il pose alors une main sur mon genou et la remonte directement entre mes cuisses nues que j’ouvre immédiatement, tant je suis tout excitée.
Il commence à me poser des questions sur mes tabous et mes envies. Il veut savoir ce que je refuse et ce que j’accepte. Il me donne quelques exemples comme avaler du sperme et je lui réponds oui, la double pénétration et je réponds encore oui, puis la sodomie, la fessée, l’anulingus et je réponds toujours oui. Il me demande ensuite si je suis adepte de zoophilie, je réponds non, puis de scatologie toujours non et enfin de décharges électriques, encore non.
Sa main commence alors à caresser plus précisément mon clito. Cela m’excite beaucoup. Il continue son interrogatoire en me demandant si j’ai déjà pratiqué des choses hors du commun. Je lui raconte que oui avec mon premier mec qui aimait m’attacher pour me fesser. C’était plus par jeu, car il ne frappait pas fort, mais ça me faisait vraiment mouiller. Il me demande alors le pire que j’ai fait, selon moi. Après un moment d’hésitation, je lui dis que j’ai déjà pratiqué l’uro.
Il me demande de lui en dire plus. Je lui dis que je n’ai pas trouvé ça trop désagréable et que c’était juste sur mon corps et sur mes seins. Mon mec de l’époque aimait beaucoup faire ça dans la baignoire ou dans la douche. Je me mettais accroupie devant lui et il se soulageait sur moi. Souvent, je finissais par le sucer, les dernières gouttes d’urine avaient un goût un peu spécial.
Je suis plutôt gênée de lui raconter tout ça, d’autant que mon homme n’est même pas au courant. Il me demande alors d’ouvrir la boîte à gants. Je découvre le ‘lush’. Il me dit de lui donner et il le pose dans son vide-poche. Il me parle enfin de ce qui m’attend et surtout m’annonce que mon dressage de soumise va commencer dès ce soir. Pour cela, il faut d’abord que l’on aille chercher de quoi m’habiller.
Il détache ensuite ma ceinture de sécurité avant de poser sa main derrière ma tête pour m’obliger à m’allonger sur son entrejambe. Mais il n’a pas besoin de me forcer beaucoup, car je commence directement d’ouvrir son pantalon pendant que de son côté, il tire sur la manche de mon manteau. Je comprends qu’il veut que je l’enlève. Je m’exécute après avoir extrait son sexe à moitié bandé.
Je me retrouve quasiment nue à côté de lui. Il me dit de me mettre à genoux sur le siège pour le sucer. Plusieurs camions ont déjà klaxonner et nous ont fait des appels de phare lorsqu’on les doublait pendant que j’étais juste assise manteau ouvert. Mais maintenant avec mes fesses près de la vitre, ils ont une vue imprenable sur mon cul et ma chatte. C’est ce qui m’excite le plus de m’exhiber ainsi, même si c’est interdit par le code de la route, lol !
Je commence donc à le sucer pendant qu’il passe sa main dans mon dos pour la glisser au bas de mes reins que je cambre pour lui donner accès à mes trous. Il me claque les fesses en me disant d’écarter mes genoux.
Je sens bientôt son sexe durcir et me remplir la bouche que je dois ouvrir de plus en plus, tant sa bite est vraiment large, si grosse que j’en ai mal à la mâchoire. Les camions continuent de klaxonner à chaque fois qu’il en double. Il maintient ma tête sur sa bite avec son bras pendant que sa main passe de ma chatte à mon cul pour le lubrifier avec ma mouille. Il réussit à y glisser un, puis deux doigts au moment où il éjacule tout son jus dans ma bouche. Je l’avale comme je peux en évitant d’en perdre une goutte. Je me redresse enfin pour me rasseoir après lui avoir nettoyé complètement le sexe.
Il reprend ses questions tout en continuant d’agacer mon clito quand mon téléphone se met à sonner. Je découvre que c’est mon homme qui m’appelle. Je le lui dis. Il m’ordonne de décrocher et de le mettre en haut-parleur. J’obtempère, sachant que mon homme croit que je suis avec un collègue de travail avec l’intention d’aller baiser à l’hôtel. Il est à cent lieues de se douter que je suis en fait avec son patron Christophe, complètement à poil à ses côtés, sur la route en direction de leur soirée. Sachant que mon homme doit y participer, je suis un peu perdue quand il me demande d’être une bonne salope avec mon collègue.
Je regarde son patron qui vient de comprendre que mon homme est au courant de mes escapades sexuelles et qu’il m’y encourage. Il attrape le ‘lush’ et me l’insère dans la chatte. Pendant que je continue de discuter avec mon homme, il met le ‘lush’ en route. Je pousse alors quelques gémissements de plaisir que j’essaie de dissimuler tant bien que mal.
Je finis par couper court à la conversation avec mon homme sentant que je vais bientôt jouir. Mais dès que j’ai raccroché, le ‘lush’ s’arrête à mon grand regret. Je me tourne alors vers son patron qui le sourire aux lèvres me sort : ‘Espèce de salope, tu lui as fait croire que tu allais baiser avec un de tes collègues’.
Je ne sais pas quoi lui répondre et il ne me laisse pas trop le temps de le faire qu’il me dit : ‘Ce soir, je vais te traiter comme une vraie salope et ça va te rappeler des souvenirs avec ton premier mec. Je vais te dresser moi ‘. Je suis un peu honteuse. Comme on arrive en ville, je veux remettre mon manteau, mais il m’en empêche jusqu’à l’arrêt de la voiture.
Une fois garé, je remets donc mon manteau pendant qu’il descend pour venir galamment m’ouvrir la portière. Au moment où je referme mon manteau, il m’arrête et l’ouvre en grand au contraire pour passer sa main entre mes cuisses afin d’extraire le ‘lush’ de ma chatte sous les yeux des passants derrière lui qui me regardent en souriant.
Il passe le ‘lush’ sur mes lèvres. Je comprends qu’il veut que je le nettoie. J’ouvre ma bouche au moment où un couple s’arrête pour me regarder faire. Je suis gênée et Christophe le sent. Il me regarde alors en me disant à haute voix : ‘Comme ça, tu es une vraie salope et ton homme est au courant que tu baises ailleurs ‘. Le couple écoute. J’en ai les larmes aux yeux tellement je suis vexée et humiliée qu’il me parle ainsi en public. Une fois le ‘lush’ propre, il le sort de ma bouche et le remet dans la boîte à gants avant de me faire sortir de la voiture et m’autoriser enfin à fermer mon manteau.
Il me prend la main et on avance. J’ai l’impression que tous ceux que l’on croise devinent que je suis entièrement nue sous mon manteau. On atteint bientôt une sorte de sex-shop. Une fois à l’intérieur, je comprends vite que c’est plus une boutique SMS qu’un sex-shop classique. Une vendeuse vient à notre rencontre avec un large sourire en disant : ‘Monsieur Christophe ! Un moment que l’on ne vous a pas vu ‘. Je comprends qu’il est un habitué des lieux, ce qui ne m’enchante pas trop. Il me dit d’attendre dans l’entrée et part avec la vendeuse faire le tour du magasin en discutant.
Je suis comme une potiche à attendre un bon moment alors que quelques clients sont encore là. Christophe revient enfin avec la vendeuse, mais il a en main un collier en cuir avec plusieurs anneaux dessus et une laisse. Il me regarde droit dans les yeux et me dit : ‘Elle sait ce que je veux, tu la suis et tu fais tout ce qu’elle te demande ’.
Je soutiens son regard pendant qu’il passe le collier autour de mon cou. Un client nous regarde tout en se rapprochant de nous. Une fois le collier en place, il fixe la laisse et la donne à la vendeuse. Il place ensuite ses mains sur le haut de mon manteau et tire dessus légèrement avec un large sourire.
Je suis morte de peur en imaginant la suite à venir. Il ouvre mon manteau pour me l’enlever. Je refuse, mais il me regarde sévèrement. Je comprends alors qu’il vaut mieux que je ne résiste pas. Je me retrouve rapidement nue avec juste mes bottes, mes bas, le collier et la laisse. Je suis terriblement gênée d’autant que le client se rapproche un peu plus, tout en fixant mes seins et ma chatte lisse.
La vendeuse tire légèrement sur la laisse pour que je la suive. Je suis tellement troublée que je regarde le sol pour éviter de croiser un regard. Nous arrivons dans la partie des tenues en latex. Elle en choisit une qu’elle me demande d’enfiler. J’ai du mal à trouver l’ouverture par laquelle je dois la passer tant il y a de trous. Elle m’aide à la passer. Je découvre alors que le haut de la combinaison comporte deux trous pour y passer mes seins afin qu’ils soient à la vue de tous. Elle me passe aussi un pantalon que j’enfile après avoir enlevé mes bottes.
Je constate alors que l’entrejambe est ouvert devant et derrière. Je remets mes bottes pour aller au rayon « accessoires.» Elle y prend des pinces qu’elle place aussitôt sur mes tétons après les avoir tirés chacun leur tour. Elle m’en met également sur les petites lèvres de ma chatte, les rendant très douloureuses. Elle me demande de me mettre à quatre pattes comme une chienne que je suis devenue avec ce collier et cette laisse, puisque je dois désormais me déplacer que de cette manière.
Je suis honteuse de la situation dans laquelle je me trouve au milieu des clients. Je cherche Christophe du regard, mais je le vois sortir du magasin. Je tente de me relever pour le rejoindre, ne comprenant pas pourquoi il m’abandonne ainsi à mon sort. La vendeuse attrape alors une pince de mes seins et tire dessus vers le bas. Je n’ai d’autre choix que de me remettre à genoux et marcher à quatre pattes. Je l’aperçois qui prend des poids sur le présentoir avant de s’accroupir à mes côtés pour venir les suspendre aux pinces sur mes tétons qui étirent mes seins vers le sol, avant d’en faire autant avec mes lèvres vaginales. Pour se faire, elle se place derrière moi et passe ses mains entre mes cuisses. Je sens mes lèvres s’étirer à leur tour, la présence des poids m’obligeant alors à écarter les cuisses.
J’ai terriblement honte quand elle me promène ainsi en laisse dans le magasin. Plusieurs personnes passent à côté de nous, je n’ose pas les regarder. A chaque pas, je sens mes lèvres et mes seins s’étirer de plus en plus sous les poids. Nous arrivons alors dans un autre rayon où elle me passe des bracelets en cuir noir et rouge aux poignets et aux chevilles. Puis nous repartons, moi toujours à quatre pattes en laisse derrière ma maîtresse du moment.
Nous atteignons le rayon des culottes à trous. Elle en prend une et se dirige vers les sex-toys où elle en choisit un long et large et un autre plus petit. Là, elle me dit de me relever et enlève les pinces sur les lèvres en tirant dessus. Elle fixe les deux godes dans la culotte en latex avant de me la faire enfiler en guidant bien le grand dans ma chatte et le petit dans mon cul avec un peu plus de difficulté. Une fois en place, elle reprend la laisse pour m’amener vers les cagoules.
Elle en prend une noire tout en cuir avec une sorte d’anneau à la bouche et un bouchon ainsi que des œillères pour les yeux. Au moment où elle me la met, je sens une sorte de petit tube rentrer dans ma bouche qui m’oblige à la garder ouverte. Je ne vois plus rien et je sens mes tétons s’étirer tellement que je finis par crier, ne pouvant plus parler. Elle ouvre alors mes œillères et me fait mettre à quatre pattes de nouveau pour aller jusqu’à la caisse où Christophe nous attend.
Il a en main une paire de très hauts talons qu’il me demande d’enfiler en me disant : ‘ça serait bête que ton homme te reconnaisse à cause de tes bottes ‘. Il me fait enfin mettre debout. Je suis très perturbée de marcher avec ce genre inhabituel de talons. Il me fait retirer la culotte à double gode devant les autres clients à la caisse, je ressens alors comme un vide dans ma chatte et mon cul. Il me pose juste mon manteau sur les épaules et nous sortons du magasin. Nous croisons des passants qui me dévisagent de la tête aux pieds. Je me demande alors comment j’ai pu en arriver là, d’être ainsi exhibée et humiliée sans rien dire, mais surtout en y trouvant même une certaine excitation.
Une fois arrivés à sa voiture, il me retire la cagoule d’où coule encore ma salive. Je monte à ses côtés. Il démarre et nous roulons un moment. Durant le trajet, il me demande mes impressions. Je lui réponds que je ne pensais pas qu’il était aussi vicieux. Puis tout en m’interrogeant pour savoir si cela m’a plu, il pose sa main directement entre mes cuisses et enfonce un doigt dans mon vagin. Quand je lui réponds que non et que je n’ai jamais été aussi gênée et honteuse de ma vie, il me dit : ‘Pourquoi alors tu mouilles comme une salope ? ‘.
Je ne sais pas quoi répondre. Je m’interroge intérieurement. Les questions se bousculent dans ma tête. Pourquoi tout cela m’attire autant. Pourquoi suis-je autant subjuguée par lui alors qu’il me traite comme un jouet sexuel qu’il exhibe, qu’il prête, qu’il fait utiliser par ses connaissances comme bon leur semble. Mais surtout pourquoi je lui cède à chaque fois. Pourquoi je m’enfonce toute seule dans ce monde de perversion alors que le fantasme de mon homme est juste que je le trompe avec un autre homme ?
Or là, je suis avec son patron qui me conduit à une soirée où précisément mon homme va participer. Suis-je devenue folle de m’être mise dans pareille situation. J’en suis là dans mes réflexions quand la voiture s’arrête devant une maison où une femme semble nous attendre sur le pas de la porte.
Il me dit de l’attendre dans la voiture. J’en profite pour communiquer avec mon maître écrivain qui m’a aidée jusqu’ici à passer tous les caps de ma débauche. J’ai juste le temps de lui dire où j’en suis de ma soirée que Christophe revient déjà me chercher.
Je me doute que cette femme qui nous attend devant sa porte n’est autre que celle autour de qui la soirée a initialement été prévue. Il m’ouvre toujours aussi galamment la porte, puis m’aide à descendre avant de replacer mon manteau sur mes épaules. Nous rejoignons donc cette femme prénommée Nadine à qui il me présente comme Vanessa, la soumise qu’il va falloir dresser un peu.
Je le regarde étonnée. Il me sourit en me claquant les fesses à travers mon manteau. Elle nous fait rentrer dans une grande maison. Je remarque un peu partout des photos de famille. Je suppose donc qu’elle est mariée comme moi. Christophe enlève mon manteau pendant qu’elle me dévisage en lui demandant si je suis déjà prête. Il lui dit que non, puisque l’on sort à peine de la boutique où il a fait ses achats. Elle lui répond en souriant : ‘Tu n’en rates pas une, toi ! ‘.
Je suis là à les écouter quand elle me prend par la main et m’emmène avec elle à la cuisine où l’on finit toutes les deux de préparer le repas. On discute alors un peu de tout. Elle demande si c’est ma première soirée. Je la trouve plutôt curieuse, moi qui n’ose rien lui demander, gênée d’être dans cette combinaison en latex face à elle avec mes seins, mon cul et ma chatte à l’air.
Nous rejoignons Christophe en lui portant le dîner. Tout en mangeant, nous discutons toujours de choses et d’autres jusqu’à ce que Nadine lui pose des questions sur la soirée. Mais, il reste flou dans ses réponses, ne voulant sans doute pas m’en dire trop. Une fois le repas terminé, elle lui demande si c’est lui qui me prépare. Il lui répond qu’elle peut le faire elle-même.
Elle me regarde alors avec un sourire vicieux, puis se lève et quitte la cuisine. Elle revient quelques minutes plus tard avec une grande boîte. Pendant ce temps, Christophe me dit de retirer tous mes bijoux. Je finis de les enlever et de mettre le dernier dans mon sac à main quand elle arrive. Elle pose la boîte et l’ouvre pour en sortir tout un attirail sm : cravache, fouet, martinet, menottes, godes, plug et surtout un bock à lavement avec une canule anale.
Elle me dit de la rejoindre et me demande si j’ai déjà fait un lavement. Je lui réponds que non, très gênée, ce qui la fait sourire. Je lui demande où sont les toilettes. Pour toute réponse, elle attrape ma laisse toujours accrochée à mon collier et me tire jusqu’à la baie vitrée qu’elle ouvre pour me faire sortir dans une petite cour gazonnée avec des arbres et des fleurs. Je me retourne pour découvrir Christophe qui nous suit. Elle m’amène jusqu’au milieu de la pelouse.
Elle change tout à coup de comportement et prend un regard noir et autoritaire quand je lui dis : « Pas ici, s’il vous plaît ! ». Et là, sans rien voir venir, je reçois une gifle magistrale en pleine figure. Elle tire ensuite sur ma laisse vers le bas. Je comprends aussitôt en la regardant que si je ne veux pas en reprendre une autre, il va falloir que je me fasse toute petite et que je lui obéisse. Je me retrouve accroupie un instant seulement avant qu’elle ne tire sur la laisse un grand coup en avant pour me faire perdre l’équilibre.
Je me retrouve ainsi à genoux, les mains dans l’herbe. Elle me fait aussitôt tourner en marchant à quatre pattes pour me mettre face à Christophe qui est resté à la porte vitrée. Elle m’ordonne alors de pisser. Je baisse la tête humiliée. Je n’ai jamais fait ça devant quelqu’un, cela me bloque. Elle me rappelle à l’ordre : ‘Tu te dépêches, on n’a pas toute la soirée ! ‘. Jamais, je n’y arriverai. J’essaie de penser à autre chose en regardant le sol. Je finis par faire mes besoins telle une chienne à quatre pattes devant le patron de mon mari.
Nadine me tient toujours en laisse, j’écarte les cuisses pour ne pas m’éclabousser. Lorsque je relève enfin la tête, je découvre Christophe, le portable à la main pointé dans ma direction avec le flash allumé. Je comprends aussitôt qu’il me filme. Une fois terminé, Nadine me tire par la laisse jusqu’à la terrasse, toujours à quatre pattes. Elle me place devant lui en m’ordonnant de le sucer. Je lève la tête et m’aperçois qu’il a toujours son téléphone dans une main, et que de l’autre, il ouvre son pantalon pour en sortir son sexe déjà raide. Il pose sa main derrière ma tête pour me rapprocher de son sexe. J’ouvre la bouche et commence à le sucer. Elle lui donne la laisse et rentre dans la maison.
Je continue de le sucer en jouant avec ma langue sur son gland. Je l’aspire ainsi un long moment jusqu’à ce qu’elle revienne avec le bock. Il se lève et tire sur la laisse pour me faire marcher à côté de lui. Arrivés au milieu de la pelouse, il se place devant moi et s’accroupit, puis pose sa main sous mon menton pour relever mon visage jusqu’à ce que nos regards se croisent. Je sens la présence de Nadine derrière moi qui me fait écarter les cuisses.
Il me dit alors : ‘Ne t’inquiète pas. Tu as voulu être soumise. Je sais que tu as du potentiel ‘. Je n’ose pas lui répondre quand je sens la main de Nadine enduire mon anus d’une matière grasse. Je me doute que c’est du gel. Elle m’enfile la canule et je sens alors quelque chose se vider en moi pour me remplir les intestins. Christophe ne me lâche pas du regard. Même lorsque j’essaie de baisser la tête tant je me sens humiliée, il m’en empêche en me disant de continuer de le regarder.
Je le regarde toujours, mais je commence à avoir mal au ventre. Je me mets à grimacer un peu, tellement l’effet est bizarre de se faire remplir ainsi. Je sens bientôt la canule sortir de mon cul. Il se relève alors et m’emmène dans l’herbe. J’ai du mal de marcher ainsi. Je serre le plus possible les fesses tellement j’ai peur que tout sorte. Il me fait bien écarter les cuisses et me dit : ‘Allez Peggy lâche-toi ! Vide-toi pour que ton cul soit propre ‘.
Alors je lâche tout sans plus attendre, tellement c’est douloureux. J’ai honte du bruit et surtout de tout ce que j’évacue. Une fois fini, Nadine revient, puis me caresse la tête comme si j’étais sa chienne en me disant : ‘Tu es notre Peggy alors pour la soirée ! ‘. Elle recommence l’opération 3 ou 4 fois, à chaque fois, j’ai honte, une fois fini, on rentre, elle m’emmène à la salle de bains et me dit de prendre une douche. Elle enlève mon collier, ma laisse et les bracelets à mes chevilles et mes poignets avant de m’aider à ôter l’ensemble en latex.
Je prends ma douche rapidement. Quand je sors nue, elle m’aide à me rhabiller en remettant tout mon attirail de soumise. Elle m’emmène ensuite jusqu’au salon où Christophe est assis dans un fauteuil, toujours le sexe à l’air. Elle me place entre ses jambes et m’appuie sur la tête. Je comprends aussitôt qu’il faut que je le suce.
Pendant ma fellation, je l’entends marcher un moment dans la maison. Puis je la sens se rapprocher alors que je suis toujours à quatre pattes le sexe du patron de mon homme dans la bouche avec une de ses mains sur ma tête. Je reçois alors un coup sec sur les fesses et ressens aussitôt une douleur qui me brûle le fessier. J’essaie de me relever, mais Christophe me maintient bien la tête sur sa bite tout en imprimant le va-et-vient de ma bouche. Pendant ce temps, Nadine s’en donne à cœur joie sur mon cul qui en chauffant me procure une drôle de sensation. Elle me caresse les fesses à intervalles réguliers avant de reprendre les coups. Je remarque qu’elle change régulièrement de matériel pour me fesser.
Elle s’accroupit à un moment pour venir à mes côtés afin de placer les pinces sur mes tétons et mes lèvres intimes en les lestant avec des poids. Je sens mes tétons et mes lèvres s’étirer. Elle reprend les coups sur mon cul jusqu’à ce que Christophe éjacule dans ma bouche en s’y enfonçant tellement fort que son foutre arrive directement dans le fond de ma gorge. J’ai à peine besoin de déglutir et n’ai juste le goût de son jus qu’un bref instant.
Je lui nettoie le sexe avec ma langue. Elle arrête de me fouetter le cul quand il me relève. Elle m’enfile directement ma cagoule et me remet la culotte spéciale. Je sens immédiatement que la dimension des godes est plus grosse que celle du sex-shop. J’imagine qu’elle a dû les changer entretemps. Elle m’aide à me relever, mais je suis obligée de garder les cuisses légèrement ouvertes à cause des pinces et des poids. Elle m’attache les mains dans le dos. Christophe pose mon manteau sur mes épaules et nous partons.
J’ai du mal de marcher. J’imagine la démarche que je dois avoir si des passants nous observent. Une fois à la voiture, Christophe attrape les poids et tire un grand coup dessus. J’ai l’impression que l’on m’arrache mes lèvres vaginales. Je hurle aussitôt, tellement la douleur est intense. Heureusement que la cagoule étouffe mes cris en pleine rue. Il m’aide à prendre place à l’arrière, puis il s’installe à l’avant avec Nadine. Il prend alors son téléphone et je l’entends parler à mon homme.
Je commence à stresser à l’idée qu’il va bientôt nous rejoindre dans cette voiture. Va-t-il me reconnaître ?Je me remémore ses mots quand il m’a dit qu’il allait à cette soirée juste pour voir, puisqu’il n’y avait jamais participé avant. M’a-t-il menti ?Nous roulons jusqu’à son hôtel. Pendant que son patron descend de voiture pour aller le chercher, Nadine se tourne vers moi et me place les œillères sur les yeux, sur ordre de Christophe, me dit-elle. C’est dans l’obscurité totale que je sens Christophe venir s’asseoir à mes côtés et mon homme prendre le volant aux côtés de Nadine. »
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C’est le dernier récit détaillé que Vanessa m’a fourni après sa folle soirée en Peggy la cochonne à laquelle participait son homme. Elle qui comptait beaucoup sur la possibilité offerte par le site de dévoiler indirectement par écrit à son mari son double jeu et sa double vie à la lecture du chapitre 7, elle a dû entre temps tout avouer à son mari. En effet vu les délais de publication du site, ce chapitre 7 pourtant envoyé le 13 novembre 2019 n’a finalement été publié que le 17 janvier 2020, soit plus de deux mois et demi après ses exploits !...
Depuis lors, sa vie de couple, sa vie sexuelle, sa vie de mère et son travail ont beaucoup évolué. Elle assume désormais totalement sa double personnalité sans retenue aucune, elle a prévenu son homme qu’elle ne compte pas en rester là, à moins qu’il ne le lui demande expressément.
C’est pourquoi, elle a depuis successivement expérimenté :
— les pratiques sm extrêmes en donjon ;— la soumission au boulot avec son collègue Philippe qui l’a obligée à avaler chaque matin un café gourmand assaisonné de son foutre et à se laisser tripoter quand bon lui semblait ou s’offrir à lui dès qu’il le lui demandait, mais cette fois réellement et non virtuellement comme pour donner le change à son homme dans le chapitre 7 ; — la prise en double sous les yeux de son homme après avoir dragué deux inconnus en boîte de nuit en présence de son mari resté en contact avec le Maître écrivain ;— le « glory hole » d’un sex-shop tout en se faisant prendre par un inconnu qui est devenu depuis son amant du week-end pour venir la baiser chez elle sous les yeux de son homme.
Elle a également changé de boulot pour travailler désormais chez Christophe, le patron de son homme. Il peut ainsi la baiser quand il veut, vu qu’elle ne porte plus du tout de sous-vêtement. Elle a également fait la connaissance de la femme de Christophe tant et si bien qu’ils se retrouvent souvent pour des parties à quatre où elle n’est plus du tout gênée de se faire prendre par Christophe sous les yeux de son homme pendant qu’il s’occupe de son côté de la femme de son patron. Ils ont même participé ensemble tous les quatre à des séances sm en donjon.
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Si Vanessa a pris beaucoup de plaisir à raconter dans les moindres détails son ressenti lors de chacune de ses expériences nouvelles, elle ne souhaite plus du tout en faire part aux lecteurs, surtout au vu de certains commentaires.Ce dernier chapitre 8 clôt donc définitivement cette saga qui j’espère en a quand même réjoui plus d’un ou une à la lecture de ces récits totalement réels et toujours le reflet exact des événements vécus par l’héroïne, même s’il vous a semblé parfois que la réalité ait pu dépasser la fiction !
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