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La déchéance d'une prof

Chapitre 2

La discussion, découverte d'un nouveau moi

Erotique
Les journées passent, je commence à m’habituer à mes classes et à mes collègues. Je suis plutôt content de mon intégration, cela se passe bien. J’ai repéré les élèves à surveiller et ceux n’ayant pas besoin d’aide, j’ai commencé à asseoir mon autorité, mais tout en douceur, le légendaire adage « une main de fer dans un gant de velours ». Côté vie perso, je continue mon activité secrète, régulièrement. Je tchate, je prends du plaisir solitaire et mon mari n’y voit que du feu.
Ce soir, prise d’une fièvre enivrante, je me connecte à mon compte. Mon mari lit son bouquin dans le salon en ma compagnie, je suis sur mon téléphone.Une fenêtre de dialogue s’ouvre. Un certain « jeune-rebeu » s’adresse à moi :
— Salut madame_cougar, hâte de te faire mouiller.
Voilà qui m’intéresse. Déjà, j’aime les gens directs, visiblement ce jeune homme l’est. Ensuite, j’aime savoir que je plais aux jeunes, c’est bon pour la confiance en soi. J’ai donc trouvé mon interlocuteur pour ce soir. Je lui réponds :
— Bonsoir jeune homme, qu’est-ce qui te fait croire que tu y arriveras ?
Je choisis de jouer l’effrontée, j’aime bien leur rendre la tâche plus ardue.
— Allons, nous savons tous les deux que tu es déjà humide, et que tu ne demandes que plus !
Il n’a pas tort.
— Soit, je le reconnais. Mais dis-moi donc comment tu vas t’y prendre ? — Eh bien déjà tu vas commencer par me tutoyer et m’envoyer une photo de ta gueule.
Wow. Wow. Cette phrase est très sèche. Et pourtant, elle trouve une résonance en moi. Sans que je m’explique pourquoi, une phrase aussi sèche provoque immédiatement une humidification de mon entrejambe.
— Oui pas de soucis.
Je m’éclipse, prétendant une envie de pipi, je vais aux toilettes. Je fais un selfie en sous-vêtements, floute mon visage et lui envoie.
— jolies mamelles, jolies hanches, mais ce n’est pas ce que je t’ai demandé. — Je ne fais pas des photos de mon visage, je dois préserver mon anonymat.
J’espère qu’il le comprendra, je commence à bien m’amuser, ça serait dommage de s’arrêter là.
— Non. Je m’en fiche de voir tes mamelles sur la photo, je veux juste voir ton visage pour savoir à quel genre de femelle je m’adresse.
Encore une fois, je ne sais pas pourquoi, mais cette phrase éveille mes sens comme rarement. Le fait qu’il me parle si sèchement, le fait qu’il me traite comme animale « mamelles » « femelle », autant de mots qui m’excitent. Pourtant je ne pensais pas être ce genre de femme. J’hésite. J’ai vraiment envie de continuer cette discussion. Mais je me suis juré de ne pas craquer et de préserver ma vie privée.
— Tu me fais attendre. Je n’aime pas ça.
Il se montre pressant le bougre ! Je craque. Je prends soin de ne montrer que mon visage, ainsi, je devrai être à l’abri, si jamais il m’arriverait des embrouilles. J’envoie donc cette photo de mon visage, sans avoir flouté quoi que ce soit. Ah, il a vu. Une minuteDeux minutesDurant ces deux longues minutes, je retourne dans le salon en compagnie de mon mari.Une question tourne à toute vitesse dans ma tête. M’aurait-il reconnue ? Aurais-je fait une boulette ? Je commence à prendre peur.
— Une jolie femelle qu’on a là. J’aime bien ton sourire, et cette lueur lubrique dans ton regard qui en dit long.
Ouf, il ne semble pas m’avoir reconnue.
— Je te remercie, ravie de te plaire.— Attention...
Attention ? Attention à quoi ? Oh mince !
— Pardon. Je vous remercie, ravie de vous plaire.— C’est mieux, femelle. Il n’y aura pas d’autres avertissements.
Je frissonne. Je ne sais pas ce qu’il a prévu si je fais un nouveau pas de côté, mais cela éveille mes sens encore un peu plus...
— Oui d’accord.— Appelle-moi Monsieur.
Cette discussion prend un tournant inédit. Jamais je n’avais joué à ces jeux-là. Mais je dois dire que ça me plaît beaucoup. Serais-je en train de me découvrir une nouvelle facette ?
— Oui monsieur.— Avec un M majuscule femelle, nous ne sommes pas égaux.
J’aurais dû m’en douter, c’est quand même dommage pour une prof de français !
— Très bien Monsieur.— Bravo femelle. Alors, parle-moi de toi. — Je suis une femme d’une quarantaine d’années, mariée, mère. Je travaille en tant que secrétaire dans une boîte d’informatique.
J’ai menti, histoire de brouiller les pistes au cas où. S’il ne me connaît pas, il ne remarquera pas le mensonge.
— mariée ? Que fais-tu donc là ? — ... mon mari ne me satisfait pas... — Oh je vois... Pour être honnête soumettre une femme mariée, qui plus est, mère, c’est pour moi inédit, mais surtout terriblement excitant. Et pour toi femelle ? — Pour moi aussi Monsieur...
Là je ne mens pas. Entre mes cuisses, c’est terriblement humide, j’ai rarement été aussi trempée.Et dire qu’à un mètre de moi mon mari lit tranquillement son bouquin !
— Comment est ton entrejambe femelle ? — Trempé Monsieur... — Tu te mets des doigts ? — Pas encore Monsieur.— Pas encore, et déjà trempée ?! Sacrée coquine dis donc ! Va donc te mettre des doigts !
Sur ces mots, je m’éclipse donc une deuxième fois aux toilettes.
— Alors femelle ?! — Oui, je m’en mets deux Monsieur.— Petite joueuse... mais t’imaginer ainsi est très plaisant... J’imagine que tu te retiens de couiner pour ne pas te faire remarquer de tes enfants et de ton mari ?
Il vise juste encore une fois. Je suis dans les toilettes, tentant d’être la plus discrète possible.
— Oui Monsieur, vous avez raison... — T’as envie de jouir femelle ? — Oui Monsieur.— Alors, vas-y.
Secouant les deux doigts en moi, le plaisir monte très vite, trente secondes après, j’avais déjà joui. Cet orgasme a été le plus puissant depuis un long moment. Je reprends mes esprits et écris à mon interlocuteur :
— Merci Monsieur, c’était très bon, je vous remercie.— Ravi de t’avoir aidée, femelle.— Je dois m’en aller, je vais rejoindre mon mari. A bientôt peut-être ?
C’est la toute première fois que j’ouvre la porte à d’autres discussions avec un interlocuteur. Ce n’est pas dans mes habitudes, mais l’orgasme a été si fort, je ne peux que vouloir réitérer cette expérience ».
— A très bientôt femelle...
Ces trois petits points en disent long. J’ai déjà hâte de nos prochaines discussions...
Mes affaires finies, je m’en vais rejoindre mon mari dans le salon, puis sous les draps, encore toute euphorique de cette sacrée expérience...
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